L’implication pratique de notre travail est de montrer que les particules diesel agissent sur le système immunitaire de l’asthmatique en induisant une activation Th1 des lymphocytes T spécifiques de l’allergène, et non pas seulement Th2. Cette activation pourrait être liée à la survenue de symptômes.
Démontrer cela serait démontrer que le développement de nouvelles molécules dans le traitement de l’asthme ne doit pas se cantonner à la recherche d’un blocage de l’activation Th2 mais aussi de l’activation Th1.