Projet «Maisons pour tous»


Toiture complète et montée



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5.1Toiture complète et montée

Les fermes de la charpente du toit seraient fixées entre elles, au niveau du fait (du sommet) du toit, par une « rotule à pattes », rotule « autobloquante » par une vis et un écrou.


Les fermes de la charpente du toit seraient fixées aux poutres verticales des murs porteurs, par les mêmes « rotules à pattes » (rotules à pattes voir chapitre « éléments de fixation »).
La toiture pourrait être monobloc (avec une surface imitant un toit en ardoise, cèdre …) ou bien composés de modules dalles posées sur une structure charpente métallique.

Elles peuvent supporter des panneaux solaires ou une couverture végétalisées.

Elles disposent de crochets pour soutenir les panneaux solaires.

On pourrait imaginer des modules lucarnes encastrables sur le toit.


La toiture pourrait être éventuellement végétalisée, par :


  • pose d’un feutre anti-racinaire sur une toiture étanchéifiée (par résine d'étanchéité : Alsan 410, par exemple).

  • pose d’une géogrille textile tridimensionnelle.

On pourrait, clipser un morceau de goutière, en bout de plaque de toit.


Pour débuter, on ne prévoir que 4 inclinaisons standards pour les toits proposés : 1) plat (terrasse), 2) toit méditerranéen (faible inclinaison), 3) toit île de France ou Val de Loire (inclinaison moyenne) et 4) toit Normand ou Alsacien (forte inclinaison).

Pour le sommet du toit et les angles latéraux du toit (les coins), on prévoir des plaques de toit triangulaires (gauche ou droite). Avec ces inclinaisons standards, les plaques triangulaires auront des dimensions standards. Il n’y aura pas lieu des les ajuster ou découper sur place, juste de les fixer.

Les fixations entre les poutres métalliques verticales des murs, et les fermes métalliques de la charpente, se feraient par des fixations à rotule. Idem, pour la liaison entre fermes, au sommet du toit.

Avec les rotules à 4 pattes, on peut concevoir des toits à plusieurs pentes (à pentes cassées …).




Toiture en fausse ardoise ou red cedar



Toiture étanchéifiée



Toiture végétalisé avec substrat.



Géogrille.



Module Lucarne




Exemple d’un autre système de montage de plaque de toit




Décorations : On pourrait prévoir des motifs et dessins moulés ou imprimés dans les panneaux (pour imiter les tuiles, l’ardoise, éventuellement avec une solution Formica©), voire des frises entourant le pourtour du toit etc …
Toiture prévue pour la récolte d’eau pluviale (cas d’une terrasse) :
Un toit de 100m2 permet de récolter annuellement de 80 à 120m3 d'eau, en France (et bien plus en Thaïlande, Sri Lanka, Indonésie). Cette terrasse sera étanchéifié par une couverture plastique un une couche bituminée (Rubson …).

On pourrait imaginer une trappe d’évacuation, sur le toit (fermée par une plaque de tôle fermée à clé), accessible par un escabeau placé dans la pièce principale.


Voir si les avancées du toit, sont utiles (pour la pluviométrie, le soleil, à la demande des habitants) et techniquement faciles à réaliser (sans risque de chute de panneau). S’il ne faut pas une avancée, juste au dessus des portes contre la pluie (sinon « why not », une marquise en plastique Plexiglas, amovible en cas de cyclone).

Toiture prévue pour la collecte d’eau pluviale © Benjamin LISAN


Solution pays du tiers-monde : Sinon, au lieu d’un toit plat, on pourrait imaginer un toit, en tuiles vibrées (réalisées à base de sable fin, de gros sable et de ciment) _ ou par ex. en forme de tuile canal. Pour faire ces tuiles vibrées, il faut un moules en forme de ces tuiles, un film plastique solide et fin (Kevlar, Tedlar ( ?)) et un vibreur. La feuille de plastique est posée sur la surface lisse du moule puis le béton sur la surface lisse et en contact avec la feuille de plastique.

Pour que ces tuiles soient colorées en rouge, on met dans l’eau pour le béton, avec un colorant rouge. Puis les tuiles sont immergées dans un bassin, rempli de la/des couleur(s). Puis on les protège et les fait sécher durant une semaine.

Si on ne peut pas créer d’usine de béton et de préfabriqués, dans chaque pays (par manque de moyens), on pourrait alors faire réaliser chaque élément préfabriqué par les villageois locaux. On peut alors imaginer leurs apporter des moules en acier (sorte de gabarits), de plus ou moins grande taille, munis de poignées, « adapté » (correspondant) à la forme de chaque élément de construction : briques, plaques de bétons à fabriquer, poutres de bétons, briques de bétons semi-circulaires, linteaux de porte … (voir schéma de ce moule, page suivante).

Avant de couler le béton dans le moule, avec son ferraillage, on huile le fond du moule, avec de l’huile de vidange, afin que le béton ne colle pas 12. On utiliserait un très gros pinceau, pour étaler l’huile au fond du monde (autre but : économiser l’huile. Note : huile protection contre moisissure ?).

Une autre bâche ou film plastique de serre permet aux éléments préfabriqués de ciments moulés de continuer de sécher en cas de pluie.
Si le toit est en tuile, pour des spécificités régionales, on pourrait imaginer des fermes métalliques, portant des tuiles grandes et lourdes (10 kg) collées entre elles par du ciment, pour résister aux cyclones (comme dans les constructions modernes thaïs).


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