Micronora xviiie salon international des microtechniques et de la précision



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avril 2010



MICRONORA

XVIIIe salon international des microtechniques

et de la précision
du 28 septembre au 1er octobre 2010

Besançon - France


Dossier de Presse


Contact Presse :

Jean-Patrick Blin – Valentine Brunel

AB3C – 34, rue de l’Arcade – 75008 Paris

Tél. 01 53 30 74 00 – Fax. 01 53 30 74 09 Email : jeanpatrick@ab3c.com


Contact Micronora :

Michèle Blondeau

BP 62125 – 25052 Besançon cedex 5

Tél. 03 81 52 17 35 – Fax. 03 81 41 30 89

Email : contact@micronora.com



Sommaire

Micronora 2010, informations pratiques p 03


Micronora, LE salon européen des microtechniques et de la précision p 04


Les points forts de l’édition 2010 p 05


Assises nationales du découpage/emboutissage p 06


7e Rencontres Technologiques Européennes micro et nanotechnologies  p 11


Zoom Pôle des Microtechniques p 13


Les Microns d’Or, l’innovation microtechnique récompensée p 17


L’Association Micronora p 19



Micronora 2010, informations pratiques


Nom Micronora

Salon international des microtechniques et de la précision

18e édition - Biennal



Lieu Parc des expositions / Micropolis

Besançon - France

Halls A1 - A2 - B1 - B2 - C

Salle de presse et commissariat général : hall D1




Dates Du mardi 28 septembre 2010

au vendredi 1er octobre 2010


Horaires Mardi 28 septembre : 9h00 - 18h00

Mercredi 29 septembre : 9h00 - 20h00

Jeudi 30 septembre : 9h00 - 18h00

Vendredi 1er octobre : 9h00 - 16h00



Organisateur Association Micronora

Directeur Général : Michèle Blondeau

Président : Michel Goetz
BP 62125 – 25052 Besançon Cedex 5

Tél. 03 81 52 17 35 - Fax. 03 81 41 30 89

Email : contact@micronora.com

Site Internet : www.micronora.com

Micronora, LE salon européen

des microtechniques et de la précision
Salon référence en Europe, dans le domaine des microtechniques et des micro-nanotechnologies, Micronora, créé depuis plus de 35 ans, a lieu en Franche-Comté, tous les deux ans à Besançon.
Une biennale en réussite constante

(Chiffres de l’édition précédente)
25 000 m² de surface d’exposition

9 729 m² commercialisés

944 exposants (582 directs et 362 firmes représentées)

37 % d’exposants étrangers

15 000 visiteurs professionnels
Un univers multi-technologique

De la R&D à la sous-traitance, jusqu’aux technologies de production
Micronora est un salon transversal. Tous les métiers sont représentés parmi les exposants (outillage, usinage, découpage, assemblage, décolletage, automatisation...) et les donneurs d’ordres de tous les secteurs d’activités sont concernés par leur savoir-faire.

La précision et/ou la miniaturisation est leur dénominateur commun.

Cette organisation transversale, favorise le croisement des technologies et leurs applications dans des secteurs de pointe.
De sérieux atouts qui expliquent le succès de Micronora


  • Il occupe une niche privilégiée, celle des microtechniques et de la précision

  • Il est transversal

  • Il est de taille humaine et convivial

  • Il s’inscrit dans une démarche qualité

  • Il s’appuie sur un territoire reconnu comme pôle de compétitivité des microtechniques

  • C’est un salon d’industriels, pour des industriels, organisé par des industriels.


Micronora est bien plus qu’un salon

Son programme d’animations permet de faire le point sur les évolutions technologiques dans le domaine des microtechniques, voire de les anticiper. C’est un excellent outil de veille technologique et d’intelligence économique :



  • rencontres technologiques européennes sur les micro et nanotechnologies

  • conférences spécifiques aux micro & nanotechnologies

  • assises nationales du découpage-emboutissage

  • animation Zoom

  • organisation de la venue de donneurs d’ordres étrangers

  • concours des Microns d’Or, qui récompense des innovations microtechniques

  • rencontre des mécaniciens du CNRS/Grand Est

Les points forts de l’édition 2010
Focus nanotechnologies

A l’heure où de très nombreux secteurs industriels parient sur les techniques du plus petit, plus précis, plus intelligent, Micronora s’est ouvert, depuis 2006, aux nanotechnologies.


- pavillon nanotechnologies, ouvert aux industriels français et étrangers ainsi

qu’aux centres de recherche dans les domaines suivants :



  • équipements et process pour les nanotechnologies

  • nano-instrumentation et nanométrologie

  • nanomatériaux et nanostructuration

  • nanomatériaux / nanopoudres

  • composants micro-nano

- 7e rencontres technologiques européennes micro & nanotechnologies

organisées par le réseau Enterprise Europe Network.

Seule édition en France, dans le domaine micromécanique.



Détails page 11
- conférences micro & nanotechnologies

organisées en partenariat avec le centre de recherche Femto-st / Institut Carnot.


Assises nationales du découpage/emboutissage

« Quelles stratégies pour le découpage/emboutissage français ? »



Détails page 6
Zoom « Pôle des microtechniques »

Un pôle d’excellence au service des microtechniques.



Détails page 13
Les Microns d’Or 2010

Chaque année, Micronora récompense le savoir-faire de ses exposants. Les Microns d’Or, qui se sont imposés au fil des ans chez les professionnels comme un gage incontesté de l'innovation, récompensent des réalisations microtechniques innovantes, présentées pour la première fois dans le cadre du salon.

Constitué d’industriels et de chercheurs actifs dans le domaine des microtechniques, le jury des Microns d’Or remettra les trophées aux lauréats dans le cadre de Micronora.

Détails page 17
Assises Nationales

du découpage/emboutissage,
dans le cadre de Micronora, à Besançon, le 29 septembre 2010
Organisation professionnelle représentative du secteur du découpage/emboutissage, le Gimef a choisi d’organiser les Assises Nationales du découpage/emboutissage pendant le salon Micronora, le 29 septembre prochain, à Besançon.

Le matin, seront traitées des questions stratégiques (résultats d’une étude réalisée par la profession, témoignages des acteurs de la filière, benchmarking de la situation de la filière en Europe). L’après-midi sera consacrée à des thématiques techniques propres à la profession.


Le secteur du découpage/emboutissage en quelques chiffres-clés :
700 entreprises

397 entreprises de plus de 20 salariés

40 000 emplois directs

6,7 milliards d’euros de chiffre d’affaires en 2009

45 % du chiffre d’affaires réalisé dans la filière automobile

Alors que les entreprises de 250 salariés ou plus représentent moins de 10 % du nombre total d’entreprises, elles réalisent la moitié du chiffre d’affaires global et plus de la moitié des exportations du secteur.



Le secteur du découpage/emboutissage en France, une activité principalement liée à l’automobile et donc fortement impactée par la crise


L’automobile constitue le principal marché de destination des pièces du découpage/emboutissage, dans des proportions qui restent stables depuis plusieurs années.

Ainsi, le métier du découpage/emboutissage en France a été fortement touché par la récession économique et par la mauvaise orientation du secteur de l’automobile.

Les facturations ont ainsi chuté d’environ 35 % entre janvier 2008 et janvier 2009, tandis que dans le même temps la production automobile passait par un point bas de moins 60 % par rapport à l’année 2006.

La timide reprise économique ainsi que les différentes aides au secteur automobile mises en place en Europe en 2009 ont quelque peu redonné de l’air au secteur.




Figure 1 : Évolution des indices du découpage/emboutissage en parallèle avec la production automobiles (source : Insee)

Si l’année 2009 a été particulièrement difficile pour les entreprises, 2010 s’annoncent meilleure. Toutefois, la croissance du chiffre d’affaires du secteur de l’ordre de 12 % sur laquelle tablent les prévisionnistes ne compensera pas les pertes subies en 2008 et 2009 et l’on restera encore sur des volumes inférieurs de 15 à 20% par rapport aux meilleures années de la décennie précédente.



Figure 2 : Évolution du chiffre d'affaires du secteur (source : Xerfi)



Échantillon des entreprises du secteur réalisant de 0,5 à 30 millions de CA en 2007 (e : estimation, p : prévision)
En 2009, 7 % des entreprises du secteur du découpage/emboutissage recensées dans la base de données DIANE ont enregistré des défaillances économiques : 37 liquidations, 18 redressements judiciaires, 11 cessations d’activité, 3 plans de continuation et 2 absorptions, fusions ou rachats.

6 des 15 premières entreprises du secteur (en termes de chiffre d’affaires) ont été mises en liquidation judiciaire ou ont été rachetées.

Les entreprises fondent cependant leurs espoirs sur des marchés plus porteurs (énergie, aéronautique, ferroviaire, médical, …) et se positionnent davantage sur des marchés émergents à l’exportation.


Figure 3 : Situations juridiques (hors situation normale) des entreprises du découpage/emboutissage (source : DIANE)

Les Assises Nationales du découpage/emboutissage


Dans ce contexte de mutation de la filière, les Assises Nationales du découpage emboutissage du Gimef seront l’occasion de dresser un bilan global de la situation économique de la profession et de mettre en lumière, par l’intervention de donneurs d’ordres, les perspectives d’avenir de la profession.

Quelles stratégies pour le découpage/emboutissage français ?
A l’occasion des Assises Nationales du découpage/emboutissage seront publiés les résultats d’une étude approfondie réalisée par la profession. Cette étude apporte non seulement un éclairage sur les perspectives et les grandes tendances des différents secteurs clients des découpeurs/emboutisseurs à 5/15 ans, mais propose également des axes de développement pour assurer la pérennité des entreprises de la filière. Voici, en avant-première, quelques-unes de ces constatations :
Les entreprises pérennes de la filière sont :

- des entreprises multi-technologiques de taille importante, disposant de bureaux d’études et d’importantes capacités marketing et export,

- des PME au savoir-faire reconnu sur des marchés de niche,

- des PME géographiquement proches de leurs clients, garantissant ainsi souplesse, qualité et délais,

- des PME au savoir-faire très spécifique, développant leurs propres produits,

- des PME qui se sont positionnées avec des filiales à l’étranger et celles qui ont un taux d’exportation au moins supérieur à 30 %.


A contrario, les petites entreprises généralistes (environ 20 % des entreprises de la filière), sans spécificité technique, non positionnées sur des marchés de niche et/ou n’étant pas assez importantes pour pouvoir répondre à des appels d’offres, sont les moins bien loties puisqu’elles se retrouvent systématiquement en concurrence avec des entreprises de taille plus importante ou low-cost.
La crise économique a accentué la contraction du secteur du découpage/emboutissage enregistrée depuis une dizaine d’années (30 %) fragilisant encore plus les entreprises déjà fortement endettées.
Il devient donc urgent de sortir de cette logique de coûts pour se rapprocher du modèle allemand, structurellement différent du modèle français puisque l’Allemagne compte beaucoup plus d’ETI qu’en France (entreprises de taille intermédiaire) allant de 250 personnes à plusieurs milliers.

Alors que les donneurs d’ordres allemands garantissent la pérennité de leur industrie de sous-traitance par une préférence nationale, les Français répondent aux contraintes du marché en mettant largement leurs fournisseurs en concurrence avec des entreprises low-cost. De même, les industries allemandes capitalisent sur la R&D qui leur permet d’innover dans les produits et services liés à l’industrie. C’est moins le cas en France où les entreprises se félicitent tout de même de la mise en place du Crédit impôt Recherche.


Seront également apportés des témoignages concrets des acteurs intervenant aux deux extrémités de la filière : des donneurs d’ordres influents, qui apporteront des éclairages sur la stratégie de leur groupe par rapport au secteur du découpage emboutissage (inscrits à ce jour : ALSTOM Transport - Pompes GRUNDFOS – LEGRAND - SCHNEIDER ELECTRIC - VALEO), des PME, qui présenteront leur stratégie gagnante
Un benchmarking de la situation des découpeurs emboutisseurs dans certains pays européens (Allemagne, Italie,..) mettra en exergue les différences de typologie d’entreprises, de stratégies des donneurs d’ordres, d’investissements en R&D…
L’innovation technique, autre vecteur de développement
Les Assises Nationales du découpage/emboutissage traiteront également de sujets techniques sur lesquels interviendront principalement des experts du CETIM (Centre Technique des Industries Mécaniques). La profession a retenu cinq thèmes forts.

La précision sur les pièces découpées : Dans un monde où tout se complexifie, les métiers de travail des métaux n’échappent pas à la règle. Les produits conçus par les donneurs d’ordres utilisent aujourd’hui des composants toujours plus miniaturisés, nécessitant la mise en œuvre de technologies toujours plus fiables (répétabilité, capabilité…). Les composants de tels systèmes doivent avoir une précision extrême afin que leur assemblage se réalise correctement et garantir un fonctionnement optimal du produit fini. Cette difficulté est accentuée par les origines diverses des composants (technologies différentes, nombreux fournisseurs…).




Le dégraissage des pièces / Traitement de surface : Souvent considérées comme de simples opérations de sous-traitance, avec des résultats plus ou moins maîtrisés, ces opérations de finition prennent une place stratégique pour la fonction de la pièce. Elles doivent par ailleurs respecter des contraintes environnementales toujours plus exigeantes. Les entreprises de la filière ont compris l’importance de ces opérations de parachèvement et leurs accordent autant d’importance que les opérations de découpage et emboutissage classiques. Elles ont d’ailleurs repris la maîtrise sur ce sujet en offrant une réelle valeur ajoutée aux donneurs d’ordres. Il est à noter que la connaissance de ces procédés est indispensable pour orienter le choix technique et économique vers la solution de parachèvement adaptée.


Plusieurs études sur le sujet ont d’ailleurs été lancées dernièrement en partenariat avec la commission « métier » du CETIM, lequel a mené à bien une étude d’envergure visant à répertorier tous les défauts d’aspects possibles rencontrés avec le traitement de surface en vrac des pièces. Cette base de données pertinente permet aujourd’hui de disposer d’une base solide de discussion avec les donneurs d’ordres afin de choisir le procédé de traitement le plus adapté à ces exigences et aux contraintes des fournisseurs. Un compromis technico-économique est alors plus facile à établir.

L’usure des outils de coupe : Depuis plusieurs années, l’ENSMM (École Nationale Supérieure de Mécanique et des Microtechniques) et le groupement de laboratoires FEMTO-ST (Franche-Comté Électronique, Mécanique, Thermique et Optique - Sciences et Technologies) ont développé plusieurs techniques de suivi in situ de l’usure des outils. Grâce à ces techniques, il est désormais possible d’élaborer des règles de conception relatives aux paramètres de découpe. L’objectif étant de réduire l’usure des éléments actifs et ainsi améliorer la qualité des produits et l’efficience des procédés de fabrication. Le projet est ambitieux et prévoit d’étudier le rôle des paramètres influents : la matière de l’outil, la matière découpée, les lubrifiants ainsi que les paramètres spécifiques à la découpe (jeux, cadence …). Plusieurs finalités sont attendues, parmi lesquelles la réalisation d’un dispositif d’évaluation simple et rapide de mesure en laboratoire de la performance de la configuration de découpe (matière outil, tôle, lubrifiant).




Les nouveaux matériaux HLE : Le secteur automobile a introduit des aciers HLE (Haute Limite Élastique) depuis plusieurs années déjà. Ces aciers présentent de meilleures caractéristiques mécaniques que les aciers doux conventionnels. Leur utilisation permet donc d’alléger les structures : réduire le poids d’un véhicule afin de réduire sa consommation de carburant, par exemple. Le secteur découpage emboutissage a, bien entendu, intégré ces matières, non sans mal. Ont été remises en cause les pratiques habituelles du métier, comme la prise en compte du phénomène de retour élastique et la forte sollicitation des outillages. Plusieurs travaux ont été réalisés sur le sujet, notamment dans le domaine de caractérisation mécanique, les limites de formage, la simulation d’emboutissage…




Combattre les troubles musculo-squelettiques en découpage emboutissage : À l’origine de douleurs qui deviennent de plus en plus gênantes, les troubles musculo-squelettiques (TMS) peuvent avoir des conséquences graves pouvant aller jusqu’à une incapacité de travail. Pour y remédier dans le secteur du découpage/emboutissage, plusieurs pistes peuvent être explorées, notamment en recourant à la mécanisation des activités les plus pénibles, en accroissant la diversité des tâches associées à l'emploi ou encore en revoyant la conception des lieux de travail.




Le GIMEF, Groupement National des métaux en Feuilles, affilié à la Fédération des industries Mécaniques, est l’organisateur de ces assises, en partenariat avec le Comité Mécanique Franche Comté et le Pôle des Microtechniques, et le soutien financier de la DIRECTE Franche-Comté et de l’Europe.
Micro & Nanotechnologies

Creating affinities

7èmes Rencontres Technologiques Européennes

au cœur de Micronora, les 30 septembre et 1er octobre 2010



Pourquoi participer ?

Les Rencontres Technologiques Européennes Micro & Nanotechnologies sont le lieu pour trouver des solutions technologiques ou détecter des partenaires de recherche & développement. Elles s’articulent autour de rendez-vous confidentiels préprogrammés et sont fréquentées essentiellement par des entreprises, des laboratoires de recherche ou des centres techniques, sachant que la proportion d’entreprises est la plus importante.

La constitution d’un catalogue de profils de collaboration préalablement validés par le réseau Enterprise Europe Network apporte une réelle valeur ajoutée aux entretiens.
Un impact grandissant

Si les rencontres technologiques se tiennent depuis plus de 10 ans à Micronora, ce n’est pas le fruit du hasard. L’événement se confirme et s’installe, produisant toujours plus de résultats en termes de collaborations entre entreprises européennes, se matérialisant soit par des collaborations directes, soit par des collaborations dans le cadre de projets européens financés par la Commission Européenne. Dans un contexte où tout change, la pérennité s’avère payante.


4 participants de 4 pays différents en témoignent

« Nous bénéficions des services du réseau Enterprise Europe Network pour la recherche de partenaires technologiques en Europe. Non seulement, nous avons trouvé les partenaires que nous recherchions pour le développement de nos appareils mais nous avons aussi, en participant aux Rencontres Technologiques Européennes Micro & Nanotechnologies, fait la promotion de notre savoir-faire sur le plan international »

Najia TAMDA, gérante associée, IMACISIO France
« Notre longue expérience nous a enseigné que la rencontre de personnes issues de pays et d’horizons différents était riche en idées et opportunités d’affaires nouvelles. Grâce à Enterprise Europe Network, nous avons pu rencontrer les bonnes personnes, ce qui nous a ouvert des portes pour fournir nos produits innovants à l’industrie aéronautique européenne. De plus, les Rencontres Technologiques ont donné de la visibilité à notre entreprise et nous ont permis d’intégrer un projet « high-tech » susceptible, comme nous le croyons, de changer substantiellement le futur de notre entreprise ».

Mr KRUPICKA, KOVOHUTE ROKYKANI, directeur commercial et marketing, République Tchèque
« Les bourses de technologies représentent le moyen le plus efficace de faire des rencontres ciblées pour des partenariats technologiques lors des salons »

Max MONTI, responsable R&D, Haute-Ecole – Arc, Suisse
« Les Rencontres Technologiques en 2008 se sont avérées être une plateforme très complémentaire du salon dans la mesure où nous avons noué d’autres contacts internationaux intéressants. Avec deux des personnes rencontrées, nous avons constitué un consortium pour un projet européen soumis à la Commission Européenne en octobre 2009. »

Dr Franck SPILLER, directeur de projet, IMMS GmbH, Allemagne (Thuringe)
L’édition 2008

135 participants (120 en 2006)

360 rendez-vous (320 en 2006)

85 % d’entreprises

49 % de participants étrangers
La qualité de l’organisation, et surtout la qualité des rendez-vous, a été plébiscitée par les participants présents en 2008.
Effet réseau démultiplié

Pour organiser les Rencontres Technologiques Européennes, l’ARIST Franche-Comté, en charge du programme innovation et partenariat technologique européen pour le réseau Enterprise Europe Network en Franche-Comté, s’appuie sur :



  • Le réseau Enterprise Europe Network mis en place en 2008 par la Commission Européenne dont l’efficacité ne fait que croître,

  • Le groupe sectoriel Micro & Nanotechnologies qui tiendra une nouvelle réunion à Besançon après Prague, Eindhoven et Stockholm et dont l’ARIST est membre,

  • Le Pôle des Microtechniques et FEMTO-ST, institut de recherche en micro & nanotechnologies.


Les Rencontres Technologiques Européennes sur Micronora n’ont pas d’équivalent en France et les partenaires français du réseau qui les soutiennent sont situés dans la région parisienne, dans la région Rhône-Alpes (Lyon et Grenoble) et dans le Sud Ouest (Aquitaine).
Plus les retombées de l’événement sont importantes, plus le réseau est volontaire pour apporter son soutien. Plus de quinze partenaires en Europe se feront écho de l’édition 2010.
Organisateur 

L’ARIST Franche-Comté, service d’information technologique de la Chambre Régionale de Commerce et d’Industrie est partenaire du réseau Enterprise Europe Network créé par la Commission Européenne. L’ARIST met en œuvre pour le réseau des actions pour favoriser l’innovation et le partenariat technologique européen.


Enterprise Europe Network est le plus grand réseau connectant les affaires en Europe. Il aide les entreprises à se développer et innover grâce à des services de partenariat, d’information et de conseil. Le réseau est représenté dans une quarantaine de pays par près de 600 organisations.
En savoir plus : Anne-Marie VIEUX, chef de projet innovation Enterprise Europe Network,

ARIST / CRCI de Franche-Comté Valparc Zac Valentin 25043 BESANCON cedex

tél : 03 81 47 42 07 - amvieux@franche-comte.cci.fr

Inscriptions : www.micro-nano-event.eu
Zoom Micronora 2010 :

Plus petit, plus précis, plus intelligent,

les + produits de demain
Cinq ans après la labellisation du Pôle des microtechniques, MICRONORA a décidé de consacrer son zoom à l’avenir de cette filière où le toujours plus petit, toujours plus précis et encore plus intelligent fait émerger les + produits de demain.
Le zoom s’organise autour de 5 axes technologiques illustrant le caractère transverse des microtechniques et l’expertise nécessairement pluridisciplinaire des microtechniciens :

  • Microfabrication et micromanipulation

  • Microinjection et micromoulage

  • Microsystèmes

  • Traitement de surface

  • Nanotechnologies et nanomatériaux

Sur 5 îlots, les technologies les plus innovantes se traduiront en applications industrielles ou en projet de recherche & développement.

Assemblage micro robotisés inédits, fabrication d’une nouvelle valve intelligente, pièces micro percées de quelques µm, dernière génération d’oscillateurs pour horloge atomique, manipulations d’atomes ou encore un des plus petits switch du monde… sont autant de performances à découvrir sur le Zoom 2010 !
I. Microtechnologies du futur en action
Microfabrication, Micromanipulation

Dans le domaine de la microfabrication, des micro-pièces usinées grâce à des micro-outils (micro-fraisage, micro-décolletage…) seront présentées. Un exemple classique qui illustre bien ce savoir-faire est la couronne de montre : la technologie du micro perçage, grâce au laser femto-seconde, permet de percer des trous de quelques 10 µm, sans brûler les bords… A suivre avec FEMTO-ST


Comment optimiser le découpage de précision dans les matériaux ‘malléables’ ? Une nouvelle approche de travail de cette technologie traditionnelle sera explicitée avec l’exemple des leadframes de puissance destinés à l’électronique. Un programme de recherche est en effet en cours pour mieux optimiser le couple outil – matière.
Autre illustration de savoir-faire : des composants horlogers pour mouvements mécaniques réalisés avec les technologies LIGA - micro-moules réalisés en résine par photolithographie– . Ces technologies sont utilisées pour obtenir des pièces métalliques complexes (en général en nickel), de très petite dimension (quelques centaines de microns voire le µm) et avec une grande répétabilité.
Ces pièces peuvent aussi être réalisées par DRIE (gravure ionique profonde), dans ce cas le matériau le plus utilisé est le silicium.
Réaliser des micro-pièces c’est bien, mais pouvoir les assembler afin de constituer des produits complets c’est mieux. Donc, « micromanipulons » !
Illustration en microrobotique avec des micro-pinces de préhension sont capables de saisir des objets de quelques 10 µm et avec des robots de grande précision les positionnent à quelques µm, grâce à un pilotage par vision….

Illustration encore avec une démonstration de micro bols vibrants d’ADS Vibrations et une opération de micro-assemblage téléopérée par l’Institut Pierre Vernier, une technologie innovante développée dans le cadre du projet CEMIASS labellisé par le Pôle des microtechniques.


A voir aussi : une micromanipulation sans contact avec manipulation de déplacement de micro-objet en milieu liquide par diélectrophorèse avec FEMTO-ST.
Un robot intelligent équipé de microsystèmes de détection pour la préhension et l’analyse de mesure optique sera à suivre de très près avec OPTEC Industries.
A travers la présentation du projet AMIMAC qui visait à optimiser le développement et la fabrication des machines tournantes électriques, on se souviendra que les microtechniques ont aussi contribué à la mise en œuvre de la nouvelle motorisation de l’AGVTM d’ALSTOM TRANSPORT.
Microinjection et micromoulage dans la plasturgie

Dans le domaine de la plasturgie, il est possible de réaliser des pièces de très petite dimension (10 µm environ) par des techniques de réplication obtenues par lithographie dure, typiquement le hot-embossing, ou par lithographie molle, moules souples en PDMS.

Cette approche a conduit certains industriels, à élaborer des composants pour la micro-fluidique destinés au médical ou à d’autres domaines comme le packaging.
Autour de ces techniques d’injection plastique, d’autres techniques se sont développées comme le MIM (metal injection molding) pour obtenir des pièces métalliques (inox, titane,…), ou le CIM (ceramic injection molding) pour la réalisation de petites pièces en céramique.

Le Pôle des microtechniques travaille activement sur le sujet ; à titre d’exemple, le projet NewPIM qui vise à étendre les applications industrielles du procédé PIM (Powder Injection Moulding) réunit 13 partenaires parmi lesquels on retrouve les entreprises franc-comtoises ALLIANCE, Aimé Griffond, MAPE et l’ENSMM.


Des pièces réalisées grâce à ces technologies innovantes seront présentées par l’IPV, FEMTO-ST, PMPC, STATICE SANTE, CG TEC, CRYLA, HARDEX,…
A retenir aussi sur cet îlot : des polymères chargés en nanopoudres, le frittage laser en temps réel, une démonstration de roll embossing avec FEMTO-ST, …

Et à ne pas manquer : un des plus petits switch du monde  de C&K COMPONENTS !


Microsystèmes

Les microsystèmes qui contiennent des parties non électroniques, regroupent souvent un capteur et un actionneur… On pourra voir comment à partir d’un capteur de type SAW - à onde de surface, on fabrique une nouvelle génération de valves intelligentes c'est-à-dire communicantes avec l’extérieur… SCHRADER et SENSEOR présenteront également des capteurs piézoélectriques et biologiques.

D’autres développements de microsystèmes à ondes de surface (SAW) seront mis en évidence comme des capteurs sans fil interrogeables à distance.
Dans un autre registre, seront aussi présentés des micromoteurs pas à pas MMT destinés aux tableaux de bord pour l’automobile.
Dans le domaine du temps-fréquence, à découvrir des oscillateurs de grande stabilité destinés aux stations GSM ou aux équipements radar et des oscillateurs à mode de galerie pour les horloges atomiques embarquées.
A relever côté médical : la valve implantable de SOPHYSA, un chromatomètre miniaturisé pour la détection de maladie...

Avec OLYMPUS et STATICE ETUDES, on s’intéressera aussi à la manière de détecter les défauts dans les tubulures nucléaires…


De nombreux composants microtechniques francs-comtois et notamment ceux de PHOTLINE TECHNOLOGIES, HARDEX, MICROPIERRE, RICUPERO se retrouvent dans des équipements complexes comme le gyroscope d’IXSEA.
Traitement de surface

Sur l’îlot traitement de surface, différents produits seront exposés utilisant aussi bien des traitements par voie sèche, type PVD, que des traitements par voie galvanique incorporant des nanoparticules. A suivre notamment avec SURFACES SYNERGIE/IONITEC, MARCEL MONNOT


Animation visuelle à suivre avec des techniques de simulations électrochimiques pour optimiser les procédés industriels de galvanoplastie avec FCI…
A observer aussi côté ANOXYD : l’anodisation en voit de toutes les couleurs dans le secteur du luxe avec une gamme d’alumines hautes en teintes !
A découvrir, autour d’IMASONIC, de C&K Components et du Laboratoire de chimie de l’Université de Franche-Comté, dans le cadre du projet ULTRASUR, des procédés spécifiques de dorure sélective par ultrason et également l’amélioration du traitement des tumeurs par ultrasons focalisés.
UTINAM, laboratoire de l’Université et l’Institut Pierre Vernier présenteront leurs travaux dans le cadre du projet collaboratif du Pôle OPERA qui vise à réduire l'épaisseur des revêtements de métaux nobles déposés sur les articles de luxe pour gagner en productivité et limiter les coûts.
Nanotechnologies / nanomatériaux

Côté nanotechnologies, l’accent se portera essentiellement sur les matériaux.

Comment profiter au maximum des performances des nanograins ? Démonstration avec des équipements sportifs comme les raquettes de tennis, les clubs de golf ou les cadres de vélo signés ARKEMA et qui savent tirer parti des nanotubes de carbone.
A l’échelle du nano, la rugosité est prépondérante ; savoir la mesurer est essentiel. Une caractérisation de surface sera faite par DIGITAL SURF sur des pièces nanométriques de SILMACH à l’aide d’un banc de mesure équipé d’un capteur optique et de logiciels capables d’interpréter ces mesures.
Autre application, les outils de coupe. Une thèse soutenue à l’INSA de Lyon, a montré que l’optimum des performances de l’outil était atteint lorsque la taille des grains de carbure était de l’ordre de 35nm. L’UTBM présentera une plaquette de ce type de carbure.
Pour le secteur du biomédical, Femto-ST présentera sa plateforme protéomique destinée à l’analyse par fluorescence des protéines.

Toujours avec FEMTO-ST, des manipulations d’atomes par microscopie à force atomique seront commentées. Une autre expérience illustrant cette mobilité, sera réalisée à l’aide de deux plaques de verre fortement hydrophobes.


Dans le cadre du projet NANOEC – Nano ANtennas for the Optical Electromagnetic nanoCollection -, à voir une première mesure expérimentale électromagnétique d'un faisceau lumineux grâce à des nanoantennes...
II. Le Pôle des microtechniques en bref
A tout moment, partout dans le monde, chacun de nous transporte, utilise, dépend des composants microtechniques franc-comtois.

Issues de l’horlogerie, les entreprises franc-comtoises excellent dans le domaine de la haute précision et de la miniaturisation. Première région industrielle française1, la Franche-Comté a vu ses capacités d’innovation et de production reconnues dans le domaine des microtechniques avec la labellisation par l’Etat en 2005 du pôle de compétitivité des microtechniques. Avec plus de 400 entreprises employant 11 000 personnes pour un chiffre d’affaires de 1,3 milliard d’euros, le pôle des microtechniques se pose en acteur majeur et désormais incontournable de l’infiniment petit.

Du fait de la nature même des microtechniques, les composants comtois sont au cœur des futurs produits high-tech des grandes industries mondiales.
Un réel triptyque local, animé d’une volonté collective

Avec une part de marché estimée à plus de 1 %


Quelques chiffres
Industrie

  • 406 entreprises identifiées microtechniques, dont 47 appartenant à un groupe et 399 PME

  • 11 000 salariés

  • 1,3 Mds € de CA / 1 % des échanges mondiaux


Recherche

  • 450 chercheurs en recherche privée et 600 en recherche publique

  • Un institut Carnot (Femto-Innovation)

  • Une centrale de technologie (MIMENTO - 13 M€ d’équipements)


Formation

  • 1200 nouveaux diplômés par an en microtechniques, du CAP à l’ingénieur

  • UFC - Université de Franche-Comté incluant l’ISIFC (Institut Supérieur universitaire d’Ingénieurs de Franche-Comté) proposant une double formation microtechnique et médicale

  • UTBM - Université de Technologie Belfort - Montbéliard

  • ENSMM - Ecole Nationale Supérieure de Mécanique et des Microtechniques

  • 2 lycées technologiques, 1 IUT, 1 CFAI


Un environnement porteur

  • La technopole TEMIS, 130 ha dédiés aux microtechniques

  • Micronora, le salon européen des microtechniques (Besançon)



des échanges mondiaux qu’elle entend doubler d’ici l’année 2012, la filière franc-comtoise des microtechniques possède la plus forte densité de savoir-faire industriel, de centres de recherche et d’organismes de formation liés aux microtechniques.
Le pôle des microtechniques, en favorisant les synergies entre ces 3 composantes, est l’outil privilégié de cette ambition. Il s’ouvre aujourd’hui aux plus grands marchés industriels comme l’Allemagne, l’Italie, l’Espagne ou la Suisse.

Les Microns d’Or, l’innovation microtechnique récompensée





Dans le cadre de Micronora aura lieu la remise des Microns d’Or. Ces trophées récompensent des réalisations microtechniques innovantes, présentées pour la première fois dans le cadre du salon.

Le jury des Microns d’Or est constitué d’industriels et de chercheurs actifs dans le domaine des microtechniques.
6 classes de Microns d’Or, une par filière

Directs ou indirects, tous les exposants inscrits au catalogue officiel Micronora peuvent concourir dans l’une des six classes, à savoir :



  • Classe 1 : composants microtechniques,

  • Classe 2 : sous-ensembles associant des composants microtechniques,

  • Classe 3 : appareils intégrant des composants microtechniques,

  • Classe 4 : outillages et instruments de production (outils de découpage, de moulage, formage, instruments de contrôle…),

  • Classe 5 : machines-outils et machines de production microtechniques, automatismes, accessoires,

  • Classe 6 : prototypes microsystèmes réservés aux organismes de recherche.


Une valorisation exceptionnelle des lauréats

Afin de conserver toute leur valeur aux Microns d’Or, un seul trophée est décerné par classe.

Un dossier de presse, réalisé par Micronora, sera diffusé à l’ensemble de la presse professionnelle, française et internationale.

En outre, chacun des lauréats se verra remettre 1 500 € par la Banque Populaire de Bourgogne Franche-Comté.


Retour sur les lauréats 2008

Pièces ou éléments microtechniques entrant dans un composant - MINITUBES

Micron d’Or pour le M012, procédé d’usinage et de mise en forme haute précision de mini-tubes en phynox, entrant dans l’architecture 3D d’une montre d’exception.



www.minitubes.com
Composants fonctionnels et dispositifs simples ou complexes modulaires - CEDRAT TECHNOLOGIES

Micron d’Or pour le moteur SPA, un moteur piézoélectrique à grande course (10 mm par exemple) et à résolution nanométrique.



www.cedrat.com
Appareils intégrant des composants microtechniques - ALTIMET

Micron d’Or pour l’AltiSurf®520 TPR, un instrument de métrologie des états de surface, combinant trois types de capteurs (optique et mécaniques) destinés à la métrologie de micro-alésages sur pièces complexes.



www.altimet.fr

Outillages et instruments de production - RENISHAW

Micron d’Or pour RENSCAN5™, tête de mesures rapides pour machines à mesurer tridimensionnelle (vitesse standard de palpage multipliée 10).



www.renishaw.com
Machines-outils et machines de production microtechniques, automatismes, accessoires - AMCC

Micron d’Or pour l'unité RRU/GF-GF, un système de préhension, de retournement et de bridage, utilisant un procédé cryogénique innovant permettant l’usinage de pièces microtechniques en moyennes et grandes séries.



www.amcc.fr
Prototypes microsystèmes réservés aux organismes de recherche - FEMTO-ST

Micron d’Or pour une station robotisée de micro-assemblage par manipulation directe de composants microtechniques.



www.femto-st.fr
Mentions spéciales du jury
MITUTOYO

Pour QuantuMike, un micromètre permettant une avance de broche de 2 mm par tour de tambour avec une résolution du micron.



www.mitutoyo.fr
HEIDENHAIN

Pour un nouveau concept de règle interférométrique permettant de s’affranchir des erreurs de déformation dues principalement à la température et garantissant le nanomètre.



www.heidenhain.fr

L’Association Micronora
L’association Micronora constituée d’industriels et de chercheurs a été créée pour assurer la promotion des microtechniques. L’organisation du salon Micronora est sans aucun doute le point d’orgue de cette mission. Il a lieu à Besançon tous les deux ans, les années paires.

Elle édite également une revue trimestrielle : Micronora Informations.

Son site Internet en cinq langues, www.micronora.com, bénéficie désormais d’une rubrique dédiée à la presse.

Le Bureau
Président Michel Goetz SIDEO PMPC (Boussières)
Vice-président Michel Froelicher Michel Froelicher Consultant (Besançon)
Trésorier André-Pierre Augé APA Evolution (Besançon)
Secrétaire Sylvian Giampiccolo Scoder (Besançon)

Directeur Général Michèle Blondeau
Secrétariat Viviane Cardon

Sandra Liardon




1 En pourcentage de la main d’œuvre active et en VAB


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