Level 3 présentait à Internet Fall une machine avançant à la vitesse d'une homme au pas et qui posait 13 fourreaux de ce type à la fois.
Le Suédois Telia construit son réseau pan-européen Vicking (12 cables de 92 paires de fibres, d'une capacité provisoirement limitée à 40 fois 10 gigabps chacune) pour la seule partie française (1.400 km en 16 mois) il en coute 1 milliard de F de génie civil et quelques centaines de million pour l'équipement optique (80F/m)
Par ailleurs aujourd'hui tout chantier de travaux publics "linéaire" (autoroute, égout, voie ferrée, pipe line, canal, ligne électrique,…) comporte la pose au moins d'un fourreau prêt à accueillir une fibre le moment venu (ou une fibre "noire", c'est à dire non activée), ce qui représente au niveau des grandes artères des potentiels considérable
Le vaste réseau d'égout, hérité de Vauban, de la ville de Besançon a permis le déploiement au moindre coût du Réseau Lumière www.besancon.com/lumière &w qui dessert 47 sites sur 40km
Au niveau des câbles sous-marins, à cette augmentation de la capacité liée au progrès technique s'ajoute l'accroissement des masses financières qui leur sont consacrés. En 2000, 17 millions de Km de fibres ont été posés (contre 4 en 1997). 2001 et 2002 ont vu une pose dans ces investissements au vu des surcapacité (les débits croissent effectivement mais chaque opérateur prévoyait d'en capter l'essentiel à son seul profit: ces phénomènes se rencontrent régulièrement dans les industries nécessitant de très lourds investissements, que ce soit dans les vapocraqueurs, les aciéries ou les producteurs de composants électroniques))
Chaque nouveau câble posé (on en inaugure plusieurs par an depuis 1998) est à lui seul plus puissant que tous les anciens câbles présents (David Barroux les Echos)
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