5.2 : Activités actuelles (depuis 2002)
En 2002, le département SPI du CNRS a décidé de relancer un Programme Energie au sein du CNRS, sous l’impulsion de Bernard SPINNER, alors directeur de l’IMP (maintenant PROMES). 12 groupes d’analyse thématique ont alors été créés, dont un était consacré au « solaire thermique », dirigé par Alain FERRIERE, chercheur de l’IMP à Odeillo, et ancien collègue de travail sur la centrale Thémis.
Le CNRS avait ouvert son programme à un certain nombre d’équipes universitaires et de laboratoires d’école d’ingénieur, et je fus donc volontaire pour représenter le Centre d’Energétique de l’Ecole des Mines de Paris. L’Ecole des Mines d’Albi, que j’ai rejoint en 2003, était représenté par la responsable de son programme « Rayonnement et Procédés ».
Ce programme est maintenant intégré à l’axe de recherche dont je suis responsable à Albi, ce qui m’a permis de faire adopter un nouveau domaine d’application aux outils numériques qui y avaient été développés. La démarche de recherche était initialement consacrée à la modélisation des transferts radiatifs pour une meilleure compréhension des phénomènes physiques dans les chambres de combustion. Nous avons vite constaté que certains outils pouvaient très bien être adaptés aux calculs très précis des flux solaires concentrés par tout type de champ d’héliostats. Après une description rapide de la démarche qui a permis de mettre au point les outils développés, sans ma participation, je présenterai le contexte de leur adaptation aux calculs pour le domaine du solaire concentré.
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