Fête de la Nativité de Notre-Seigneur


Prédilection du Pape pour le pèlerinage international de la Jeunesse catholique



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Prédilection du Pape

pour le pèlerinage international de la Jeunesse catholique.

Voilà, très chers Fils, un bien doux spectacle, un spectacle unique. Nous en ayons vu beaucoup de splendides, cette année, mais vraiment, Nous n'avons jamais eu sous les veux une assemblée qui eut autant de titres à Notre toute particulière prédilection. Nous en remercions le bon Dieu comme d'une grâce et comme d'une joie, grandes entre toutes celles dont la divine Bonté a si largement semé cette année de bénédiction. Et Nous remercions aussi lotis ceux qui ont su organiser si bien et conduire à un si heureux succès... Nous allions dire « ce pèlerinage »... Mais ce n'est pas un pèlerinage que Nous embrassons maintenant du regard : c'est une collection admirable de pèlerinages qui ne pourra plus être dépassée. Tant de nations, de langues si diverses, appartenant à toutes les parties du monde, sont représentées devant Nous par tout ce qu'elles ont de plus beau, de plus cher, de plus riche en promesses ! La parole manque pour dire ce que le cœur voudrait exprimer.

Chers Fils, Nous venons de vous passer en revue, d'une façon rapide sans doute, comme votre nombre l'exigeait, mais Nous vous avons cependant vus de tout près ; chacun de vous a pu lire dans Nos yeux ce que Nous voulions lui dire. Alors quelle parole ajouter à ce tacite dialogue qui s'est déjà établi entre nous, en un moment si consolant pour Notre cœur ? Nous voudrions bien, pourtant,. Nous, entretenir avec vous, Chers amis, qui ne le voudrait pas, quand Notre-Seigneur Jésus-Christ, le divin Maître qui à tant aimé la jeunesse, a fait de cette jeunesse, si profanée chez tous les peuples païens, quelque chose de sacré, quand ses exemples, ses paroles, et même : ses menaces, recommandent avec tant de force à Notre prédilection tout ce qu'il a mis en vous de pureté et de richesses spirituelles? Le temps passe, il est vrai, et, si difficile que Nous la rende le charme d votre piété filiale, la discrétion s'impose. Mais vous attendez de Nous un mot à transmettre à vos frères ­d'autant plus que vous êtes ici les délégués de cette magnifique armée de Jeunesse catholique dont le millions de membres, répandus sur toute la surfa clé la terre, surgissent à Nos yeux derrière vous, comme une vision superbe de beauté, de grâce, de force, de piété, d'amour, de pureté, de foi. Et alors, qu'est-ce que Nous allons vous dire pour vos amis qui n'ont pas pu vous suivre jusqu'ici, et qui n'ont pu vous accompagner qu'en esprit et de cœur?

Nous vous dirons deux mots, qui sont suggérés par votre présence elle-même.

Vous êtes ici comme les représentants de l'Inter­nationale de la Jeunesse catholique. Eh bien ! chers Fils, pensez à une autre Internationale, dont vous n'êtes qu'une fraction, mais une magnifique fraction, l'Eglise, cette sainte, vénérable, incomparable Mère des âmes, des hommes, des siècles.

Voilà la vraie Internationale qui, en réalité, couvre le monde entier, parce que, là même où la civilisation s'arrête, là où ni les arts, ni le commerce, ni l'industrie, ni la science n'ont encore pénétré, la grande Mère, notre sainte Mère à Nous, est entrée par la foi et la charité : et Notre Exposition missionnaire, que vous avez certainement visitée, ou que vous allez visiter - elle le mérite bien, même après que l'on a vi­sité les incomparables basiliques et les Catacombes - l'Exposition missionnaire vous a dit comment, jusqu'aux plus lointaines frontières, se répand cette divine Internationale de l'Eglise catholique. Et vous, vous êtes venus ici la voir en son centre, pour l'em­brasser tout entière d'un seul regard, pour en goûter la beauté, et vous ajoutez encore vous-mêmes, par votre présence, à cette vision de grandeur et de puis­sance.

La voilà donc, la grande, la divine Internationale, telle que vous la chantez, telle que vous la confessez dans votre Credo : Credo unam, sanctam, catholicam, apostolicam Ecclesiam !

La voilà sous vos yeux, une et universelle ! L'unité et l'universalité de l'Eglise ! Jamais elles n'auront été si visibles, elles ressortent des faits de chaque jour ; durant cette Année Sainte, et avec quel éclat ! L'universalité, c'est vous-mêmes qui, pour votre part, contribuez à la faire resplendir.

La voilà, l'Eglise sainte ! A quelle voix avez-vous obéi en vous rendant à Rome? Vous avez obéi à l'in­vitation à vous sanctifier. « C'est l'Année Sainte, l'in­vitation à prier, adressée à tout le monde catholique : venez puiser aux trésors de sanctification ! Venez enrichir vos âmes des trésors du Jubilé ! ». Et le monde catholique tout entier, comme par un instinct de sain­teté, a compris l'invitation de la Mère, et il est venu. Et la Mère était là : elle avait préparé non seulement les trésors de rémission, de prières, de grâces, - mais encore une auguste leçon de sainteté, qui lui convenait bien à elle, la, grande maîtresse, la grande formatrice des saints ; la voilà dans cette incomparable série de béatifications et de canonisations, véritable exposition de sainteté pour toutes les conditions de la vie, pour tous les goûts, pour toutes les dispositions spirituelles ménagées par la grâce.

Et vous la voyez, de vos yeux encore, munie de cette autre note distinctive dont le grand Auteur divin a enrichi son Eglise, comme d'une carte d'iden­tité à laquelle chacun pût., à chaque instant, reconnaître la vraie Eglise de Jésus, l'unique Eglise divine vous avez retrouvé ces preuves, ces témoignages, dans toutes les pierres de Rome. Car, dans cette Rome sainte, cette Rome éternelle, les pierres parlent lés pierres crient.. Vous les entendez proclamer spécialement l'apostolicité de cette divine International Celui qui est, actuellement, le dernier successeur de Pierre - non seulement, hélas ! dans l'ordre des da­tes - vous parle en ce moment comme Pierre lui­-même parlait sous ces basiliques, dans ces Catacom­bes, parce que le Pape vivant, quels que soient le nom qu'il porte et l'heure où il exerce son ministère, sera toujours le plus récent anneau de cette chaîne d'or qui rattache l'Eglise romaine, et, par elle, toutes les Eglises dont elle est la Mère, aux apôtres, Pierre - la « pierre fondamentale » - au Fondateur divin lui-même. Considération, en vérité, toute pleine d'une joie enivrante ! Cette Eglise que Nous voyons, que Nous vivons, cette Eglise maintenant si grande, alors si petite, est identiquement la même personne mystique qui parlait avec saint Pierre, avec le Christ.

Devoirs des membres de la Jeunesse catholique. Voilà l'Internationale qui vous encadre, mes chers Fils, et qui encadre avec vous votre Internationale de Jeunesse. Cette observation vous sera, croyons­-Nous, très encourageante, car elle suffit à vous faire envisager dans toute sa beauté, dans toute son im­portance et toute sa grandeur, la place que vous occupez dans l'Eglise, et il vous sera facile de tirer maintenant vous-mêmes les conclusions naturelles de cet. ensemble de faits que Nous avons à peine es­quissés.

Unam, sanctam... Voilà l'appel que l'Eglise vous fait et qui correspond à sa nature à elfe, à votre place à vous dans son sein : soyez unis, soyez saints ! Catholicam... Elle est universelle ; soyez, vous aussi, catholiques, universels. Continuez à couvrir la terre de votre nombre toujours plus grand. Quand le nom­bre se fait le multiplicateur d'une réalité aussi précieuse que l’est une seule Jeunesse catholique, le nombre acquiert une importance incommensurable ; il devient l'objet des plus grands désirs, il devient d'une poésie épique, et, le vôtre, très chers Fils, parle déjà à Notre cœur, plus encore qu'à Notre intelligence, le plus poétique des langages.

Elle est apostolique, cette Internationale à laquelle vous appartenez ; elle a parlé avec les apôtres, avec le divin Fondateur ; elle a puisé à la source divine de la parole, la pensée, les directions qu'elle donne sans cesse à l'humanité rachetée ; donc, mes chers Fils, c'est l'Eglise qu'il faut écouter, c'est à l'Eglise qu'il faut obéir, c'est vers elle et vers son Chef qu'il faut se tourner - de toutes les parties du monde, dans toutes les conditions de la vie - afin d'être sûr de ne pas se tromper de route, et, au be­soin d'être ramené dans le droit chemin.

Votre si pieux pèlerinage à Rome, votre Académie polyglotte si filialement éloquente, et votre commu­nion générale de ce matin, votre si chaleureuse visite ce soir au Père commun, disent et proclament combien vous comprenez et sentez tout ce que Nous ve­nons de dire.

Mais vous avez fait mieux encore, Nous le savons car vous avez entendu un autre appel de l'Eglise : à tous, elle demande l'obéissance à sa parole et à lois. A vous, Jeunesse catholique, elle doit demande quelque chose de plus haut et de plus exquis, - et vous l'avez compris. Elle vous a demandé, à vous l'aide, la collaboration à l'apostolat proprement dit Ce n'est pas là une nouveauté : c'est l'acceptation devoir que prêchaient déjà les Apôtres. Admirable rencontre de notre époque avec les tout premiers jours de l'Eglise ! L'invitation que Nous faisons aux laïques de nous donner leur concours correspond exactement à ce que saint Paul écrivait quand il recommandait ceux qui mecum laboraverunt in apostolatu. Car il est, impossible de se méprendre sur la condition de ces collaborateurs : ce n'étaient pas des prêtres, non, c'étaient des femmes : eas quæ mecum laboraverunt. Voilà bien la collaboration laïque à l'apostolat, qui est elle-même un apostolat, et qui est la substance ta plus réelle, la plus sainte et la plus solide de l'Action catholique, cette Action catholique à laquelle, après vous être sanctifiés à l'école de l'Eglise, vous vous êtes consacrés, chers et généreux Fils.

Votre apostolat, doit être avant tout un apostolat, de prière. Car, sur le terrain où vous marchez, rien n'est possible sans l'aide du bon Dieu, et cette grâce vient de la prière. Jésus-Christ a dit : Sine me nihil potestis facere. Il n’a pas dit - un de Nos plus grands prédécesseurs y insiste dans son commentaire - il n'a pas dit : Sans moi vous pouvez peu de chose. Il a dit : Sans moi vous ne pouvez rien faire, nihil. Non, rien absolument. L'apostolat de la prière sera pour vous l'aliment de cette vie de piété qui est l'âme de l'âme et sans laquelle il vous serait impossible de conserver la plus grande des beautés divines de vos âmes : la pureté de la vie.

A l'apostolat de la prière doit succéder l'apostolat de la parole, de la propagande, de cette bonne pa­role qui est si douce sur vos lèvres, qui est si con­vaincante et si irrésistible quand vous la prononcez avec la grâce de votre âge, avec la tendresse de votre cœur, avec la vivacité spontanée de votre esprit.

Et puis l'apostolat plus efficace encore des faits, des oeuvres, de la charité individuelle, domestique, sociale, universelle - cette charité qui ne connaît pas de limites, qui se traduit par le dévouement sous toutes ses formes, notamment par celui des classes les plus favorisées aux classes qui ont le plus besoin d'aide pour leur relèvement.

Mais, chers Fils, vous l'avez déjà compris avec a. promptitude de votre esprit, on ne peut se livrer à la­ propagande des idées, on ne peut s'occuper avec un solide succès des œuvres, surtout des oeuvres sociales, des oeuvres économiques, des oeuvres de culture intellectuelle, des couvres de moralisation et même des oeuvres catéchistiques, sans une solide prépara lion de pensée et de cœur, technique même. Voilà tout un champ très large, nécessairement et heureusement très fécond, qui s'ouvre à l'action catholique.

Et, enfin, le grand apostolat de votre vie, toujours exposé au grand jour sans ostentation, mais aussi sans crainte, sans timidité,’aux yeux de tous ceux, : qui verront votre vie chrétienne, catholique, simplement, mais solidement, généreusement et ouvertement telle. Pourrait-il y avoir un autre apostolat qui eût plus d'efficacité que celui dont le grand évêque et martyr saint Cyprien parlait aux persécuteurs de son temps, quand il disait aux païens : «Non multa loquimur, sed vivimus. Nous ne perdons pas de temps a discourir : nous vivons », - et voyez comment nous vivons. Tel est votre apostolat de toutes les heures. Nous vous en félicitons, et Nous, Nous en ressentons Nous-même une paternelle fierté.

La Jeunesse catholique doit-elle faire de la politique?

Et la politique? Nous savons très bien que les jeunes âmes, les esprits ouverts comme les vôtres à tous les genres d'initiative, ne peuvent rester indifférents à un tel sujet. Nous n'entreprendrons pas cependant de traiter à fond. Deux mots nous suffiront, grâce à votre beau Congrès, et grâce à Monsieur Hoyois, qui a fait un si excellent rapport sur « la Jeunesse catholique et la politique ». Ce rapport se terminait en rappelant lés directives que nous donnions Nous­-même, sur le même sujet ; il n'y a pas bien longtemps, à de jeunes catholiques italiens. Eh bien ! chers Fils, Nous n'avons rien à changer à ces directives, rien à ajouter, rien à en retrancher. Il ne Nous reste donc qu'a vous renvoyer à ce que vous avez entendu et à vous engager à y réfléchir très attentivement, pour que vous sachiez exactement à quoi vous en tenir eu cette matière si importante et si difficile, qui ne peut manquer évidemment, de vous intéresser au plus haut degré.

Il faudra enfin se défendre d'une confusion possible et même facile. Il y a des moments où Nous, l'épis­copat, le clergé, Nous semblons Nous occuper de po­litique. Mais on ne s'occupe que de la religion, de la défense de la religion et des intérêts religieux, tant qu'on combat pour la liberté religieuse, pour la sain­teté de la famille, pour la sainteté de l'école, pour la sanctification des jours du bon Dieu. Ce n'est pas là « faire de la politique » : Nous ne le croyons pas, Nous ne le croirons jamais.

Alors, c'est la politique qui a touché à la religion, qui a touché à l'autel. Et Nous, Nous défendons alors l'autel. C'est Notre rôle de défendre la religion, les consciences, la sainteté dés sacrements ; le bon Dieu Nous l'a confié, à Nous, à l'épiscopat, au clergé, aux laïques, aux collaborateurs des apôtres, et surtout à des collaborateurs qualifiés comme vous l’êtes vous­-mêmes, chère Jeunesse catholique, à quelque nation que vous apparteniez, de quelque partie du monde ; que vous veniez...

Il ne Nous reste qu'à vous accorder la bénédiction que vous êtes venus chercher ici, dans cette maison, comme la récompense que le père peut donner à ses enfants très chers. Nous vous la donnons, cette bénédiction, pour féconder les saints exercices par les­quels vous avez enrichi vos âmes des trésors divins. Nous vous la donnons encore pour vous rendre toutes­ les prières que vous avez faites pour le Père commun, ce matin, dans cette admirable communion qui vous a réunis à la sainte Table, dans l'embrassement du Cœur de Jésus. Nous vous la donnons enfin pour qu'elle descende de vous sur chacun de ceux que vous chérissez, ici, et chez vous, suivant les désirs de vos cœurs ; sur la Jeunesse catholique de tous les pays, et en particulier sur tous ses dirigeants, sur ses aumôniers, puis sur vos amis, sur vos familles, sur vos parents, sur vos maisons, sur vos patries, sur toutes, ensemble et sur chacune d'elles.

Et que Notre bénédiction qui descend en ce moment sur vous y demeure toujours et vous accompagne. partout, très chers enfants...

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Frères dont nous avons appris le Décès depuis la Circulaire du 8 Mai 1925.

Noms des Défunts Lieux des décès Date des décès

F. Cloman Profès perp, Ferrières-s-Sicbon (Allier) 22 février 1925

F. Pablo-Serafin Profès temp. Venta de Baños (Espagne) 2 avril

F. Candidien Stable Tambo (Colombie) 12 "

F. Gil-Mariano Profès temp. (Santa Tecla (S. Salvador) 26 , "

F. Joseph-Claude Stable Mendes (Brésil C.) 14 mai "

- Raymond Perez P. Juvéniste Arceniega (Espagne) 20 „

F. Antidius Stable Chagny (Saône.et-Loire) 22

F. Druon Profès perp. S. Maria da B. do Monte (Brésil ; 29

F. Javier-Maria Profès temp. Pontos (Espagne) 30 " "

- Gagnon Lucien juvéniste Lévis (Canada) 30 „ „

F. Marie-Gonzague Novice Collegno (Italie) 2 juin

F. Prospero Profès perp. Murcia (Espagne) 5 " "

E. Agnès „ Ruoms (Ardèche) 7 " "

F. Fréjus Stable Fortaleza (Brésil N.) 7 „ „

- Luis Salazar Castillo juvéniste Arceniega (Espagne) 7 " "

F. Nicolas Profs temp Vegarinza (Espagne) 11

F. Lidorius Profès perp. Pommerœul (Belgique) 17 „

F. Gustavo-José Novice Avellanas (Espagne) 17 -

F. Porphyrius Profès perp St. Genis-Laval (Rhône) 5 juillet

F. Aristhonicus " id. 5 " "

F. Georges-Victor " Ecole (Doubs) 11 „ "

F. Reynier Stable St Hyacinthe (Canada) 11 "

F. Hervianus St. Paul-3-Châteaux (Drôme) 26 „ "

F. Nicostrato-Luis Profès temp. Anzuola (Espagne) 1 août "

F. Quintinien Stable Alger (Algérie) 1 „ "

F. Sigebertus Profès perp, St. Genis-Laval (Rhône) 6 " "

F. Maie-Hormisdas Stable Varennes-s-Allier (Allier) 7 „ "

F. David-Maria Profès temp. Avellanas (Espagne) 13 " „

F. Paul-Adrien Profès perp, Ecully (Rhône) 15

F. Candidus Stable Grugliasco (Italie) 16 " "

E. Cornelio Novice Avellanas (Espagne) 18

F. Marie-Raymond Stable N.-D. de l'Hermitage (Loire) 8 sept. „

F. Hilarien " Pontevedra (Espagne) 11 „

F. Joseph-Bonose Tuy (Espagne) 13 „

F. James „ Dumfries (Ecosse) 21 „

F. Louis-Valérien Profès perp. Pommerœul (Belgique) 21 sept. 1925

F. Firmus Molières (Gard) 25 „ n

F. Victorico-José Novice Valdepolo (Espagne) 26 „ „

F. Anthime Stable Montélimar (Drôme) 27 „ "

F. Narciso-Maria Profès temp. Avellanas (Espagne) 29

F. Marie-Viateur Stable N.-D. de l'Hermitage (Loire) 30 „ "

F. Hiéron Profès perp. St. Paul-3-Châteaux (Drôme) 30 „ "

F. Cyrion St. Genis-Laval (Rhône) 1 octob. "

-James Danlarey Juvéniste Mittagong (Australie) 3 " „

F. Gilles Stable Arlon (Luxembourg Belge) 19 " "

F. Pontique Vanosc (Ardèche) 29 " „

F. Luis-Cecilio Profès temp. Avellanas (Espagne) 31

F. Estanislao-Luis Profès perp. Lujan (Argentine) 3 novem. "

F. Clet St. Chamond (Loire) 4 "

F. Gondebaud Stable Rome (Italie) 7 " « 

F. Herveus Profès perp. Ruoms (Ardèche) 7 " "

F. Alboin Shanghai (Chine) 12 „ „

- Armand Ménard Juvéniste Dans sa famille (Canada) 13 „ "

- Fernandez Cajide Tuy (Espagne) 15 "

F. Marie-Basilide Stable San Maurizio C. (Italie) 20 " "

F. Rolland Profès perp. St. Just-en-Chevalet (Loire) ?6

F. Sauveur " N.-D, de l'Hermitage (Loire) décem. „

F. Rhodien Stable, Pommerœul (Belgique)
La présente circulaire sera lue en Communauté à l'heure ordinaire de la lecture spirituelle.

Recevez, M.T.C.F., l'affectueuse assurance du tendre et religieux attachement avec lequel je suis, en J. M. J.



Votre très humble et tout dévoué serviteur
Frère DIOGENE, Sup. Gén.

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