A1.3 : Responsabilités administratives et d’animation de la recherche
J’ai commencé à assurer des activités annexes au cours de ma thèse, pendant laquelle j’ai été le représentant élu des thésards au Conseil de laboratoire.
Puis, dans le cadre des réflexions menées au sein de l’Ecole des Mines sur les évolutions à adopter, j’ai été un des membres du Comité Consultatif de Programmation de la Recherche (CCPR) mis en place, entre 1992 et 1995, au sein du Centre d’Energétique. Nous y avons notamment réfléchi sur les évolutions de la formation doctorale, sur la mise en place d’une démarche qualité au niveau de la recherche et sur le choix de nouveaux axes de recherche.
J’ai également participé à l’ensemble des réunions du groupe « Enseignement et Recherche », en 1996-1997, dans le cadre de la préparation du 1er Séminaire de Dourdan, rassemblant l’ensemble des cadres de l’Ecole des Mines de Paris.
Les dernières actions de ce type dans cet établissement ont eu pour sujet, entre 2000 et 2003, l’innovation pédagogique contenue dans l’Acte d’Entreprendre, qui oblige chaque élève de l’Ecole à mener une action d’envergure en relation avec le monde extérieur. J’ai participé à la réflexion initiale, encadré un certain nombre d’élèves, et ai été animateur d’un des groupes de réflexion, à Paris, qui suivait une vingtaine d’élèves.
Dès mon arrivée sur Albi, j’ai pris la responsabilité du suivi financier des contrats industriels du Centre de Recherche (environ 400 000 € annuels), que j’ai assurée jusqu’en décembre 2004 (intégration du Centre dans le laboratoire CNRS). Cela m’a donné le droit de participer au comité de pilotage des affaires financières de l’école.
En 2004 – 2005, l’Ecole des Mines d’Albi a mis en place une réflexion stratégique pour faire le bilan de ces 10 premières années d’existence, et pour proposer une feuille de route pour les 10 années suivantes. Dans ce cadre, 3 commissions ont été mises en place par la Direction, et j’ai été nommé animateur de la commission sur le développement économique, ou l’on a réfléchi aux méthodes qui pourrait permettre à l’école, par ses actions de formation et recherche, de participer de façon optimale au développement économique local. Cette responsabilité, très gourmande en temps de travail, m’a permis de très rapidement m’intégrer au tissu économique local, et de devenir un des interlocuteur privilégiés des décideurs dans le domaine des énergies renouvelables et de l’efficacité énergétique.
Au sein du laboratoire, je suis responsable des actions de communication, et suis membre du comité de pilotage de la communication de l’école. J’ai d’ailleurs été responsable, pour l’année 2005, du site internet du laboratoire.
Enfin, depuis le 1er janvier 2005, je suis responsable d’un des 6 axes de recherche du laboratoire, qui regroupe 5 enseignants chercheurs et une dizaine de doctorants sur des thèmes de la thermique, notamment sur les transferts radiatifs et la métrologie thermique, avec pour application le génie des procédés, notamment à haute température et solaires. En tant que responsable d’axe, je participe de droit au Comité Scientifique du laboratoire, dont le rôle est de définir la stratégie en termes d’actions de recherche.
Toutes ces activités « annexes » occupent une partie non négligeable de mon temps, environ 30 %, mais elles sont très importantes pour la pérennité de nos thématiques dans un laboratoire dominé par des spécialistes des particules.
Dostları ilə paylaş: |