Cependant, la France est mal positionnée en terme d’implantation de sociétés exerçant une activité de CMOs1 pour des lots cliniques et commerciaux de produits biologiques
Cependant, la France est mal positionnée en terme d’implantation de sociétés exerçant une activité de CMOs1 pour des lots cliniques et commerciaux de produits biologiques
La France est en revanche bien positionnée dans le domaine des systèmes de production alternatifs : animaux et plantes transgéniques
Dans ce contexte, les investissements réalisés en R&D par des institutions françaises risquent d’être rapidement perdus en l’absence d’investissements productifs complémentaires
L’accès à des capacités de production biologique sera déterminant et structurant pour l’atteinte des objectifs des Canceropôles et du plan cancer
Le choix du lieu d’implantation d’une unité de production biologique repose sur quatre facteurs clés majeurs et deux facteurs mineurs
La qualité de l’environnement scientifique et technique public français est reconnue au niveau international
De plus, la France dispose de quelques pôles de formation et d’équipes de recherche de qualité dans la production biologique et le « bioprocessing »
L’industrie pharmaceutique doit cependant faire face à l’imprévisibilité et aux changements fréquents de la politique nationale du médicament
La France souffre d’une faible compétitivité internationale en terme de rentabilité de l’investissement productif
Les recommandations d’Arthur D. Little pour renforcer l’attractivité de la France dans le domaine de la bioproduction reposent sur trois leviers majeurs
Renforcer l’environnement scientifique et technique français dans le domaine de la production biologique
Développer une véritable politique du médicament stable et attractive pour les produits innovants en général et biologiques en particulier
Adapter à la production biologique les dispositifs fiscaux conçus pour les activités de recherche et développement