Etats généraux de l’outre-mer dans l’Hexagone
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- Infléchir le taux de déchet sur le territoire
- Créer un plan d’action afin de diminuer les déchets en amont
- Développer et remettre au goût du jour certaines habitudes du passée
- Continuer la dynamique autour de la lutte contre les décharges sauvages
Martinique :
La Martinique c’est doté d’un plan départemental qui oriente sous trois piliers ces nouveaux axes afin de compléter ces différents plans entrepris jusqu’ici,le dernier «2005-2015». Ce plan se structure en fonction de la notion de Développement durable, ce nouveau plan, transféré aux mains du conseil général va permettre de mieux cibler les attentes des Martiniquais. La réaction sera gérée localement.
Source : Conseil général
Source : Conseil général
Les cartons sont générés à 75% par le secteur du commerce. Ces cartons représentent environ 25% du DIB total.
En ce qui concerne les DIS, en Martinique on peut noter une récupération des batteries de plomb, Certains cartons retrouvent une nouvelle utilisation pour nourrir les animaux. Les huiles : la collecte des huiles usagées est assurée par un réseau de conteneurs mis à disposition des usagers. Les huiles usagées collectées par Compagnie sont conditionnées et expédiées en métropole par l’intermédiaire de la SARA. Ce dispositif est financé par une taxe sur les carburants. Il n’existe aujourd’hui aucune filière pour la collecte et le traitement des piles et accumulateurs et autres déchets toxiques en quantités dispersées (peintures, encres, colle, résine, vernis, solvants, aérosols,…)
Il est a noté que la Martinique fort de ce mettre en conformité avec les nouvelles lois qui préconise une réorientation de la gestion de la filière déchet, se voit dans un premier temps fermer 4 sites de décharges pour une capacité d’accueil 200 000T. De plus, La quantité de déchet sur le territoire augmente de 0.6 à 1.6 % par an.
En remettant en place un système de consigne pour les bouteilles, afin que l'on en ouvre beaucoup moins dans les poubelles et dans la nature. En facilitant l'usage des caddies personnelles, afin de réduire la nécessité d'usage des sacs et cabas jetables, de ce fait leur présence dans les déchets et dans la nature.
En mettant en place plus de moyens humains pour lutter et surveiller les sites concernés ou susceptibles de l'être
En effet, la Martinique a financé il y a peu (2005) une étude sur les déchets verts –voir les annexes. Elle a bien détaillé, à cet effet, les différentes possibilités que pourraient démarrer grâce à cette étude. La loi de 1 juillet 2002 interdisant en centre de stockage tous les déchets n’étant pas considérés comme ultime. La Martinique ce dote de cette loi afin répondre à la problématique du manque de filière de valorisation. La Martinique considère comme déchets ultimes :
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