Les collectes :
De nombreux syndicats se mettent en veille afin d’optimiser la filière de la collecte. La gestion des coûts, l’orientation vers «l’éco responsabilité» passe principalement par ce biais.
Toutes les initiatives sont prises afin d’optimiser le tri. Une présélection peut être faite par l’usager, car certains syndicats donnent des sacs à cet effet., des campagnes permettant de mobiliser peuvent être une solution
La collecte traditionnelle :
Ce sont les déchets que l’usager jette dans sa poubelle traditionnelle. Les poubelles sont ensuite dirigées vers les centres de tris.
La collecte sélective :
En 1992, les déchets s’inscrivant dans une gestion incluant le développement durable. Il est nécessaire de penser à la ressource et à l’environnement.
Avec ces principes ; et en visant la récupération, il est nécessaire de les trier. Cette collecte passe par différents moyens de récupérations :
Le porte à porte :
La réglementation oriente la collecte dans des conteneurs de couleurs afin que l’usager assimile facilement le système de pré- tri. L’usager se doit de trier dans des bacs séparés les déchets afin que ces déchets soient plus facilement traités.
BAC VERT
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Verres
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BAC BLEU
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Journaux…
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BAC JAUNES
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Plastique, carton, métallique
| L'apport volontaire :
Ces déchets sont amenés dans des points de collecte. On les nomme : «point de recyclage».
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Pile
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Batterie de voiture
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Vieux vêtement
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Médicament
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Huile de vidange
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Encombrants ménagers
Les stockages :
Il existe plusieurs méthodes de stockage des déchets, celle-ci ne sont pas toujours légales mais couramment pratiqué.
Il existe plusieurs centres de stockage :
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CSD de classe 1- Se réfère aux produits dangereux
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CDS de classe 2- Unité pour les produits non dangereux
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CDS de classe 3 - Les installations de compostage de déchets verts
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UIDD - Incinérations des déchets non dangereux
La décharge traditionnelle :
La décharge à ciel ouvert consiste en terrain destiné à accueillir les déchets ménagers en vrac. Ce terrain n'est pas toujours conforme aux recommandations de protections puisque celles-ci ne disposent pas systématiquement d'une coque étanche permettant de d'interrompre l'écoulement des polluants dans les sols.
La décharge sauvage :
La décharge sauvage consiste en un espace pris en otage par une partie de la population ou entreprise pour y entreposé leur déchets non accepter à la décharge à ciel ouvert et souvent destiner à la déchetterie, ou à des unités de traitements spécifiques et donc avec dépôts payant. Cette pratique en sus d'être illégale est très dangereuse pour l'environnement car la pollution des sols entrainent souvent leur infertilité voir leur interdiction pour toutes formes d'exploitations.
La déchetterie :
Celle-ci est la première étape dans le process du traitement des déchets car elle permet de mettre en place une première étape du tri, en vue d'un acheminement vers des unités de recyclage, d'incinération et d'enfouissement.
Les traitements :
Le processus de traitements est globalement simple puisque celui-ci commence par une phase de tri à la source, puis plus précisément en unité de traitement, puis plusieurs destinations sont possibles en fonction du déchet.
Le tri à la source :
Il s'agit pour le producteur de déchets, de les rassembler en ensemble par famille ou type afin de faciliter. Globalement pour la ménagère, séparer les résidus des emballages et idéalement par type. Pour les entreprises c'est lié à leurs activités.
Le tri en unité de traitement :
En général celles-ci exploitent du personnels qualifiés en sus d'équipements spécifiques comme :
Les aimants pour séparer tous les composés contenant du fer ou du nickel
Une table de tri inclinée permettant d'assurer le tri par le personne
Un tamis afin d'assurer le tri automatique des éléments légers comme le papier et composé similaires.
Le recyclage :
Les récents textes viennent donner un souffle à l’émancipation de la filière de recyclage, en la rendant obligatoire.
Les éléments qui l’on peut actuellement recyclés sont :
Ces six catégories représentent environs 80% du poids des déchets ménagers.
La valorisation :
La valorisation inclut tous les modes d’élimination qui permettent de récupérer de la matière ou de l’énergie à partir des déchets. Les modes de valorisation les plus courants sont le recyclage et la valorisation thermique.
«Toute personne qui produit ou détient des déchets, est tenue d'en assurer ou d'en faire assurer l'élimination» (L 541-2, Code de l’environnement).
Lorsqu’on insiste sur la réutilisation de la matière première d’un composé. On parle de «valorisation matière». Dans le cas de la réutilisation de la matière organique on parlera de «valorisation organique». La valorisation s’apparentera plus dans le sens où ce mot sous tend l’intention de création d’énergie.
Le principe de la valorisation énergétique
(Source SYCTOM)
Le four brûle les déchets non recyclables jusqu'à 900° C.
L’eau de la chaudière se trouve chauffée par le biais de la vapeur crée, et de ce fait permet de créer de l’énergie.
Vapeur :
Chauffe les immeubles «CPCU»
Le surplus d’énergie est vendu à EDF
C
Composés produits
Au cours de l’incinération
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Chiffres des composés
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vapeur
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2568 Kg
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Electricité
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35 KWH
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mâchefers
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256 Kg
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ferrailles
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22 Kg
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Cendres REFIOM
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20 Kg
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hiffres venant des S YCTOM
2.5.2 Les produits duits de récupérations
On récupère deux types d’agrégats :
Forme des matières carbonées avec les composés qui ont résistés à une incinération de 900° C. Ce sont en général des alliages à base de métal.
Les mâchefers sont traités dans du ciment et sont stockés dans des centres d’enfouissement technique «CET».
Ces particules sont filtrées et lavées, car contiennent des métaux lourds, furane, dioxine, produits toxiques. Le gâteau ainsi produit avec les cendres volantes sont appelés : «REFIOM» (résidus d’épuration des fumées d’incinération des ordures ménagères). Ils sont aussi enfouis dans des centres techniques .
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