En 1997 étaient également lancés les projets Cybercard et e-comm qui regroupaient notamment le Crédit Agricole, le Crédit Mutuel, les Banques Populaires, le CIC, la Poste et les Caisses d'Épargne.
En 1998 tous les acteurs de l'univers de la carte bancaire décidaient de faire converger leurs efforts au sein de cyber-comm www.cyber-comm.com : cette technologie nécessitait toutefois d'une part que le commerçant soit à la norme SET et que le client dispose d'un lecteur de carte à puce (d'une valeur de 60€ environ)
Il aurait été impératif à la viabilité de cette entreprise qu'elle soit étendue à la zone euro, et qu'elle élargisse son actionnariat en conséquence, ce qui était l'objet du consortium Finread: nouvel échec
Des cartes à puce sonores s'affranchissent des lecteurs en émettant un signal sonore qui transmet le cryptogramme vers un serveur géré par un tiers de confiance qui, comme pour Cyber-comm valide la transaction
Nouvelle piste : la Carte Virtuelle Dynamique (CVD du GIE Carte Bleue ou e-carte bleue), un établissement financier délivre un numéro de carte valable pour une seule transaction et pour un seul montant: ce procédé ne nécessite aucune mesure particulière du côté du marchand et le vol éventuel du numéro ou son utilisation par un commerçant indélicat est sans conséquence puisque celui-ci n'est plus valide dès la transaction effectuée. Ce procédé a été mis en œuvre en Irlande dès Aout 2000 et a démarré en France début 2002 (Société Générale, la Poste, Caisse d'épargne, Crédit Lyonnais, ) www.journaldunet.com/itws/it_andre.shtml
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