A la memoire des 1 500 000 victimes armeniennes

Les textes qui suivent constituent une Revue de Presse des articles parus dans les médias sur les sujets que le Collectif VAN suit au quotidien. A ce titre, s'ils ne représentent pas toujours (hélas) l'opinion de notre association, il est utile d'en prendre connaissance pour éventuellement y réagir de manière appropriée.

7. GENOCIDE ARMENIEN

L’Institut-Musée du génocide arménien : " La reconnaissance et la condamnation : les procès des Jeunes Turcs (1919-1921 et 1926)"

NAM

L’Institut-Musée du génocide arménien a publié la monographie " La reconnaissance et la condamnation : les procès des Jeunes Turcs (1919-1921 et 1926 )" par Meline Anumyan

L’œuvre est dédiée à l’étude des poursuites émises sur les massacres et les déportations des Arméniens par des tribunaux militaires de l’Empire ottoman durant 1919-1921 et les procès des Jeunes Turcs qui s’est tenue devant les tribunaux indépendants de la République turque en 1926.

L’atmosphère politique en Turquie après l’armistice de Mudros ainsi que les discussions sur les déportations et les massacres arméniens qui ont émergé dans la presse ottomane et dans les deux chambres du Parlement à la fin de 1918 sont présentées dans le premier chapitre de la monographie actuelle. L’auteur se réfère également aux enquêtes lancées au cours de cette période en Turquie contre les responsables du génocide arménien.

Les cas sur les déportations et les massacres de 1919-1921 déposés devant les tribunaux militaires d’Istanbul et les procès des Jeunes Turcs au cours de 1919-1920 sont étudiés dans le second chapitre. Les développements politiques en Turquie au cours des années 1923-1926 sont discutés dans le troisième chapitre. L’auteur présente les raisons pour lesquelles les Jeunes Turcs vont apparaître dans les premières lignes de l’opposition après la proclamation de la République turque, ainsi que la tentative d’assassinat planifiée à Izmir contre Mustafa Kemal, le président de la République turque. Les Jeunes Turcs avaient eu un rôle important dans la lutte nationaliste. Le troisième chapitre est également consacré à l’étude de la plainte déposée au cours de la tentative d’assassinat à Izmir et celle à Ankara sur l’affaire « bande noire ». Les deux affaires ont été entendues par les tribunaux indépendants de la République turque. A la fin du chapitre, l’auteur fait une comparaison entre les procès des Jeunes Turcs de 1919-1921 et ceux de 1926, et insiste sur le fait de préserver la tradition Ittihad au sein de l’idéologie et de la gouvernance de l’État dans la vie politique de la République turque.

mardi 23 avril 2013,
Stéphane ©armenews.com

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France

Inauguration à Valence (Drôme) du square Jean-Manoug Stepanian devant la stèle du génocide arménien

NAM

Samedi 20 avril à 12h30, malgré une pluie continue, une foule d’une centaine de personnes était venue assister à l’inauguration du square Jean-Manoug Stepanian face au mémorial de Valence (Drôme) dédié au génocide arménien. Sa famille était également présente. Le maire de Valence Alain Maurice (PS) et une jeune fille ont dévoilé la plaque Jean Stepanian (Adjoint au Maire). Né en 1929 et disparu en 1998, Jean-Manoug Stepanian a été le premier Adjoint au Maire d’origine arménienne de Valence de 1983 à 1995 sous le mandat du maire Rodolphe Pesce (PS). A la tête d’une entreprise, il était également président de l’association des Arméniens de Karpouth (Kharpert) cette région d’Arménie occidentale dont les originaires sont très nombreux à Valence. Il s’était alors engagé en politique pour servir la communauté arménienne de la région valentinoise et l’Eglise arménienne dont il était très fidèle. Très à l’écoute de ses concitoyens Jean-Manoug Stepanian savait fédérer et trouver les solutions à de nombreux problèmes. Il fut également l’un des acteurs essentiels de l’acquisition par la communauté arménienne du Centre communautaire Saint-Sahag. Homme très chaleureux, il avait su rallier à sa cause une grande partie de la communauté. Lors du précédent mandat, le maire Patrick Labaune (UMP) avait honoré Jean-Manoug Stepanian par une place qui portait son nom à l’angle de la rue Bouffier et d’Arménie, en plein cœur du quartier arménien où il était né. Mais la construction d’un bâtiment avait condamné cette place. Le « Square Jean-Manoug Stepanian » est donc installé désormais devant le mémorial du génocide arménien, œuvre de Toros.

Après l’inauguration, le public s’est retrouvé à la Mairie de Valence pour une réception précédée de discours d’Alain Maurice, de Rodolphe Pesce et d’Henri Siranyan le Président de l’association cultuelle de l’Eglise Saint Sahag de Valence.

Krikor Amirzayan Reportage texte et photos à Valence (Drôme)

mardi 23 avril 2013,

Krikor Amirzayan ©armenews.com

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Nice/Génocide arménien: le livre d'une NiçoiseNice-Matin

Publié le mardi 23 avril 2013 à 11h20

Le génocide arménien. Demain, mercredi 24 avril, on le commémore pour la 98e fois. À Nice, Cannes, partout…

Dans deux ans, ce sera l'effroyable centenaire… Celui d'un crime contre l'humanité, dégoulinant du sang de 1 500 000 martyrs exterminés dans l'empire ottoman, mais toujours nié par la Turquie. Les Arméniens d'ici et d'ailleurs attendent, espèrent toujours cette reconnaissance.

Une Niçoise lui consacre un livre, qui vient de sortir : Enfants d'Ararat - Témoignages pour la reconnaissance du génocide arménien. Elle s'appelle Françoise Rossi. Ex-journaliste à RMC puis à France 3 Côte d'Azur, cette jeune femme se consacre aujourd'hui à l'écriture de biographies et de récits de vies.

« Au fil des reportages, on me racontait plein d'histoires singulières, des aventures humaines passionnantes. J'ai eu envie de transmettre une mémoire, de permettre à des familles de préserver, d'ancrer leur patrimoine familial…»

Alors Françoise s'est mobilisée pour l'Arménie. Six ans. Recueillant plus de 150 témoignages. Des rescapés du génocide de 1915 aux Arméniens venus d'une Arménie libérée du joug soviétique en 1991, en passant par ceux qui ont fui l'oppression en Turquie dans les années 70/80. Sans oublier les femmes et les hommes qui ont fondé et façonné la communauté niçoise dans les années 20.

Valeurs humaines

Françoise a rencontré des descendants de gens chassés, torturés, violés, humiliés, massacrés. Multiplié les contacts téléphoniques à Marseille, Lyon, Paris, aux États-Unis… Lu des mémoires. Pas facile…

L'addition de toutes ces souffrances ? Un ouvrage dur, triste, révoltant, émouvant… « On passe de la barbarie à l'inhumanité, mais il y a aussi de multiples nuances à prendre en compte : des Arméniens ont été sauvés par des Turcs et des Kurdes. Ce livre n'est pas un plaidoyer contre les Turcs ni les musulmans. »

Longue fut la quête d'informations. Suivie d'un gros travail de synthèse. Pas en solo, car Françoise a reçu l'aide précieuse de Charles Kechkékian, lui aussi journaliste, très impliqué au sein de la communauté arménienne de Nice et des environs. Les contacts, l'éclairage sur les parties historiques et géographiques, les passages délicats où il ne faut pas commettre d'impair, les vérifications, le fil rouge, c'est lui.

Au final et au-delà des récits éprouvants, le livre retrace aussi l'histoire de ces Français d'origine arménienne, pour qui intégration et respect de la République dessinent une vraie ligne de conduite. « En ce sens,commente CharlesKechkékian, il exalte des valeurs plus globales, plus humaines, plus universelles. »

Enfants d'Ararat-Témoignages pour la reconnaissance du génocide arménien. Préface de Youri Djorkaeff. Éditions L'Harmattan. En vente en librairie, 20e.


Lire aussi:

Agenda - Parution du livre « Enfants d’Ararat »

http://collectifvan.org/article.php?r=5&id=72916

URL originale :

http://www.nicematin.com/nice/genocide-armenien-le-livre-dune-nicoise.1230113.html

http://www.collectifvan.org/article.php?r=4&id=73148

USA

USA: Les Arméniens marquent le 98e anniversaire du génocide à Lowell

NAM

S’exprimant devant un auditoire d’Arméno-Américains et de fonctionnaires de la ville américaine de Lowell située dans le comté de Middlesex, dans le Massachusettsle Samantha Sarkissian a rappelé que ses grands-parents ont échappé aux persécutions sous l’Empire ottoman il y a près d’un siècle.

Sa grand-mère a été séparée de la plupart de sa famille, mais a réussi à s’échapper avec son frère pour une nouvelle vie en Amérique.

Son grand-père d’abord réfugié dans un camp de réfugiés au Liban a finalement été sauvé par un pêcheur grec a dit Samantha Sarkissian.

« C’est un privilège pour moi de leur rendre hommage », a déclaré Samantha Sarkissian, qui est présidente de l’organisation de la jeunesse à l’église arménienne St. Vartanantz de Chelmsford et qui a rappelé les enfants qui ont été arrachés à leurs familles, les femmes qui ont été violées et les hommes et les femmes obligés de marcher vers la mort par les soldats turcs.

La sénatrice Eileen Donoghue et le maire Patrick Murphy ont fait des proclamations officielles en l’honneur de la communauté arménienne locale pour leurs sacrifices.

lundi 22 avril 2013,

Stéphane ©armenews.com

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Turquie

Adana va commémorer le 98e anniversaire du génocide arménien et des massacres de 1909

NAM

Le 98e anniversaire du génocide arménien de 1915 et des massacres de 1909 à Adana, vont être commémorés cette année...à Adana (Turquie). Information communiquée par le Congrès démocratique des peuples d’Adana, reprise par « Armenpress ». Les manifestants se réuniront mercredi 24 avril devant la Banque centrale d’Adana. Le communiqué du Congrès démocratique des peuples d’Adana affirme « au cours des 100 dernières années, les terres ont provoqué beaucoup de mal.

L’Anatolie où vivait une mosaïque de peuples. Mais le désir de créer un seul peuple a mis fin à cela. Au commencement les peuples non-musulmans furent exilés par groupes en spoliant leurs biens et leurs propriétés. Ceux qui ont réussi à rester furent assimilés de forces et ceux qui refusaient l’assimilation furent anéantis. Mais le pire s’est produit pour les plus anciens propriétaires de ces terres. A partir du 24 avril 1915 le peuple arménien fut passé au fil de l’épée. Pour ne pas oublier le souvenir de cette tragédie à l’occasion du 98e anniversaire du génocide arménien nous invitons tous nos compatriotes à venir s’incliner pour leur mémoire ». D’autres commémorations se dérouleront le 24 avril en Turquie, à Istanbul (place Taxim), à Ankara (place Sakarya) et Izmir (place Basmané).

Krikor Amirzayan

mardi 23 avril 2013,

Krikor Amirzayan ©armenews.com

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Israël

La Knesset pourrait discuter aujourd’hui de la reconnaissance du génocide arménien

NAM

Le groupe de travail de la Cause arménienne de Jérusalem a annoncé que le 23 Avril la Knesset pourrait examiner la question de la reconnaissance du génocide arménien lors de sa session plénière.

La directrice du Comité national de la cause arménienne à Jérusalem Georgette Avagyan a rapporté que cette nouvelle a été livré par le président du Parti Meretz Zahava Gal-On pendant une conférence téléphonique le 21 Avril.

Le Comité national de la Cause arménienne travaille actuellement pour assurer la participation de la délégation arménienne à la session de la Knesset qui se tiendra aujourd’hui.

“De nombreux membres de cette session de la Knesset sont nouveaux et ne connaissent pas trop le génocide arménien et le président de la Knesset est nouveau aussi. Donc, il est très important de leur fournir les informations nécessaires sur le génocide arménien “ - a déclaré Georgette Avagyan.

mardi 23 avril 2013,

Stéphane ©armenews.co

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Hongrie

Un mémorial dédié au génocide arménien inauguré dans le sud de la Hongrie

NAM

Un mémorial dédié aux victimes du génocide arménien pendant la Première Guerre mondiale a été inauguré samedi à Szeged, en Hongrie.

Le khatchkar a été érigé dans le parc de la solidarité chrétienne près de la cathédrale de Szeged. Lors de la cérémonie, l’ambassadeur de bonne volonté Levon Sarkissian (frère du président Serge Sarkissian) s’est félicité que le mémorial ait été inauguré en Hongrie. « Bien que la période récente a connu des moments difficiles, ils ont été balayés comme de la cendre dans le vent » a-t-il dit.

Bien que les relations diplomatiques entre l’Arménie et la Hongrie aient été brisées, les liens entre les deux pays remontent à plusieurs siècles a précisé Levon Sarkissian. L’ambassadeur a souligné la nécessité de rendre hommage aux 1,5 millions de victimes et se battre pour empêcher des atrocités similaires partout dans le monde.

Adressant une lettre aux participants, le ministre hongrois des Affaires étrangères Janos Martonyi a déclaré que les deux pays avaient été liés par des siècles d’amitié, résultant d’une foi chrétienne commune, d’un destin commun et des réalisations remarquables des Arméniens qui s’étaient installés en Hongrie.

Janos Martonyi a déclaré que l’amitié arméno-hongroise doit encore être approfondie et la coopération élargie dans tous les domaines de la vie, y compris les relations diplomatiques.

mardi 23 avril 2013,

Stéphane ©armenews.com

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Géorgie

Une exposition sur le premier génocide du 20ème siècle va ouvrir ses portes en Akhaltskha

NAM

Une exposition sur le premier génocide du 20ème siècle va s’ouvrir dans le Centre de la participation démocratique de l’USAID dans l’ Akhaltskha le 23 Avril à l’initiative de la branche Akhaltskha de l’Union des jeunes Zori Zoryan.

L’ambassadeur d’Arménie en Géorgie Hovannes Manoukian, les représentants des les autorités locales, les représentants des médias assisteront à l’ouverture de l’événement.

L’exposition présentera des photos relatives au génocide arménien de 1915 et des témoignages.

Les organisateurs disent que le but de l’exposition est de présenter aux autorités locales, aux membres des ONG et de la société géorgienne la grande tragédie qui a eu lieu dans l’Empire ottoman en 1915.

mardi 23 avril 2013,
Stéphane ©armenews.com

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CONFLIT DU HAUT-KARABAGH

John Kerry réitère ses appels en vue d’une contribution turque au processus de paix au Karabagh

NAM

Le secrétaire d’Etat américain John Kerry est favorable à une implication plus active de la Turquie dans le processus de règlement du conflit du Karabagh. Il l’avait laissé entendre lors de sa rencontre avec son homologue turc Ahmed Davutoglu à Istanbul, au début du mois. Il l’a clairement affirmé lors des discussions relatives au budget des affaires étrangères 2014 au sein du Comité des affaires étrangères de la Chambre des Représentants du Congrès des Etats-Unis. Et il devait le rappeler le 19* avril à Istanbul, où il rencontrait les responsables turcs en marge d’une réunion des Amis de la Syrie.

Devant les Représentants américains, J. Kerry a désigné la Turquie comme un acteur majeur de la scène régionale, exaltant son rôle constructif dans le processus de paix au Moyen-Orient, dans la crise qui secoue la Syrie, la question chypriote et aussi le règlement du conflit du Karabagh. « A la faveur de discussions régulières à Washington, Ankara nous apporte son concours dans le processus de règlement de deux conflits gelés, celui du Haut Karabagh [entre l’Arménie et l’Azerbaïdjan] et la question chypriote. Je pense que la Turquie jouera un rôle constructif concernant ces sujets et nous nous efforçons de préserver une relation constructive avec Ankara », a indiqué J. Kerry en répondant à des questions posées par des membres du Congrès.

La proposition de J. Kerry concernant une éventuelle médiation turque dans le conflit du Karabagh a suscité les plus grandes réserves de la part des amis de l’Arménie au Congrès américain. En raison des liens étroits qui la lient à l’Azerbaïdjan, la Turquie ne peut en effet être tenue comme une partie neutre dans le processus de négociations, et M. Davutoglu l’a encore rappelé en évoquant devant J. Kerry la nécessité de « libérer les territoires occupés de l’Azerbaïdjan ». Il est vrai que J. Kerry a jugé utile de ménager les susceptibilités de son allié turc, alors qu’il devait recommander au premier ministre Erdogan, quelques jours après, de reporter la visite qu’il avait prévue d’effectuer à Gaza début mai. Tout en s’engageant en faveur d’une médiation turque dans le processus de paix du Karabagh, les Américains se rétractent dans le dossier concernant la médiation turque dans le processus de paix israélo-palestinien, qu’ils avaient semblé encourager en obtenant il y a quelques semaines que ses alliés israélien et turc s’engagent sur la voie d’une normalisation de leurs relations. Mais devant le refus d’Israël de permettre toute médiation turque dans le problème palestinien, Washington a préféré se montrer plus discret sur cette question.

mardi 23 avril 2013,

Gari ©armenews.com

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ARMENIE/AZERBAIDJAN

Dépêche de l'APA [ 22 Avril 2013 15:55 ] - Agence de Presse d'Azerbaïdjan
Le Collectif VAN vous propose un article de l'APA (Agence de presse azérie) daté du 22 avril 2013. Les articles de ce site (écrits généralement dans un français rudimentaire) ne sont pas commentés de notre part. Ils peuvent contenir des propos négationnistes envers le génocide arménien ou d'autres informations à prendre sous toute réserve.

APA

Président de l’APCE : « L’Azerbaïdjan et l’Arménie ont une grande responsabilité »

[ 22 Avril 2013 15:55 ]

Strasbourg. Fouad Gulubayli – APA. Au premier jour de la session de printemps de l’APCE, le président de la structure Jean-Claude Mignon a tenu une conférence de presse où il a informé sur les questions à aborder lors de la session.

Répondant à la question de l’envoyé spécial de l’APA, sur la suivante rencontre des délégations azerbaïdjanaise et arménienne, M. Mignon a indique qu’au sein du Conseil de l'Europe a été une excellente occasion pour les deux pays, dans le même temps il y a une grande responsabilité sur eux. Il l’a expliqué par le fait que les deux pays assureront la présidence du Comité des Ministres du Conseil de l'Europe: « Comme vous le savez, depuis mai de cette année, l’Arménie présidera le Comité des ministres du CE pour 6 mois, et suite à l’Autriche, c’est l’Azerbaïdjan qui prendra cette tâche. C’est pourquoi, les deux pays ont une grande responsabilité. Cette responsabilité est premièrement sur l’Arménie. La cible de notre organisation créée en 1949, pour aucun guerre et aucun conflit en Europe. Mais aujourd’hui, le conflit ouvert entre deux pays membres est un phénomène paradoxal » a-t-il souligné.

Selon le président de l’APCE, la présidence du Comité des ministres du Conseil de l'Europe par ces deux pays, ça sera une occasion pour ces pays ou sera évaluée une situation de blocage ? « Je crois que si nous pouvons envoyer ces présidences vers la bonne direction, bien sûr, ça sera une bonne occasion pour notre organisation et pour les deux pays. La condition principale est que l'Azerbaïdjan et l'Arménie n'ont pas manqué l'occasion, peuvent agir comme adéquat, et réussir à établir un dialogue avec l'autre. A mon tour, je continuerai à rencontrer les représentants des deux pays et le processus de négociation entre les parties » a-t-il conclu.

http://fr.apa.az/news/19646
http://www.collectifvan.org/article.php?r=4&id=73124

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