Commission Pédagogie et documentation
Réunion. Paris, Bibliothèque Sainte Barbe, vendredi 25 novembre 2011, 10h-17h
Animateurs
Présents : Pierre-Yves Cachard (SCD Le Havre), Yann Marchand (SCD Strasbourg)
Excusée : Sandrine Gropp (BIU Montpellier),
Membres
Présents : Christine Balliet (SCDU Nancy 2), Perrine Cambier-Meerschman (SCDU Lille 2), Hélène Chaudoreille (SCDU Paris 3), Monique Joly (SCD INSA Lyon),
Christophe Pérales (SCD UVSQ), Brigitte Renouf (SCDU Saint-Étienne), Louis De Carbonnières (Université Lille 2), Catherine Duffau (Université Paris 3 Censier) ,Emilie Douadi (SCDU Franche Comté), Marie-Pierre Thevenot (SCDU Mulhouse)
Excusés : François-Xavier André (Université Paris 3), Hélène Josse (Université Paris 3 Censier), Annie Schaller (SCDU Mulhouse)
1 – Rappel sur les objectifs de la réunion et la méthode de travail proposée :
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L'objectif de cette réunion est de passer en revue les 5 blocs de compétences déterminées lors de la réunion du 08 septembre 2011 :
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Compétence 1 : Identifier et caractériser un besoin d’information
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Compétence 2 : Accéder aux informations adaptées avec efficience
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Compétence 3 : Évaluer de façon critique l’information obtenue (sources et
résultats)
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Compétence 4 : Exploiter et organiser les informations sélectionnées
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Compétence 5 : Produire et communiquer ses résultats
Cet examen se fera sur la base des propositions remontées par les binômes volontaires.
L'objectif n'est pas de parvenir à ce stade à une formulation définitive et figée. Il est rappelé cependant que le cadre choisi est celui du référentiel ANZILF Australian and New Zealand Information Literacy Framework, avec 3 niveaux de découpage : compétence (standard), objectifs d’apprentissage/résultats attendus (learning outcomes), exemples.
La déclinaison des compétences en listant des savoirs, savoirs faire et savoirs être, proposée en septembre 2011 par Brigitte Renouf de façon à rapprocher le résultat des principes de production de référentiel est pour l’instant écartée, le résultat ayant paru perdre le caractère très opérationnel des référentiels de compétences informationnelles existants et poser certains problèmes de rédaction. A l’issue de la réalisation de ce référentiel, cette présentation pourrait être utilisée pour aboutir à une sorte de profil étudiant « générique ».
2 - Informations générales :
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La note à l'attention de la CPU sera diffusée la semaine prochaine.
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Elle sera adressée à Louis Vogel et, in fine, à Daniel Filâtre, responsable de la commission Formation et insertion professionnelle.
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Arrêté licence : Valérie Pecresse, alors ministre de l'enseignement supérieur et de la recherche, avait indiqué la sollicitation possible des associations professionnelles pour la constitution des référentiels disciplinaires. L'ADBU a donc souhaité se rapprocher de la DGESIP pour envisager l’intégration du référentiel produit dans la démarche ministérielle.
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Pierre-Yves Cachard a pu entrer en contact avec Sophie Champeyrache, chef de projet plan réussite en licence. Cette dernière a manifesté un intérêt certain pour la démarche engagée sans pouvoir évidemment s'engager à l'intégrer dans le travail en cours du Mensr. Elle a indiqué qu’aucun cadrage national de la forme de ces référentiels n’avait été proposé aux experts rédacteurs.
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Site internet de l'ADBU : le nouveau site est entré en production et l'ensemble des documents relatifs au travail de la commission (cadrage initial, calendrier de réunions, comptes-rendus des séances) est désormais en ligne, en accès libre. Une demande à été faite à Grégory Myiura et au prestataire pour bénéficier d'un espace accessible sur authentification, réservé aux membres de la commission, afin de pallier aux insuffisances de Google Doc.
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Sinfodoc : la base est à reprendre intégralement puisque le logiciel utilisé pour la construire est obsolète. Un tri dans les formations déjà chargées devra être fait et un contact sera pris avec Julien Sicot (SCD Rennes 2) pour voir ce qu'il est possible de faire. Il serait opportun de lancer une enquête auprès des adhérents ADBU, après finalisation du référentiel. Cette action ne sera mise en place qu’à l’issue de la rédaction du référentiel : échéance envisagée : printemps 2012, ce qui permet de se caler sur la vague B des contrats quinquennaux.
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Appel à projet IDEFI : pas de retour dans les établissements. Les délais sont extrêmement courts et seuls les universités ayant déjà des projets avancés pourront vraisemblablement les présenter.
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Toutes les réunions 2011-2012 de la commission pédagogie se tiendront à la Bibliothèque Sainte Barbe. Les réservations ont été faites auprès de François Michaud.
3 - Examen des propositions :
Rappel des répartitions de rédaction :
Compétence 1 :
Monique Joly + Brigitte Renouf
Pierre-Yves Cachard + Christophe Péralès
Compétence 2 :
Perrine Cambier Meerschman+ Annie Schaller
Compétence 3 :
Christine Balliet
Hélène Chaudoreille + Hélène Josse
Compétence 4 :
Hélène Chaudoreille + Hélène Josse
Christine Balliet
Pierre-Yves Cachard + Christophe Péralès
Compétence 5 :
Monique Joly + Brigitte Renouf
Perrine Cambier Meerschmann + Annie Schaller
A - Compétence 1 : identifier et caractériser un besoin d’information
Contributions par Pierre-Yves Cachard (PYC) et Christophe Pérales (CP) d'une part, Brigitte Renouf (BR) et Monique Joly (MJ) d'autre part. La forme très différente adoptée par les deux propositions de rédaction a rendu difficile l’exercice de comparaison/confrontation prévu.
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Insertion de la définition d’une première stratégie de recherche dans la proposition BR/MJ : Ce sera finalement plutôt à traiter dans la compétence 2. Catherine Duffau signale qu’il faut bien distinguer à ce stade la problématisation de la recherche d’information. La mise en place d’un premier plan d'une méthode de travail tant que les premiers résultats de recherche ne sont pas obtenus.
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Vocabulaire utilisé : sujet vs problématique. Très difficile d’arrêter un lexique cohérent, les situations de départ pour la recherche d’information (cours à compléter ou approfondir, dossier documentaire ou mémoire de recherche, sujet d’exposé, etc.) Louis De Carbonnières propose d’utiliser le terme académique courant et générique d’exercice.
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Les items 1.1.1 et 1.1.2 proposés par PYC/CP sont très proches, le second réalisant le premier. Formulation choisie : «après avoir réfléchi à son exercice, il repère son besoin d'information en confrontant cet exercice avec l'état actuel de ses connaissances » et «il explore les sources d'information générales pour se familiariser avec son exercice».
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1.1.3 et 1.1.5 : savoir faire : « Traduire le problème dans le vocabulaire le plus approprié et Rechercher et obtenir un avis d’expert » dans le document MJ/BR : formulation retenue « durant cette démarche, il s'entretient avec d'autres personnes (étudiants, enseignants, bibliothécaires, etc.) pour cerner son besoin d’information ou s’assurer de la pertinence de ses critères de recherche ». Décision : fusion des items 1.1.3 et 1.1.5
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1.1.4 : inchangé (il réévalue en le précisant ou modifiant son besoin d’information pour aboutir à une recherche exploitable.).
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Difficulté à formaliser et caractériser le stade initial : prendre conscience que l’on a un besoin d’information. Pas de solution identifiée en séance.
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1.2 : L’étudiant comprend l’objectif de sa recherche, et la portée et la pertinence des différentes sources d’information à interroger. Débat autour de la notion de « portée » et problème de l'usage googlisé du catalogue de BU : équilibre à trouver entre le fait d’éviter de plaquer des règles de bibliothécaires sur les pratiques des étudiants et la nécessité pour autant d’aboutir à une amélioration (qui se traduit le plus souvent par une correction) de ces pratiques.
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1.2.1 : Formulation retenue « Il comprend comment l'information est organisée et produite pour identifier les différentes sources disponibles»
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1.2.2 : Formulation retenue «Il différencie et évalue les différentes sources possibles d'information pour privilégier les plus adaptées à son besoin »
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1.2.3 : Formulation retenue : « Il identifie la nature, les objectifs et le niveau d'expertise du contenu des sources interrogeables »
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1.2.4 : Inchangé (il sait distinguer les sources primaires des sources secondaires, et leur importance respective pour chaque discipline)
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1.2.5 : Formulation retenue «il replace le contexte et les enjeux de l’exercice dans la discipline »
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1.2.6 : Formulation retenue « l'étudiant sait réévaluer ses besoins d'information à la lumière des premiers résultats de recherche obtenus »
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1.3 : Supprimé car redondant avec la dimension itérative de l'item 1.2.6
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1.4 : Formulation retenue « L'étudiant utilise diverses sources d'information pour clarifier ses choix »
B - Compétence 2 : Accéder aux informations adaptées avec efficience
Contributions par : Perrine Cambier-Meerschman, Annie Schaller et Marie-Pierre Thevenot
La rédaction est proposée sous forme de savoirs/savoir faire/savoir être. PCM et MPT font également état de leur difficulté à rédiger dans ce cadre.
Principaux points abordés :
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Il manque la notion de stratégie de recherche, bien présente dans le référentiel Anzilf, et non retenue dans la proposition MJ/BR. A réintroduire.
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Référentiel comme guide pour maîtriser un rite initiatique (Louis De Carbonnières).
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Débat autour de l'autonomie demandée aux étudiants : chercher c'est trouver une réponse vs chercher c'est s'interroger (Christophe Pérales).
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Dans les savoir être, Catherine Duffau se demande comment caractériser ce que l’on attend concrètement de « savoir reformuler » : s’agit-il de la capacité de synthèse, de l’exercice de résumé, de la citation ?...
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Elle fait également remarquer qu’apprendre à devenir étudiant suppose de s’approprier tous les documents produits par l’établissements, ses composantes et ses services, ce qui est rarement le cas.
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Question de la temporalité de la recherche et de la réévaluation des critères de recherche.
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Question de la forme donnée au référentiel : la présentation 1, 1,1, 1,1,1 donne une impression de gradation et d'importance qui n'est pas voulue. La formulation finale du référentiel devra tendre vers une présentation plus neutre, par exemple des puces. PYC rappelle que cette énumération chiffrée n’a pas vocation à durer au delà de la phase de rédaction mais était simplement destinée à faciliter et accélérer les échanges en séance, mais dans la mesure où cela induit une lecture séquentielle de la démarche, il est convenu de retirer désormais toute numérotation des les documents de travail.
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La commission s'interroge sur l'opportunité de compléter l'item 3 avec la discipline avant d'y renoncer puisque cette notion transparaît dans le terme « couverture ». Formulation retenue « Connaître les principales caractéristiques de chaque outil documentaire (couverture, utilité), et choisir dans cet ensemble les ressources et outils les mieux adaptés à son besoin d'information »
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Regrouper les items 4 et 5
C - Compétence 3 : Évaluer de façon critique l'information obtenue (sources et résultats) et sa stratégie de recherche
Contribution de Christine Bailleul (CB).
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Item 1, sous item 1 : Formulation retenue « Développer une approche critique des de l'origine de l'information »
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Item 2 : L’étudiant s’approprie de façon critique les informations obtenues, en appliquant des critères d’évaluation
Sous item 1 : Formation retenue « faire une lecture approfondie en intégrant les nouvelles informations à ses connaissances »
Sous item 3 : reformulation : situer l’information dans son contexte de production
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Il manque certainement une réflexion sur les critères objectifs d'évaluation des sources d'information (ex. critère de date, de »qualité » de l'éditeur, d'édition. Une formulation devra être trouvée pour la prochaine réunion.
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Item 3 : idée de processus itératif où l'on doit relancer la recherche à partir des résultats initialement obtenus. On distingue donc entre compléter ses résultats ou relancer depuis le début après le constat que les critères de recherche ou les sources, ne sont pas les bonnes. Formulation retenue « Au vu de l'évaluation constante des résultats de sa recherche, être capable de modifier si nécessaire sa stratégie de recherche »
D - Compétence 4 : Exploiter et organiser les informations sélectionnées
Contributions par : Pierre-Yves Cachard et Christophe Péralès
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Cette compétence, présente dans l’ensemble des référentiels consultés ne paraît pas avoir la même portée que les autres : son périmètre est limité, et très orienté « outils »
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Christophe Pérales : la formulation de cette compétence est très bibliothécaire au mauvais sens du terme. Après débat, il est décidé de la fusionner avec la compétence 5 avec un nouvel intitulé « Être capable de produire et de communiquer les résultats de ses recherches »
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La capacité à exercer une veille documentaire relève plutôt d'une compétence professionnelle et est intégrée à la compétence 2 (façon d'accéder à l'information). Elle est d’ailleurs présente à ce niveau dans le référentiel ANZILF. Le reste de la compétence glisse vers la compétence 5, qui devient 4.
E - Compétence 5 : Produire et communiquer ses résultats
Contributions par : Perrine Cambier-Meerschman, Annie Schaller et Marie-Pierre Thevenot d'une part et Brigitte Renouf et Monique Joly d'autre part.
Cette compétence est finalement regroupée avec la 4. Elle fera l’objet d’un examen approfondi lors de la prochaine séance.
Hélène Chaudoreille regrette la disparition de la dernière compétence listée dans le référentiel ANZILF, associée à la responsabilité sociale de l’étudiant1. Pour Pierre-Yves Cachard, cette compétence n’est pas écartée : elle devra trouver sa place dans la compétence : « produire et communiquer ses résultats », car elle en fait partie Dans certains des référentiels étudiés, ces compétences « éthiques » paraissent ajoutées comme des mises à jour de dernière minute sans véritable effort visible d’intégration à la démarche globale.
4 – Relevé de décisions
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Recentrer la rédaction sur une traduction / adaptation du référentiel ANZILF. Une création de référentiel déconnectée des modèles examinés lors de la séance précédente a peu de chance de pouvoir aboutir dans des délais acceptables et de trouver un consensus rapide au sein de la commission. Par ailleurs, il semble essentiel de s’appuyer sur un ou des référentiels éprouvés et validés. Hors compte rendu : les écarts ou ajouts sont autorisés (et sans doute parfois nécessaires) mais ils devront s’accompagner d’un commentaire justifiant cette modification pour faciliter les échanges en séance.
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Supprimer toute énumération dans les rédactions qui entraîne un glissement du référentiel vers une approche séquentielle, en contradiction totale avec le caractère itératif de la démarche : travailler par blocs, et reprendre finalement les catégories neutres adoptées par la plupart des référentiels de compétences informationnels :
Niveau 1 : la compétence (pas de numérotation)
Niveau 2 : les résultats attendus : opter ensuite pour la proposition de Christine Balliet « l’étudiant doit être capable de… »
Niveau 3 : exemples (mise en situations pédagogiques). Peut être rattaché uniquement aux items, une liste d’exemples par sous items pouvant s’avérer fastidieuse et rendre difficile la lecture du document.
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Le nombre de compétences listées est réduit à 4 :
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Identifier et caractériser un besoin d’information
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Accéder aux informations adaptées avec efficience
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Évaluer de façon critique l’information obtenue (sources et résultats)
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Produire et communiquer ses résultats
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La rédaction sous forme de savoirs/savoir faire/savoir être sera envisagée à l’issue de la production du référentiel, sans doute sous la forme d’une compétence générique intégrée au contenu rédactionnel accompagnant le référentiel. Cela permettra sans doute de faire ressortir également les compétences annexes ou pré-requis.
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– Proposition de modèle de rédaction proposé (hors compte rendu) :
Rédaction simple de chaque compétence, suivi de la liste des items. Ensuite, développer chaque item avec les exemples et les sous items (un peu à la manière de la contribution de Christine Bailleul.
Exemple :
Identifier un besoin d’information et en définir la nature et l’étendue
Résultats attendus :
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L’étudiant sait reconnaître et caractériser son besoin d’information
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L’étudiant comprend l’objectif de sa recherche et la portée et la pertinence des différentes sources d’information à interroger
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Durant cette démarche, il s'entretient avec d'autres personnes (étudiants, enseignants, bibliothécaires, etc.) pour cerner son besoin d’information ou s’assurer de la pertinence de ses critères de recherche
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L’étudiant utilise diverses sources d’information pour clarifier ses choix
Pour savoir reconnaître et caractériser son besoin d’information, l’étudiant doit être capable de :
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après avoir réfléchi à son exercice, repérer son besoin d'information en confrontant cet exercice avec l'état actuel de ses connaissances
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explorer les sources d'information générales pour se familiariser avec son exercice
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durant cette démarche, s’entretenir avec d'autres personnes (étudiants, enseignants, bibliothécaires, etc.) pour cerner son besoin d’information ou s’assurer de la pertinence de ses critères de recherche
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réévaluer en le précisant ou modifiant son besoin d’information pour aboutir à une recherche exploitable
Exemples/Modes pédagogiques : (partie à retravailler : insérée ici à titre indicatif)
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interroger l’étudiant sur l’exercice en partant de ses connaissances, lui fournir un cadre de réponse permettant de préciser progressivement ce qui est attendu de lui
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explorer l’exercice à l’aide d’ouvrages ou sites de référence, montrer comment on identifie et on isole les concepts ou mots clés associés à partir de ces contenus (synonymes, concepts associés, corrélats, etc.)
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constituer des petits groupes de trois ou quatre étudiants et demander à chacun d’exposer aux autres l’état de ses interrogations sur l’exercice et les éventuels premiers résultats trouvés
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organiser avec la bibliothèque un réseau de bibliothécaires ou tuteurs « référents » avec un entretien individuel permettant à l’étudiant de compléter ses connaissances dans l’analyse de l’exercice ou de progresser dans sa résolution. Ces entretiens feront l’objet d’une consigne de préparation favorisant la capacité de synthèse et de reformulation de l’étudiant.
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Demander un compte-rendu écrit permettant à l’étudiant de préciser par écrit les questions qu’il se pose à partir de l’exercice, les sources consultées et les informations obtenues pour compléter la formalisation de son besoin d’information.
6 – ANNEXE :
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contribution de Monique Joly et Brigitte Renouf
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contribution de Christine Balliet
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contribution de Pierre-Yves Cachard et Christophe Péralès
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contribution de Perrine Cambier Meerschmann, Annie Schaller et Marie-Pierre Thévenot
Les documents sont diffusés dans leur état initial. Ils ne seront pas mis en ligne sur le site de l’ADBU (seul le compte-rendu validé sera publié).
6 – A REALISER PAR LES MEMBRES DE LA COMMISSION :
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rédaction corrigée des contributions déjà proposées et rédaction des contributions encore attendues : échéance : pour le 20 décembre 2011
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ajout des exemples à l’appui des résultats attendus (objectifs pédagogiques). Echéance : pour le 9 janvier 2012
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les documents sont à diffuser à l’ensemble des membres de la commission : merci de réagir et faire part de vos observations par courriel pour faciliter les échanges de la prochaine séance de la commission prévue le 13 janvier prochain.
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