Pour la DADP, il s’agissait de conduire un changement difficile, l’intérêt de cette nouvelle fonction ne faisant pas, loin s’en fallait, l’unanimité. La posture adoptée fut d’aborder cette mission en chercheur et non en bureau d’étude, donc de vouloir garder une attitude réflexive sur nos activités.
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Le choix de principes et de règles d’action
Les quatre premiers principes (épistémologiques) ont présidé à la naissance à la DADP :
- “ Penser l’innovation comme un processus social,
- “ Contribuer à construire la demande sociale,
- “ Donner toute leur place aux acteurs,
- “ Replacer toute connaissance produite dans le réel ”.
Ensuite, la prospective a été clairement positionnée sur trois plans : en l’opposant à la prévision, en l’enracinant dans la pensée systémique et en la distinguant de la prise de décision qu’elle est censée éclairer.
Enfin, nous assumons explicitement que la prospective n’est pas une science, mais qu’elle lui emprunte beaucoup : rigueur, logique, cohérence ; cependant ses résultats sont contingents.
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Une ligne générale d’action
La mission fut “ déclinée ” selon trois axes d’action : sensibiliser pour se faire des alliés (innovation), faire et former pour transmettre un savoir et accroître le nombre de ses alliés.
Choix osé qui reposait sur la conviction profonde que l’esprit de “ recherche ” souhaité ne pouvait s’obtenir qu’en acceptant le risque de rater notre apprentissage ! Plus profondément, une certaine familiarité avec “ L’art de la conjecture ” (de Jouvenel), une confiance, peut-être un peu aveugle, dans la rigueur et la fécondité d’une approche systémique suffisamment systématisée et la conviction que l’anticipation résulte pour beaucoup d’une forte clairvoyance sur le présent et d’une exploitation de ce qu’il nous dit si l’on veut bien le lire ; tout cela et le bénéfice de conseils donnait audace et confiance.
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II. Forger des méthodes
Vouloir faire ne signifie pas tout réinventer. Le premier emprunt vise les approches systémiques. Représenter le système, en terme de structure et de fonctionnement, est une étape que nous considérons aujourd’hui comme essentielle.
La notion de processus est empruntée à H. Simon qui distingue le monde perçu, décrit avec des variables d’état, et le monde “ actionné ”, décrit par des processus, mis en œuvre par des acteurs, c’est un monde intentionnel. Il faut y rajouter la notion de “ processus sans sujet ”, non-intentionnels qui traduisent des “ lois ” de fonctionnement du système.
Aux travaux du Conservatoire National des Arts et Métiers, nous avons emprunté l’idée de la matrice d’analyse des relations structurelles entre les variables.
Des apports
Nous formulons des hypothèses de rupture sur les processus existant ou sur l’apparition de nouveaux processus et c’est à ces hypothèses que nous appliquons l’idée de matrice de relations. Pour le traitement de celle-ci nous dérivons de son usage initial un logiciel d’analyse linguistique qui nous permet de dégager des “ clusters ” qui regroupent des amas d’hypothèses ayant des relations “ étroites ” entre elles. C’est à partir de ces clusters que l’on écrit des “ microscénarios ”.
Ces microscénarios se distinguent radicalement des prospectives qui fabriquent des scénarios rose, gris et noir. En effet, ces derniers correspondent à des conjonctions qui n’ont aucune réalité potentielle, puisqu’elles devraient être simultanément toutes favorables ou toutes défavorables.
Par contre, les microscénarios, fragments de scénarios globaux, permettent un meilleur passage à des microstratégies bâties comme des réactions possibles de l’organisme qui commande la prospective face à ces microscénarios, états possibles du futur.
Un très gros effort est consacré à la question du temps, frappés que nous sommes par le rôle (voir la nécessité) de certaines “ conjonctions ” d’évolution pour entraîner des ruptures de tendances évolutives. La difficulté principale réside dans la construction des matrices d’hypothèses et non plus dans leur traitement. Pour l’instant, nous essayons de prendre en charge le temps dans ses effets sur l’environnement du système. En effet, les états de cet environnement et leurs évolutions conditionnent la nature des hypothèses de rupture à retenir et leur relations.
Représentation commune, “ transdisciplinarité ” et “ pragmatique ” (au sens cognitif)
Obtenir du groupe qui anime le travail une représentation commune du système et de son environnement, une sélection “ consensuelle ” des hypothèses de rupture et un traitement commun des relations entre hypothèse, met en jeu les mêmes difficultés que dans une recherche transdisciplinaire. On ne travail plus à l’intérieur d’un paradigme, on “ décide ” de forger ensemble une “ théorie commune ” parce que l’on est guidé par l’action que l’on veut mener, donc par le désir d’aboutir avec nos compétences respectives.
On bute aussi sur les difficultés rencontrées par la “ pragmatique ” dans son acception cognitive et non strictement linguistique, puisque le problème devient de trouver ce qui peut faire sens, non seulement pour les membres du groupe, mais, plus tard, pour les utilisateurs en bâtissant une représentation du présent et du futur.
III. Le retour vers le commanditaire. L’éclairage de ses actions
La transmission des résultats en vue de l’action apparaît difficile. Les utilisateurs potentiels souhaiteraient plus une approche prévisionnelle, il n’auraient qu’à suivre des recommandations !
Or, l’élaboration de microstratégies permet de rechercher et de proposer des sous-ensembles cohérents qui peuvent constituer la base de politiques et dont on peut analyser l’efficacité (contre-aléatoire) face aux divers microscénarios envisagés. L’analyse de la cohérence en mettant en évidence les contradictions ou synergies qui existent entre les actions possibles, souligne l’une des difficultés majeures pour un organisme de recherche : la coordination inter et intra-disciplinaires des programmes qui suppose un jeu très “ huilé ” entre les niveaux hiérarchiques.
Enfin, les microstratégies concernent aussi les partenariats avec les acteurs politiques et socio-économiques. La prospective éclaire les choix faits et, face à la montée de la recherche privée, pose clairement la question de savoir ce qu’est la recherche publique et pour qui elle travaille p.
Complexité et Poïésis
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Patricia SIGNORILE
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Session 18 AM4
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Episteme et Poïésis, en projet...:
ou
l¹esprit de laboratoire dans les Cahiers de Paul Valéry
Patricia Signorile, philosophe/poïéticienne. Aix-Marseille III,
chercheur associé atelier Valéry, Centre interdisciplinaire de recherche
et d¹édition valéryennes, CNRS/ITEM.
Dom:signoril@club-internet
Pro:PATRICIA.SIGNORILE@MFC.u3mrs.fr
"Le propre de l'art c'est de donner une forme à ce monde de possibilités que nous portons au fond de
notre conscience"
Lavelle, Traité des valeurs II, p.329
"Rien de nouveau dans le pragmatisme, absolument rien. Socrate en était un adepte et s¹y exerçait. Aristote le pratiquait systématiquement. C'est grâce à lui que Locke, Berkeley, Hume, ont établi d¹importantes vérités. Shadworth Hodgson ne cesse d¹insister sur ce que les réalités sont pour nous ce que nous croyons qu'elles sont, rien de plus. Toutefois, ces précurseurs du pragmatisme n'en ont que partiellement fait usage : ils n¹y ont que préludé. C¹est de nos jours seulement qu'il s¹est généralisé, qu'il a pris conscience de la mission universelle qui lui incombe, et qu'il aspire à une destinée conquérante". (Le Pragmatisme (extraits) - 1907, William James)
L'intelligence de la Pragmatique :
Si Nietzsche exhortait son lecteur en un péremptoire " deviens ce que tu es", la problématique qui deviendra celle du pragmatisme avait été soulevée par Platon dans la République (en particulier livre VI et VII).
En effet, il existe la science du simplement utile qui satisfait les besoins, la sensibilité. Mais pour un être raisonnable sensiblement affecté se constitue la science de ce qui est vraiment utile. L'intelligible seul ne change pas selon les circonstances ou selon les besoins primaires. Le pragmatisme hypostasie l'utilité : l'utilité est alors un critère de vérité. Il faut donc juger le pragmatisme sur le critère de l'utilité. Historiquement le pragmatisme débute par l'étude des faits et conduit à la pensée. Alors cette théorie en émergence et ancrée sur le réel devient un instrument de recherche. Mais la démarche pragmatique désigne aussi la gestion des idées qui surgissent au cours de la recherche et qui sont en contradiction avec celles antérieurement admises...
Plus proche de l¹époque contemporaine, Ch.S. Peirce, W. James, sont les moteurs d'un courant de pensée dont l'influence sera déterminante pour la pensée américaine. Comme l'a remarqué J.-F. Dortier "en Europe le pragmatisme aura peu d'échos. Bertrand Russel n'hésitera pas à proférer une condamnation sans appel :(...)l'amour de la vérité est obscurci en Amérique par l¹esprit du commerce dont le pragmatisme est l¹expression philosophique (...)".
Pourtant, en France, Paul Valéry (1871-1945) dans ses Cahiers s'exerce à une théorie expérimentale de la signification - passée inaperçue en son temps - fondée sur le critère de l'utilité et propose une vision "contextualisée" et instrumentale de la pensée.
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Pour ce penseur "non-académique" la philosophie, la science ou la métaphysique ne contiennent pas de vérité absolue.Cet aspect de son oeuvre ne commencera à se dévoiler - et encore au sein de groupes restreints - qu'à partir des années 1970.
Dans les Cahiers, Valéry initie son lecteur à une expérimentation continue des idées sur le terrain du vécu au travers du prisme de la création et, rétroactivement, apparaît comme le penseur d'un certain pragmatisme.
La nouvelle rationalité substitue au doute cartésien les questions concrètes du chercheur et fonde une théorie expérimentale de la signification. L¹analyse des confluences entre le faire quotidien et le connaître s¹avère riche en perspectives pragmatiques dans la mesure où "Pensée et Action" se rejoignent sur la page blanche et créent de nouveaux paradigmes dans un espace sriptuaire "utilitaire".
Les processus de genèse de l'écriture (et de la création, en général) laissent entrevoir les bases non fermées d¹une "science pilote" à partir d¹un élément concret : la page, la toile, la matière... p.
Complexité et Poïésis
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Marc SIGNORILE
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Session 18 AM4
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Esprit de laboratoire et production musicale :
de l¹acte de créer à la recherche du sens.
Marc Signorile,
sociomusicologue, SHADyC (UMR9931), Marseille
signoril@club-internet
La production musicale ne va pas de soi : pourquoi créer musicalement et quel peut-être le sens de cette production envisagé au travers de ses différents niveaux de lecture ?
Qu¹il s¹agisse de la posture objectiviste rencontrée au XVIIIe siècle ou du sens subjectiviste légué par le XIX° siècle, la primauté finalement accordée au sujet éclaire-t-elle pleinement dans le domaine musical le sens de l¹objet ?
Dans la mesure où la croyance dans le fait que les sons seraient le véhicule privilégié des sentiments ne repose sur aucun fondement rationnel, puisque le langage utilisé par le compositeur n¹est jamais qu¹un système de signes conventionnels agencés de façon à être rapidement légitimés par les différents récepteurs, il paraît nécessaire d¹opérer le cheminement inverse qui mène du sujet à l¹objet produit pour retrouver son sens.
Il apparaît alors que l¹objet musical anthropologiquement contextualisé, est informatif non seulement sur son créateur mais aussi sur le milieu, et que cette connaissance réactualise, si l¹on peut dire, celle que l¹objet a de lui-même.
La réflexion sur le sens du musical considéré comme une sorte d¹interface entre l¹art et la vie, devient alors susceptible de faire émerger de nouveaux paradigmes interprétatifs et rejoint directement le conjointement pragmatique/complexité où les moyens deviennent des fins qui ne cessent elles-même d¹être des moyens. Ce concept de non-finito est d¹ailleurs au c¦ur des préoccupations de notre modernité créatrice p.
Pragmatique, Service et Technnologie,
les Défaillances Epistémiques
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Christine SYBORD
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Session 17 AM5
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L’enseignement des technologies nouvelles
entre Pensée et Action
Christine SYBORD
ESA CNRS GRAPHOS
IFROSS, Université Jean Moulin Lyon 3
18, Rue Chevreul
F-69007 Lyon
Tél:+33472724581-Fax:+33478587644
E-mail: sybord@univ-lyon3.fr
La société de l’information est aujourd’hui un fait incontournable qui met essentiellement l’accent sur les Technologies de l’Information et de la Communication (TIC). Les pratiques dans les champs scolaire, universitaire et professionnel se modifient. Les citoyens sont tour à tour informatisants et/ou informatisés, avec une formation - ou non - spécifique. De nombreux travaux sur des problématiques variées, dans de nombreuses disciplines allant des sciences sociales aux sciences dites “ plus scientifiques ” illustrent l’importance du phénomène.
L’éducation est un élément capital dans ce dispositif à mettre en place : pour preuve, la valorisation, quasi systématique, des pratiques pédagogiques et didactiques de l’institution scolaire intégrant les TIC. Dans les discours, même, soutenus par certains intellectuels et philosophes14, les nouvelles TIC vont permettre l’avènement d’une nouvelle forme de rapport à l’enseignement, où Monsieur Internet et Monsieur Cédérom seront les professeurs de demain. Par l’intermédiaire des technologies, l’élève apprendra à son professeur, qui apprendra plus de son élève que l’élève de son professeur : le rapport à la connaissances sera(it) ainsi totalement inversé.
La communication, que nous proposons, s’inscrit dans cette problématique d’apprentissage. Au delà des malentendus concernant le triangle symbolique professeur, élèves, technologies, et évoqués ci-dessus, notre questionnement tente d’identifier les paramètres qui favorisent un processus d’apprentissage individuel, voire collectif, dans des situations d’enseignement supérieur où les technologies nouvelles sont utilisées. Pour ce faire, nous avons tenté une expérience pédagogique, à l’université, à l’Institut d’Administration des Entreprises (IAE), sur plusieurs années (trois ans). Cette expérience consistait à enseigner la conception d’un système d’information basé sur les technologies nouvelles (notamment la technique des Systèmes Experts (SE) comme support d’apprentissage), à des étudiants en gestion d’entreprise (BAC+4), connaissant essentiellement les principes algorithmiques de programmation classique.
L’ensemble de la communication sera organisée en quatre parties : présentation du contexte de l’expérience pédagogique (les prémisses du projet, et les objectifs), mise en oeuvre du projet pédagogique avec la définition des moyens : la démarche pédagogique, les supports utilisés, et la planification, les “ produits ” de l’expérience pédagogique du côté des enseignés et du côté des enseignants, enfin est proposée une mise en perspective d’une telle expérience.
La première partie se décomposera en deux sous-parties. Nous partirons d’un constat : la méconnaissance réciproque informatisants - informatisés, les premiers proposant un contenu de cours inadapté aux connaissances des deuxièmes “ fermés ” aux techniques.
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Ce constat nous conduira à définir les éléments du projet pédagogique, dont les objectifs de formation respectant l’identité de chacun, et devant aussi mener à un apprentissage, dans le cadre d’une formation universitaire.
La deuxième partie détaillera la mise en oeuvre d’une telle expérience : démarche pédagogique, supports oraux - écrits - techniques, et le planning. Cette mise en oeuvre consiste à définir les moyens utilisables, en conformité aux objectifs assignés. Elle va bien au-delà de la définition d’un contenu de cours représenté, le plus souvent, par un plan de cours et une éventuelle bibliographie. Elle vise à “ rendre apte à l’étude ” (Billard, 1998), en explicitant la démarche pédagogique, les supports utilisés, et la planification des tâches à remplir. Elle trouve ses fondements dans les travaux de psychologie cognitive étudiés pour notre thèse (Sybord, 1992).
La troisième partie présentera les résultats : acquisition des concepts de base, évolution des mentalités vis à vis de la technique, apprentissage personnel et collectif. Elle propose une réflexion sur le statut de ces résultats, en référence aux processus cognitifs de structuration des connaissances lors de formulations de problèmes (Courbon, 1982), (Bourgine et Espinasse, 1987). En outre, les frontières délimitant l’informatisant de l’informatisé sont bousculées : en conformité au processus d’assimilation/accomodation, les interactions autoréférentielles entre informatisants et informatisés évoluent sans cesse, donnant tour à tour, à l’enseignant et à l’etudiant le statut d’informatisant et/ou d’informatisé. Les technologies, elles, opérationnalisent ces relations, et rendent la relation pédagogique enseignant - étudiants “ opérationnelle ” (Lerbet-Sérini, 1997). Elles sont un vecteur d’apprentissage, qui légitime alors, et en particulier, la relation Homme-machine, thème de notre dernière partie qui esquisse une mise en perspective de l’expérience pédagogique.
La quatrième partie, en effet, propose un lien Homme-Machine fondé sur les usages permis par une “ zone franche ” contenue dans le champ de l’informatique (Batard, 1993). Nous expliciterons quatre concepts qui structurent l’informatique tournée vers les utilisateurs. Nous conclurons sur l’urgence d’une ouverture et d’une humilité disciplinairep.
(Batard, 1993) “ Entre science de rien et science de tout, l’informatique pose ses marques : le concept d’utilisation ”, Actes du 1er Congrès biennal de l’Afcet, Atelier Cultures, Techniques et Organisation, 8-10 Juin 1993, Versailles, France, p.53-61.
(Billard, 1998) “ Voeux perpétuels ”, dans le Dossier “ Professeur ” du Monde de l’Education, n°262, Septembre 1998, p.36-38.
(Bourgine et Espinasse, 1987) “ Processus de décision et aide à la décision”, Actes du Colloque Afect, sur le thème L’aide à la décision dans les organisations, Mars 1987, Paris, p.47-55.
(Courbon, 1982) “ Processus de décision et aide à la décision ”, Economies et Société, Série Sciences de gestion.
(Lerbet-Sérini, 1997) Les régulations de la relation pédagogique, L’Harmattan, Paris, France, 217p.
(Sybord, 1992) “ Méthode de développement des systèmes experts : la méthode Q4 ”, IAE, Thèse de Doctorat en sciences de gestion, 10 Février 1992, Université Jean Moulin Lyon 3.
Sur l'Enseignement des Sciences de l'Ingénierie
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Gérard TAVERA
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Session 18 M3
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La complexité et la formation : le cas des ingénieurs en europe; la France, cas atypique
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