M. le Président - Merci, Monsieur LEMAIGNEN.
Monsieur DELAVERGNE, vous avez la parole.
M. DELAVERGNE - Monsieur le Président, chers collègues, un mot simplement sur ce que vient de dire Monsieur LEMAIGNEN.
D’abord, traiter les autres de médiocres, parler d’âneries et tout cela ne me paraît pas tout à fait adapté à l’enceinte dans laquelle nous sommes.
Néanmoins, je me posais une question en ce qui concerne la non-intégration de nos crédits-baux dans la dette. Je comprends que l’on puisse se poser la question. J’espère que vous avez bien fait les remarques à Monsieur DOLIGÉ en ce qui concerne les observations faites par la Chambre régionale des comptes sur la non-intégration.