La différence entre les outils et les méthodes



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Historique ou pourquoi les outils et méthodes dans le management de projet

La Préhistoire



Les projets ont été conduits depuis aussi longtemps qu’ils existent . Il existent depuis qu’ un groupe d’homme c’est constitué en se coordonnant pour accomplir un objectif. Les outils de cette époque préhistorique devaient être à l’origine des réunions pour préparer la chasse ou une attaque.
Comme chez l'enfant, l'homme a pris possession du monde et de lui-même d'abord par la représentation de l'image. Cette image s'est schématisée et les signes produits sont ensuite devenus écriture. Les outils de gestion de projet ont tous ce rôle initial : Nous aider à prendre possession de l’objet par une représentation qui nous permet une relecture de celui ci.
Les dessins de chasse préhistorique auraient pu avoir pour A.Leroi-Gourhan un but de préparation. Sans vouloir leurs donner plus de sens que cela, il s’agissait déjà d’une tentative de création d’outil de gestion de projet. En effet on peut imaginer qu’au retour d’une chasse réussi ayant été préalablement « préparée » par un dessin ils aient ensuite ritualisé cette préparation donnant ainsi naissance aux premiers plan de gestion de projet.

Les outils de la gestion de projet dans un univers industriel de plus en plus concurrentiel.

Peter Morris, président de l'Association for Project Management (Royaume-Uni) déclare,

qu'on a inventé quasiment toutes les techniques de gestion de projet dans la période comprise entre 1955 et 1970, au cours de laquelle on a assisté à la genèse de la gestion des projets. Presque toutes ces techniques ont d'ailleurs été mises au point par les milieux de la défense et de l'aérospatiale aux États-Unis (soit le DoD et la NASA)
C’est donc aux Etats-Unis que la gestion de projet va se formaliser en corps de doctrine autonome réunis dans le Project Management Institute. Cette instituion à été fondé en 10964.

Sur le plan des méthodes, le “modèle standard” de l’ingénierie réunit une gamme d’outils

visant à la


  • décomposition du projet

  • sa planification

  • le contrôle de coûts

La gestion des processus de réalisation reste du domaine de chacun des métier du projet.

Ce modèle va s’affirmer dans l’ingénierie des grands projets unitaires jusqu’à la fin des années 1970, qui marque le début d’une crise grave pour le secteur. Plusieurs facteurs ont conjugué

leurs effets. L’appauvrissement des pays en développement et le tarissement des rentes

pétrolières ont entraîné une réduction drastique des marchés de grands projets internationaux.

Sur ces marchés réduits ont fait irruption de nouveaux compétiteurs extrême-orientaux, alors

que les compagnies d’ingénierie occidentales étaient auparavant protégées par des monopoles

technologiques ou politiques. Le monde des grands projets devient alors plus risqué, plus

exigeant, plus contraint par une logique d’efficacité et de rentabilité, là où dominait auparavant le volontarisme politique.

Le présent et le futur

La gestion de tâches concourantes

A la fin des années 1980, il apparaît clairement que la performance des entreprises occidentales en matière de conception de nouveaux produits n’est pas à la hauteur des compétiteurs japonais, en particulier dans une bataille économique qui, de plus en plus, se joue sur la variété, la qualité et le renouvellement des catalogues (K.D. Clark et T. Fujimoto). De nouvelles démarches de gestion des projets émergent, qui donnent un poids plus important au chef de projet, maintenant dénommé “directeur de projet”, et visent à assurer une coopération plus efficace des différents contributeurs au sein du processus de conception. C. Navarre (ECOSIP 1993) résume les ruptures avec les pratiques antérieures dans le tableau suivant




Les entreprises impliquées rendent

compte à la direction générale du projet alors que, dans la configuration historique précédente, c’est plutôt le projet qui rend compte à la direction générale de l’entreprise dominante. Les

entreprises et les acteurs que le projet coordonne n’ont pas l’habitude de travailler

ensemble.


Les nouveaux outils télématiques (outils de groupware, internet, messagerie, intranet etc.) facilitant la désynchronisation temporelle et spatiale des échanges permettent de nouvelles formes de coopération qui sont expérimentées dans certains projets. La recherche des modalités d’usage de tels outils en pilotage de projet constitue un champ d’expérimentation majeur en coordination de projets complexes. C ‘est que tente le groupe du DESS IGSI de Toulouse dans son projet DIGSIT. Avec l’utilisation massive du Groupe DIGSIT.


Le multi-projet :


"De plus en plus d'entreprises se tournent vers le management de projets comme solution à long terme pour résoudre l'équation toujours plus complexe de maintenir des revenus croissants avec des budgets limités tout en gérant la disponibilité des équipes et en assurant une bonne maîtrise des objectifs fixés sur le portefeuille des projets. C'est ce que propose la solution ProjectShare 2004", souligne Jean-Paul GOMES, Chef de Produits SharePoint pour Microsoft.
Les entreprise gère de plus en plus de projets concomitants ou les problématiques de disponibilité de ressource et de mise à disposition d’ information sont très complexe. La mise en œuvre d’outil de stockage, de partage de l’ informations, des plannings et des outils de gestion eux mêmes peut permettre une gestion multi projets efficace. Ce type d’outil est encore en développement ou extrêmement récent.
Utilisant les technologie de « messagerie » de « work flow » et de partage de l’information sur internet avec gestion des modifications et des versions, il vont simplifier grandement la gestion muli projets en permettant une vision et une distribution des éléments de travail nécessaire à chacun . Cette vision tient bien sur compte de l’identité et du rôle des intervenants.
Leurs mise en œuvre et leurs exploitations restent encore lourde et délicates. Chacun devant recevoir les consignes et les informations nécessaires sans être noyé par une masse de donnée trop importante et nom désirée.


Choisir son outils de gestion de projet :

Le Centre du Management de Projet à San Ramon en Californie déclare que 99% des projets à caractère commercial ne sont pas finis dans le respect du temps imparti , du buget ou des spécifications. Plus impressionnant, cette institution déclare que la moyenne des projets est sous estimé de 285% ! Au vu des ces statistiques il n’est pas surprenant que les Directeurs et Chefs de Projets recherchent des outils logiciel de gestion de projet. Un outil de management de projet peut sans doute être le meilleur investissement que vous puissiez faire.


Le choix d’un outils de gestion de projet , ou même le non choix, doit se faire en fonction de plusieurs critères :


  • La taille et la complexité du projet

  • Le nombre de ressources engagées

  • La durée du projet et le niveau de documentation des processus

  • La complexité et le nombre d’interfaces métier qui sont concernées.

  • Le nombre de source de budget et leurs allocations

  • L’expérience du Chef de projet et des équipes à utiliser des outils informatiques de gestion de projet.



La différence entre les outils et les méthodes :




Définition 


Un outil : Objet fabriqué, utilisé manuellement, doté d'une forme et de propriétés physiques adaptées à un procès de production déterminé et permettant de transformer l'objet de travail selon un but fixé
Une méthode : Manière de conduire et d'exprimer sa pensée conformément aux principes du savoir.
L’outil est donc un objet réel qui a une existence propre indépendamment de l’utilisateur. La méthode ne prends son existence que par son application et donc par l’utilisateur.

La différence 


L’outil est la méthode sont étroitement liés avec comme liant l’utilisateur de l’outil. Si « le bon outil fait le bon ouvrier » encore faut il que celui-ci veuille et sache « bien faire ».


Notre propos


Nous proposons dans ce document une étude des outils indépendamment des méthodes. Ces outils seront classifié par rôles ou but et en aucun cas par les méthodes mise en œuvre. Vous ne trouverez ici que des outils de gestion ou management de projet, les outils de production de code final (National Rose, AMC designor) ont été volontairement évités.


Les outils de conceptualisation, formalisation et d’identification du projet



Introduction 


La première remarque que l’on peut se faire c’est qu’il y a très peu de produit de conceptualisation de projet. Pourquoi les outils de prés projet sont ils si rarissimes ? La réponse pourrait être un outil de gestion de projet peut il poser la question « Doit on continuer ce projet ? » en étant politiquement correct ? Autrement dit est il possible de vous vendre un outils qui peut vous amener à ne pas commencer un travail ?

Les outils

Il ne semble pas y avoir a proprement parler sur le marché d’outil spécialisé dans ces phases d’avant projet. Si des outils comme Stelltrace se positionne en avant projet leurs but et plus d ‘aider à la réalisation de l’expression des demandes qu’ à celle de conceptualisation et formalisation du projet. Des méthodes comme UML et Merise possède un niveau d ‘analyse au niveau du schéma directeur qui peut être utilisé comme élément de référence. Mais les outils logiciels qui suivent ces méthodes n’on pas de spécificité forte sur ces aspects.

Nous n’avons finalement référencé qu’un outil. Ce n’est pas un outil du catalogue car il n’est logiciel. Il s’agit de fiche de travail que l’on peut trouver sur le site http://www.method123.com/project-initiation-kit.php.
Ces fiches traitent de cinq points : l’étude financière, l’étude de faisabilité, la structure et l’implémentation du projet, la distribution des rôles, une liste de vérification administrative et la formalisation de l’engagement (dates, coût, etc. )
Conclusion 

Il y a certainement, ici, un espace à prendre pour des outils logiciel


Les outils de comparaisons de scénario

Introduction


Les outils de comparaison de scénario sont dans le mode des projets informatiques des outils de réalisation de maquette et de validation et comparaison de celles-ci. 

Il semble impossible de traiter des outils de comparaison de scénario sans faire référence au document « A Survey of Simulation Tools for Requirements Engineering ». Le document initial se trouve sur le site http://www.ifi.unizh.ch/groups/req/ftp/papers/TR2000.06.pdf.



Les outils


Le document de référence cite 10 outils 

  • CIP Tool 3.0

  • COREsim 2.1

  • ObjectGEODE 4

  • ObjecTime Developer 5.0

  • PACE 3.1

  • QuickCRC 1.2

  • RDD-100 / DVF 4.1

  • Rhapsody for C++ 2.1

  • SDT / ORCA 3.3

  • Statemate MAGNUM

Chacun de ses outils fonctionne de manière identique, à partir d’un macro langage, d’une méthode comme UML ou de graphiques on définit les demandes des utilisateurs. Le système à alors la capacité à générer un prototype facilement modifiable et vérifiable.

Chacun de ses outils est spécialisé dans un domaine spécifique : ObjectGeode est présent dans l ‘aéronotique il génère un code source en C. QuickCRC fonctionne sous Linux, Windows et MAC. Voici la présentation de Statemate : Pour spécifier, concevoir et valider des systèmes réactifs diverses approches sont envisageables. L'approche Statemate proposée dans ce module s'appuie sur la combinaison du formalisme des Statecharts (également présent dans UML), pour la description comportementale, avec le formalisme hiérarchique des Activity-Charts, pour la description des activités du système et la description des flots de données échangées.
Le but de ce module est d'amener le participant à être à même: de concevoir le comportement d’un système, même complexe, et d’assurer qu’il opère correctement; de fournir un modèle du système ainsi qu’une spécification validée et exécutable, de façon à animer le comportement de celui-ci; de procéder à la vérification formelle du système en développement; de générer des prototypes logiciels ou matériels complets. Pour soutenir cette approche, ce module est basé sur l’environnement Statemate MAGNUM. Ce dernier englobe effectivement les diverses phases du processus de développement d’une application réactive, à savoir: spécification, simulation, prototypage et validation.

Conclusion


Les outils de comparaison de scénario sont des outils lourd. Leurs mise en œuvre est souvent synonyme d’un apprentissage conséquent. Les prototypes générés ne sont généralement pas de bonne base pour un livrable final. Ils trouvent leurs place dans un travail de recherche ou une démarche pédagogique. Il s peuvent aussi être d’une aide certaine dans l’évaluation de partie critique ou dans la comparaison de scénario et de choix technologique. Ils sont les accompagnateurs des démarche en spirales caractéristiques des prototypages.


Les outils de Worflow

Introduction 


Les outils de Worflow sont absents du monde Microsoft et par la même inconnu d’une grande partie des utilisateur de système informatique. Ces outils vont permettre de formaliser le flux de l’information et les validations et modification de document. Leurs formalisme est parfois vécu comme une forte contrainte. Leurs parfaite adéquation et intégration avec le système de l’entreprise en fait des outils de fond dont l’utilisation dépasse la simple gestion de projet.

Les outils

L’outil de Worflow de référence est toujours Lotus Workflow. C’est un magnifique outil de développement d'applications autonome s'exécutant sur IBM Lotus Domino qui permet de créer et de déployer des applications orientées flux de travaux. Il permet aux entreprises de standardiser et de simplifier les activités humaines gourmandes en temps et de suivre leur progression. Grâce à sa plateforme permettant d'automatiser, de finaliser et de gérer les processus complexes, Lotus Workflow améliore le temps de réponse tout en réduisant les coûts. Les clients peuvent réaliser des processus manuels plus rapidement et de manière plus cohérente en rencontrant moins de problèmes.


On peut s’interroger sur le peu de succès des outils de Workflow. Coincé entre les outils standards de messagerie suffisants pour les petites entreprises et les ERP pour les entreprises plus importantes les outils de Workflow ont de plus en plus de mal à trouver leur place. Active directory , la base annuaire de Microsoft, pousse aussi les entreprises a éliminer de leurs parc applicatif les solutions qui ne sont pas native à cet annuaire.

Conclusion


Tout ceux qui ont travailler dans le cadre d’un projet avec un outil de Workflow se demande comment ils ont pu faire sans. Simplifiant et régulant les flux de documents ainsi que les flux décisionnels il est très vite indispensable. Pourtant , ces outils sont de moins en moins utilisés ! L’absence de Microsoft sur ce marché en elle la cause ou la raison,?

Les outils Intégrés et multi projets

Introduction  


Les entreprises sont de plus en plus dans un mode projet permanant. La recherche et développement n’est plus le seul fait d’équipe de laboratoire , qui sont les seules à gérer des projets. L’ensemble des équipes quelque soit leurs activités se doit de rester dans une dynamique organisé et productive. Le mode projet devient un modèle de référence de l’entreprise. Les collaborateurs vont devoir travailler sur plusieurs projets. Ces projets peuvent être interdépendants par leurs jalons, leurs calendriers, leurs ressources et leurs livrables. Il nous faut donc des outils de gestion de projet qui seront capable de devenir, au final, des outils de gestion d’entreprise.

Les outils


Il y a beaucoup de logiciels ou de suites qui se targuent de pouvoir gérer ces problématiques. Le multi projet possède ses propres problématiques de gestion croisée. L’exemple que nous vous proposons ici est curieusement le logiciel de gestion de projet qui est le plus utilisé pour la gestion de multi projet : Microsoft Project.
Pourquoi ce choix ?

Microsoft Project va pour effectuer cette mission s’interfacer avec beaucoup d’autre logiciel de l’éditeur. La présentation de cette architecture et la connaissance des fonctionnalités des produits associés nous permet de mieux cerner le sens de la solution.




Les données des différents projets sont stockés dans une base SQL Server. Les documents des projets sont placés sur un espace collaboratif accessible via les outils Office ou l’intranet et gérer par Sharepoint. Les agendas des collaborateurs sont directement mis à jour en fonction des acceptations, créations et annulations des réunions. Tout un chacun peut observer les éléments d’avancé le concernant a partir d’un client Intranet. L’application MS Project servant alors à créer les diagrammes, les rapports et d’interfaces pour alimenter la base SQL Server. Le composant Project 2003 Core permettra même de faire du Data Mining sur un Cube de travail.


Les outils de communications et de partage de l’information

Introduction


La liste des outils de communication est aussi longue que l’histoire de l’humanité. Du cris , à la musique en passant par l’écriture et le dessein le désir et le besoin de communication semble lié à la nature même de l’homme.

Les outils


Au début était donc le verbe ! Le premiers outils c’est avant tout la langue. Un vocabulaire précis, compris et partagé est la base d’une communication efficace. Il peut donc sembler efficace de construire un dictionnaire des termes du projet ? ce dictionnaire se devra de rassembler autant les mots métiers que le jargon lié à la gestion de projet. Cette démarche ne semble pas aussi courante qu’elle devrait l’être.
Les outils tel que papier, crayon , chaise, table ,craie et tableau ne sont pas le sujet de ce travail. il n’en est pas de même les suites de logiciels bureautiques et leurs congénère serveur.
Les « présentations » 

Un des outils préféré du chef de projet est le créateur de présentation. Ce logiciel vous aide à réaliser des éléments projetables. On peut s’interroger sur le rôle exact de ce que l’on appelle communément « une présentation » tant ces documents on une importance capitale dans l’animation d’une réunion de communication.


A quoi sert donc ce « Slide » sur lequel l’assistance fixe son regard et que trop souvent l’intervenant lit comme si son public était analphabète.

N’est il pas seulement le symbole de notre incapacité à nous concentrer sur le discours et en tant qu’intervenant notre incapacité à ordonner notre pensé et à susciter l’attention.

La messagerie et les agendas partagés sont aujourd’hui si répandus dans le monde de l’entreprise qu’il semble inutile de les présenter. Toutefois il semble important de présenter un nouveau type de réunion et de messagerie : la messagerie instantanée et les réunions en ligne.

La messagerie instantanée et les réunions en ligne.


La messagerie en ligne permet de savoir si vos collaborateurs sont en ligne en ensuite de leur proposer une réunion virtuelle avec la possibilité de partager des documents.

Christian sait que « Sylvie Fellous » est disponible il lui envoie un message instantané pour lui proposer une réunion de travail !




Dans cette fenêtre d’un logiciel de messagerie instantané « Christian Belbeze » propose de partager son écran avec « Sylvie Fellous » pour avancer sur un projet de document commun.

L’écran est partagé , la partie droite de l’écran sert à dialoguer.


Les sites Web collaboratif


Un nouveau type d’espace d’échange c’est concrétisé avec les Serveur Web d ‘échange et de stockage. Un exemple de ses nouveau outils est le serveur S MS Sharepoint.

Voici quelques-unes des nouvelles fonctions Project Server intégrées à Windows SharePoint Services. Elles sont destinées à assurer un suivi des problèmes et des risques et à gérer les bibliothèques de documents associées aux projets publiés dans la base de données Project Server.



  • Suivi des versions et archivage/extraction des documents. Utilisez le suivi des versions des documents pour créer automatiquement une copie de sauvegarde pour chaque enregistrement d'un fichier dans une bibliothèque de documents. Vous pouvez également extraire un fichier pour le verrouiller pendant son édition et empêcher ainsi d'autres utilisateurs de le remplacer ou de le modifier accidentellement.

  • Listes de risques et de problèmes améliorées. Ces listes de suivi des problèmes et des risques permettent aux membres de l'équipe de travail de maîtriser leurs projets. Il est possible d'ajouter des pièces jointes aux éléments de liste, telles que des pages HTML, des documents et des images.
    Remarque : les fonctionnalités d'approbation de contenu de Windows SharePoint Services sont désactivées pour les sites Project Server 2003, afin de garantir la synchronisation entre les deux logiciels.

  • Nouveaux boutons et indicateurs. Le produit comporte les nouveaux boutons suivants : Link Risks (Lier les risques), Link Issues (Lier les problèmes), Link Documents (Lier les documents), Track Risks (Suivre les risques), Track Issues (Suivre les problèmes), Track Documents (Suivre les documents), New Risks (Nouveaux risques), New Issues (Nouveaux problèmes) et New Documents (Nouveaux documents). Parmi les nouveaux indicateurs, citons Risques, Problèmes et Documents.


Les outils de test et validation et vérification 

Il n’existe pas d’outil générique de validation. La validation devant se faire par apport à un référentiel lui même basé sur l’expression des besoins il ne peut y avoir d’outil indépendamment des ces éléments.

On trouve toutefois plusieurs projet de recherche sur ce thème : LANDE  par exemple. Le thème de recherche central du projet Lande est la conception d'outils d'aide au développement et à la validation de logiciels. Notre approche est fondée sur une collection de méthodes formelles permettant de spécifier ou d'extraire une vue partielle de l'architecture et du comportement d'un logiciel. Cette approche nous a amenés à étudier deux types de problèmes. D'une part, la spécification d'un logiciel en vues partielles nécessite une vérification de la cohérence entre plusieurs vues afin que celles-ci puissent être synthétisées. D'autre part, l'extraction d'une vue demande des techniques d'analyse statique et dynamique précises. Nous insistons sur la nécessité que les réponses apportées à ces problèmes reposent sur des bases formelles (sémantique du langage étudié, définitions de propriétés à vérifier dans des logiques formelles) afin d'obtenir une garantie sur les résultats produits. De plus, il est important que les outils construits soient le plus automatiques possible car les utilisateurs visés ne sont pas nécessairement des experts en méthodes formelles.

Lande est un projet commun avec le CNRS, l'Université de Rennes 1 et l'Insa de Rennes.


Les outils de validations sont en fait dans la réalité des « outils maison ». On trouve le plus souvent des matrices de validation et des outils de test automatiques. Le plus connue de ses outils est sans doute Eventcorder il permet d’enregistrer des événements Windows et de les rejouer.
Les outils de test n’étant pas à proprement parler des outils de Gestion de Projet, mais plus des outils de production, ils ne sont pas cités dans le catalogue. De plus il existe une liste très riche de ces outils a l’adresse http://www.aptest.com/resources.html.

Les outils de contrôle de version et de gestion de la documentation

Introduction :


Dés qu’il à fallu partager l’information, le problème de la mise à jour de cette information est apparu. En effet l’unité de stockage étant soit le fichier soit une feuille papier, la copie de cet élément est susceptible de devenir différente sans que l’on puisse déterminer à l’avance qu’elle copie devrait alors servir de référence. Les systèmes de gestion de version et de documentation vont avoir deux buts :

  1. S’assurer que seul une entité est responsable de la gestion et de l’évolution du document à un instant donné.

  2. S’assurer de pouvoir retrouver la version précédente d’un document et de l’associer aux documents qui lui sont historiquement et chronologiquement lié.


Les outils :


Il y a essentiellement deux outils sur le marché. C’est outils sont associés aux ateliers logiciel correspondant à leurs plateformes.

Visual SourceSafe : Microsoft Visual SourceSafe 6.0 est la toute dernière édition du système de contrôle de version déjà réputé de Microsoft qui gère le développement de logiciels et de sites Web. Parfaitement intégré aux environnements de développement Visual Basic, Visual C++, Visual J++, Visual InterDev et Visual FoxPro, ainsi qu'aux applications de Microsoft Office, il permet un contrôle de version orienté projet de mise en oeuvre aisée. Visual SourceSafe peut traiter tout type de fichier quel que soit le langage de développement, le langage auteur ou l'application qui l'a généré. Ses utilisateurs peuvent travailler tant au niveau du fichier qu'au niveau du projet et peuvent facilement réutiliser des fichiers existants. Les fonctionnalités orientées projet de Visual SourceSafe rendent plus efficace la gestion des tâches journalières associées au développement par équipe d'applications et de sites Web

CVS (Concurrent Versions System) est un logiciel permettant de travailler à plusieurs de manière concurrente sur un projet. Son principe est simple : les utilisateurs travaillent sur une copie locale du projet et ajoutent les modifications au Repository, le répertoire qui contient toutes les versions de tous les fichiers du projet.Avec CVS, vous pouvez :

  • Travailler à deux sur le même fichier (par exemple sur des fonctions différentes) : CVS permet de fusionner les modifications des deux personnes.

  • Consulter l'historique des modifications d'un fichier (Qui a fait quoi, quand ?)

  • Consulter les différences entre deux versions d'un fichier.

  • Récupérer n'importe quelle version d'un projet ou d'un fichier. Il n'est donc plus nécessaire de sauvegarder régulièrement afin de pouvoir revenir en arrière.

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