l'entreprise risque de considérer que l'effort est fait puisque maintenant "elle est sur le Web" alors que comme nous le verrons dans la suite le site web ne représente qu'une infime partie des potentialités de l'Internet.
Ayant le sentiment du devoir accompli et constatant, comme prévu, que cela ne lui apporte pas grand chose, elle court paradoxalement le risque de prendre du retard par rapport aux autres. Il conviendrait sans doute de s'interroger sur certaines initiatives ne visant qu'à faciliter ce premier pas : Confucius le disait déjà "l'ennemi de la connaissance n'est pas l'ignorance, mais le fait que l'on croit savoir"
une présence aussi réduite - dite " zombie" -, qui, le plus souvent n'est pas mise à jour, n'est qu'en français et ne permet même pas d'envoyer un e-mail, peut donner une image d'amateurisme.
comme nous l'a fait remarquer un industriel, ce qui est gênant avec le Web c'est que, quand vous êtes mauvais, tout le monde peut le voir et ce sera le premier réflexe d'un prospect étranger que d'aller voir votre site: même un piètre référencement ne vous en protège pas….
Conclusion : un site zombie modeste peut être positif s'il est considéré comme la toute première marche d'un escalier(achat du nom, processus d'apprentissage) et ne reste à ce stade primitif que très peu de temps.