scriptible è al contempo letteratura e riflessione attiva sulla letteratura (cfr. Bremond, Pavel 1998: 54).
409 «En se liant à la nécessité d’énoncer la fin de toute action (conclusion, interruption, clôture, dénouement), le lisible s’affirme historique. Autrement dit il peut être subverti, mais seulement au prix d’un scandale […] la jeune femme peut ne pas cesser de rire, le narrateur peut n’être jamais tiré de sa rêverie, ou du moins le discours pourrait tout à coup penser à autre chose» (Barthes 2002a: 161). Sulla lettura degli indizi in un testo, aggiungiamo qui che un’attività investigativa durante la lettura ha grande importanza nello sviluppo di un saggio parallelo, come vedremo meglio dagli esempi di Manganelli e Lavagetto.
410 Ivi: 199.
411 Infatti il codice simbolico diventa poi Protection contre la sexualité (lessie 185-186): «La mère généreuse mais abusive (abusive par sa générosité) a refusé au fils l’initiation aux “choses de la vie”, en l’abrutissant de travail […] Bouchardon a condamné Sarrasine au pucelage et a exercé à son égard un rôle castrateur» (ibidem).
412 Anche se, come afferma Barthes in un’intervista del 1971, «le livre S/Z est un objet entièrement différent du séminaire S/Z, séminaire donné avant le livre à l’École pratique des hautes études, bien qu’il s’agisse du même matériel conceptuel» (cfr. Barthes 2002l: 1013-14).
413 Barthes 2011: 138.
414 «Qui parle? Est-ce une voix scientifique, qui, du genre “personnage”, infère transitoirement une espèce “homme”, à charge ensuite de la spécifier de nouveau en “castrat”? Est-ce une voix phénoménale, qui nomme ce qu’elle constate, à savoir le vêtement somme toute masculin du vieillard? Impossible, ici, d’attribuer à l’énonciation une origine, un point de vue» (Barthes 2002a: 152).
415 Barthes 2002b: 703 ss.
416 Dal titolo “Fourier”, già pubblicato parzialmente come Vivre avec Fourier in «Critique», n. 281, 1970.
417 Come osserva Jean Marcel, se in un saggio l’arte o la letteratura danno luogo alla citazione, la vita vi rientra attraverso aneddoti (Marcel 2005: 245).
418 Se per Huglo e Fineman, l’aneddoto produce quando inserito in un altro testo un “effetto di realtà” (Fineman 1989: 56, Huglo 1997: 28), all’opposto per Riendeau infonde un “effetto di finzione” (Riendeau 2000: 45).
419 Per portare un esempio recente, Emanuele Zinato ha osservato che anche nella saggistica autobiografica di Claudio Magris l’aneddoto viene «inserito nel corpo del saggio come un apologo o una parabola» (Zinato 2010: 174).
420 In uno studio collettivo sull’exemplum, Jacques LeGoff ne dà questa definizione: «un récit bref donné comme véridique et destiné à être inséré dans un discours (en général un sermon) pour convaincre un auditoire par une leçon salutaire» (Bremond, LeGoff, Schmitt 1982: 37-38). Per quanto riguarda la sua storia, lo studioso dapprima ne rintraccia la provenienza nell’oratoria classica e nel paradeigma aristotelico, che verrà tradotto in latino proprio con exemplum (ivi: 43) e che inizialmente, al pari di quello antico incentrato sugli eroi, trasferisce il medesimo ruolo ai martiri e santi cristiani (siamo ancora agli inizi del Duecento); poi LeGoff passa a spiegare che «l’exemplum médiéval, au sens où nous l’entendons, ne désigne jamais un homme mais un récit, une histoire à prendre dans son ensemble comme un objet, un instrument d’enseignement et/ou d’édification. Ensuite […] l’exemplum médiéval n’est pas une simple exemplification, une ‘illustration’ de l’énoncé abstrait d’une vérité ou d’une leçon religieuse ou morale […] mais il est lui-même un acte, un argument rhétorique au même titre que d’autre énoncés […] la scolastique des Xe-XIVe siècle a tendance à le confondre avec l’exemplum logique et philosophique qui, le plus souvent dans la tradition néo-platonicienne, a le sens d’archétype et de modèle» (Ivi: 27-28).
421 Ivi: 36-37.
422 «Illustratives d’un écart ou d’un excès par leurs contenus, les anecdotes occupent elles-mêmes une position d’écart ou d’excès dans l’ordre du discours. Cette dynamique est d’autant mieux perceptible que l’anecdote présente une structure narrative autonome capable en elle-même de “marquer son point”» (Huglo 1997: 109).
423 Il punto massimo di riuscità sarà l’autobiografia intellettuale Roland Barthes par Roland Barthes (1975), ma già in S/Z si incontra un passo riguardo il problema dell’inserimento di elementi biografici nel discorso critico: «L’entreprise critique (si l’on peut encore parler de critique) consistera alors à retourner la figure documentaire de l’auteur en figure romanesque, irréparable, irresponsable, prise dans le pluriel de son propre texte: travail dont l’aventure a déjà été racontée, non par des critiques, mais par des auteurs eux-mêmes, tels Proust et Jean Genet» (Barthes 2002a: 296).
424 Barthes 2002b: 853.
425 Sontag 2010: 185-186. Più che a S/Z o Sade, Fourier, Loyola, la studiosa si riferisce alla creazione di un moderno discorso dell’individualità rinvenibile in Roland Barthes par Roland Barthes (1975), in Fragments d’un discours amoureux (1977) e in La Chambre claire (1980).
426 Sartre 1976: 95.
427 Id. 1989: 153.
428 «La topologie inhérente au structuralisme limite l’individu en refusant tout ce qui n’appartient pas au système. Il y a aliénation de l’homme par la limitation des choix possibles, et Sartre a toutes les peines du monde à accepter un système qui entraîne une telle conséquence» (Goldschlager 1986: 189).
429 Sartre 2010: 173.
430 «À part un peu d’emphase creuse et quelque maladresse dans le maniement des abstractions, tout est à louer dans ce mode d’expression: il offre à l’essayiste un exemple et une tradition; il nous rapproche des sources, de Pascal, de Montaigne, et, en même temps, il propose une langue, une syntaxe plus adaptées aux problèmes de notre époque» (ivi: 181).
431 «Discours attrape-tout, l’essai sartrien réinvestit aussi, et de plus en plus, le domaine du roman» (Macé 2006: 191).
432 Per un’analisi delle biografie dal punto di vista psicocritico, soprattutto per un presunto “complesso edipico” di Sartre (perciò da un punto di vista più che altro freudiano) si veda il saggio di Pacaly, Sartre au miroir (1980). Vi si rileggono tutte le biografie alla luce delle rivelazioni personali sulla propria infanzia contenute in Les Mots (1964). Se l’autobiografia permetterebbe assieme al Baudelaire e al Genet di ripercorrere la nevrosi di Sartre, il Flaubert rappresenterebbe invece il campo alla sua psicosi (cfr. Pacaly 1980: 443).
433 Sicard 1981: 163.
434 «The Marxist perspective is only really visible in the last biography on Flaubert. Equally, the term “literary” fails to communicate adequately, I fell, the potentially subversive element in Sartre’s thinking. Critical biography is a credible option although it fails to highlight the ideological and particularly methodological nature of the biographies. Despite its shortcomings, therefore, and in particular the rather pretentious connotations with which the term has become associated in some quarters, “existential” appears to me the designation which most accurately reflects Sartre’s intellectual itinerary over thirty years and the theoretical perspective of the biographies themselves» (Scriven 1984: 29).
435 Cfr. ivi: 39 ss.
436 Sartre 1988a: 18.
437 Ivi: 50.
438 «Il se défait plutôt qu’il n’évolue. D’année en année, on le retrouve identique, plus vieux, simplement, plus sombre, l’esprit moins ample et moins vif, le corps plus délabré» (ivi: 152).
439 Collins 1980: 5.
440 Sicard 1981: 170.
441 «Mentre il critico ottocentesco concepisce il rapporto dell’uomo al suo prodotto secondo lo schema di un passaggio dalla potenza all’atto, Sartre sostituisce all’aristotelismo inconscio e grezzo del “causeur du lundi” e dei suoi epigoni il nesso dialettico tra uomo e opera» (Ambroise 1973: 88).
442 D’altronde «en subgénoros didácticos de exposicin objetiva, tales la historiografia o la biografía, no son pocos los elementos novelescos que a menudo se incorporan» (García Berrio, Huerta Calvo 1992: 220).
443 «Saint Genet n’est qu’un livre de critique, et pourtant sa lecture est une aventure: voilà le mystère […] ce pont jeté entre la “prose“ et la “critique” […] il est certain que, par l’influence, souvent souterraine qu’ont exercée les livres de Sartre (et non plus ses idées), toute notre image de la critique s’est trouvée profondément modifiée» (Todorov 1984: 66). Cfr. anche l’analisi del 1963 di Susan Sontag al Genet (Sontag 1990).
444 Nell’Idiot de la famille, Sartre parlerà a riguardo di Flaubert di una «illumination qui le bouleverse en décembre 1838: je suis l’Artiste, pense-t-il. Comme Jean Genet dira: je suis le Voleur. Y croit-il tout à fait? Croit-il à sa prédestination? […] j’ai raconté ailleurs comment un malentendu me fit croire à huit ans que mon vénérable grand-père m’ordonnait d’écrire. Il n’en fallut pas plus pour que je me crusse chargé de mission. Encore y avait-il là une situation particulière, une famille, un patriarche qui m’indiquait la route à suivre. Nul doute qu’il en soit de même pour beaucoup d’écrivains. Mais Flaubert? Loin de lui montrer la voie, ses parents le décourageaient plutôt de la suivre. Sinon par des paroles, du moins par leur indifférence absolue […] Non: s’il se faisait artiste, c’était contre eux» (Sartre 1988c: 1606).
445 Forse Derrida è stato ispirato non solo da S/Z ma anche dal Saint-Genet, se ricordiamo che Glas è costituito di due testi paralleli, uno proprio su Genet, ma l’altro su Hegel, e come allora spiega Dominick LaCapra: «Aside from specific references to Sartre, one might argue that Sartre, as a theorist who paradoxically attempted to interpret Genet through the dialectical approach developed most forcefully by Hegel, exists in the silent gap that separates their columns» (LaCapra 1978: 241, nota 2). Sulle scritture di Sartre e Derrida su Genet vedi soprattutto Simont (1989).
446 Per Jacques Leenhardt ciò costituisce un primo limite: «En réinstallant, contre les marxistes, l’enfance au cœur de procès d’explication, Sartre court ici le risque de ne plus pouvoir penser l’histoire» (Leenhardt 1986: 273).
447 Sartre 1952: 55.
448 «Cet éternel errant, qui ne possède rien, sauf quelques hardes et de l’argent liquide, qui vit à l’hôtel et change d’hôtel plusieurs fois l’an, ce solitaire s’est bâti un foyer. Quelque part, entre Saint-Raphaël et Nice, une maison l’attend. Je l’y ai vu, entouré d’enfants, jouant avec les aînés et pomponnant les plus petits, discutant passionnément de leur éducation» (Sartre 1952: 534).
449 Infatti provengono dal Journal de voleur (Genet 1982: 54 nota 1).
450 Sartre 1952: 549.
451 «En revendiquant l’objectivité absolue, Genet cesse d’être un opposant particulier à une société historique: il réalise pour tous la forme pure de l’opposition réduite à l’impuissance […] Car nous sommes à la fois des conformistes vainqueurs et des opposants vaincus. Nous cachons tous, au fond de nous-mêmes, une rupture scandaleuse qui, révélée, nous changerait tout à coup en “objet de réprobation”; isolés, blâmés pour nos échecs, surtout dans les petites circonstances, nous connaissons tous l’angoisse d’avoir tort et de ne pouvoir nous donner tort, d’avoir raison et de ne pouvoir nous donner raison; nous oscillons tous entre la tentation de nous préférer à tout parce que notre conscience est pour nous le centre du monde et celle de préférer tout à notre conscience» (ivi: 547). Bisogna anche ricordare che si è parlato di saggio agiografico (Macé 2004: 19) per il Saint-Genet: comédien et martyr per la dimensione spiritualista con cui già dal titolo viene descritto il personaggio di Genet, trasformando addirittura la sua ribellione in persecuzione.
452 «There is nothing comparable to the step-by-step exploration of the early stages of “Constitution” and “Personalization”. Sartre did not make any serious attempt to see Genet as “a singular universal” […] Saint Genet does not […] stand as a milestone in the development of Sartre’s philosophical theory» (Barnes 1981: 414). Inoltre, come osserverà Pierre de Boisdeffre, «il est deux sortes “d’aliénés”: celui qui choisit son aliénation (Jean Genet) et celui qui la subit. Le Flaubert de Sartre commence par la subit, puis la choisit. La “constitution” de Flaubert, c’est sa prédestination. Sa liberté, c’est sa “personnalisation”» (Boisdeffre 1980: 58).
453 Sartre 1976: 105.
454 Per una bibliografia critica completa si combinino quelle in calce a due studi sulla filosofia dell’Idiot: Farina, Kirchmayr 2001 e 2009.
455 Per una panoramica sulla ricezione dell’Idiot cfr. Knight 1985. Bruneau discute le conclusioni di Sartre su Flaubert a partire da premesse documentarie a suo dire incomplete: «Sartre a colmaté les lacunes de sa documentation sur l’enfance de Flaubert par la sienne propre» (Bruneau 1986: 172) e allo stesso tempo critica il suo appoggio alla teoria di Daumesnil della nevrosi di Flaubert, contro una più corretta diagnosi di epilessia (ivi: 174 ss.). Per la ricostruzione arbitraria di Sartre della vita di Flaubert (e altre imprecisioni nelle citazioni) cfr. anche Ji 2007. Riguardo la prognosi medica, però, vale la pena di segnalare che Sartre risponde indirettamente a Bruneau già nell’Idiot: «Malgré la démonstration – très convaincante – de Daumesnil, on discute encore sur la nature des troubles qui ont affecté Flaubert à partir de 44: sont-ils hystériformes ou épileptiques? Mais on admet aujourd’hui que certaines épilepsies ont pour origine l’hystérie […] Il ne s’agira pas de chercher un concept qui les subsume mais de nous demander s’ils ont ou non du sens» (Sartre 1988b: 1796).
456 Si tratta di uno dei dirigenti della “Gauche prolétairenne”, Benny Lévy, a cui Sartre s’apparentò durante il suo periodo di collaborazione col giornale maoista La Cause du peuple. Lévy, che diverrà poi segretario di Sartre nel 1973 e gli resterà vicino fino alla morte (per poi subire una conversione all’ebraismo), aveva manifestato il desiderio che l’intellettuale abbandonasse l’Idiot per scrivere un romanzo “per il popolo” (cfr. Cohen-Solal 1985: 608; Anselmini, Aucagne 2007: 7).
457 Resta curioso che L’Idiot de la famille sia stato spesso ricondotto a Les Mots, quasi fosse un’altra autobiografia nascosta di Sartre: «Les recherches sur la formation du groupe menées dans La Critique de la raison dialectique se prolongent dans le récit d’une révolte de collégiens à Rouen; enfin et surtout l’essai autobiographique des Mots semble avoir nourri à tel point la somme biographique de L’Idiot de la famille» (Lecarme 1972: 85). Convinzione rilanciata anche recentemente dalla critica (cfr. Sawada 2007). Bruno Clement impiega il concetto, forgiato sull’identità narrativa di Ricœur, di énarration, che nel Medioevo indicava tanto il racconto di avvenimenti quanto il commento a un testo: «si je garde décidément le mot d’énarration, c’est bien parce que, désignant sans équivoque une activité de commentaire, il ne manque d’évoquer également le récit» (Clement 1999: 22). L’Idiot de la famille sarebbe allora per Clement un racconto-commento attraverso cui Sartre legge Flaubert per comprendere se stesso, essendo nella sua filosofia l’Altro sempre necessario alla comprensione del Sé.
458 «Il primo consiste in un lavoro regressivo di analisi, di recupero di ciò che ne L’Idiot de la famille chiamerà “costituzione”, cioè dell’insieme delle determinazioni familiari e storiche, dei condizionamenti che originariamente l’individuo interiorizza e che costituiscono il punto di partenza della scelta originaria e della conseguente “personalizzazione”. Il secondo momento consiste invece in un movimento progressivo di sintesi che ha lo scopo di seguire il processo di integrazione totalizzatrice (la “personalizzazione”), cioè il processo dell’interiorizzazione delle determinazioni costitutive all’interno di un progetto totalizzatore e della loro riesteriorizzazione e oggettivazione in atti e opere» (Sportelli 1981: 145).
459 Cfr. Sawada 2007: 75.
460 Si veda Schulten (1991), che studia come l’Idiot de la famille dimostri la reciprocità tra individuo e storia (attraverso un paragone con il pensiero di Dilthey) e Wannicke (1990), che presenta il saggio su Flaubert come uno studio dell’individuo inserito nel dibattito sociologico contemporaneo. Interessante soprattutto il libro anteriore di Müller-Lissner (1977), il cui contributo insiste anche sul nome di genere “romanzo” quando usato da Sartre nell’intervista: vi si tenta poi una filiazione con il Bildungsroman (ivi: 76). D’altronde, si può accennare a un’interpretazione possibile del Saint-Genet come romanzo di formazione.
461 Uitti 1977: 232.
462 Verstraeten 1981: 19.
463 Sarebbero tre definizioni proposte in altrettanti contributi di Michel Sicard (cfr. Kang 1988: 284).
464 Burgelin 1981: 696.
465 Briosi 1981: 147.
466 Lecarme 1972: 85.
467 Tuttavia, questa definizone di Joseph Halpern diventerà una critica negativa: «In reasonable doses L’Idiot is a pleasure to read, and some parts are endlessly fascinating, but they are stranded in three thousand pages of swollen exposition» (Halpern 1976: 117); anche se l’autore gli riconoscerà, parecchie pagine dopo, un risultato stilistico e letterario: «If we read L’Idiot as a novel, as Sartre has asked us to, then it is a novel not only about Flaubert and Sartre, but also about language and the act of writing, and its creative impulse is carried in the search for a new prose form» (ivi: 161).
468 Sartre 1988b: 7.
469 Ad esempio, Oreste Pucciani (1981) ripercorre il rapporto che Sartre ha mantenuto con Flaubert dai suoi primi scritti fino all’Idiot.
470 Sartre 1988b: 8.
471 L’affermazione di Todorov mi sembra infatti non renda ragione di quanto Sartre scrive nella sua prefazione: «C’est bien l’homme qui intéresse Sartre, non l’écrivain» (Todorov 1984: 61).
472 Sartre 1989: 140.
473 «Toutes les langages critiques sont ici rassemblés par le philosophe dans un grand dessein unificateur: langages existentiel, ontologique, phénoménologique, marxiste, psychanalytique, littéraire, philologique, linguistique même» (Lecarme 1972: 84); «The approach to an individual must be placed in the context of the socio-historical reality of the contemporary society as a whole. The method in each case will be characterized by a high degree of reflexivity. What ultimately distinguishes this from other methods is, of course, the fact that the sociological approach is also Marxist and both the Marxist and the psychoanalysis considerably transformed by Sartrean existentialism» (Barnes 1981: 4).
474 Ibidem.
475 Cfr. Briosi 1981: 150 ss. Per nostra agevolezza, si possono esplicitare questi termini apparentemente oscuri come due semplici procedure convergenti: l’analisi regressiva è l’individuazione delle determinazioni storiche, psicologiche, culturali e sociali subite dall’individuo; la sintesi progressiva valuta la risposta che l’individuo fornisce a questi condizionamenti una volta che li ha interiorizzati.
476 I primi due “libri” (capitoli interni) di “La personnalisation” sono una sintesi progressiva dell’adolescente Flaubert sulla base dei condizionamenti della sua infanzia; il terzo libro è un’analisi regressiva dei suoi anni 1838-43: subentrano poi nel capitolo “La dernière spirale” uno studio regressivo della nevrosi e in quello “La crise” una sua analisi progressiva: qui la nevrosi da essere una reazione diventa progetto.
477 Sulle prove fornite da Sartre dalla corrispondenza di Flaubert, Dominick LaCapra fa notare che sono assunte come fossero una realtà storica e non una ricostruzione biografica: «In relation to the correspondence, he rarely perceives that Flaubert’s letters are texts at times as intricate and highly staged as Flaubert’s fiction» (LaCapra 1978: 201). Proprio per questo l’autore sostiene che L’Idiot è un romanzo. In realtà, la corrispondenza di Flaubert, per Sartre, è già un medium di un immaginario individuale: le lettere sono una ricostruzione sempre connessa all’universo “Flaubert”.
478 Sartre 1960: 91.
479 Sartre 1988b: 10-647.
480 «Flaubert, quand il dit Je, n’est jamais sincère, il joue, il arrange, il s’arrange; sa Correspondance et ses rares tentatives autobiographiques doivent être consultées avec circonspection: s’il dit vrai, c’est à son insu; ce qui n’est pas dit et qui manque est beaucoup plus révélateur que la confession publique ou les confidences privées. Par contre, quand il parle d’un personnage étranger – celui-là même dont il dit ensuite: c’est moi – tout passe; garantie par le statut d’imaginarité, la vérité s’installe, imprègne peu à peu la créature» (ivi: 174).
481 «De fait, ses premières œuvres parlent sans cesse de son enfance. Et, bien sur, chacun ne cesse de dire l’enfant qu’il fut, qu’il est: mais, à certaines époques, on en a moins conscience qu’à d’autres, on décrit ce temps passé, indépassable, sans le savoir. L’adolescence, en particulier, est souvent rupture: on pense au présent, à l’avenir, on décrit ce qu’on croit être aujourd’hui, on veut savoir ce qu’on sera. Gustave, à quinze ans, dans plusieurs de ses récits, parle sciemment de sa petite enfance: en particulier de ses hébétudes et de ses tourments devant l’abécédaire […] il faut laisser cette vie se développer sous nos yeux» (ivi: 27).
482 «Bien que nos descriptions antérieures se soient efforcées de ne rien laisser dans l’ombre, nous n’avons jamais atteint la