Annexes budgétaires



Yüklə 4,78 Mb.
səhifə36/44
tarix26.10.2017
ölçüsü4,78 Mb.
#14958
1   ...   32   33   34   35   36   37   38   39   ...   44

(1) cf. commentaires ci-après

L’information définitive relative aux comptes financiers des établissements sera disponible lors de la remontée des réponses fournies par l’enquête annuelle envoyée par le MESR en parallèle de la campagne des RAP. 



Compte de résultat des Écoles d’ingénieurs RCE (en milliers d’euros)



Tableau de financement abrégé des Écoles d’ingénieurs RCE (en milliers d’euros)



Recettes (RCE+non RCE)



Recettes (RCE)



Répartition des dépenses par nature





Répartition des recettes par origine




Dépenses 2010 DE L’OPÉRATEUR par destination

Avertissement : Les dépenses 2010 présentées par destination n’incluent pas les charges non décaissables comme les amortissements et les dépréciations d’actifs.






(en milliers d’euros)

Destination

Personnel

Fonctionnement

Intervention

Investissement

Total

Prévision
Consommation
















101 Formation initiale et continue du baccalauréat à la licence

28 695

12 636




2 624

43 955




4 378

5 034




383

9 795

102 Formation initiale et continue de niveau master

143 730

48 082




21 866

213 678




183 311

47 097




18 382

248 790

103 Formation initiale et continue de niveau doctorat

8 021

3 307




420

11 748




5 833

2 068




247

8 148

105 Bibliothèques et documentation

5 134

5 989




647

11 770




4 533

6 117




322

10 972

106 Recherche universitaire en sciences de la vie, biotechnologies et santé

12 693

10 284




11 736

34 713




13 310

5 200




8 376

26 886

107 Recherche universitaire en mathématiques, sciences et techniques de l’information et de la communication, micro et nanotechnologies

48 670

28 693




15 178

92 541




45 180

16 160




7 494

68 834

108 Recherche universitaire en physique, chimie et sciences pour l’ingénieur

81 889

58 655




48 381

188 925




75 160

37 227




30 005

142 392

109 Recherche universitaire en physique nucléaire et des hautes énergies

759

492




221

1 472




804

326




252

1 382

110 Recherche universitaire en sciences de la terre, de l’univers et de l’environnement

3 047

350




529

3 926




2 362

387




928

3 677

111 Recherche universitaire en sciences de l’homme et de la société

4 191

1 703




656

6 550




2 883

694




87

3 664

112 Recherche universitaire interdisciplinaire et transversale

11 160

5 910




2 738

19 808




4 247

1 909




765

6 921

113 Diffusion des savoirs et musées

411

1 390




153

1 954




210

1 162




207

1 579

114 Immobilier

12 402

64 224




94 563

171 189




9 022

56 692




32 907

98 621

115 Pilotage et animation du programme de l’établissement

69 229

55 543




10 101

134 873




63 672

59 580




8 838

132 090

201 Aides directes

35

6 086







6 121




27

4 259




3

4 289

202 Aides indirectes

1 184

21 043




2 466

24 693




1 179

21 050




2 426

24 655

203 Santé des étudiants et activités associatives, culturelles et sportives

2 956

2 949




447

6 352




2 682

2 708




307

5 697

Destinations autres programmes


































Total des crédits prévus

434 206

327 336




212 726

974 268

Total des crédits consommés

418 793

267 670




111 929

798 392



Répartition des dépenses par destination

CONSOLIDATION DES EMPLOIS DE L’OPÉRATEUR






Réalisation 2009
(1)

Prévision 2010
(2)

Réalisation 2010



Emplois (ETP) rémunérés par l'opérateur

3 309

5 999

6 858

- sous plafond

1 718

4 833

5 222

- hors plafond

1 591

1 166

1 636

dont contrats aidés







23

Autres emplois (ETPT) en fonction dans l’opérateur

9 385

6 357

6 473

- rémunérés par l'État par ce programme

9 333

6 357

6 473

- rémunérés par l'État par les autres programmes de rattachement

52







(1) La réalisation 2009 reprend la présentation du RAP 2009.

(2) La prévision 2010 fait référence aux plafonds des autorisations d'emplois votés en Loi de finances initiale 2010 ou, le cas échéant, en Loi de finances rectificatives 2010.





Analyse des résultats







Cette catégorie d'opérateurs regroupe les écoles d’ingénieurs publiques sous tutelle du ministre chargé de l’enseignement supérieur, bénéficiant de la personnalité morale et de l’autonomie pédagogique et financière.

Ces établissements peuvent être également regroupés selon une classification réglementaire :



Les établissements publics à caractère scientifique, culturel et professionnel (EPSCP) :

- 2 instituts nationaux polytechniques (INP de Lorraine, INP de Toulouse) ;

- 14 écoles et instituts extérieurs aux universités (articles L. 715-1 à L. 715-3 du code de l’éducation), dont 5 instituts nationaux des sciences appliquées (INSA Lyon, Rennes, Rouen, Toulouse, Strasbourg), 4 écoles centrales (Lille, Lyon, Nantes et Marseille), 3 universités de technologie (UT Belfort-Montbéliard, UT Compiègne, UT Troyes), 2 autres EPSCP (ISMEP « Supméca » et ENSAIT Roubaix) ;

- 3 grands établissements (École nationale supérieure d’arts et métiers (ENSAM) ; École centrale des arts et manufactures (ECAM Paris) ; Institut polytechnique de Grenoble (IPG qui a succédé à l’INP de Grenoble par décret du 8 mars 2007).



Les établissements publics à caractère administratif (EPA) :

- 13 écoles nationales supérieures d’ingénieurs (ENSI), rattachées à un EPSCP ;

- 5 écoles nationales d’ingénieurs (ENI), dont 4 sont rattachées à un EPSCP ;

- 3 autres EPA autonomes.



Et deux associations, Supélec et l’Institut d’optique théorique et appliquée (IOTA).

Les missions

De façon générale, les missions dévolues aux écoles d’ingénieurs sont les suivantes :

- la formation initiale et continue des ingénieurs ;

- le développement de la recherche scientifique et technologique, ainsi que la valorisation de ses résultats ;

- la diffusion de l’information scientifique et technique ;

- la coopération internationale.

De manière générale, on note, ces dernières années, une forte ouverture à l’international sous forme d’échanges d’enseignants, d’étudiants et de conventions avec les établissements étrangers, ainsi qu’une implication renforcée des activités recherche.

L’articulation avec les actions du programme

Les missions de ces établissements sont principalement rattachées aux actions relatives à la formation initiale et continue ainsi qu'à la recherche et la diffusion des savoirs du programme 150 « Formations supérieures et recherche universitaire ».

Elles relèvent de l’action 2 « Formation initiale et continue de niveaux Master », l’action 3 « Formation initiale et continue de niveaux Doctorat », et les actions liées à la recherche (actions 6 à 12).

Les actions transversales du programme (immobilier, pilotage et support du programme) comportent également des crédits destinés à ces établissements.

Au sein du programme 231 « Vie étudiante », ces établissements relèvent de l’action 3 "Santé des étudiants et activités associatives, culturelles et sportives ".

Les liens avec la tutelle ministérielle

Les liens entre les établissements et le ministère relèvent essentiellement de la politique contractuelle (tous les établissements de cette catégorie disposent d'un contrat quadriennal avec l’État) et des procédures d’habilitation nationale des diplômes (diplômes d’ingénieur, masters, formations doctorales).

En tant qu’opérateurs, les écoles concourent à la plupart des objectifs identifiés au sein des programmes
« Formations supérieures et recherche universitaire » et « Vie étudiante ».

Les écoles d’ingénieurs EPSCP peuvent demander à bénéficier des responsabilités et des compétences élargies en matière budgétaire et de gestion des ressources humaines, définies par la loi relative aux libertés et responsabilités des universités, être habilités à créer une fondation partenariale et à bénéficier du transfert des biens mobiliers et immobiliers appartenant à l’État qui leur sont affectés ou sont mis à leur disposition.



En termes de stratégie, le rapprochement souhaité entre les universités et les grandes écoles se poursuit par la voie d’une intensification des coopérations.

Les collaborations universités/écoles existent déjà depuis de nombreuses années, notamment dans le cadre de l’harmonisation européenne des diplômes (LMD) qui a permis l’émergence d’une politique de sites fondée sur le développement de la délivrance commune de diplôme et de la recherche partagée (offre commune de masters, reconnaissance de laboratoires communs, accréditation commune d’écoles doctorales) et sur un rapprochement pragmatique entre les institutions, notamment grâce à la politique de contractualisation.

Les nouveaux outils créés par la Loi de programme pour la recherche - PRES, RTRA, réforme des études doctorales - contribuent à renforcer et accélérer le rapprochement entre les différents acteurs, quels que soient le statut ou la tutelle des établissements.



Ecoles françaises à l’étranger







Yüklə 4,78 Mb.

Dostları ilə paylaş:
1   ...   32   33   34   35   36   37   38   39   ...   44




Verilənlər bazası müəlliflik hüququ ilə müdafiə olunur ©muhaz.org 2024
rəhbərliyinə müraciət

gir | qeydiyyatdan keç
    Ana səhifə


yükləyin