Lycée Massignon Abu Dhabi Émirats Arabes Unis



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Groupe Scolaire Lucian Blaga
Reghin


Roumanie






Demain, une nouvelle vie










COMBIEN DE LARMES...









“Ils sont si mauvais tes yeux qui autrefois étaient inondés par amour
Il est si mou ton corps qui jadis était un sublime sapin dans les montagnes
Il m’est si étrange le fauve de toi, que je n’ai plus d’âme et de raison et de larmes
Pour le vaincre
Je ne le mérite ni moi, ni toi, tu ne le mérites pas…
Ce n’est pas le temps de la honte ou du mensonge
C’est le temps de prière ardente, de jeûne noir, avec pathos
Dans les griffes du faucon impitoyable c’est le temps de lutter
Désir de vie, d’autre vie
Au milieu de la tempête il manque un arc-en-ciel…
Quand rentres-tu, mon frère ?!...“







Je ne pourrai jamais m’expliquer et me pardonner l’égoïsme de mes yeux de rester arides en face de sa souffrance. Le pouvoir ineffable de mon cœur de laisser des traces d’indifférence sur la voie ensanglantée de douleur, de chaos psychique, de désespoir sans apaisement.
Je le regarde tranquillement, peut-être seulement l’âme un peu désespérée. Je me suis pardonné aussi pour le fait que je reste depuis quelques jours auprès de lui sans verser aucune larme de sang pour ce qui lui arrive. Ni le cœur ne me saigne  comme naguère, en réverbérant et en frappant dans ma joie de vivre chaque jour. Je ne pleure pas. Je ne me débats pas. Je ne sursaute en face de l’abîme qui semble nous engloutir tous en n’importe quel instant d’hésitation. Ma pensée feuillette de lignes signées cet été, des lignes de souffrance, d’amour oublié dans un livre de vie, enterré dans le passé et je tombe sur “Jeanne“, une Jeanne qui ouvrit  une fois le tiroir des souvenirs éternels. Que tout est  vain…
Mes lèvres froides ne respirent pas en vain de mots et, toutefois, ma raison lui pose tant de questions, parmi lesquelles s’il veut encore lutter. 

Mais tout reste enchaîné dans une cellule incompréhensible, là-haut, sans aucune lueur de descendre  en réalité. Résignée de la pensée que, de toute manière, il ne répondrait pas aux questions que je lui adresserais avec tout l’amour, je lui dis avec bienveillance :
- Viens que nous nous promenions un peu dans le jardin… C’est si beau comme l’automne nous quitte  avec des roses folles, fleuries, avec un soleil qui émane de l’altruisme, en laissant sur la voie tant de foi et d’espoir. Inutilement.
Il m’écoute, mais mes mots n’entrent pas dans son âme. Au contraire, d’autres pensées noires prennent vie en lui.
J’ai mal à l’infirmité de  réveiller un sourire sur son visage terne et livide, d’allumer une étincelle  dans son être intérieur si morne et  si vide  à la surface, qu’il me semble vulnérable comme un nouveau-né jeté dans les griffes d’un aigle. Je le laisse comme jamais en languissant dans sa chambre non aérée depuis si longtemps. Et je continue mon existence quotidienne. Un grand paradoxe est né en moi depuis quelque temps. D’où tant de foi lorsque celui qui est près de toi veut mettre fin à sa vie sous tes yeux ?! Et en plus, il s’appelle égoïsme mais prier sans cesse, même fanatiquement, sans essayer proprement de l’aider sur autres voies ?...“
J’érafle mes genoux dans la nuit auprès de ma mère, en pleurant par silence et pensées. Que d’agonie en pleine exultation !...

Le soir tombe lentement. Car je sens le froid frêle d’octobre qui m’accule dans tous les recoins.
Je vis comme dans un désert où je suis seulement moi avec lui et un sentiment lourd de vide infini m’oppresse, un monde dans lequel personne n’a plus le pouvoir d’aimer pour de bon, d’esquisser sincèrement un sourire et les blessures de l’âme enfantent, sans que je réalise, un nouveau corps auquel je ne peux plus ordonner de parler ou de se remuer. Je m’étais promise à cette fin d’été de n`être plus triste ou plus nostalgique quand les feuilles de la vigne accableront mon cœur avec des hymnes de mort, de ruine, de non éternité.



Je réussis d’une certaine manière d’aboutir dans la maison  où j’entends les bois crépiter dans l’âtre. C`est tout ce que remplit maintenant la maison jadis si pleine d’amour, de saint esprit. Dans chaque coin elle est parsemée avec des fleurs, des panières de fruits, des livres. A quoi rime tout cela, mon Dieu, quand le silence de siècles signifie  la chute dans le gouffre, quand ceux naguère inséparables sont maintenant des étrangers l’un pour l’autre ?
Mais quand l’horloge annonce le minuit et la lune est perdue parmi les nuages noirs, mouvants, je penche mes genoux sur le tapis froid et en priant avec pathos, je réalise que les larmes me vainquent. Je tourne et j’entends une voix dire doucement : Tant que tu veux te rapprocher  du seuil du ciel, prépare ton âme pour des tentations, pour les loups  qui braillent auprès de toi. Pour que  je l’entende ensuite crier vers le ciel : Laissez-moi chanter ma souffrance, laissez-moi à mon rivage…Je retournerai bientôt à la maison, ma sœur… Absolution.
Soit-il un signe malhonnête ou le signe de la résurrection vers l’invincibilité ?
Mon Dieu, où il y a de la haine, laisse-moi semer de l’amour. Où il y a de l’affront, pardon. Où il  y a du doute, de la foi. Où il y a du désespoir, de l’espoir. Où il y a de l’obscurité, de la lumière. Où il y a de la tristesse, de la joie.
Où je ne suis pas, donne-moi un autre moi, plus humble et plus fort.

Monica Ioana Dorgo



Demain, une nouvelle vie










BRISE D'ANGE













Je tombe à terre, sur la glaise froide, douloureuse (peut-être le mérité-je maintenant)
Depuis quelques mois, je me débats dans les ténèbres de soie
Des chimères volent autour de moi
Je les entends frémir dans mes oreilles
Je les sens dans ma chair ferme

Je donne cours à la mer de pensées comme à quelques poissons


presque morts, en reposant depuis longtemps dans un filet impénétrable de vie
Je ne trouve plus  ma guitare pour pleurer
dans ses bras, épuisée d’épines, de gouttes de vinaigre,
du bois de la croix qui semble avoir grandi sur moi,
pousse de douleur, et puis tronc guerrier perdu
parmi des rameaux secs de superficialité

Le vent m’a arraché même la dernière merveille


Le dernier sommeil, le premier amour

Je cherche des quarts, et des croches transcendantes


J’oublie qu’ici et par là, la chanson fait des pauses de  moitié
Et je reviens toujours à la clef de Sol

Délie  de nouveau ma raison et mes yeux   


Pour que je puisse danser la symphonie de la vie sans supplice
Que le navire secoué de trop d’amour ait de nouveau la voix douce de la mer
ondoyé en s`en laissant

Il fait des ténèbres dans le navire. Et le commandant


a perdu sa vue sous le faix de tant de prières
il renie la marche de la carte
et la boussole montre toujours l’est. Autrefois
l’arche battait continuellement vers l’ouest

J’attends comme un paysan humble


que son champ ensemencé lui donne  des récoltes
qu’il baisse la terre riche dans la pluie qui marie
le triste, l’amer fil d’herbe avec la semence

Ni de jours.


Ni de nuits.
Ni d’années et ni de mort.   
Seulement  des égouttages de lis injectés dans le jardin du cœur chaud
Un sourire de papillon.

Parce que je respire de l’amour…






Monica Ioana Dorgo




Collège Lycée Vincent Auriol
Revel


France






Les nouveaux nés




6ème

BABIES IN THE FUTURE
will be differents !


Les bébés du futur ne seront pas comme aujourd'hui. Qui sait ? Ils auront peut-être un portable dès la naissance pour communiquer avec leurs parents, une poussette électrique pour se promener seuls dans la ville... Une grande joie pour les parents : quelle liberté !

Ils n'auront plus besoin de promener leurs enfants.
Les bébés auront aussi des peluches qui les feront manger et ils auront dans leur parc une télévision avec des jeux vidéo.
Mais le risque est que les bébés passent trop de temps devant la télévision (comme aux Etats-Unis par exemple, où une enquête a révélé que les enfants de moins de deux ans pouvaient déjà passer des heures devant l'écran) et ce manque de communication avec leurs parents les rendront de mauvaise humeur.
De toute évidence, ces jeux ne leur apporteront pas que du bien... Alors profitons des bébés pour jouer avec eux !



Elia B







Demain, quelle planète




6ème

 

HOLIDAYS IN THE FUTURE

 

Plus tard, j'ai peur qu'avec le réchauffement de la planète, on ne puisse plus skier par manque de neige dans les montagnes !
J'ai peur aussi qu'on ne puisse plus bronzer au soleil, car sans la couche d'ozone, s'exposer au soleil deviendrait dangereux car on brûlerait. On ne pourrait plus aller à la plage.
J'espère que les gens vont réaliser aujourd'hui ce qu'ils vont perdre demain... Et qu'ils utiliseront plus de panneaux solaires, plus de produits écologiques pour stopper la dégradation de la planète.



 François D.H. et Andréa B.


Les extra-terrestres




6ème

 

EXTRATERRESTRIALS BEINGS

 




J'ai entendu dire que les Américains avaient trouvé un extraterrestre, mais même après plusieurs années de travail, ils n'ont pas réussi à le prouver.
J'ai pourtant peur que dans le futur, on soit envahi.
Je crois en effet que les extraterrestres peuvent être très méchants et peuvent nous emmener sur leur planète.
Peut-être qu'ils nous réduiront en esclavage pour toujours.
Ils nous interdiront de nous reproduire et notre race sera détruite.
En attendant, on est assez tranquille sur notre planète et on n'a que des petits OVNIS sur des vidéos très floues.
Je crois que le temps qu'ils arrivent est encore bien loin de nous !



Bastien B.





Jeux vidéos




6ème

 

LES JEUX VIDEO
vont-ils abîmer nos neurones ?


 




Vous trouvez que vos parents ne vous laissent pas assez jouer ?
Des études scientifiques prouvent pourtant que les jeux vidéo abîment les neurones.
Normalement, il ne faudrait pas jouer plus de 15 minutes par jour, mais personne ne le fait.
Si vos parents vous laissent trop jouer, vous ne pensez plus qu'à cela et non au collège ou au lycée et vos parents le savent car ils le voient (avec vos notes par exemple !)
Alors...



Game Over  




Guillaume S et Samy L
illustration : GS






Demain, ma maison




6ème

 

THE HOUSE OF TOMORROW
La maison de demain


 




La maison du futur, je l'imagine ronde, toute en verre, économique et écologique.  

Cette maison ronde sera économique car on n'aura pas besoin d'utiliser trop d'électricité grâce à la lumière du soleil qui passe à travers la maison.

Les panneaux solaires capteront la force du soleil pour nous éclairer même la nuit et faire fonctionner nos appareils. 

 Le jardin sera très présent pour que nous pensions chaque jour à respecter la nature. 








Manon A. et Mallory G.



Demain, ma maison




6ème

 

MA MAISON PLEINE DE LUMIÈRE
My house full of light !


 




Ma maison sera pleine de lumière :
Au rez de chaussée, le séjour et le salon seront entourés de baies vitrées pour faire rentrer la lumière et la chaleur.
La maison sera en bois très clair et entourée de volets électriques.
La cuisine n'aura qu'une seule fenêtre assez grande.
Au 1er étage, les chambres et le bureau n'auront qu'une très grande fenêtre ; les toilettes et la salle de bain qu'une petite fenêtre.



La maison sera entourée de jardin : 1/2 hectare avec un petit bois pour pouvoir chauffer la maison et faire des feux de cheminée. 
Je veux que ma maison soit vraiment écologique comme toutes les maisons du futur.




 D.R.



Le sport de mes rêves




6ème

 


NOTRE RUGBY
Our rugby

 

Nous avons commencé le Rugby à 7 ans, moi à Revel et Jules à Pithivier dans la Haute-Garonne.

Maintenant, nous jouons tous les deux au Rugby club revélois.


Dans deux ans, nous aimerions être repérés et sélectionnés en équipe régionale.

A 20 ans, nous aimerions jouer au Stade Toulousain au poste de demi de mêlée et Jules au centre.



Nous avons peur de ne pas y arriver car entre rêve et réalité, on sait que c'est dur !



Gauthier M.




Mes études, mon métier




6ème

 

OUR FUTURE STUDIES !

 

Qu'allons-nous devenir plus tard ? Nous qui avons 10 ans...

Moi et ma camarade, nous voulons toutes les deux nous lancer dans la médecine. Mais attention ! Pas la même médecine ! D'un côté, moi je fais tout pour devenir vétérinaire et elle préfère devenir pédiatre. Pour ça, il va falloir faire de longues études... Au moins 6 ans après le bac et il va falloir avoir de bons résultats en sciences, maths, biologie...
 Notre plus grand cauchemar ?
 C'est de ne pas réussir, de rater nos études, d'être au chômage...
 Le chômage c’est la pire des choses car cela signifie qu'on a raté et qu'on ne peut pas réaliser ses rêves...
Le chômage, nous avons entendu ce mot et compris son sens grâce à la télé et sur les reportages.
Des personnes ayant raté leurs études se retrouvent sans travail, sans rien... Et parfois sans abri. Ce sont les SDF... Et quand on en est là, c'est difficile de rebondir !



TOUT LE MONDE DEVRAIT POUVOIR RÉALISER SON RÊVE !

P.J.

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