Concernant l’antisémitisme musulman Par Benjamin lisan, le 19/08/2017 «L’homme est capable du meilleur comme du pire, mais plus souvent hélas du pire que du meilleur»



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27Propos antisémites


(Au nom de l’antisionisme ou non).
« Ma petite Fille de 14 ans, dans un collège d'une petite ville de La Côte d'Azur, s'est fait traiter de "sale Juive", personne n'a voulu se mettre à sa table à la cantine, et ses copines qui pourtant la connaissent depuis la 6ème lui ont dit : " tu n'as pas Honte d'être "juive" ? Avec Tout ce que vous faites aux Palestiniens ?" ».
"Ils peuvent frimer et nous narguer avec leurs universités, leur armée et leur krav maga, mais le jour du jugement nous les tuerons tous jusqu’au dernier et ce sont les arbres et les pierres qui nous y aideront"76.
« Un ami allemand m’a raconté la mésaventure d’un jeune couple de Berlinois qui avait répondu avec enthousiasme, en 2015, à l’appel d’Angela Merkel à ouvrir grand les bras aux migrants arrivant du Moyen-Orient, dont beaucoup de Syriens qui fuyaient la guerre civile.

Propriétaire d’un studio, ce couple sacrifie ses loyers pour le mettre à la disposition de deux jeunes réfugiés syriens auxquels les services sociaux berlinois fournissent les prestations prévues pour les demandeurs d’asile : tickets repas, abonnement gratuit aux transports publics, argent de poche (84 € par mois), cours d’allemand, etc.

Au début, les relations entre les hôtes et les hébergés sont réduites à l’essentiel, en raison du fossé linguistique. Quelques mois plus tard, lorsque les Syriens disposent de moyens d’expression plus élaborés dans la langue de Goethe, le dialogue devient plus riche. Ils racontent leur odyssée et veulent, c’est bien normal, exprimer leur gratitude : « Vous savez, dit l’un d’entre eux, nous autres, en Syrie, éprouvons beaucoup d’admiration pour les Allemands ! » Devant l’air interrogatif du jeune couple, il précise : « Vous avez réussi à vous débarrasser de vos juifs, alors que nous, au Proche-Orient, nous subissons encore l’oppression des sionistes ! » On ne connaît pas la suite, mais le couple allemand a été suffisamment choqué pour raconter l’épisode »77.
« Ma femme a des origines juives et pour ma famille elle était tantôt une sale juive, tantôt une sale française ». - Abdelghani Merah (frère de Mohamed Merah, un islamiste français qui a assassiné sept personnes), s'exprimant à la télévision française.

« J'ai entendu de mes propres oreilles, la mère de Mohamed Merah dire à son fils Abdelghani : « dans notre religion, il est permis de tuer des enfants juifs » Lui Abdelghani disait à sa mère : « est-ce que tu imagines que ton fils vient de tuer des enfants ? » Et je l'ai entendu dire de mes propres oreilles, « ce n'est pas grave, dans notre religion, le prophète nous a permis de tuer des enfants juifs ». - Mohamed Sifaoui, journaliste et réalisateur d'un documentaire sur la famille Merah, Canal + 78.


« vilounet tes un vrai rasiste et tu le ces très bien et en plus tu défens les sioniste et macron le traitre banquier de rotchild, mais tinquiete un jour on vas vous obligé a enlevez vos croix bidon et vos kippa parce que sa sappelle la laissité, sa te dis quelque chose no, y a des loi en franse et en plus vous nous dever le respect pour les richesse que vous avait piller chez nous, heureusement ont vous a dégager a grand coup de pied au cul mdrrrr au bled on es pas des moutons comme vous les facho ».
« Tandis que le sionisme juif ne vise que la terre d’Israël, le sionisme non juif vise la terre d’Israël, celle d’Ismaël et celle d’Abraham, et vise même les Juifs eux-mêmes et adopte les sentiments les plus répugnants de ce que l’Ouest décrit comme Antisémitisme ». Adapté de “The Open Veins of Jerusalem” [Les veines ouvertes de Jérusalem] de Munir Akash. Via Daniel Mabsout. Paru sur la page Facebook "Romance d'Arabie".
Parfois, certains musulmans confondent Juifs et Francs-maçons :
« Yizrar Y.  La Franc-maçonnerie [les Juifs] a infiltré l'église et ils l'ont détruit et je les soupçonne de faire idem avec l'islam. Ils ont marqué leur victoire sur l'église en installant des gargouilles dans les églises pendant la période gothique. J'espère que les flammes de l'enfer les consommeront » [C’est ce que cette personne a affirmé à l’auteur].

27.1Extraits du livre « Mon frère, ce terroriste », de Abdelghani Merah79

Page 11 : Ces derniers [mes oncles maternels, notamment Hamid] n'ont eu de cesse de propager devant nous, depuis notre tendre enfance, la haine, le racisme et l'antisémitisme. Chez nous, l'intolérance a toujours occupé une place de choix.  Et même après le drame, ma mère me dira, avec une incroyable décontraction : « Les Arabes apprennent, dès leur naissance, à détester les juifs. » Ce qui n'est vrai que dans certaines familles, dont la mienne, devient dans la bouche de ma mère une quasi « vérité historique ».

 

Page 27 : « Sophie ne voulait plus voir, non plus, mon autre sœur, Souad et son voile intégral. Elle ne voulait plus entendre ses paroles haineuses et ses louanges bellicistes du terrorisme. Elle ne voulait plus se faire traiter de « sale juive » par ma mère, une femme lunatique et hypocrite qui, parfois, lui crachait à la figure comme s'il s'agissait de sa pire ennemie et d'autres fois l'embrassait comme elle le ferait avec sa propre fille ».



 

Page 47 : « J’ai attiré leur attention sur l'antisémitisme culturel dans lequel nous avons baigné en évoquant clairement quelques envolées de cet oncle qui n'hésitait pas parfois à dire sa détestation des juifs, y compris devant ses propres enfants ».

 

Page 48 : « Je voulais seulement expliquer [aux policiers] que, lorsque l'on banalise la haine de l'autre et la déshumanisation, il ne faut pas s'étonner que des crimes se produisent. Mon jeune frère était certes un salafiste, mais avant de le devenir il a grandi dans cette atmosphère détestable qui s'accommode de l'antisémitisme ».



 

Page 58 : « Ma femme, ils l'appellent la « descendante des porcs » ; mon fils, ils l'ont affublé du titre de « bâtard » ; moi, ils m'appellent le « juif ». Pour eux, l'utilisation d'un tel qualificatif équivaut à la pire des Insultes ».

 

Page 76 : « Lorsque j'ai eu environ 8 ans, je l'ai supplié [mon père] de nous acheter un sapin de Noël. Je voulais faire comme les copains, y compris maghrébins qui étaient, à cette occasion, comblés de cadeaux. Il a sèchement refusé. Devant mon insistance, il m'a doctement expliqué que se procurer un tel symbole serait « contraire à l'islam », car, selon lui, un « juif voulant tuer le Prophète s'était caché derrière un sapin ». Bien que je sois encore loin d'en saisir la portée antisémite, cet enseignement me semblait déjà illogique et inexact. Dans ma tête d'enfant, le sapin de Noël n'était rien d'autre qu'un symbole de cadeaux et de joie ».



 

Page 105 : « Quoi qu'il en soit, j'ai tenu à préciser aux membres de ma famille, qu'ils devaient, eux aussi, faire attention à d'éventuels dérapages en présence de Sophie. Je ne voulais pas que ma petite amie soit blessée par leurs sorties, habituellement indélicates sur les juifs. Mal m'en a pris. Dès qu'ils ont su qu'elle avait un ascendant juif, ma mère d'abord, mon père ensuite ont commencé à la qualifier, en son absence, de « sale juive », ou de « sale Française » ».

 

Page 107 : « Lorsque j'allais demander de l'argent à mon père, il me répondait : « Débarrasse-toi d'abord de ta sale juive, ensuite je te donnerai ce que tu veux. » ».



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