Composition du comité scientifique



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Douma JC1, Hemerik L2, Mourits MM3, Roques A4, van der Werf W1, Robinet C4

1 Crop System Analysis, Plant Sciences, Université de Wageningen, Pays-Bas

2 Biometris, Université de Wageningen, Pays-Bas
3 Business economics group, Social Sciences, Université de Wageningen, Pays-Bas
4
INRA, UR633 Zoologie Forestière, F-45075 Orléans, France


Poster 4 – Risque d’entrée de ravageurs et pathogènes invasifs

avec l’importation de bois

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Le nombre d’espèces invasives augmente de manière exponentielle notamment avec l’intensification des échanges commerciaux. Des modèles probabilistes ont été développés afin d’évaluer la probabilité d’entrée en Europe et de passage sur des plantes-hôtes en lien avec les importations. Dans le cas d’importation de bois, ces modèles prennent en compte chaque étape: niveau d’infestation des arbres et traitements appliqués au bois dans le pays d’origine, efficacité des contrôles phytosanitaires dans les ports d’entrée en Europe, probabilité de dispersion autour des ports, probabilité de dispersion lors du transport intra-Europe, probabilité de dispersion dans les scieries lors de la transformation du bois et probabilité de dispersion depuis le produit final. Cette estimation du risque prend en compte le volume de bois importé depuis ce pays d’origine vers l’Europe, puis les volumes échangés entre pays Européens. La distribution des arbres-hôtes en Europe est prise en compte dans le modèle pour estimer la probabilité de passage à un hôte européen. Ce modèle est générique : il peut s’appliquer à tout ravageur ou pathogène des arbres. Il est appliqué pour évaluer le risque d’introduire le nématode du pin, Bursaphelenchus xylophylus, avec l’importation de bois scié de conifères en provenance de Chine et pour évaluer le risque d’introduire le pathogène responsable du flétrissement du chêne, Ceratocystis fagacearum, avec l’importation de bois rond de chênes en provenance des Etats-Unis. Ce modèle permet d’identifier des solutions pour diminuer ce risque mais aussi d’identifier clairement les données à acquérir dans le futur pour mieux estimer ce risque.


Fried G1, Laitung B2

1Anses, Laboratoire de la Santé des Végétaux, Montferrier-sur-Lez, Cedex France

2 Université de Bourgogne ; UMR1347 Agroécologie, 17 rue Sully - BP 86510, 21065 Dijon Cedex, France


Poster 5 - Impact des plantes invasives en région méditerranéenne : influence relative des traits de l’espèce invasive et des caractéristiques de la communauté envahie

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Les effets induits par une espèce invasive devenant dominante dans une communauté semblent avérés. Néanmoins, peu d’études ont cherché à comprendre comment varie l’impact d’une espèce invasive en fonction de ses traits biologiques et des caractéristiques des communautés envahies. Dans cet objectif, la végétation de quadrats envahis et non-envahis par huit espèces invasives a été analysée au sein de différents habitats de la région méditerranéenne. La couverture de toutes les espèces présentes et la taille de 10 individus de l’espèce invasive et de l’espèce dominante ont été mesurées. L’importance relative des différents facteurs pouvant modifier l’impact de l’espèce invasive a été estimée à l’aide d’ analyses de covariance et d’arbres de régression. La plupart des variations de l’impact dépendent de l’identité de l’espèce avec les effets les plus élevés observés pour Carpobrotus spp.. Au-delà du déclin général de diversité, la présence de certaines espèces invasives est associée à des changements significatifs dans le spectre écologique des espèces se maintenant, avec un filtrage vers des espèces rudérales plus nitrophiles et tolérant l’ombre. Le type biologique et l’habitat influent également avec un impact plus fort i) en présence d’espèces invasives pérennes développant des rhizomes ou rampantes par rapport aux espèces annuelles, ou ii) dans des habitats plus ouverts avec une végétation clairsemée. Les résultats montrent également l’importance des caractéristiques populationnelles comme la couverture de l’espèce invasive et la différence de couverture avec l’espèce dominante indigène. De telles variables facilement mesurables in situ pourraient permettre d’améliorer les méthodes d’évaluation du risque à l’échelle du paysage en identifiant les communautés les plus vulnérables d’un site. Cette étude montre également que les décisions de gestion ne devraient pas uniquement reposer sur les changements d’indices de diversité mais aussi mieux tenir compte de la nature des communautés émergentes après l’invasion.

Guiller A1, Ansart A1, Martin M-C 1, Madec L1

1 Université de Rennes 1, UMR CNRS 6553 ECOBIO, Rennes, France


Poster 6 – Cornu aspersum : un escargot méditerranéen à la conquête du nouveau monde

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La réussite d’une invasion dans les trois étapes qui la constituent est conditionnée par de nombreux facteurs qui tiennent du hasard mais qui reposent surtout sur une composante déterministe. L’escargot méditerranéen Cornu aspersum s’est implanté avec succès dans tous les milieux tempérés perturbés par l’activité de l’homme, moyen de transport et pourvoyeur de niches, devenant en un peu plus d’un siècle un ravageur de cultures dans l’ouest des Etats-Unis, en Océanie et en Afrique du Sud. Si l’histoire biogéographique de l’espèce est à présent bien connue, les raisons de son succès dans des habitats anthropisés qu’elle ne colonise pas dans son aire native sont encore mal identifiées. Nous nous en préoccupons au moyen de deux approches, (i) l’une, indirecte, analyse la dynamique d’occupation de nouveaux milieux en relation avec l’évolution de la diversité génétique des populations situées en deçà ou au niveau des fronts de colonisation, (ii) l’autre consiste en l’analyse, essentiellement phénotypique, des traits d’histoire de vie jugés déterminants dans cette réussite, et de leur impact sur la dynamique des populations locales. Nous travaillons plus précisément sur les mécanismes engageant dispersion, reproduction et défense dans des trade-offs clairement adaptatifs chez cette espèce. Dans ce poster, nous synthétisons les résultats de l’approche indirecte (5 locus microsatellites et 2 gènes ADNmt) qui a permis de reconstituer partiellement le scénario d’invasion dans les zones d’introduction récente. Nous présentons également une approche morphométrique comparative permettant à l’aide de marqueurs phénotypiques de discriminer les effets locaux de ceux dus à l’histoire évolutive des populations.


Haran J1,2, Roques A1, Robinet C1, Roux-Morabito G1, 2

1 INRA-URZF, Orléans, France

2Université d’Orléans, France


Poster 7 – Etude des processus de dispersion de Monochamus galloprovincialis, vecteur du nématode du pin :

rôle potentiel de la chaîne pyrénéenne

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Les chaines de montagnes sont des barrières naturelles à la dispersion des organismes et jouent un rôle important dans la structuration génétique des espèces. En raison de leur effet sur la dispersion, ces barrières sont également des barrières potentielles à la propagation des espèces invasives. Le nématode du pin (Bursaphelenchus xylophilus) est une espèce d’origine américaine. Ce nématode est à l’origine de dégâts considérables dans les forêts naturelles et les plantations de Pins dans ses zones d’introduction en Europe et en Asie. Depuis son arrivée au Portugal en 1999, il a rapidement colonisé une grande partie du pays et a été détecté dès 2008 en Espagne où il poursuit son expansion. La dispersion naturelle du nématode en Europe est assurée par Monochamus galloprovincialis (Coleoptera, Cerambycidae), un coléoptère endémique se développant dans le bois des pins stressés. Nous présentons dans cet exposé une étude intégrative visant à prédire l’effet d’une barrière naturelle telle que la chaine Pyrénéenne sur la propagation de ce couple parasite/vecteur en Europe. Pour cela nous combinons une approche génétique pour estimer la dispersion « in situ » du coléoptère et un modèle de diffusion afin de prédire la propagation du nématode en fonction de ses exigences bioclimatiques et de celles de son vecteur. Nos résultats montrent que le relief pyrénéen est une barrière partielle à la propagation de M. galloprovincialis et du nématode qu’il porte. Nous montrons que les altitudes plus faibles aux extrémités du relief peuvent autoriser le passage du nématode vers le reste de l’Europe.

Kaufmann B, Winkler F, Dumet A, Mondy N, Gippet J

UMR 5023 LEHNA, Universite Lyon 1, CNRS, 69622 Villeurbanne , France




Poster 8 – L’envahisseur envahi : épidémiologie du champignon ectoparasite nord-américain Laboulbenia formicarum chez les fourmis autochtones et invasives du genre Lasius en Europe

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L’hypothèse du relâchement (enemy release hypothesis) est souvent invoquée pour expliquer le succès des espèces invasives et postule que celles-ci, abandonnant leur cortège de prédateurs et de parasites, gagnent un avantage compétitif déterminant face aux espèces autochthones. A l’inverse, les espèces invasives peuvent être naïves face à des pathogènes indigènes ou eux-mêmes invasifs pour qui elles pourraient jouer un rôle de vecteur auprès des communautés indigènes.

Notre étude vise à tester cette dernière idée dans un système comprenant 1) un pathogène originaire d’Amérique du Nord appartenant à une famille d’ectoparasites d’insectes à faible virulence, les Laboulbéniales, 2) une fourmi invasive, Lasius neglectus, originaire de Turquie chez qui le parasite a été détecté, et 3) une communauté de 4 espèces indigènes du genre Lasius. La prévalence a été mesurée pour chaque espèce (50-200 nids) dans une zone de 1600km2, et plus précisément pour L. neglectus au sein de 30 super-colonies. Sur l’ensemble de la zone étudiée, la prévalence était non nulle chez L. niger (3%) et L. neglectus (50%). Au sein des super-colonies, la prévalence variait de 0 à 100% des individus et des nids ; elle a été corrélée à deux ensembles de facteurs : les caractéristiques socio-génétiques des super-colonies et le taux d’urbanisation des habitats envahis.


Labonne J1, Zhou M2, Manicki A1, Kaeuffer R2, Gueraud F1, Hendry A.P2.

1UMR 1224 ECOBIOP INRA-UPPA, Saint-Pée sur Nivelle, France

2 Redpath Museum & Dept. of Biology, McGill University, Montreal, Canada


Poster 9 –– Consanguinité et sélection sur l’homozygotie chez la truite aux Iles Kerguelen

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La relation entre diversité génétique et potentiel invasif est souvent évoquée dans la littérature. Une hypothèse relativement étayée est que le mélange de pools de gènes permet à travers la production de nouveaux hétérozygotes un boost de la fitness sur le front de colonisation, notamment quand les populations font face à des environnements nouveaux. Nous proposons de mesurer expérimentalement cet effet sur deux populations isolées de truite introduite en 1993 à Kerguelen. Chacune des deux populations présentent une diversité génétique très faible (2 et 3 géniteurs initiaux respectivement), et leurs environnement sont contrastés (ressource trophique, accès à la mer). Notre protocole consiste à mesurer les relations hétérozygotie-fitness (HFC) dans chacune des deux populations sur un ensemble de marqueurs microsatellites, puis de créer un mélange de gènes par une manipulation de transplantation réciproque entre les deux populations. Le travail en cours montre que malgré une diversité génétique faible, les populations avant transplantation présentent un équilibre de Hardy-Weinberg à presque tous les loci. Nous détectons une relation entre l’hétérozygotie et l’âge ou la taille des individus dans seulement une des deux populations, et cette relation serait sex-dépendante. La suite de notre protocole après la transplantation va consister à suivre la dynamique dans le temps de ces HFCs suite au mélange de pools géniques. Nous avons déjà pu vérifier qu’un flux de gènes avait bien eu lieu suite à la transplantation.



Lamberti-Raverot B.1, Piola F.1, Thiebaut M.2, Guillard L.1, Vallier F.1, Puijalon S.1

1Université Lyon 1, Villeurbanne, France

2Herbiers de l'Université Lyon 1, Villeurbanne, France


Poster 10 –Diversite morphologique des akenes de Fallopia X Bohemica et flottaison : conséquences pour le dispersion d’une espèce invasive terrestre par les cours d’eau

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Les cours d’eau sont un moteur majeur de dispersion des espèces végétales invasives terrestres, accélérant leur expansion. La capacité de flottaison des propagules peut donc impacter la distribution des espèces le long des cours d’eau. Le complexe d’hybrides Fallopia x bohemica colonise fortement les berges et produit une grande quantité d’akènes. L’objectif est d’étudier les capacités de dispersion par l’eau de ces akènes et le lien entre leur morphologie et leur flottaison. Les akènes ont été collectés sur 60 stations de F. x bohemica le long de différents cours d’eau. La force de flottaison des akènes a été mesurée expérimentalement à l’aide d’un capteur de force. La morphologie des akènes a été mesurée par une analyse de contour basée sur des descripteurs elliptiques de Fourier. La flottaison des akènes est corrélée positivement avec leur taille (surface) et dépend significativement de leur forme : les akènes de formes arrondies ont une flottaison plus élevée que ceux de formes allongées. Par ailleurs, les rivières échantillonnées présentent des akènes de morphologies contrastées. En revanche, la distribution le long des cours d’eau de F. x bohemica ne semble pas être liée à la capacité de flottaison des akènes.

Ces résultats démontrent que certains traits morphologiques peuvent améliorer la capacité de flottaison des fruits et pourraient constituer un avantage adaptatif pour la dispersion en milieu aquatique. Cependant, une approche intégrative incluant des traits de dispersion et de colonisation et les paramètres des cours d’eau, semble nécessaire pour expliquer le succès d’invasion dans certaines rivières.


Laparie M1, Robinet C. 1, Roques A.1

1 INRA UR0633, Unité de Recherche de Zoologie Forestière (URZF), Orléans, France



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Poster 11 – Range expansion of the pine processionary moth under climate change: research directions on the responses to thermal heterogeneity
Climate warming is assumed as the main factor driving rapid expansion of the pine processionary moth in Europe, by broadening habitat suitability during its winter development. Nonetheless, the way this insect deals with climate heterogeneity at the range edge has not been fully untangled. Yet, this is critical to understand its sustained expansion despite conditions close to developmental limits during uneven years or stochastic extreme events. Mitigating responses range from gregarious life in sheltering silk tents to prolonged diapause, which ensures recruitment of individuals even following years of extreme larval mortality (uneven winter near distribution margins). It may also include physiological plasticity and its evolution across the expansion succession due to positive selection on thermal tolerance. The ecological relevance of such responses directly depends on local conditions and their predictability, which vary along altitudinal and latitudinal gradients, or from oceanic to continental climates. The heterogeneity of climate through space and time therefore appears as a critical selective pressure on pine processionary moth’s life histories. Its rapid expansion may consequently promote differentiation of populations throughout its range. This poster will detail research directions of a new project aiming at investigating the mechanisms of such responses and associated variability. It should ultimately allow testing the spatio-temporal structuration of the variation observed within and among populations. Untangling how pine processionary moth’s life histories are impacted by climate heterogeneity and expansion history may prove being crucial for (1) understanding success or failure under challenging conditions, and (2) improving predictive models of phenology and expansion.



Le Louarn M1, Clergeau P2, Lizée MH1, Deschamps-Cottin M1

1Aix-Marseille Université, Marseille, France

2 Muséum National d’Histoire Naturelle, Paris, France


Poster 12 – Modelisation des habitats potentiels de deux populations de Psittacula krameri introduites en France
La Perruche à collier Psittacula krameri, originaire d'Afrique et d'Asie, est une espèce exotique envahissante introduite dans de nombreux pays du monde. En France, elle forme deux populations reproductrices principales, en région Ile‐de‐France et sur la ville de Marseille. Deux modèles de distribution d'espèces, MaxEnt et l'ENFA, ont été utilisés afin d'étudier l'influence de certains facteurs environnementaux dans le choix des habitats de nidification de ces deux populations. Les résultats illustrent l'importance de la disponibilité en cavités de nification ainsi qu'en ressources alimentaires. L'espèce occupe préférentiellement les parcs publics urbains ainsi que les jardins privatifs situés dans les zones urbaines et périurbaines. La proximité au site d'introduction principal apparaît également comme déterminante, l'espèce n'étant pas encore affranchie de la distance à ce point après plusieurs décennies. Sur Marseille, les deux modèles ont mis en évidence l'importance de la proximité aux sites de nidification d'une autre espèce aviaire, le Choucas des Tours Corvus monedula. Des analyses complémentaires devront être menées afin de déterminer si ces deux espèces possèdent des similarités dans leur niche écologique ou si il existe une réelle interaction. En Ile‐de‐France, la Perruche à collier évite les forêts de feuillus ainsi que les zones agricoles qui, au moins durant la période de nidification, ne seraient pas impactées. A l'échelle d'un parc urbain, les facteurs les plus influents sont la proportion d'eau et la proximité au premier nid historiquement occupé, ce dernier facteur illustrant le comportement grégaire de l'espèce. En Ile‐de‐France comme sur Marseille, les cartes de qualité d'habitat, obtenues par consensus entre les modèles, laissent présager un accroissement des effectifs des populations de Perruche à collier.


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Musseau C1,2, Santoul F2, Jesensek D3, Crivelli AJ4

1CNRS, Ecolab, Toulouse, France

2Université de Toulouse, UPS, INPE, Ecolab, Toulouse, France

3Tolmin Angling Association, Most na Soci, Slovenia

4Station Biologique de la Tour du Valat, Arles, France



Poster 13 –Interactionstrophiques et ontogenie : cas de Salmonides natifs et exotiques
La truite arc-en-ciel (Oncorhyncus mykiss, Walbaum 1792) est actuellement considérée comme l’une des 100 espèces exotiques evahissantes parmi les plus néfastes au monde. Prédatrice et compétitrice, O. mykiss peut affecter les populations de poissons natifs via des interactions trophiques directes et indirectes engendrant ainsi des déséquilibres biologiques dans les écosystèmes récepteurs. O. mykiss a été introduite en 1962 en Slovénie et une population s’y est établie de manière perenne et autonome en sympatrie avec un Salmonidé endémique : la truite marbrée (Salmo marmoratus, Cuvier 1829). Afin de mieux appréhender les conséquences des interactions trophiques potentielles l’espèce exotique et l’espèce native, nous avons comparé deux secteurs en amont d’un cours d’eau, l’un où l’on trouve S. marmoratus en allopatrie et l’autre où S. marmoratus et O. mykiss vivent en sympatrie. L’utilisation de l’outil isotopique nous a permis de caractériser les niches trophiques des organismes au cours de l’ontogénèse à différents stades de développement. L’étude des interactions trophiques entre ces stades mettent 0en évidence que l’écologie trophique de S. marmoratus varie entre la situation d’allopatrie et de sympatrie. Ces résultats sont discutés à la lumière de ceux obtenus précédemment sur la dynamique des populations de l’espèce native en présence de l’espèce exotique (croissance, survie, …).


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