A la memoire des 1 500 000 victimes armeniennes



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TURQUIE/ECONOMIE


Dexia : l'opération Denizbank bouclée demain, dit Sberbank

Boursier.com

Cotation du 28/09/2012 à 09h01

Hier à 14h40

(Boursier.com) -- Sberbank a prévu de finaliser dès demain le rachat de Denizbank, la filiale turque de Dexia, selon un communiqué diffusé à la Bourse d'Istanbul et relayé par Bloomberg.

Le principe de l'opération avait été annoncé en juin dernier. La banque russe Sberbank a proposé environ 2,82 milliards d'euros pour cet actif, qui comprend les filiales en Turquie, en Autriche et en Russie. Le prix correspond à la conversion en euros de 6,469 milliards de livre turques, tandis que les fonds propres hors minoritaires atteignaient 4,63 milliards de livres turques à la clôture. Il était prévu qu'il soit ajusté lors de la finalisation de la transaction afin de prendre en compte l'évolution de l'actif net de Denizbank, calculé selon les normes IFRS, entre le 31 décembre 2011 et la date de finalisation.

A.B. - ©2012 www.boursier.com

http://www.boursier.com/actions/actualites/news/dexia-l-operation-denizbank-bouclee-demain-dit-sberbank-499912.html?sitemap

http://www.collectifvan.org/article.php?r=4&id=67537

    1. TURQUIE/USA/SYRIE


Syrie: Erdogan fustige la Russie, la Chine et l'Iran

RIA Novosti

10:41 28/09/2012

MOSCOU, 28 septembre

Le premier ministre turc Recep Tayyip Erdogan a fustigé jeudi la Russie, la Chine et l'Iran pour leur position sur la crise syrienne, et accusé ces Etats d'encourager les massacres, rapporte le site d'information Syria-News.

"La Russie est la principale source de déception. Au lieu de condamner la Syrie, elle soutient les massacres", a déclaré le chef du gouvernement dans une interview à la chaîne de télévision turque NTV.

"La Chine partage la même position. Bien que [le dirigeant chinois] Hu Jintao m'ait assuré que Pékin n'opposerait pas un troisième veto à la résolution de l'Onu, il l'a fait", a poursuivi M.Erdogan.

Quant à l'Iran, allié de longue date de Damas, le premier ministre turc a qualifié sa position d'"incompréhensible".

Depuis mars 2011, la Syrie est le théâtre d'un conflit armé entre les troupes gouvernementales et les groupes armés de l'opposition. L'Occident et certains pays arabes, dont le Qatar et l'Arabie saoudite, soutiennent les rebelles et cherchent à obtenir le départ du président Bachar el-Assad. Ils affirment que cette mesure permettrait de mettre fin aux hostilités qui ont déjà fait des milliers de morts.

La Russie et la Chine estiment pour leur part qu'une ingérence extérieure pourrait détruire l'Etat syrien et intensifier le conflit. Aussi ont-elles opposé leur veto à toutes les résolutions du Conseil de sécurité susceptibles d'avaliser une action militaire.



http://fr.ria.ru/world/20120928/196170600.html

http://www.collectifvan.org/article.php?r=4&id=67542

Plus de réfugiés et plus de morts en Syrie

Nouvel Obs

Créé le 27-09-2012 à 14h01 - Mis à jour à 17h30

par Dominic Evans

BEYROUTH (Reuters) - Le nombre de Syriens réfugiés dans les pays voisins pourrait atteindre 700.000 cette année, de plus en plus de personnes fuyant un conflit qui fait des centaines de morts chaque jour.

Ces chiffres sont près de quatre fois supérieurs à la précédente prévision du Haut Commissariat des Nations unies pour les réfugies (HCR), qui avançait en juin un chiffre de 185.000 réfugiés, dépassé en août. Après 18 mois de conflit, 294.000 réfugiés sont désormais enregistrés, ou près de l'être, en Jordanie, en Irak, au Liban et en Turquie.

"Des sorties importantes ont lieu : 100.000 personnes en août, 60.000 en septembre et, en ce moment, 2.000 ou 3.000 par jour (ou nuit)", a déclaré Panos Moumtzis, coordinateur régional du HCR pour les réfugiés, lors d'un point de presse à Genève.

Pour faire face à la situation d'urgence, les agences d'aide des Nations unies et les associations humanitaires partenaires ont lancé un appel à financement portant sur environ 490 millions de dollars (380 millions d'euros).

L'afflux de réfugiés s'est fortement accru en août vers la Turquie, lorsque les forces du président Bachar al Assad ont déployé des avions et des hélicoptères pour bombarder des villes prises par les rebelles, dans les provinces d'Alep et d'Idlib.

Des affrontements dans le Sud, vers Deraa, ont également provoqué la fuite de nombreux Syriens vers la Jordanie voisine.

La commissaire européenne aux Affaires humanitaires a jugé que la multiplication des combats et l'accès restreint aux civils entravaient la distribution de l'aide humanitaire.

PLUS DE 300 TUÉS MERCREDI

"C'est un conflit urbain qui rend difficile la distribution de l'aide", a déclaré Kristalina Georgieva mercredi après des entretiens sur cette question avec les dirigeants des Nations unies et d'organisations humanitaires internationales. L'Onu estime que 2,5 millions de personnes ont besoin d'aide en Syrie.

L'Observatoire syrien des droits de l'homme, une ONG basée à Londres et proche de l'opposition, fait désormais état de plus de 30.000 tués, dont 7.000 soldats et membres des forces de sécurité, au cours du conflit entamé mars 2011.

L'OSDH a rapporté que plus de 300 personnes avaient été tuées mercredi, ce qui en fait l'une des journées les plus meurtrières depuis le début du soulèvement.

Sur ce total, 55 personnes auraient été tuées dans des zones rurales près de Damas, dont 40 de sang froid dans la ville de Dhiyabia. Un attentat contre le siège de l'état-major militaire au centre de la capitale, et les échanges de tirs qui ont suivi auraient fait 14 morts.

Selon les chiffres d'autres groupes d'opposants, le bilan des morts à Al Dhiyabia serait de 107. Une vidéo publiée par des activistes montre des rangées de corps ensanglantés enveloppés dans des couvertures. Les victimes montrées par la caméra semblent être des hommes d'âge divers.

Lors des neuf premiers mois du conflit, 5.000 personnes avaient été tuées, selon un chiffre donné à l'époque par l'Onu. Depuis, les Nations unies ont renoncé à établir un décompte. Des chiffres de l'OSDH, on peut déduire que cinq fois plus de personnes ont trouvé la mort lors des neuf mois suivants.

Avec Stephanie Nebehay à Genève, Danielle Rouquié et Julien Dury pour le service français, édité par Gilles Trequesser



http://tempsreel.nouvelobs.com/monde/20120927.REU6893/plus-de-refugies-et-plus-de-morts-en-syrie.html

http://www.collectifvan.org/article.php?r=4&id=67538

Les Kurdes syriens profitent de la guerre pour faire avancer leurs revendications

LE MONDE | 25.09.2012 à 14h06

Par Christophe Ayad

Dans la Syrie d'aujourd'hui, où l'avenir de tout responsable politique paraît ne tenir qu'à un fil, il est l'un des rares à pouvoir se targuer d'être là pour longtemps. Saleh Muslim, 61 ans, est le chef du PYD, le principal parti kurde syrien. A la faveur de la révolution syrienne, sa formation a pris le contrôle d'une bonne part des territoires kurdes, désertés par les forces armées gouvernementales, trop occupées au soulèvement.

L'homme, petit, mat et râblé fait moins que ses 61 ans. Il offre une vague ressemblance avec Abdullah Öcalan, le fondateur du PKK, le parti kurde de Turquie, en guerre contre Ankara depuis 1984. Pour la plupart des observateurs, le PYD n'est que la branche syrienne du PKK.

Depuis le début de la révolution syrienne, le PYD joue sa partition en solo. Un – petit – pied dans la révolution, un autre avec le régime à Damas, il manœuvre pour en cueillir les fruits sans en faire les frais.

Dans les faits, le PYD a évité toute confrontation avec le régime syrien, obsédé avant tout par son ennemi turc. Rencontré lundi 24 septembre à Paris, Saleh Muslim insiste aujourd'hui sur l'engagement de son mouvement dans la révolution syrienne, déclenchée le 15 mars 2011, et qu'il voit comme "la continuation du soulèvement kurde de 2004".

En fait, le président Bachar Al-Assad a tout fait pour "neutraliser" les Kurdes en général, et le PYD en particulier, dès les premiers jours de l'insurrection, en raison de leur fort potentiel militaire. Il a promis de délivrer des papiers d'identité aux centaines de milliers de Kurdes syriens privés de nationalité depuis les années 1960, a veillé à réprimer "avec mesure" les manifestations au Kurdistan syrien et a levé la condamnation par contumace visant Saleh Muslim, qui peut aller et venir sans être inquiété.



LE PYD A BÉNÉFICIÉ D'UNE TOTALE LIBERTÉ POUR SE RÉORGANISER

En échange, le PYD a rejoint la Coordination nationale pour le changement démocratique (CNCD), une coalition d'opposants de l'intérieur jugés acceptables par Damas et enclins au compromis.

Au Kurdistan, le PYD a été accusé d'encadrer les manifestations antirégime, voire de les réprimer lorsqu'apparaissaient des slogans appelant à sa chute. En échange, il a bénéficié d'une totale liberté pour se réorganiser et s'implanter, au grand dam de la dizaine d'autres partis kurdes regroupés dans le Conseil national kurde (CNK), aux inclinations nettement plus antirégime.

M. Muslim explique sa stratégie par la prudence : "Dès le début, nous n'avons pas voulu d'une révolution armée pour empêcher que la région kurde ne se transforme en champ de bataille." D'où sa volonté de se tenir aussi éloigné que possible de l'Armée syrienne libre (ASL) et du Conseil national syrien (CNS), la plus importante coalition de l'opposition syrienne, à qui il reproche d'être une création de la Turquie et du Qatar, tous deux opposés aux droits des Kurdes. Pour lui, c'est "la militarisation de la révolution, poussée par des intérêts étrangers, qui est la cause de l'impasse actuelle".

"Sans cela, le régime n'aurait pas tenu six mois, assure-t-il. Aujourd'hui, à cause des ingérences étrangères, le destin des Syriens n'est plus entre leurs mains. Dans ces conditions, les Kurdes doivent se protéger eux-mêmes par tous les moyens." Il entend par là la prise en main politique, administrative et militaire des régions kurdes.

LES FORCES DE SÉCURITÉ NE SORTENT PLUS DES CASERNES

C'est ce qui s'est passé dans les faits à la mi-juillet, quand le régime, ébranlé par l'attentat de Damas et l'offensive de l'ASL dans la capitale et à Alep, a laissé le Kurdistan s'émanciper sans résister. Les 19, 20 et 22 juillet, le PYD a pris possession de Kobané, Affrin et Derik, trois importantes villes kurdes, où il règne en maître. "Nous n'avons pas souhaité nous emparer de Ras Al-Aïn et de Kamichli [la "capitale" des Kurdes de Syrie] pour ne pas heurter les populations arabes et certaines sensibilités", concède M. Muslim.

Sur le terrain, les forces de sécurité sont là mais ne sortent plus des casernes et commissariats. L'armée syrienne est non grata, tout comme l'ASL. Quant aux administrations, elles continuent de fonctionner, mais sous la houlette du PYD, qui perçoit même des taxes et distribue le gaz. Venu réclamer de l'aide à Paris, où il n'est pas prévu de rencontre officielle, Saleh Muslim regrette que les régions kurdes ne fassent pas partie des "zones libérées" que la France envisage d'aider.

Les autres partis kurdes craignent une hégémonie du PYD, même si pour l'instant règne une fragile entente, conclue le 11 juillet à Erbil, sous le patronage du chef kurde irakien Massoud Barzani. L'ensemble des forces kurdes de Syrie sont regroupées au sein du Conseil suprême kurde, mais l'intégration des forces armées est loin d'être une réalité.

Cette indépendance de facto pose la question du modèle souhaité par Saleh Muslim ? "Nous voulons une reconnaissance constitutionnelle des droits des Kurdes au sein d'une Syrie unie, démocratique et laïque. Nous ne sommes pas pour le modèle d'autonomie à l'irakienne, avec des frontières intérieures. Les frontières sont sources de problème." En attendant cet hypothétique futur, il ne donne "pas plus d'un ou deux ans de survie au régime de Bachar Al-Assad... Mais pas moins de dix ans de guerre civile en Syrie".

http://www.lemonde.fr/proche-orient/article/2012/09/25/syrie-les-kurdes-font-avancer-leurs-revendications_1765356_3218.html

http://www.collectifvan.org/article.php?r=4&id=67552

L'info vue par la TRT (1)




Le Collectif VAN vous propose cet article publié sur la TRT (Télévision & Radio de Turquie). Les articles de ce site ne sont pas commentés de notre part. Ils peuvent contenir des propos négationnistes envers le génocide arménien ou d'autres informations à prendre sous toute réserve.

TRT


Ahmet Davutoglu s’est entretenu avec Hillary Clinton

Présent à New York pour l’Assemblée générale de l’ONU, le ministre turc des Affaires étrangères s’est entretenu avec son homologue américaine.

Entre la Syrie, l’Iran et Israël, les crises ne manquent pas au Moyen-Orient. Aussi, les Etats-Unis souhaitent que la Turquie et Israël rétablissent des relations diplomatiques normales.

Dans un entretien à huit clos à New York avec le ministre turc des Affaires étrangères Ahmet Davutoglu, la secrétaire d’Etat américaine Hillary Clinton a demandé à son homologue turc de repenser à renouer des contacts avec Israël.

Ahmet Davutoglu a rappelé à Mme Clinton les trois conditions de la Turquie énoncées par le Premier ministre turc Recep Tayyip Erdogan : des excuses, des dommages et intérêts ainsi que la levée du blocus de Gaza.

En visite à New York pour participer à la 67e session des Nations Unies, le ministre turc Ahmet Davutoglu a eu un emploi du temps bien chargé. Il a notamment eu un entretien à huit clos avec Mme Clinton, au cours duquel ont été abordés la situation en Syrie, les relations avec Israël et l’Irak, mais aussi le film islamophobe.

Sur la question du rétablissement des relations diplomatiques avec Israël, M. Davutoglu s’est montré ferme. « Israël doit s’excuser pour avoir tué les neuf citoyens turcs, il doit verser des dommages et intérêts à leur famille et lever le blocus de Gaza », a énoncé le ministre.

Mme Clinton a remercié la Turquie pour l’attitude qu’elle a adoptée lorsque de violentes manifestations ont éclaté dans le monde musulman après la diffusion du film islamophobe. Elle a notamment souligné la portée du discours du Premier ministre turc Recep Tayyip Erdogan où il appelait les citoyens turcs a adopté une certaine retenue, alors que l’ambassadeur américain avait été tué.

Enfin, les deux ministres ont discuté de la situation en Syrie, et notamment sur les soutiens pouvant être apportés aux insurgés. M. Davutoglu a réitéré sa demande d’aides pour les syriens trouvant refuge en Turquie.

Date de l'information : 26 Septembre 2012 22:16


Mise à jour à : 27 Septembre 2012 20:18

http://www.trtfrancais.com/fr/informations/detail/turquie/1/ahmet-davutoglu-sest-entretenu-avec-hillary-clinton/4655

http://www.collectifvan.org/article.php?r=4&id=67562

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