Daniells et al (1999) ont trouvé que les vers produisaient une réponse aux micro-ondes similaire à celles liées à un échauffement ou à des molécules chimiques toxiques. Le modèle utilisé montre que les plus faibles intensités induisent les plus fortes réponses (à l'inverse d'un échauffement simple). Le rayonnement micro-ondes produit des lésions des protéines dans les cellules (induction de protéines de choc thermique) comparables à des lésions dues à des ions métalliques qui sont reconnues comme toxiques.
Commentaire du groupe d’experts : il faut préciser les DAS utilisés et l'amplitude de la réponse obtenue. De même, pour la comparaison avec les ions métalliques toxiques, il faut préciser la concentration équivalente et l'amplitude de l'effet toxique mesuré.