Concerts.
Rock, pop, électro, chanson, hip-hop, musiques du monde... Pour ne rien manquer en janvier.
Cecilem plus Vincent Cros. Du 4 au 7 janvier. Cabaret A Thou bout d’Chant.
Noz. Du 11 au 14 janvier. Cabaret A Thou bout d’Chant.
James Blunt. Jeudi 12 janvier. Transbordeur.
Slim Kut. Vendredi 13 janvier. Ninkasi kafé.
Diams. Jeudi 19 janvier. Transbordeur.
Deep Purple. Jeudi 19 janvier. Halle Tony Garnier.
Georges Moustaki. Vendredi 20 janvier. Auditorium.
Missill. Samedi 21 janvier. Ninkasi Kafé.
Alain Chamfort. Mardi 24 janvier. Ninkasi kao.
Killah Bees (Wu Tang) plus 4 My People. Dimanche 29 janvier. Transbordeur.
La Grande Sophie. Vendredi 3 février. Transbordeur.
Adult. Samedi 4 février. La Plate-forme.
Dépêche Mode. Samedi 4 février. Halle Tony Garnier.
Maxime Le Forestier. Dimanche 5 février. Bourse du travail.
Services au public.
Kiné respiratoire : 08’20'423'523.
À retenir pour la période hivernale. Pour contribuer aux soins hors hôpital des pathologies respiratoires enfants et adultes, la Coordination respiratoire de l’agglomération de Lyon (coral) permet aux médecins hospitaliers et libéraux, ainsi qu’aux familles de contacter l’équipe de kinésithérapeutes spécialisée la plus proche du domicile du patient. Numéro unique : 08’20'423'523.
Stationnement résidentiel : pensez à renouveler votre vignette.
Vous bénéficiez d’une (ou deux) vignette(s) de stationnement résidentiel. Même si elle vous a été attribuée récemment, chaque vignette va arriver en fin de validité. Désormais, il vous sera remis une vignette (ou deux maximum) valable un an de date à date, avec mention de l’immatriculation, non autocollante, à glisser dans un étui plastique traité anti-UV fourni avec un autre étui destiné au ticket. Pour obtenir gratuitement vos nouvelles vignettes (maximum 2 par foyer) et les étuis, il vous suffit de vous rendre dès maintenant à votre mairie d’arrondissement (adresses et horaires en pages Lyon arrondissements) muni des pièces justificatives : carte(s) grise(s) de votre (ou de vos deux) véhicule(s) ; taxe d’habitation (bail de location, si vous êtes résident depuis moins d’un an) ou acte notarié de propriété ; justificatif de domicile de moins de 3 mois (facture EDF-GDF, téléphone) ; s’il s’agit de véhicule(s) de location, contrat(s) au nom du résident. Si la carte grise n’est pas à votre nom : véhicule de société, présenter une attestation employeur certifiant que vous êtes bien le conducteur et que le véhicule est utilisé aussi à titre personnel ; véhicule d’un parent, présenter une attestation d’assurance du propriétaire mentionnant que vous êtes conducteur.
Cap Canal. Concours “Toi et moi”.
À la rentrée, Cap Canal proposait aux enfants un concours d’écriture de film documentaire sur le thème : “Toi et moi...., vivre ensemble à l’école”. Il est encore temps de participer. Pour cela les enfants doivent : choisir un sujet sur ce thème des différences et justifier leur choix ; faire des recherches ; rédiger et illustrer un plan détaillé du film qu’ils veulent voir réalisé. Premier prix : la réalisation de leur scénario par des professionnels, puis un appareil photo numérique, des DVD, livres, trousses... Des cadeaux sont bien sûr prévus pour tous les participants. Projets à rendre d’ici au 28 février 2006. Renseignements et inscriptions : 04’72’10’32’17 ou www.capcanal.com
Voitures épaves : la solution gratuite.
Pour contribuer à la protection de l’environnement, lutter contre les abandons de voitures sur la voie publique et mettre un terme à une contrainte forte pour les personnes concernées, les propriétaires de voiture épave peuvent désormais s’en débarrasser gratuitement en la déposant à la société GEFA (Gestion enlèvement fourrière automobile), mandatée par la Ville de Lyon. Celle-ci prend en charge la destruction du véhicule, dépollution incluse. Comment faire? C’est très simple. Contacter GEFA au 04’37’28’71’90 du lundi au samedi de 7 h à 20 h. Se présenter chez GEFA muni de la carte grise du véhicule cédé et d’une photocopie de sa carte d’identité afin d’établir le certificat de cession.
Lyon demain s’explique. Les berges du Rhône autour d’un verre.
L’association Pérégrinalyon propose d’échanger, autour d’un verre aux “Cafés escales”, idées et opinions sur le Rhône, l’aménagement de ses berges, son patrimoine et ses usages. Franck Scherrer, professeur à l’Institut d’urbanisme de Lyon, animera les thématiques urbaines du fleuve ; Dominique Rey, conteuse de ville, les thématiques patrimoniales. Un ou deux invités se mêleront au débat public. Jusqu’en juillet 2006, chaque premier jeudi du mois de 18 h 30 à 20 h, péniche café-restaurant Le river boat, face au 2 quai Augagneur (3me). 04’78’27’64’47.
Vie citoyenne télévisée.
Conseil municipal. Pour permettre à tous de suivre les débats du Conseil municipal, chaque séance est retransmise à partir du lendemain sur TLM. Le mardi à minuit : l’intégral ; le samedi à 11 h et le dimanche à 9 h 30 : résumé de 52 minutes. Pensez à programmer votre magnétoscope. Prochaine séance : le 16 janvier.
Lyon Citoyen TV. Chaque mois, retrouvez le magazine de la Mairie de Lyon sur TLM (13 minutes) multidiffusé à partir du 3me ou du 4me lundi. Calendrier de multidiffusion : lundi 18 h, mardi 18 h 15 et 22 h 15, mercredi 13 h 45, vendredi 15 h 45, 17 h 45 et 20 h, samedi 9 h 45 et 20 h, dimanche 19 h 15 et 22 h 15. Prochaine émission : à partir du 23 janvier.
Vie citoyenne sonore.
Pour les non-voyants. Dès maintenant, en plus des versions braille et cassette audio, Lyon Citoyen est disponible sur CD (MP3) et en ligne sur le site de la Ville de Lyon en format accessible à l’aide d’une synthèse vocale ou d’une plage braille. www.lyon.fr
Quartiers.
Mairie. Balades urbaines.
Deux parcours accompagnés (durée 2 h environ) au choix.
1er. ”Saints et madones au coin de nos rues” avec Catherine de Rivaz et “La rue résiste” avec Armelle Chitrit, rendez-vous mairie du 1er, 2 place Sathonay.
2me. “Par-delà la rue de la Ré” avec Marc Fontaine et “Les rues du Confluent” avec Audrey Clément, rendez-vous mairie du 2me, 2 rue d’Enghien.
3me. “Le 3me, mosaïque culturelle” (accessible aux personnes à mobilité réduite) avec Évelyne Rousse-Hoppenot et “La Part-Dieu, une rue commerçante couverte” avec Christine Pitiot, rendez-vous mairie du 3me, 215 rue Duguesclin.
4me. “Passionnante Croix-Rousse, la rue témoigne” avec Zoé Flachat Regnault et “Les rues croix-roussiennes : à chacune son histoire” avec Véronique Bonfils, rendez-vous mairie du 4me, 133 boulevard de la Croix-Rousse.
5me. “Sur les pistes de la nature en ville...” avec Christophe Darfeuil, rendez-vous parking devant la basilique de Fourvière et “Saint-Georges, Saint-Jean, Saint-Paul, trois saints, trois quartiers...” avec Arlette Parente, rendez-vous métro Vieux-Lyon.
6me. “Si la rue m’était contée” avec Roselyne Nevoret et “La rue et ses indices” avec Marie Chaveneau, rendez-vous mairie du 6me, 58 rue de Sèze.
7me. “Histoires de tracés entre Jean Macé et Gabriel Péri” avec Cécile Naouri, rendez-vous mairie du 7me, place Jean Macé et “La rue... et vers l’art” avec Pauline Dumontet, rendez-vous métro Stade de Gerland.
8me. “Mon Plaisir : sous les pavés... l’Histoire” avec Catherine Chambon, rendez-vous place Ambroise Courtois et “De Berthelot au boulevard des Allongés : dédales de l’histoire” avec Véronique Poty, rendez-vous mairie du 8me, 12 avenue Jean Mermoz.
9me. “Des routes royales aux grands axes de Vaise” avec Delphine Godefroy, rendez-vous mairie du 9me, 6 place du Marché et “Rues, ruelles, avenues et sentiers à la Duchère” avec Dominique Jacotet, rendez-vous mairie annexe de La Duchère, Tour panoramique.
Dimanche 15 janvier à 14 h 45. Réservation obligatoire soit à l’accueil mairie du 9me, soit du lundi au vendredi midi précédant la balade au 04’72’10’30’30.
1er arrondissement.
Martinière. Elle est belle ma Halle!
Un boucher, un poissonnier, des primeurs, un fromager, des produits issus du commerce équitable..., la Halle de la Martinière possède tous les atouts pour séduire les habitants du quartier et d’ailleurs. Après vous...
Dans la famille commerce de proximité, je choisis la Halle de la Martinière. Cent soixante cinq ans qu’elle est en activité. Cent soixante cinq ans que les habitants du quartier viennent s’y approvisionner en produits frais. Justement les produits se sont diversifiés ces derniers temps. Jusqu’en 2004, et avant les travaux pour la rendre plus fraîche et plus belle, elle abritait un boucher, un commerçant en fruits et légumes et un autre qui propose en plus des fromages et du vin “Le jardin de la Martinière” mené de main de femme passionnée, Mme Messad, installée là depuis quatorze ans. C’est avec plaisir qu’elle a vu s’intégrer dernièrement de nouvelles recrues qui complètent l’offre déjà alléchante : une boutique de commerce équitable, Éthiquable, et un poissonnier Leclerc. “Il fait des huîtres le samedi matin”, glisse-t-elle dans un sourire. Rien de tel pour bien commencer le week-end.
Pas de fruits de mer évidemment chez Éthiquable mais des produits solidaires c’est-à-dire fabriqués par des petits producteurs défavorisés des pays du Sud rémunérés à leur juste valeur dans le respect des droits sociaux et la préservation de l’environnement. “Nous commercialisons habituellement en grandes surfaces, nous sommes la première boutique de vente directe à avoir ouvert en France”, annonce fièrement la responsable Renatta Lasso, “cela nous donne l’opportunité d’expliquer notre démarche”. Nul doute que les clients se laissent séduire par la cinquantaine de thés, la dizaine de cafés, les chocolats fins et en tablettes, les jus de fruits, les compotes, les confitures, les riz... qui ornent les rayons. Décidément, le commerce de proximité, ça a du bon.
Halle de la Martinière ouvert du mardi au samedi de 8 h 30 à 19 h 30.
Mairie. À la recherche du temps passé.
Le patrimoine de votre arrondissement vous passionne? Alors vous êtes tout désigné pour participer à l’opération “Découvrir, faire connaître le patrimoine de son quartier” mise en place par la mairie du 1er. Il s’agit de préparer une exposition et une visite guidée en vue des Journées du patrimoine 2006. Les habitants intéressés devront repérer et photographier les traces de l’histoire, retrouver d’anciennes photos ou dessins, rechercher l’histoire des lieux et des objets, recueillir la mémoire des anciens. Première réunion le 9 février à 18 h 30 en mairie. 04’72’98’54’20 ou nawelle.krimou@mairie-lyon.fr
Terreaux. De sortie.
Amoureux des danseuses de Degas, vous allez être comblés! Le musée des Beaux-arts présente jusqu’au 30 janvier une quinzaine de pastels, dont le fameux “Café-concert des Ambassadeurs”, et dessins du peintre. Appartenant à la collection d’arts graphiques et modernes du musée, fragiles, ceux-ci sont très rarement présentés. C’est le moment d’en profiter. 20 place des Terreaux, 04’72’10’30’30.
Pouteau. Danse.
Le défilé de la Biennale de la danse 2006 se prépare en coulisses. Dans cet objectif, le centre social Grand’côte propose des journées de danse contemporaine et de danse théâtre s’inscrivant dans le projet du théâtre du Mouvement. Rendez-vous est donné aux 12-16 ans les 27 février, 24 avril et 10 juillet. Dansez maintenant... 6 bis rue Pouteau, 04’78’28’46’77.
Gal Giraud. A l’apéro.
La compagnie Skémée système d’approche lance ses “En chantiers”, “divertissements citadins ou moment artistico-politico-ludique” ouvert à tous au moment de l’apéro, de 18 h 30 à 21 h, un vendredi par mois. Le 13 janvier : brasero, marrons chauds, virée sous des “lampes à intimité”, fanfare Le bus rouge, jeu avec Artisans du monde et chorale révolutionnaire. Tout un programme... 36 cours du Général Giraud, 04’72’07’09’64.
2me arrondissement.
Confluent. Musique en gros.
Nouvelle adresse sur la liste des salles de concert distillant les musiques actuelles : le Marché gare. Gérée par la MJC Perrache, elle apporte 300 places supplémentaires pour faire bouger ses pieds.
La “musique actuelle” est, par différence avec la musique acoustique, amplifiée. Elle peut donc toucher tous les genres. Dans l’ancienne salle Basset, et nouveau Marché gare, on écoutera du reggae, de l’électro, du rock... Avec ses 300 places debout, elle vient en complément de ses homologues le Bistroy (1er) pouvant accueillir 100 spectateurs et le Kao (7me) et sa jauge de 600 personnes. Comme ses prédécesseurs, le Marché gare est inscrit dans le réseau Emergence mis en place par la Ville de Lyon, avec le soutien de la DRAC, qui promeut des lieux de diffusion de théâtre, danse et musiques actuelles.
“Nous développons les musiques actuelles depuis 2002”, rappelle Taraï Isabelle, chargé du projet Marché gare “qui porte sur l’émergence et le soutien aux groupes en voie de professionnalisation”. Ainsi en dehors des 45 dates de concert par an, dont une trentaine pour des groupes locaux et régionaux, le Marché gare accueillera 15 résidences. Elles seront de deux types : les résidences sanctionnées par la création d’un spectacle pour les groupes plus expérimentés et les répétitions montées réservées à ceux ne s’étant jamais frottés à la scène. “Nous les aiderons à répondre à la question : qu’est-ce que cela implique de vouloir être professionnel?”. L’aménagement strict de la salle, dont la scène occupe le tiers de l’espace contre deux tiers le public, relève de la même préoccupation. “La scène est volontairement grande (50 mq) pour que les artistes travaillent de façon confortable et qu’ils se préparent à affronter des scènes encore plus grandes ensuite”. Les Weepers circus, qui étrennent la salle fin janvier, ont déjà passé ce cap.
Poulaillerie. Gros poisson.
Le musée de l’Imprimerie accueille actuellement, et jusqu’au 12 février, les gravures originales d’un prix Nobel de littérature. Rien que ça! L’auteur allemand Günter Grass a d’abord étudié les arts graphiques et la sculpture avant de leur préférer la littérature et le théâtre. Il poursuit toutefois la gravure et réalise pour illustrer son roman “Der Butt” (“Le turbot”) 25 gravures originales aujourd’hui présentées à Lyon. Comme son livre, elles reflètent l’engagement de l’auteur dans les mouvements pacifiste et écologique. 13 rue de la Poulaillerie, 04’78’37’65’98.
Célestins. Crèche Savoie.
Dans le cadre de son plan Petite enfance, la mairie de Lyon fait accélérer le dossier de la crèche Savoie. Ainsi des études sont lancées dès maintenant afin de réaliser dans les meilleurs délais une crèche au 7 rue de Savoie. Celle-ci proposera aux familles de l’arrondissement plus de quarante berceaux.
Charité. En soie.
Entre les mains d’Akihiko Izukura, la soie se transforme en tissus de vent et de lumière aux formes et couleurs issues du monde végétal ou animal. Dans son travail, cet artiste japonais recherche l’harmonie entre l’homme et la nature. A voir du 25 au 28 janvier au 8 rue de la Charité.
Bichat. Du cœur.
Les Restos du cœur ont repris du service. Rue Bichat, le centre de distribution dessert non seulement le 2me arrondissement mais aussi les 1er et 6me. Une soixantaine de bénévoles y officient. Démarrée début décembre, la campagne s’achèvera fin mars. Distribution le mardi de 14 h à 16 h et le jeudi de 9 h à 12 h et de 14 h à 16 h. 04’78’37’94’65.
3me arrondissement.
Maisons neuves. Jules Verne aura son gymnase.
Des grues s’affairent rue Jules Verne. Elles sont en action pour offrir dès la rentrée de septembre 2006 un gymnase tout neuf aux écoles, associations et clubs de sport avoisinants.
Un grand parallélépipède qui occupera tout juste l’espace du terrain en contrebas qui jouxte le stade Vivien Foé : le gymnase Jules Verne sera, selon le jargon, un gymnase omnisports de type C. Traduction, il sera adapté à la pratique des sports d’équipe suivants : handball, basket, volley et badminton. Il sera d’ailleurs homologué au niveau régional pour le handball. En outre, des ancrages seront réalisés pour recevoir des agrès de gymnastique. La salle sera simple, fonctionnelle. Petite “fantaisie” toutefois, le cabinet d’architectes Audart-Favaro associés a proposé de profiter de la position en contrebas du terrain pour échafauder un hall d’entrée plus haut que la salle avec une baie vitrée offrant un panorama sur le terrain aux visiteurs.
Confort visuel grâce à un bardage en matériau translucide pour toiture avec une charpente métallique qui laissera la lumière naturelle pénétrer généreusement sans gêner les joueurs. Le confort acoustique sera lui assuré par des perforations dans la face intérieure des murs ayant pour effet d’absorber les bruits. Ces murs seront réalisés à partir de briques en terre cuite, matériau respectueux de l’environnement. Un ascenseur permettra l’accès des personnes à mobilité réduite. Budget global : 2 ME. A noter, le chantier n’aura aucune incidence sur le stade Marc-Vivien Foé qui restera ouvert pendant toute la durée des travaux.
Maréchal de Saxe. Des rustres...
Comédie à l’italienne au programme du théâtre Tête d’or ces prochaines semaines. Les Galabru, père, fille et fils, se retrouvent sur la scène pour offrir la version de Francis Joffo de la pièce “Les rustres” de Carlo Goldoni. Les rustres, ce sont des hommes un peu trop empressés d’arranger le mariage de leurs enfants à l’insu de leurs épouses. Ces dames trouveront le moyen de régler leurs comptes. Tel est pris qui croyait prendre. Du 5 janvier au 17 février, 60 avenue Maréchal de Saxe, 04’78’62’96’73.
Part-Dieu. Débat.
“Symboles et rituels sportifs dans le monde contemporain” est le sujet que va aborder, le 12 janvier de 18 h à 20 h, Christian Bromberger, professeur d’ethnologie et directeur de l’Institut d’ethnologie méditerranéenne et comparative, dans le cadre du cycle de conférences-débats organisés par Economie et humanisme et le Grand Lyon. Instructif. 20 rue du Lac, 04’72’71’66’66.
Vendôme. A l’ouest.
Paysages épurés, contours imprécis, couleurs incertaines, utilisation du carré format réservé habituellement au portrait..., Jérémie Kerling vous entraîne dans son voyage photographique “à l’ouest”. La trentaine de clichés présentée à la Maison pour tous-Salle des Rancy forme un ensemble apaisant. Jusqu’au 27 janvier. 249 rue Vendôme, 04’78’60’64’01.
Guillotière. Cocon.
Lieu de rencontre et de parole, le Jardin couvert apporte depuis plus de vingt ans une réponse à la solitude de certains jeunes parents. Il les accueille avec leurs enfants, de la naissance à quatre ans, du lundi au samedi de 14 h 30 à 18 h 30, pour échanger avec d’autres parents pendant que leurs petits font, à leur rythme, leurs premiers pas dans la vie en société. 12 rue Auguste Lacroix, 04’78’71’04’78.
4me arrondissement.
Dumont d’Urville. Un peu de chaleur.
Pour cause de travaux dans la Maison des associations qui les hébergeait, les Restos du cœur qui couvrent le 4me et Caluire ont déménagé. La distribution se poursuit dans les anciens ateliers de mécanique de la SEPR.
C’est comme une épicerie mais avec moins de produits. Et puis des chiffres écrits en gros remplacent les prix. “Ici on compte en points”, explique Catherine Guillot. Depuis cette année, c’est elle qui gère les Restos du cœur du 4me et de Caluire. Elle n’est pas arrivée à ce niveau de responsabilités par hasard. Quatorze ans que Catherine offre son temps aux Restos. Alors forcément “le métier est rentré”. Un métier qu’elle exerce comme bénévole. Son mari fait aussi partie de cette aventure qui, pour Coluche, ne devait pas durer. Depuis, la précarité ne fait que progresser. Entre le lancement de la campagne en novembre et la mi-décembre, Catherine avait déjà inscrit 150 familles. “C’est beaucoup plus que l’an passé. Ce qui surprend, c’est la recrudescence de personnes qui travaillent”, décrit-elle. Elle est entourée de plus d’une trentaine de bénévoles dont quelques-uns sont des bénéficiaires des Restos. Ils enregistrent les inscriptions, déchargent le camion de livraison, reconditionnent les produits qui le nécessitent, font le ménage... Ils ont ainsi complètement réaménagé le local où les Restos sont installés le temps des travaux de la Maison des associations. Difficile de croire qu’ici des jeunes apprenaient à réparer des voitures... Tout est blanc, sent le propre, des nappes aux couleurs vives font flotter un air de Provence. L’équipe n’a pas ménagé sa peine pour offrir un lieu accueillant aux bénéficiaires qui viennent aussi chercher un peu de chaleur.
Gillet. La toile pour tous.
Depuis août 2004, l’association “Si t’es gone”, dans le cadre du Programme lyonnais pour la société de l’information piloté par la Ville de Lyon, a ouvert un pôle multimédia au rez-de-chaussée du foyer Sonacotra au 53 quai Gillet. Cinq ordinateurs sont mis à la disposition des résidents du foyer (pour leurs démarches administratives et la réalisation de CV) comme des habitants du quartier. “Le mercredi beaucoup d’enfants viennent surfer” note Thierry, l’animateur. Ça crée du lien... Ouvert le lundi de 14 h à 19 h, du mardi au vendredi de 10 h à 12 h et de 14 h à 19 h, un samedi sur deux, 04’78’29’11’60.
Canuts. Du miel.
Le miel est bon en toutes saisons mais encore plus en hiver car il aide à lutter contre les microbes. Pour en faire provision, un conseil : rendez-vous à la Foire aux miels et produits du terroir organisée par le Syndicat d’apiculture du Rhône les 14 et 15 janvier de 8 h à 12 h et de 14 h à 18 h à la salle de Ficelle. Au menu : exposition sur les abeilles, découverte d’une ruche, démonstration de cuisine et dégustations. Entrée libre. 65 boulevard des Canuts.
Jean Jullien. En famille.
“Les mille et une façons de jouer nos rôles de parents”, “les pères et leurs enfants : paternité d’aujourd’hui”, “attendre un enfant, dans ce corps qui change!”, “programmation de l’accouchement : quelles conséquences?” sont les thèmes des conférences, ateliers et débat inscrits à la programmation de janvier de la Maison de la parentalité et de la naissance. Ça peut aider... 6 bis rue Jean Jullien, 04’78’27’96’08.
Croix-Rousse. Douceurs.
Du 4 au 12 février, Lyon va faire sa fête à la bugne! L’Association des métiers de bouche a eu l’idée de mettre à l’honneur ce produit typiquement lyonnais chez les boulangers, les pâtissiers et les charcutiers où le public pourra la déguster. En point d’orgue : le lancement de la manifestation par un événement festif et une démonstration de fabrication de bugnes le 4 février à la Croix-Rousse. 04’37’28’51’80.
5me arrondissement.
Saint-Georges. Soixante à la Quarantaine!
Au printemps prochain, il n’y a pas que les arbres qui bourgeonneront sur les quais de Saône. Une crèche de 60 berceaux et un Relais d’assistantes maternelles vont également éclore, rue de la Quarantaine, en mars. Un bouquet que sauront apprécier les familles du quartier.
La Société anonyme de construction de la Ville de Lyon (SACVL) sème actuellement, au 19 de la rue de la Quarantaine, les graines de ce qui va devenir le nouvel établissement d’accueil des bouts de choux. D’une surface de 750 mq, comportant trois niveaux desservis par un ascenseur, il remplacera la crèche située de l’autre côté de la rue qui comportait vingt berceaux pour en contenir désormais soixante. A la place, au 34 rue de la Quarantaine donc, un relais d’assistantes maternelles où celles-ci pourront se retrouver, échanger, se former, s’informer... Comme dans la précédente crèche, les petits d’homme seront choyés par l’association “Les p’tits malins” et son équipe de 25 personnes.
Tout a été pensé pour qu’ils bénéficient du plus grand confort. Des vitrages de protection solaire et des stores d’occultation partielle ou totale, et une attention toute particulière portée au traitement acoustique sur les façades, menuiseries extérieures, revêtements intérieurs (sols, murs et plafonds) et toiture, leur permettront de faire la sieste tranquillement, bien isolés qu’ils seront du bruit généré par la circulation automobile sur le quai. A l’extérieur, ils profiteront des beaux jours sur une terrasse aménagée sur le toit. De quoi pousser à son rythme en toute sérénité!
Dostları ilə paylaş: |