Mais le e-learning ne concerne pas seulement les formations de très haut niveau et n'est pas exclusif des formations "en salle" : dans bien des cas il en est un complément naturel
Mobalpa, meubles de cuisines, de salles de bains et de rangement, marque du groupe Fournier basée à Thônes (Haute-Savoie, 149,5 M€ de CA., 820 salariés), a notamment appuyé sa réussite sur un service de formation intégré, gérant 450 stagiaires par an, soit l’équivalent de 1400 jours de formation
La société a mis en place une plate-forme pédagogique à laquelle chaque point de vente se connecte via une liaison Internet à haut-débit. Sur ce site, les vendeurs trouvent des modules de formation multimédias, incluant des schémas animés, des illustrations, des commentaires audio, des quizz et différents contrôles de connaissance.
Les bénéfices attendus par Mobalpa sont tout autant quantitatifs que qualitatifs. Le nombre de jours en "salle de classe "devrait être diminué de 30 % environ et, par conséquent, le nombre de jours d’absences des vendeurs de leur lieu de travail, sans oublier les frais de "logistiques" (déplacements, locations de salles…).
Mais comme le précise Philip Anderson, responsable Formation : "Il est clair qu'en aucun cas le e-learning ne remplacera les formations "en salle", indispensables pour enrichir chacun des expériences et savoir-faire des participants. Le e-learning n'est pas une modification ou une révolution, mais une évolution naturelle de la formation"
Selon une étude d'Arthur Andersen le e-learning ne représente en 2001 que 2% des dépenses des entreprises françaises contre 60% aux USA. 11% de nos entreprises utiliseraient le e-learning contre 90% aux US
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