Recentrer la rédaction sur une traduction / adaptation du référentiel ANZILF. Une création de référentiel déconnectée des modèles examinés lors de la séance précédente a peu de chance de pouvoir aboutir dans des délais acceptables et de trouver un consensus rapide au sein de la commission. Par ailleurs, il semble essentiel de s’appuyer sur un ou des référentiels éprouvés et validés. Hors compte rendu : les écarts ou ajouts sont autorisés (et sans doute parfois nécessaires) mais ils devront s’accompagner d’un commentaire justifiant cette modification pour faciliter les échanges en séance.
Supprimer toute énumération dans les rédactions qui entraîne un glissement du référentiel vers une approche séquentielle, en contradiction totale avec le caractère itératif de la démarche : travailler par blocs, et reprendre finalement les catégories neutres adoptées par la plupart des référentiels de compétences informationnels :
Niveau 1 : la compétence (pas de numérotation)
Niveau 2 : les résultats attendus : opter ensuite pour la proposition de Christine Balliet « l’étudiant doit être capable de… »
Niveau 3 : exemples (mise en situations pédagogiques). Peut être rattaché uniquement aux items, une liste d’exemples par sous items pouvant s’avérer fastidieuse et rendre difficile la lecture du document.
Le nombre de compétences listées est réduit à 4 :
Identifier et caractériser un besoin d’information
Évaluer de façon critique l’information obtenue (sources et résultats)
Produire et communiquer ses résultats
La rédaction sous forme de savoirs/savoir faire/savoir être sera envisagée à l’issue de la production du référentiel, sans doute sous la forme d’une compétence générique intégrée au contenu rédactionnel accompagnant le référentiel. Cela permettra sans doute de faire ressortir également les compétences annexes ou pré-requis.
– Proposition de modèle de rédaction proposé (hors compte rendu) :
Rédaction simple de chaque compétence, suivi de la liste des items. Ensuite, développer chaque item avec les exemples et les sous items (un peu à la manière de la contribution de Christine Bailleul.