Sommair e séance plénière du 17 octobre 2013 Page



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M. le Président - Merci, Madame QUATREHOMME.
En conclusion, l’intervention du Vice-président chargé des Finances.

M. BEFFARA - Merci, Monsieur le Président.
Peut-être quelques mots extrêmement rapides, d’abord pour remercier l’ensemble des intervenants de leur contribution à ce débat.
Du côté de la Majorité, Pierre-Alain ROIRON a eu raison de rappeler que des indicateurs étaient positifs et qu’il fallait, de façon assez objective, voir les difficultés mais aussi ne pas obérer les bonnes nouvelles.
Karine GLOANEC-MAURIN nous a rappelé que, dans un tel contexte, agiter les peurs n’était pas forcément le meilleur moyen de construire l’avenir et que, par ailleurs, l’engagement de la Région dans la recherche de fonds européens était un atout pour les emplois de demain, pour la transition énergétique et aussi pour la lutte contre les exclusions.
Isabelle GAUDRON a bien fait de rappeler à Monsieur LEMAIGNEN que l’apprentissage était une question importante et que les budgets consacrés dans cette Région à la formation et à l’apprentissage étaient parmi les premiers postes de dépenses. Dans le cadre d’une gestion saine et responsable, les dialogues de gestion que nous engageons avec les CFA ont toute leur importance.
Merci, Dominique ROULLET, d’avoir rappelé que nous étions la première ou une des premières Régions de France en matière de dépenses budgétaires pour les politiques territoriales.
Enfin, Agnès QUATREHOMME nous a rappelé à quel point les lycées étaient pour nous des lieux d’égalité des chances importants.
Marc BRYNHOLE et François DUMON nous ont rappelé que, dans cette région, des personnes étaient en difficulté ; nous leur attachons une importance particulière, notamment à travers des politiques de soutien aux emplois d’avenir, aux CAP’Asso, au sport et à la culture.
François DUMON a rappelé que l’emploi associatif dans notre région représentait pratiquement un emploi sur deux et permettait chaque année à des jeunes de trouver un premier emploi, de se qualifier et d’entrer dans la vie active.
Jean DELAVERGNE et Gilles DEGUET ont rappelé la nécessité de la transition écologique de notre économie, et c’est une priorité sur laquelle nous travaillons ensemble, dans les lycées, dans les bâtiments régionaux mais aussi dans nos politiques contractuelles avec l’État, les Départements et l’Europe.
Nos collègues de l’Opposition ont certainement tout autant contribué à ce débat d’Orientations budgétaires. J’ai parfois eu quelques difficultés à comprendre les subtilités des propositions et je n’ai pas toujours perçu ni entendu une vision claire et alternative de nos orientations, mais avec la bonne foi, l’honnêteté intellectuelle et la gentillesse qui les caractérisent, je les remercie de leurs remarques.
Cependant, Monsieur LEMAIGNEN nous a indiqué que le passage à la CVAE avait été compensé par la mise en place du FNGIR par rapport à la taxe professionnelle. Je lui rappellerai simplement que celui-ci n’est pas évolutif, donc il a figé les ressources au moment de la transition. Depuis, je maintiens que nous perdons 8 millions d’euros chaque année sur le transfert de la taxe professionnelle vers la CVAE.
Je ne reviens pas sur les réponses apportées au sujet de l’apprentissage parce que, comme il n’est pas là, je sais qu’il nous reposera les mêmes questions la prochaine fois !
Madame SOULLIE, il est quand même étonnant de s’entendre donner des leçons sur la diminution de la dette, quand vous avez soutenu un gouvernement qui a participé à l’explosion totale des déficits publics, à travers 600 milliards d’euros supplémentaires au cours du dernier quinquennat. C’est un record absolu de l’explosion des déficits. Je comprends bien que vous puissiez trouver que les déficits ne se réduisent pas assez vite mais vous les avez fait augmenter plus vite que n’importe qui d’autres, effectivement !
Philippe VIGIER, c’est fabuleux, nous a apporté une contribution à la mobilité régionale, comme aucun autre ! J’ai cru, pendant les dix premières minutes de votre intervention, que vous vous étiez téléporté à l’Assemblée nationale et que vous faisiez votre discours sur le projet de loi de finances 2014.
Je pense plutôt que la contradiction de votre raisonnement portait à la fois sur l’idée qu’il n’y aurait pas de priorités dans cette Région et sur le reproche à la Région que, dans les contrats de territoire, des priorités soient définies clairement. Le raisonnement est quelque peu dégonflé… pschitt ! Comme vous voulez !
De toute façon, sur cette question, vous n’avez pas fait preuve d’une extrême rigueur intellectuelle.
Par ailleurs, vous avez cité le rapport GALLOIS. Je vous en remercie mais citez son intégralité, notamment le passage qui concerne la perte de compétitivité de notre économie au cours des dix dernières années. Je vous rappelle que vous souteniez le gouvernement en place.
Madame FAUQUET, vous avez eu raison d’attirer notre attention sur l’importance des politiques culturelles dans cette région ; je l’ai dit et j’espère que le budget qui sera présenté pour 2014 lèvera des inquiétudes que vous avez évoquées. De toute façon, je puis vous assurer que c’est une préoccupation forte de cette Majorité.
Monsieur BEAUFILS, je n’ai pas tout à fait compris votre raisonnement. Faut-il embaucher davantage à la Région ? Je n’ai pas totalement compris, mais je voudrais vous rappeler, si la question portait sur l’action économique, qu’il y a des opérateurs extérieurs à la Région que sont le CRT, CENTRECO, CENTREXPORT et que des conventions avec les Chambres de commerce et de l’industrie, de même que les Chambres des métiers, permettent aussi à la Région de financer le développement économique.
Quant à Monsieur MAHOUDEAU, lorsqu’on s’appuie sur des statistiques de l’INSEE pour tenter d’expliquer que tout va mal, il faut aussi s’appuyer dessus quand elles disent que les signes sont encourageants. Notamment pour la croissance, ce n’est pas une invention des élus ; le constat est fait d’une croissance de plus 0,5 % pour le deuxième trimestre 2013 et la prévision est de l’ordre de plus 0,3 % à plus 0,4 % à la fin de l’année.
D’une façon générale, je voudrais dire aux collègues de l’Opposition qu’il ne s’agit pas d’avoir une vision idéaliste ou angélique de l’avenir, mais l’éternel discours décliniste qui voudrait croire que tout va mal et qu’aucun espoir n’est possible ne sert personne et joue contre les intérêts de la Région et du pays.
Monsieur MAHOUDEAU, je ne vis pas dans une tour d’ivoire et je passe beaucoup de temps sur le terrain à visiter les entreprises et à rencontrer les chefs d’entreprise. Voici quelques jours, j’étais à l’assemblée générale du MEDEF de l’Indre-et-Loire. Ceux que j’y ai rencontrés m’ont tous dit qu’ils percevaient une amélioration, que les carnets de commandes étaient en meilleure situation que seulement quelques semaines en arrière. Il ne s’agit pas de dire que tout va bien mais d’encourager la reprise lorsqu’elle se présente.
(Applaudissements)


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