ISOCLIM
Titre du projet
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La signature isotopique des bryophytes comme enregistreur spatial et temporel du changement climatique dans les Pyrénées
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Acronyme
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ISOCLIM
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Mots clés (5 à 10)
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Isotopes stables, bioindicateurs, milieux aquatiques, Transfrontalier, Pyrénées, Climat, Spatial, temporel
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Nom du coordinateur scientifique
Titre, Fonction
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Isabelle Le Hécho
Dr HDR, Directeur du LCABIE
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Organisme
Adresse
Téléphone
Email
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Université de Pau et des Pays de l’Adour (UPPA)
IPREM / LCABIE
2 av P. Angot 64000 Pau
05 59 40 76 72
Isabelle.lehecho@univ-pau.fr
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Organisme(s) et Laboratoire(s) impliqués dans le projet
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UPPA – IPREM/ LCABIE BIOTOPE
2 av. P. Angot 64053 Pau cedex 9
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Organisme(s) gestionnaire(s) des crédits
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Université de Pau et des Pays de l’Adour
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Coût prévisionnel total (TTC) et montant de l’aide demandée (TTC)
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351 114 € HT
97 000 € HT
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Cofinancements assurés et/ou prévus (TTC) (y compris autres que nationaux)
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Acquis : 122 637 € HT
Autofinancement : 131 477 € HT
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Durée (24 mois minimum – 36 mois maximum)
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36 mois
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Résumé
L’enjeu du projet ISOCLIM consiste a developper un indicateur integre permettant de caracteriser les vulnerabilites, de suivre les variations environnementales, et de distinguer les effets naturels des effets anthropiques. Cet indicateur permettra ainsi d’evaluer les impacts du changement climatique et les strategies d’adaptation mises en place. Pour cela, l’entreprise BIOTOPE et le LCABIE (laboratoire de recherche a l’Universite de Pau et des Pays de l’Adour) ont constitue un consortium de partenaires specialises en chimie et en biologie. Au cours de ce projet, ils travailleront conjointement sur le developpement d’une nouvelle methodologie basee sur les signatures isotopiques du carbone (C), de l’azote (N) et de l’oxygene (O) dans les bryophytes aquatiques et subaquatiques. Cette methodologie sera appliquee sur un transect nord--‐sud qui compte 4 des 5 regions climatiques identifiees dans les Pyrenees entre Oloron Ste Marie (64 – France) et Jaca (Province de Huesca, Espagne). Ce nouvel outil permettra d’identifier les sources, anthropiques et naturelles, impactant les cours d’eau, et constituera ainsi une aide pour les decideurs dans l’evaluation des strategies d’adaptation au changement climatique. Ce projet donnera lieu a l’elaboration d’un livret guide presentant des fiches conseil pour l’identification d’indicateurs biologiques et l’utilisation des outils analytiques adequates, afin de permettre a un public non specialiste de faire un diagnostic rapide de la qualite de l’eau. Cet outil pedagogique contribuera a sensibiliser la societe au changement climatique et a l’adaptation au changement climatique.
MUDES
Titre du projet
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MUtualisation des Données spatiales et socio-environnementales pour l’Etude de la vulnérabilité des riveS camerounaises du lac Tchad à la désertification.
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Acronyme
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MUDES
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Mots clés (5 à 10)
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Observation spatiale, données SIG, lac Tchad, désertification, rives camerounaises, changement climatique, impacts socio-environnementaux
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Nom du coordinateur scientifique
Titre, Fonction
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Prof. Sébastien GADAL
Professeur des Universités
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Organisme
Adresse
Téléphone
Email
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CNRS ESPACE UMR 7300
Technopôle de l’Environnement Arbois-Méditerranée / Domaine du petit Arbois - Bât. Laennec Avenue Louis Philibert BP 80 13545 Aix-en-Provence Cedex 04.
sebastien.gadal@univ-amu.fr
www.umrespace.org
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Organisme(s) et Laboratoire(s) impliqués dans le projet
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1. CNRS ESPACE UMR 7300
2. Laboratoire de Botanique, Mycologie et Environnement, Faculté des Sciences, Université Mohammed V Rabat (LBME);
3. GTE/Sahel
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Organisme(s) gestionnaire(s) des crédits
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CNRS ESPACE UMR 7300
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Coût prévisionnel total (TTC) et montant de l’aide demandée (TTC)
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100 000 85 000
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Cofinancements assurés et/ou prévus (TTC) (y compris autres que nationaux)
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15 000
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Durée (24 mois minimum – 36 mois maximum)
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36 mois
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Résumé
Durant ces dernières décennies, les contraintes liées aux perturbations climatiques et à la pression démographie ont fortement contribué à la mise en place et à l’expansion du phénomène de désertification dans la région du lac Tchad. En réponse à ces perturbations, l’augmentation des pressions sur les ressources naturelles incarne l’une des formes les plus répandue et les plus accessibles d’adaptation. Par conséquent, l’étude du processus de désertification demande une bonne analyse des facteurs de désertification en plus de la quantification et la caractérisation des indicateurs de ce phénomène. A cet effet, les liens de causalité entre les dégradations environnementales découlant de la manifestation des facteurs de désertification sont à établir.
Ce travail consiste donc à renforcer les connaissances de base sur l’ampleur géographique du phénomène de désertification sur les rives camerounaises du lac Tchad. Il est également question de palier aux incertitudes concernant la quantification soignée de la nature, la gravité et l’extension du phénomène de désertification dans cette région.
A cet effet, l’étude va permettre à terme d’une part de cartographier la vulnérabilité des rives camerounaises du lac Tchad à la désertification en fonction des différents indicateurs de désertification agissant dans la région. D’autre part elle servira d’outil d’aide de planification et de prise de décision pour les organisations et gestionnaires des ressources naturelles et les bailleurs de fonds.
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