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Agenda - Les Boyadjian, photographes arméniens à la cour du Négus du 19 juin au 2 septembre 2007, au Jeu de Paume



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Agenda - Les Boyadjian, photographes arméniens à la cour du Négus du 19 juin au 2 septembre 2007, au Jeu de Paume
Avec le soutien de La Maison de l'Afrique

Les Boyadjian
photographes arméniens à la cour du Négus
du 19 juin au 2 septembre 2007

à l'Hôtel de Sully dans le cadre de « Arménie, mon amie »,


Année de l'Arménie en France

Le Jeu de Paume
Hôtel de Sully
62, rue Saint Antoine 75004 Paris

Du mardi au vendredi


de 12h à 19h, le samedi
et dimanche de 10h à 19h

Le Commissariat général de l'Année de l'Arménie est assuré :

Pour la France par Nelly Tardivier-Henrot, pour l'Arménie par Viguen Sargsyan.

Avec le soutien de la Fondation Léa et Napoléon Bullukian.

En partenariat avec La Maison de l'Afrique, Point de vue et RFI.

Commissaire : Berhanu Abebe.

Dans une approche historique, cette exposition met en relief le destin singulier d'une famille arménienne, les Boyadjian, photographes officiels du Négus sur plusieurs générations et témoins privilégiés de la vie de la communauté arménienne en Éthiopie dans la première moitié du XXe siècle, jusqu'aux années 1970.

L'exposition est composée d'une sélection de 80 photographies (40 photos d'époque et 40 tirages modernes), issues pour la plupart des archives conservées à Addis Abeba par Berhanu Abebe. Des objets (appareils photographiques...) et des textes (lettres, carnets...) viennent également enrichir cette exposition qui rend hommage à la famille Boyadjian.

Si elle fut utilisée en Afrique relativement tôt, la photographie est restée un outil essentiellement occidental jusqu'à la Seconde guerre mondiale. Avant cette période, on connaît très peu de photographes africains. En revanche, de nombreux photographes étrangers travaillent en Éthiopie dès les années 1860, moment où les soldats du Génie royal britannique importent ce médium dans la Corne de l'Afrique. Des Italiens comme l'architecte Giacomo Naretti, ou un certain Hénon qui serait l'auteur du plus ancien portrait de l'empereur Ménélik, réalisé vers 1888, ont ainsi pratiqué la photographie en Éthiopie.

Mais ce n'est qu'en 1905 que le premier photographe professionnel s'installe à Addis-Abeba. D'origine arménienne, Bédros Boyadjian devient l'un des photographes officiels de la cour de Ménélik. Ses fils Haïgaz et Tony lui succèdent. Tony Boyadjian devient le photographe de cour de Ras Tafari, futur empereur Haïlé Sélassié, à la fin des années 1920. C'est à lui que l'on doit de nombreux portraits officiels du souverain éthiopien.

Cette exposition, dans un souci documentaire, s'articule autour de différents thèmes : la famille Boyadjian, les portraits impériaux, les voyages officiels, la communauté arménienne, les cérémonies religieuses et l'Éthiopie.

Un montage de 9 films courts de Tony Boyadjian, réalisés entre 1950 et 1970, en noir et blanc ou en couleur, non sonorisés, sera présenté dans l'exposition. Réception officielle, cérémonie religieuse ou scène familiale sont principalement illustrées. Durée : 30' environ.

Paru : Hors série de Connaissance des Arts « Les Boyadjian », 36 pages, 9 €.


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