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Barbara conseille « un planning ménage et vaisselle », celle-ci s’avérant sinon un sujet de tension récurrent pour la plupart des colocataires. « Une casserole sale qui traîne dans l’évier peut très vite se transformer en guerre nucléaire », témoigne ainsi Robin. Les travaux d’intérêt général doivent être identifiés et préalablement affectés à l’ensemble de la communauté avec l’assentiment de chacun.
La seconde école de coloc est celle de la tolérance. « Il faut être ouvert d’esprit et accepter le mode de vie d’autrui », dédramatise Guillaume. « Mettre son ego de côté et accepter des habitudes différentes », abonde Robin. Claire, élève ingénieure à Montpellier, fait aussi partie des partisans de la souplesse plutôt que du règlement strict : « Chez nous, il n’y a pas de tours de ménage, les courses sont communes et nous sommes libres d’accueillir amis ou famille. »