Institut national des sciences appliquees de lyon



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4.7 ANNEXE :

4.7.1Liste des trames



. Trames de base en mode dissymétrique


Commandes

Réponses

code: bits 876 43

I

I




RR

RR

N(R) 00

RNR

RNR

N(R) 01

SNRM




100 00

SARM

DM

110 00

DISC




010 00




UA

011 00




FRMR

100 01

Trames de base en mode symétrique (ex:LAPB)



Commandes

Réponses

code: bits 876 43

I

I (*)




RR

RR

N(R) 00

RNR

RNR

N(R) 01

SABM




111 00




DM

110 00

DISC




010 00




UA

011 00




FRMR

100 01


(*) Remarque: LAPB -> option 8: cette trame est supprimée option 2: trame REJ ajoutée

Trames optionnelles





Commandes

Réponses

code: bits 876 43

REJ

REJ

N(R) 10

SREJ

SREJ

N(R) 11

SNRME




110 11

SABME




011 11

SARME




010 11




RD

010 00

SIM

RIM

000 01

TEST

TEST

111 00

XID

XID

101 11

UI

UI

000 00






Options




* communes aux deux modes

Commandes Réponses


1 ajouter XID ajouter XID

ajouter RD

2 ajouter REJ ajouter REJ

3 ajouter SREJ ajouter SREJ

4 ajouter UI ajouter UI

5 ajouter SIM ajouter RIM

7 adressage étendu


* mode dissymétrique

Commandes Réponses


8 enlever RR enlever I

9 enlever I enlever RR

10 séquencement étendu enlever SNRM ou SARM

ajouter SNRME ou SARME

13 ajouter TEST ajouter TEST

* mode symétrique

Commandes Réponses


8 enlever I

9 enlever I

10 séquencement étendu enlever SABM

ajouter SABME



4..7.2. Automates simplifiés




4.7.21 Modes de fonctionnement

Nota : Un incident fait repassé le système dans l'état "sous-tension" quelque soit son état actuel


SxyM désigne une trame de connexion :
· SABM en mode symétrique (Set Asynchronous Balanced Mode)

· SNRM en mode disymétrique normal (Set Normal Remote Mode)

· SARM en mode disymétrique autonome (Set Asynchronous Remote Mode)



Les automates suivants décrivent le fonctionnement du système en mode

opérationnel.






4.7.2.2 Connexion -Libération

Station ou fonction initiatrice





Station ou fonction acceptrice





4.7.2.3 Transfert de données : contrôle de flux, contrôle d'erreurs


Station ou fonction source










Station ou fonction Collecteur












4.7.2.4 Transfert de données en mode dissymétrique normal (SNRM) : Scrutation

Station primaire










Station secondaire


RESEAUX LOCAUX




  1. Définitions. Domaines d'application




1.1 Définitions



Au sens de l'utilisateur :
Un réseau local est un ensemble d'équipements informatiques ou informatisés : ordinateurs, terminaux, systèmes de traitement de textes, automates programmables, robots, etc.) interconnectés implantés dans une zone géographique restreinte (immeuble, atelier, campus...)

Au sens technique restrictif :
Un réseau local est une liaison de données multipoint à commande distribuée d'une portée limitée à quelques centaines de mètres.

Abréviations :
L.A.N. Local Area Network

Il s'oppose au réseau étendu ou "géographique" :



W.A.N. Wide Area Network

Il est complété par des réseaux plus petits :

S.A.N. Short Area Network

ou plus étendus (sur quelques kilomètres) :



M.A.N. Metropolitan Area Network

( parfois : Multiples Areas Network)



1.2. Domaines d'application - Contraintes



Il est usuel de distinguer deux domaines d'application privilégiés pour les réseaux locaux :

- Gestion, bureautique, etc. (secteur tertiaire)

- Production automatisée (secteur secondaire)

Dans le premier cas on parle de " réseaux locaux d'entreprise ", dans le second, de " réseaux industriels ".


Ces deux domaines se distinguent plus par les contraintes de temps et de sécurité qui pèsent sur les échanges que par les structures des informations échangées qui se recouvrent en grande partie.
Dans le domaine des réseaux locaux industriels, il n'est pas possible actuellement de traiter toutes les applications avec un seul type de réseau et on trouvera en annexe une analyse plus détaillée des besoins et des types de réseaux utilisables tenant compte de la "hiérarchie des applications" . Pour les réseaux locaux d'entreprise nous trouverons des applications classiques et variées par exemples :
- Transfert de fichiers

- Applications graphiques

- Traitement de textes

- Messagerie, courrier électronique

- Consultation de bases de données

- Systèmes conversationnels, transactions

- Voix numérisée (téléphonie)

- Images numérisées

Nous noterons en particulier le souhait encore souvent mal satisfait de n'implanter qu'un seul réseau pour acheminer les données et la voix (téléphonie numérique) dans un début de Réseau Numérique à Intégration de Services (RNIS ou RTID : réseau intégrant téléphone et données).

Pour les applications industrielles il est aussi très utile de pouvoir transporter sur le même support des images vidéo (télévision) actuellement sous forme analogique.


Les données échangées sur ce type de réseau sont diverses Cette diversité est illustrée dans le tableau suivant où l'on a noté la taille des messages, les délais de transmission recherchés et la nature périodique ou apériodique des échanges.






Taille

Nature

Délais

Capteurs/Actionneurs

1 à 100 b

périodique

1 à 50 ms

Alarmes

1 à 100 b

apériodique

# 0 ms

Robots à vision

106 à 107 b

périodique

50 ms

Terminaux / Automates

102 à 103 b

apériodique

0,1 à 1 s

Ordinateurs (fichiers)

103 à 106 b

apériodique

1 à 5 s

Téléphone

300 à 2000 b

périodique / apériodique

5 à 30 ms



2 Place dans le modèle d'interconnexion des systèmes ouverts

Au sens strict, les spécifications d'un réseau local ne relèvent que des couches 1 (Physique) et 2 (Liaison de données). Pour l'interconnexion de réseaux locaux on utilise des logiciels de niveaux 3 (Internet).

Au sens large, les logiciels de communications pour les réseaux locaux couvrent les 7 couches du Modèle de référence. Toutefois, pour les couches hautes (4 à 7), on ne trouve des protocoles spécifiques qu'au niveau Application. Ils sont beaucoup plus liés aux besoins des utilisateurs qu'à l'aspect local du réseau. Normalement on utilise des sous-ensembles ou versions adéquats des protocoles OSI valables pour tous les réseaux (par exemple transport classe 4) .
Pour les couches 1 et 2, l'OSI a repris dans l'ensemble de standards 8802 les propositions de l'IEEE.
On trouve actuellement 6 standards dont l'organisation est illustrée dans le schéma ci-dessous.

Comme noté sur ce schéma, les standards 8802 découpent la couche 2 "Liaison de données" en deux sous-couches :


* Liaison de données logique

* Accès au médium


Le standard 8802.1 ne correspond pas à une sous-couche réellement implantée mais décrit les mécanismes généraux, le service fourni, etc.
Le standard 8802.2 traite de la sous-couche liaison logique (LLC) et prévoit deux modes de fonctionnements : avec et sans connexion. En mode "connecté", il reprend un sous-ensemble du protocole HDLC. En mode sans connexion, il ne garde de ce protocole que les trames d'information non-séquencées (UI) .
La sous-couche "Accès au médium" (MAC) et la couche Physique sont traités conjointement dans quatre standards correspondant à des choix techniques différents et incompatibles entre eux.

8802.3 Bus à compétition (par ex. TOP, Ethernet)

8802.4 Bus à jeton (par ex. MAP)

8802.5 Anneau à jeton (par ex. Anneau IBM)

8802.6 Réseau métropolitain (DQDB, ATM ?)

D'autres standards sont en préparation (8802.7 à 8802.9 ou plus ....)





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