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Publié par HSBC France - © Corbis
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SECTEuR
>
A g R o A L I M E n TA I R E
Au premier rang français et européen,
l’industrie alimentaire semble moins
subir les effets de la crise que d’autres
domaines. La raison d’un chiffre d’af-
faires qui progresse de 6 % ? La hausse
des prix, qui compense la baisse de l’ac-
tivité et de la consommation des ména-
ges tout comme le faible dynamisme de
la demande extérieure… Pour autant, et
même si la donne devrait changer après un
premier trimestre 2009 particulièrement
difficile, l’industrie agroalimentaire reste
un secteur demandeur voire même créateur
d’emplois.
Ainsi, les besoins en personnel pour l’ho-
rizon 2010-2015 s’évaluent entre 5500 et
6700 nouveaux emplois par an (Ifria). Les
départs en retraite en sont, bien entendu, la
principale raison. De nombreux futurs retraités
occupent actuellement des fonctions «stratégiques» qu’il faudra
remplacer. D’une manière générale, les industries alimentaires
sont continuellement en recherche de personnel toujours plus
qualifié pour répondre à l’automatisation grandissante de la pro-
duction et le besoin incessant d’innovation, de développement
de nouveaux produits dû à un marché sans
cesse saturé. De même, la recherche d’une
sécurité alimentaire optimale nécessite des
responsabilités accrues au niveau de la pro-
duction, de la distribution et du contrôle
de la qualité.
Des places sont donc à prendre pour les
jeunes diplômés, à condition de savoir
se montrer mobile au sein de multina-
tionales telles que Danone, Nestlé ou
Unilever, et surtout dans des entreprises
de moins de 250 salariés, soit 90% de
l’industrie. Ces dernières se replient sur
elles-mêmes du fait du contexte actuel,
mais manquent toutefois de tech-
nico-commerciaux, techniciens de
maintenance, techniciens qualité…
En 2009, Pomona spécialisé en distribu-
tion et en agro-industrie compte recruter 1500 personnes, dont
200 jeunes diplômés. À un plus faible niveau, la PME bretonne
Roullier prévoit pour sa part d’embaucher plus de 100 cadres
sur ses 200 recrutés annuels, débutants ou confirmés. Alors, sur-
tout, ne pas limiter ses recherches aux gros groupes !
Yves Le Corre
La crise aidant, le secteur agroalimentaire – aux produits
plus concrets que d’autres industries – commence
à perdre son image négative pour attirer plus de candidats. Attention,
toutefois, à savoir se montrer mobile avant et après l’embauche.
Des emplois
pour les affamés
de mobilité
nos besoins sont identiques à ceux de 2008
GUILHEM DEVEAU, chef de projet développement RH – Campus Manager
et DRH du groupe Soparind Bongrain.
Quels sont vos besoins
en termes de recrutement
pour 2009 ?
Nous concevons la
politique de recrutement
de notre groupe comme
un investissement à long
terme. La crise n’a donc pas
d’impact sur celle-ci. Notre
politique de développement
se poursuit, tant en France
qu’à l’international. Nos
besoins sont donc identiques
à ceux de 2008. on compte
plusieurs centaines de
postes disponibles dans
les 80 filiales du groupe.
Les profils recherchés sont
divers. En tant qu’acteur
majeur dans l’industrie de la
transformation laitière, nos
besoins pour pourvoir les
postes en production sont les
plus nombreux. Concernant
les postes d’encadrement et
d’expert dans ces fonctions,
nous recherchons autant de
jeunes diplômés d’écoles
d’ingénieurs généralistes
ou agronomes que de
professionnels. Pour nos
postes en marketing,
nous proposons de belles
opportunités à des jeunes
diplômés d’écoles de
commerce, accéder à des
postes de chef de produit
junior notamment.
les recrutements ?
Ils sont décentralisés dans les
filiales. Le candidat rencontre
généralement son futur
responsable et le DRH. Nous
faisons en sorte de traiter
rapidement nos recrutements.
Ils sont systématiquement
envisagés d’un point de vue
«groupe»; tout candidat
acceptant un poste dans
notre groupe sait qu’il est
susceptible d’évoluer à terme
dans l’ensemble des filiales.
C’est ainsi que notre taux de
mobilité interne est supérieur
à 50 %.
Quelles sont les
perspectives d’évolution
pour un jeune diplômé ?
Fortes ! Notre politique de
gestion des ressources
humaines, basée sur la
mobilité interne conjuguée
à nos très nombreuses
implantations en France
et à l’international, et la
diversité de nos marques
nous permet de faire
évoluer fonctionnellement,
hiérarchiquement et, bien
sûr, géographiquement nos
potentiels.