A partir de 1988, Žgalement :
- devant la difficultŽ pour le Ministre de la Culture d'abonder seul ce travail,
- devant l'intŽrt dŽclarŽ et rŽel des responsables scientifiques
- devant la demande explicite du directeur de laboratoire, reconnaissant cette recherche et cherchant ˆ la faire collaborer avec les autres axes du laboratoire,
- en accord avec son conseil d'administration, bien conscient cependant du danger de dŽrive du programme et des missions (AST) du groupe,
l'ACROE entreprend une diversification de ses contrats de recherche.
-> Contrats en robotique d'intervention planŽtaire (le vŽhicule Rocky IV martien Žvoluant sur les terrains sabloneux a ŽtŽ simulŽ par l'ACROE dans un contrat avec le CNES)
-> Contrats "informatique fondamentale"
-> Contrats "interaction Homme-Machine"
Ces contrats "alimentaires", dŽcadrŽs par rapport aux missions de l'ACROE, ont juste permis ˆ l'Žquipe de subsister, c'est ˆ dire de diffuser ses compŽtences. Ils n'ont aucunement amŽliorŽ la pŽrennitŽ ni les possibilitŽs de dŽveloppements de l'Žquipe, car, MALGRƒ L'AUGMENTATION de crŽdibiLItŽ "scientifique"
-> pas de postes supplŽmentaires -> pas de crŽdits supplŽmentaires pour dŽvelopper en laboratoire un successeur au CRM ˆ retour d'effort -> pas davantage de succs de l'entreprise de valorisation
En parallle, dŽp™t de divers dossiers pour obtenir des crŽdits pour poursuivre les dŽveloppements nŽcessaires ˆ une industrialisation (fiabilisation et optimisation du dispositif).
-> accueil favorable, mais dossier toujours non prioritaire (!) -> l'ACROE entreprend son travail sur ses propres ressources (financement d'un thŽsard sur fonds propres)
En 1994, aprs sa thse sur le geste ˆ l'ACROE, Christophe Ramstein part au Canada et y dŽveloppe un systme ˆ retour d'effort aujourd'hui commercialisŽ, "Mouse-Cat".
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