DU CERVEAU. 36l
Des qualités négatives.
J'appelle qualités négatives, celles qui ne sont point le résultat de l'action d'une qualité fondamentale, mais qui ont lieu lorsqu'une qualité fondamentale est trop peu active, ou qu'elle ne l'est point du tout. La légèreté et l'e'tourderie existent nécessairement , lorsque l'homme manque de circonspection. Elles sont donc des qualités négatives , et ne dérivent d'aucune qualité fondamentale active. De même, la modestie, l'humilité sont la négation de la fierté. La chasteté, autant que l'homme n'éprouve point de tentations ou l'aiguillon delà chair est une qualité passive sans merke; elle ne devient vertu, que lorsque l'homme subjugue, par des motifs élevés,le penchant, l'impulsion à se jeter entre "les bras de la volupté. La modestie et l'humilité deviennent méritoires, lorsqu'elles sont l'effet d'un retour sur ses propres foiblesses et sut lesibornes de son savoir. La poltronnerie est toujours passive, ou une qualité négative. La peur est tantôt négative, tantôt positive ; le pluâ courageux a peur, lorsqu'il se voit en présence d'un ennemi ou d'un danger absolument supérieurs à ses forces. Le chien le plus dé* terminé pour la chasse recule devant les armes formidables du tigre. Ici, la peur est une affaire de calcul, la suite de la circonspection. Il n'y a qu'un degré très-énergique décourage, joint à une grande absence de circonspection qui fasse précipiter le téméraire dans un danger invincible. Mais l'homme qui a peur d'un danger, d'un ennemi, qu'avec quelque résistance il viendroit à bout de vaincre, est ua lâche, un peureux, un poltron } et ses qualités n'ont certainement pas leur source dans la circonspection.
M. Spitrzheim considère la peur comme une affection du sentiment delacirconspection.il nepensepasquele défaut de courage soit la cause de la peur, H ne peut pas comprendre qu'il y ait des qualités négatives. L'absence d'une faculté, dit-il, doit modifier les actions des autres forces, mais elle ne peut jamais produire une sensation positive. La
III.
3Ca physiologie
défaut de courage , selon lui, rend pacifique, mais il n'inspire pas la peur. Si celle-ciétoit le résultat de l'absence du courage, il ne sauroit comprendre comment quelqu'un peut être en même temps courageux et craintif. Cependant,il y a des espèces d'animaux et des hommes qui éprouvent ces deux sentimens. Le cerf est peureux et courageux.
Si l'absenee d'une faculté ne peut jamais produire une sensation, positive, M» Spurzheim a tort de regarder la peur, dans tous les cas, comme une sensation positive. Quand on dit qu'un homme ou un animal a peur, on ne veut pas toujours dire par là que, dans ce, moment,]'! est affecté de la peur, comme on est affecté de la colère ou de la frayeur.On entend dire, par cette expression , que c'est un homme ou un animal peureux, poltron; et dans ce cas, on est pi us facilement affecté de la peur, que lorsque l'on est courageux. Si le défaut de courage rendoit seulement pacifique, et qu'il n'inspirât pas la peur, en présence d'un danger, je voudrois savoir quelles sont les qualités qui en cas de défaut de l'amour physique inspirent quelquefois une aversion et même une horreur pour les femmes? Quelles sont les qualités qui en cas du défaut de talent de la musique, inspirent une aversion pour la musique? Quelles sont les qualités qui en cas du défaut d'intelligence inspirent les faux jugemens, en cas du défaut d'appétit et de forces digestives, le dégoût pour les alimens ? Comment M. Spurzheim, dans son hypothèse, peut-il concevoir la haine, la médisance, la cruauté, la démence, puisqu'il n'y a point de force fondamentale ni pour la haine, ni pour la médisance, ni pour la cruauté, ni pour la démence? Moi je conçois tous ces phénomènes très-facilement. Les choses du dehors ne nous procurent du plaisir, qu'autant qu'il existe entre elles et nous des points de contact établis par les organes cérébraux. C'est pourquoi, dans l'âge de la force et avec une santé florissante, mille choses nous font plaisir, nous ravissent, qui dans la diminution des forces nous sont indifférentes, ou même nous inspiient de l'aversion jusqu'à produire, dans un abattement total, le dégoût de la vie et le penchant au suicide. Lorsqu'il n'existe plus pour nous des points de contact avec certaines choses, elles ne se trouvent plus en harmonie
DU CEBVEXU. 363
avec nous, et il en résulte de l'éloignemcnt, de l'aversion. Qui n'a pas fait l'expérience que la satiété de certaines jouissances n'entraîne pas seulement l'indifférence , mais un véritable dégoût pour les mêmes objets qui, peu auparavant, étoientle but de nos vœux les plus ardens ? De la même manière, lorsque nos membres sont épuisés de fatigue, nous éprouvons de 1 aversion pour le travail. On peut dire avec M. de Bonald, que ceux dont le goût répugne à la métaphysique, aux mathématiques, etc., sont des instrumens qui n'ont pas toutes leurs cordes.
Enfin, si la circonspection étoit la source de la peur, les étourdis devroient toujours être exempts de ce sentiment, et l'on seroit d'autant plus peureux qu'on seroit plus circonspect, chose que nous voyons constamment démentie par l'expérience. M. Spurzheim ne peut pas comprendre comment quelqu'un pourrait être en même temps courageux et craintif, si la peur étoit le résultat de l'absence du courage. Pourquoi M. Spurzheim néglige-t-il ici le principe sur lequel dans d'autres endroits il insiste si fort avec raison, savoir : Que les actions sont rarement le résultat d'un seul organe? Si cela est, j'ai déjà répondu à cette partie de son objection , quand j'ai dit que les animaux et les hommes les plus courageux ne manquent pas pour cela de la faculté de mesurer leurs forces avec celles de leurs ennemis. Des armées nombreuses, composées d'hommes reconnus pour courageux, ont eu des atteintes de crainte ; l'intrépide Romain n'a-t-il pas aussi sacrifié à la Peur?
CONCLUSION.
J'ai démontré que toutes les qualités que j'ai exposées jusqu'ici, sont des qualités fondamentales, que chacune se manifeste au moyen d'un organe particulier, dont j'ai indiqué et prouvé le siège par une multitude de preuves de toute espèce. Les signes caractéristiques, établis avant cette exposition des organes et de leurs fonctions, comme essentiels aux qualités et aux facultés primitives , se trouvent renais, ou au moins en partie dans chacune.
364 PHYSIOLOGIE
Elles ne se développent, ni ne diminuent à la même époque que les autres.
Chacune des qualités exposées peut être, dans le même individu , plus ou moins active que les autres.
Chacune peut être seule active, tandis que les autres sont paralysées; et chacune peut se trouver paralysée, tandis que toutes les autres subsistent dans leur intégrité.
La plupart de ces qualités se manifestent d'une manière différente dans les deux sexes.
Béunies toutes dans l'homme, elles se trouvent dispersées et isolées dans les diverses espèces d'animaux.
Chacune de ces qualités fondamentales devient donc une nouvelle preuve des propositions que j'ai posées comme principes indispensables de la physiologie du cerveau ; c'est-à-dire :
Que toutes nos dispositions sont innées;
Que leur manifestation exige des conditions matérielles;
Que le cerveau est l'organe de toutes les qualités et facultés de l'âme;
Que le cerveau est composé d'autant d'organes, qu'il y a de qualités et de facultés essentiellement différentes;
Que dans l'état de santé , et jusqu'à l'âge de la vieillesse, on peut connoître à la surface du crâne ou de la tête le plus ou moins grand développement d'un organe, et le degré d'activité de sa fonction.
Voilà donc les principes qui d'abord ont été prouvés par eux-mêmes , démontrés aussi par les faits particuliers, caractère irrécusable de la vérité d'une doctrine.
Enfin , il est encore prouvé que toutes les qualités affectives, les pen-chans et les sentimens ont leurs organes dans le cerveau.
Comme l'ensemble de toutes ces qualités constitue ce que l'on appelle qualités appétitives, on voit pourquoi ceux qui ont eu quelque pressentiment de la pluralité des organes, n'ont pu trouver un organe unique pour la taculté ou qualité générale appetitive. Ainsi, le reproche que j'ai fait sous ce rapport aux philosophes , se trouve justifié.
DU C E R V t A U. ' 365
Chacune de ces qualités constitue chez les animaux nn instinct particulier ; il n'étoit donc pas non plus possible d'expliquer les actions des animaux par l'instinct en général, ni de trouver un organe unique pour l'instinct.
Selon que chacune de ces qualite's se manifeste avec plus ou moins d'énergie, il en résulte ce que l'on désigne par les noms de dispositions, d'inclination , de penchant, de désir, de besoin , de passion ; c'est-à-dire que chaque qualité fondamentale est susceptible de ces différens degrés de manifestation. Par conséquent il faut admettre autant de dispositions , d'inclinations, de penchans , de désirs, de besoins , de passions, qu'il y a de qualités fondamentales ou primitives. II.s'ensuit en même temps que l'on chercheroit en vain d'autres organes pour les inclinations, les penchans, les désirs , les besoins et les passions, que ceux qui président aux qualités fondamentales. Ces considérations détruisent entièrement toutes les rêveries des philosophes et des physiologistes sur les instincts, les penchans et les passions. Je ferai ressortir encore avec plus de clarté et d'évidence, ces mêmes propositions, quand, vers la fin du quatrième volume, j'exposerai l'ensemble d'une philosophie qui découle naturellement de la physiologie du cerveau.
Les dix qualités fondamentales, prouvées et exposées eu détail dans ce volume, n'appartiennent pas à l'homme seul; elles existent également dans les différentes espèces d'animaux. Je n'ai donc traité de l'homme, qu'autant qu'il est encore animal. Mais comme ces diverses qualités sont dispersées parmi les animaux, et que dans aucune espèce elles ne se trouvent réunies, l'homme est nécessairement déjà, sous ce point de vue, l'animal le plus parfait. Chacune de ces qualités est un fragment de son essence, une partie de son caractère moi\il. Ainsi nous entrevoyons comment, de fragment en fragment, l'homme se compose. Ceux qui ont pu me suivie, sont certainement convaincus que ce n'est qu'en étudiant l'homme dans chacune de ses parties, qu'on peut parvenir à la connoissance claire et complète de tout son être moral et intellectuel.
Dans le quatrième volume, je continuerai cette même analyse pour
3(.G PHYSIOLOGIE DU CEKVEAU.
les facultés intellectuelles , et je finirai l'exposé des organes et de leurs fonctions par les sentimens et les facultés qui lui appartiennent exclusivement, qui le mettent au-dessus de tout animal, qui lui donnent la raison, le pressenlimcut de son créateur, en un mot, le caractère de l'humanité.
FIX DU TROISIEME VOLUME.
367
TABLE
DES MATIERES
CONTENUES DANS CE VOLUME.
préface. Page j
section I. De ïinfluence du cerveau sur Informe du crâne} ou examen de la question : Dans quelles circonstances peut-on tirer, de la forme extérieure du crâne ou de la täte, des inductions relatives au degré de développement du cerveau tout entier, ou de quelques-unes de ses parties, et par conséquent juger le degré des dispositions morales et intellectuelles , par l'examen de la forme extérieure
du crâne ou de la tête? l
Aperçu de l'ostéologie du crâne, en tant qu'elle est nécessaire pour que l'on puisse comprendre l'influence que le cerveau exerce sur
cette partie osseuse 5
Influence du cerveau sur le crâne avant la naissance. ...... j
La forme des cerveaux et des crânes variç originairement 8
La forme de la tête peut-elle être modifiée, soit pendant le passage de l'enfant, soit arbitrairement par des compressions ou des ma-
laxations? ibid.
Influence du cerveau sur le crâne depuis la naissance jusqu'à l'âge
adulte. i2
Influence du développement de parties cérébrales individuelles sur
la forme de la tête 15
Coïncidence de la surface du cerveau avec la sur/ace externe du
crâne, dans l'âge stationnaire, sous le rapport de l'organologie. 17
Observations sur l'examen des têtes et des crânes des animaux. . . a(j
De l'influence tlu cerveau sur la forme du crànfr dans le déclin de
l'âge. . , / , ï27
368 TABLE
Page Réponse à quelques objections contre l'influence du cerveau sur la
forme du crâne, dans l'e'tat de santé Si
De l'influence du cerveau sur la forme et sur la contexture du crâne
dans l'état de maladie 38
Influence du cerveau sur le crâne, dans les cas de conformation
originairement défectueuse du cerveau ibid.
Influence du cerveau sur la forme du crâne dans l'hydrocéphale. . 4l
Influence du cerveau sur le crâne clans les maladie* mentales. . . 44
Influence du cerveau sur le crâne dans les cas où certaines parties
cérébrales sont plus malades que d'autres 48
Influence du cerveau sur le crâne dans les sujets qui ont un penchant
au suicide 5i
Influence du cerveau sur le crâne, dans les lésions du crâne, et
dans certaines maladies des méninges 52
section II. Sur tes fondions des parties cérébrales 55
Historique de la découverte des fondions ce'rébrales ibid.
Premier moyen. ...". . . 58
Deuxième moyen, contre-épreuve 62
Troisième moyen, , 63
Quatrième moyen. 65
Cinquième moyen. '. 66
Observations sur les moyens ci-dessus de découvrir les facultés et
les qualités fondamentales , ainsi que le siège de leurs organes. . 68
Moyens de découvrir les qualités et les (acuités fondamentales, ou
les forces fondamentales de l'âme , ainsi que leur siège. Con
tinuation. 70
Sixième nioven - . .......... tbid.
Septième moyen. 73
IJuiùème moyen ,. 77
De quelques autres moyens. ihnl.
Détermination de l'idée de faculté ou qualité fondamentale, oie. . 80
Description du cerveau, de la tête et du crâne, en tant que lu cou
noissance en est nécessaire pour l'intelligence de eu oui suit. . . 83
Des, os qui ibrnicnt la boîte osseuse de l'tncéphale. ,...,. 8j
DES MATIÈRES. 69
Page Des temporaux. ....«.«.« ..,. ibid.
Du basilaire . ibid.
De l'occipital V ibid-
Des pariétaux. ..»...,... -.. ibid*
Du frontal. . 84
section lu. Détermination des forces fondamentales , des qualités et des
facultés primitives, et du siège, de leurs organes 85
I. De l'instinct de la propagation ibid.
Historique de la découverte que le cervelet est l'organe de l'instinct
- de la propagation 86
Preuves, prises de l'état de santé, que le cervelet est l'organe de
l'instinct de la propagation .,....»... 89
Observations générales sur l'organe de l'instinct de la propagation,
et sur cet instinct lui-même, dims l'état de santé' ioo
Preuves, prises de l'état de maladie, en faveur de l'assertion que le
cervelet est l'organe de l'instinct de la propagation 108
Influence de la castration sur le cervelet. ibic1.
Influence de la castration unilatérale sur le cervelet 112
Influence dp la lésion des parties sexuelles sur le cervelet. ... n3
Influence des lésions du cervelet sur les parties génitales nß
Influence des maladies du cervelet sur les parties génitales, et prin
cipalement sur l'instinct de la propagation. Manie erotique. . . 132
Observations sur l'activité ou l'inaction de l'inslinct de la propa
gation dans l'idiotisme .- i3r
L'instinct de la propagation survit à la destruction des parties génitales, et subsiste dans l'absence décès parties. ...... i35
Maladie particulière du cervelet -.... i3-r
Observation philosophique. . . * ibid.
II. Amour de la progéniture 158
Historique de la découverte de l'amour de la progéniture et de son
organe , . . * ,.Jg
Histoire naturelle de l'amour de la progéniture - . . . . 1/.o
Opinions des savans sur les causes de l'amour de la progéniture. . 146 De l'amour de la progéniture et des effets de son plus ou moins de
m. 47
3yO TABLE
Page
développement, continuation. . t 162
Chez l'homme ; . t ; ibid.
Aliénation de l'amour de la progéniture. .......... i5jl
Du siège et de l'apparence extérieure de l'organe de l'amour de la ' progéniture-chez les animaux. ......... .... 160
Remarque générale sur l'instinct de la propagation, et sur l'amour
de la progéniture >.... 164
Influence de la castration Suc l'organe de l'amour de la progé
niture ibid: '
III. Attachement amitié. 166
Histoire naturelle de l'attachement et de l'amitié chez l'homme
et chez les animaux 167
Sur le mariage, chez l'homme et chez les animaux 169
Aliénation de l'attachement 174
Delà sociabilité, tant de l'homme que des animaux 175
Du siège et de l'apparence extérieure de l'organe de l'attachement. 177
IV. Instinct de la défense de soi-même et de sa propriété, amour
des rixes et des combats: . 179
Historique de la découverte 180
Histoire naturelle de l'instinct de la défense de soi-même et de sa
propriété ï . . 182
Aliénation de cet instinct. ................. 187
Qualité fondamentale de l'amour des rixes et des combats. ... 130
Cause criminelle d'un nommé H**, assassin de deux personnes. . . 224
Du siège de l'organe de la défense de soi-même et de sa propriété, iga
Opinion de quelques autres physiologistes sur l'origine du courage. ig4
De la poltronnerie - ing
V. Instinct carnassier, penchant au meurtre ibid.
Historique de la découverte de cet instinct et de son organe. . . ibid. Histoire naturelle de l'instinct du meurtre chez les animaux. . . 201 Apparence extérieure de l'organe de l'instinct carnassier et siège de
cet organe chez les animaux 204
Histoire naturelle de l'instinct carnassier dans l'homme 209.
Penchant au meurtre, avec une débilité d'esprit 217
DES MATIÈRES. 71
Page
Penchant a« meurtre dans la manie 7 r ' ibid.
Continuation de l'instinct du meurtre dans l'état de l'aliénation
mentale 241
Des incendiaires . . . 244
Quelle estla qualité fondamentale du penchant au meurtre. . . . 24
Siège de l'organe carnassier, et apparence extérieure de cet organe
dans le crâne de l'homme « . ". 249
VI. Ruse, finesse, sa voir faire 260
Historique ibid,
Histoire naturelle de la ruse chez les animaux et chez l'homme. . . 261 Siège de l'organe de la ruse, et caractère par lequel il se manifeste
à l'extérieur . . . T . . . . 263
VII. Sentiment de la propriété. Instinct de faire des provisions/Con-
voitise. Penchant au vol. ...» 267
Historique ibid.
Histoire naturelle du penchant à voler 270
Histoire naturelle du penchant au vol dans l'état de maladie, avec
foiblesse d'esprit très-marquée 27$
Histoire naturelle du penchant au vol dans la manie 297
Sur le sentiment inné de la propriété 280
La propriété est une institution de la nature die/, les animaux. . 281 La propriété est une institution de la nature chez l'homme. . . 283 C'est le sentiment de la propriété ou le penchant à faire des provisions, qui estla qualité fondamentale à laquelle se iattache le
penchant au vol 288
Siège et apparence extérieure de l'organe de la propiiété et du port-
chant à faire des provisions. Modifications de la mauifeslalion
de cet organe 3gg
VIII. Orgueil, hauteur, fierté, amour tie l'autorité, élévation. . . 296
Historique t'fo-j.
Histoire naturelle de l'orgueil, de la hauteur, de la bonne opiirou
de soi-même, dans l'étal de santé - .... 207
Orgueil, fierté, hauteur, amour de l'auloiité clans, l'état de maladie. Soi
Siège et apparence cxltiiieure de l'organe de l'oigucil 30
3T3 TABLE DES MATIÈRES.
Page
Sur l'instinct qui dinge les animaux dans le choix des lieux qu'ils
habitent 3n
Apparence extérieure de l'organe des hauteurs chez les animaux. . 3i3 Existe-t-il une analogie entre l'instinct des hauteurs chez les animaux , et l'orgueil ou la fierté chez l'homme?...-.... 315
IX. Vanité, ambition, amour de la gloire 522
Historique ibid.
Histoire naturelle de la vanité, de l'ambition dans l'homme. . . 3a3
Vanité, amour de l'approbation chez les animaux 3a8
Aliénation de la vanité 3ag
Siège de l'organe de la vanité, et apparence extérieure de cet organe, ibid.
X. Circonspection, prévoyance 33a
Historique. , , ibid.
Histoire naturelle de la circonspection chez l'homme 35 r
Circonspection dans l'état de maladie 534
Siège et apparence extérieure de l'organe de la circonspection. . 338 Encore quelques considérations sur le suicide et sur l'une des« causes
de ses rechutes et de sa périodicité 34l,
Organe de la circonspection. Continuation 3SG
Histoire naturelle de la circonspection chez les animaux, et apparence
extérieure de son organe chez eux ibid,
Des qualités négatives. 361
Conclusion ., . 562
FIN DE LA TABLE DO TROISIEME VOLUME.
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