Sommaire (cliquer sur n° de page) Des architectes imaginent le studio du futur à Londres 2



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Colocations à loyers modérés

Dans la même veine, CoopColoc a été mis en place en 2014, en partenariat avec la mairie de Paris et des bailleurs sociaux d’Ile-de-France, à l’initiative de la coopérative Solidarité étudiante, afin de proposer aux étudiants des colocations meublées à loyers modérés. Ceux qui entrent dans ce dispositif bénéficient en outre d’un accompagnement à l’autonomie. « On monte des ateliers pour informer les étudiants sur leurs droits, sur les tâches administratives, ou encore leur apprendre à cuisiner. On souhaite créer des lieux de vie conviviaux, où les gens se sentent bien ensemble », indique Laurent Perl, chargé du dispositif au sein de Solidarité étudiante. Aujourd’hui, 70 étudiants bénéficient de ce dispositif, et Solidarité étudiante en espère 100 pour la rentrée 2017.

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En Normandie, la fastidieuse recherche de logement étudiant par... les parents


http://www.paris-normandie.fr/accueil/en-normandie-la-fastidieuse-recherche-de-logement-etudiant-par-les-parents-AA6332299#.V7q7QmXVWf4
Les pancartes « À louer » fleurissent les façades des immeubles rouennais en juillet. Devant celle accrochée à la fenêtre en rez-de-chaussée du 91 rue Lafayette attendent en ce mardi après-midi deux femmes. Anne et sa fille Chloé. Elles sont arrivées de Bordeaux la veille avec un seul objectif : trouver un appartement pour la rentrée de la jeune fille en troisième année à l’Insa de Rouen. Florian Mathieu de l’agence Jeanne d’Arc Immo leur ouvre la porte d’entrée donnant directement dans la pièce de vie. « Ah c’est déjà là », s’exclame Anne, visiblement déçue. Le jeune agent immobilier ne se démonte pas. Il poursuit par la présentation du bien : « Un studio meublé de 28 m2 avec une cuisine aménagée et une salle de douche. » Le jugement tombe, sans appel : « Trop petit et pas assez sécurisé » pour la Bordelaise soucieuse du confort de sa fille. C’est le septième logement que le couple mère fille visite. Tous dans le quartier Saint-Sever. Pourtant l’école d’ingénieurs que Chloé intègre en septembre propose 760 lits en résidences étudiantes dont elle assure la gestion. Une solution que la jeune fille n’a pas envisagée. « Les chambres sont petites et chères par rapport au marché », juge-t-elle.Un sentiment partagé par Catherine, enseignante havraise dont la fille entre en deuxième année de médecine à Rouen. « On a rapidement abandonné l’option de la chambre en résidence universitaire pour Margaux. Tout était petit et bruyant », confie-t-elle. Situées à proximité des écoles ou en centre-ville, les résidences privées comportent des logements récents et meublés. Des avantages qui expliquent que la formule soit onéreuse. « Entre le premier loyer, le dépôt de garantie et les provisions sur charges, on doit verser 1 670 euros dès juillet », raconte Nathalie Avisse, originaire de Canehan (proche de Criel-sur-Mer). Son fils Alexis intègre l’Institut supérieur d’agriculture (ISA) de Lille en septembre et habitera dans une résidence étudiante du campus lillois. Un mode de logement qui évite de passer du temps dans les visites et qui rassure ses parents. Ils sont conscients du prix : « Quand on voit les frais à engager, impossible d’être étudiant si on n’a pas le soutien financier parental », estime la mère du futur étudiant ingénieur.

En réalité, des dispositifs existent pour les jeunes dont les ressources des parents sont plus limitées. Le Crous propose aux boursiers 5 000 places en cités universitaires réparties sur les sites de Rouen, Évreux et Le Havre. La priorité est donnée aux revenus les plus faibles. Les autres doivent prendre le même chemin que les non boursiers. Comme Mathilde Martin, future étudiante en Droit à Mont-Saint-Aignan. Elle est venue accompagnée de sa mère et de son beau-père (qui avaient pris une journée de congé pour l’occasion) à la journée d’informations organisée par l’université le 7 juillet dernier. « J’ai appris aujourd’hui que je n’aurais pas accès aux résidences du Crous. Je dois trouver par mes propres moyens. » Une recherche qui s’annonce difficile pour la jeune fille qui habite dans les Yvelines et travaille tout l’été.

Une fois le logement parfait déniché, la caution est souvent l’obstacle suivant. Surtout lorsque les parents ne peuvent pas endosser ce rôle. « À dossier égal, je privilégie celui avec une caution parentale », avoue Annie Deguelle, propriétaire de sept studettes dans le quartier Saint-Marc de Rouen.

Pour pallier cette difficulté, certaines grandes écoles innovent. Neoma Business School a lancé sa propre plateforme de logements et noué des partenariats avec des résidences privées. Elle se porte dans ce cas caution. « Les étudiants sont alors beaucoup plus autonomes », remarque Matthieu Lucas, responsable du logement de l’école. D’autres établissements se réunissent pour faciliter l’accès au logement de leurs élèves. C’est ainsi que l’Ahloet a été créée au Havre pour lutter contre les marchands de sommeil. Cette association propose 1 050 habitations, toutes garanties salubres.

Le studio de la rue Lafayette est lui aussi dans un état correct. Mais cela ne suffira pas à Anne et Chloé qui déclarent ne pas être intéressées. Dans la recherche de logement, l’exigence est le privilège de lanticipation.

Ellen guichard

Modes de logement étudiant. 53 % préfèrent un studio indépendant. Les autres optent pour : la colocation, la chambre chez l’habitant, le logement intergénérationnel, la cité U, les résidences privées, habitat jeune ou encore les foyers religieux. L’échange de logement est en plein essor.

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Nancy : logements sociaux d’un nouveau genre


http://www.estrepublicain.fr/edition-de-nancy-ville/2016/07/13/nancy-logements-sociaux-d-un-nouveau-genre-sur-la-friche-hospitaliere-villemin-marainger-fournier
Pour les accros qui ne ratent aucune émission de Stéphane Plaza, un terme revient en boucle : atypique. Un critère souvent imposé par les personnes à la recherche d’un logement. Mais lorsque l’on est locataire, il faut bien reconnaître qu’hormis le nombre de pièces, on s’adapte à l’offre existante… Une offre qui pourrait bien évoluer et combler ces demandes. Et ce, même lorsqu’il s’agit de logements sociaux.

Propriétaire de la friche hospitalière Villemin-Maringer-Fournier, quai de la Bataille, à Nancy, depuis la fin 2015, Batigère, adossée aux deux écoles nationales d’architecture de Nancy et Strasbourg, a décidé de faire du site nancéien une « expérimentation au service de la transformation architecturale dans le logement social, dans le but de faire émerger de nouvelles réponses architecturales, techniques et organisationnelles. Et pour ce site, la préservation des bâtiments était un des critères », explique Romain Rousseaux-Perin, pilote du projet Lab CDC. « Une telle opération est nettement plus contraignante et coûteuse qu’un projet de constructions neuves », ajoute Jean-Robert Spillemaecker, responsable Construction neuve Alsace-Lorraine pour Batigère.

Ce mardi, l’innovant « Villemin Lab » avait investi les lieux. Un véritable îlot de modernité au milieu des peintures défraîchies, des couloirs frissonnants, où les câbles électriques sont à la parade, et des huisseries fragilisées par le temps. A la manœuvre, neuf étudiants des écoles d’archi qui ont construit des prototypes en bois, à l’échelle 1, de deux logements sociaux. Et là, « l’atypique », justement, est bien au rendez-vous. Les volumes sont optimisés au maximum, des mezzanines offrent des espaces de vie décalés et les immenses baies amènent une belle clarté… Le tout dans un environnement préservé. L’occasion de prendre conscience du potentiel qu’offrent de tels bâtiments.

Cette étape passée, la route reste encore longue. Choix entre les différentes options et projets proposés, permis de construire, réflexion avec les collectivités… Les premiers coups de pelles devraient être donnés à la fin de l’année 2017 pour une livraison fin 2019.

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Logement. Les campus accueillent les étudiants pour l’été


http://jactiv.ouest-france.fr/vie-pratique/logement/logement-campus-accueillent-etudiants-pour-ete-65383
Pour un job d’été ou un stage, certains étudiants décident de rester sur le campus en été. Une solution pratique pour se loger. Reportage à Rennes.

Une fois les étudiants partis en vacances, de nombreux logements se libèrent sur les campus de Rennes. Pourtant, il est encore possible d’y croiser quelques résidents restés en cité U pour l’été. À partir de début juillet, le Crous, propose ses logements pour des périodes plus ou moins longues aux étudiants, qu’ils soient boursiers ou non. Il suffit de contacter le Crous afin de profiter d'une chambre pour quelques jours ou quelques mois. 

Plusieurs raisons de loger en Cité U

Ce système de logement universitaire en période estivale n’est pas encore bien connu mais les cités universitaires sont pourtant une solution pour un grand nombre d'étudiants. En stage quelques semaines ou pour un emploi saisonnier, les étudiants profitent du logement mais aussi du restaurant universitaire qui reste parfois ouvert les deux mois. D'autres jeunes n'ont pas les moyens de rentrer chez eux ou n’ont simplement pas envie de déménager pour deux mois. En effet, bien que les étudiants en studio aient un contrat du 1er septembre au 31 août, les chambres simples, elles, doivent être libérées fin juin. 

Peu d'étudiants mais une bonne ambiance

Le Crous demande tout de même à chacun des étudiants s’ils souhaitent rester dans leur logement pour les vacances d’été. C’est le cas de Flavie, étudiante en italien, qui en profite pour travailler mais qui est un peu embêtée par le système. « L’été, ils rassemblent tous les étudiants sur une même résidence. Je dois donc changer de chambre seulement pour deux mois et déménager à chaque fois, ce n’est pas très pratique. »

Gaston, également étudiant à l’Université de Rennes 2, habitait déjà sur le campus de Villejean durant l'année scolaire : « je n'ai pas assez d'argent pour rentrer chez moi, au Bénin, donc je m'occupe sur le campus avec des amis.  »

Partagés entre le campus de Beaulieu et celui de Villejean, 450 étudiants bénéficient de ce système à Rennes. D’autres campus ouvrent aussi leurs portes dans le Grand Ouest comme à Brest ou à Nantes. Un site est actuellement en essai afin de faciliter la demande de logement en ligne et au niveau national. Il permet notamment aux étudiants de vérifier les dates de disponibilités des logements. Il est aussi possible de faire une demande via le Dossier Social Etudiant jusqu'en mai, ou alors contacter directement le crous concerné tout au long de l'année

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Interview de Manuel Flam


Directeur général du Groupe SNI et président du directoire de Grand Paris Habitat
http://www.latribune.fr/supplement/la-tribune-now/interview-exclusive-de-manuel-flam-directeur-general-du-groupe-sni-et-president-du-directoire-de-grand-paris-habitat-586152.html
Succinctement, pouvez-vous rappeler ce que fait le groupe SNI et expliquer son rôle au sein du Grand Paris ? Structure Grand Paris Habitat ?

Filiale immobilière d'intérêt général de la Caisse des Dépôts, le groupe SNI est le premier bailleur de France avec près de 346 000 logements gérés - dont 188 000 logements sociaux - sur l'ensemble du territoire. Au total, plus d'un million de personnes sont logées par le Groupe. Nous intervenons aujourd'hui sur l'ensemble de l'offre de logements : très sociaux, sociaux, intermédiaires et libres, foyers et résidences pour jeunes travailleurs ou étudiants, accession à la propriété...

Sur le seul territoire du Grand Paris, le groupe SNI détient un patrimoine cumulé de 160 000 logements, avec l'objectif de construire 35 000 logements sociaux et intermédiaires à l'horizon 2020.

Quel est le statut de Grand Paris Habitat au sein de la SNI ?

Le groupe SNI a créé Grand Paris Habitat en janvier 2015 pour répondre aux enjeux d'un territoire stratégique.  C'est un Groupement d'Intérêt Economique (GIE) de moyens, qui rassemble les compétences de développement, de maîtrise d'ouvrage et de renouvellement urbain du groupe SNI sur le territoire francilien. Plus d'une centaine de collaborateurs travaillent aujourd'hui au sein de GPH. Il incarne le bras armé du groupe SNI sur le territoire du Grand Paris. Compte tenu de ses objectifs de production, il a vocation à devenir l'acteur de référence du Grand Paris du logement.

Quelle est la situation structurelle, demande/offre de logements sur la capitale ?

La demande de logement sur le territoire du Grand Paris est bien plus importante que l'offre. A titre d'exemple, il y a encore plus de 640 000 demandes de logement social en Ile-de-France pour seulement 82 418 attributions par an, soit un logement attribué pour huit demandes. Ce fort déséquilibre entre l'offre et la demande justifie l'augmentation massive de la production de logements sociaux et intermédiaires sur le territoire du Grand Paris : c'est tout l'ambition du groupe SNI.

Comment le réseau du Grand Paris Express va-t-il impacter la SNI et en quoi est-ce une opportunité pour les bailleurs ?

Le Grand Paris Express joue clairement le rôle d'un catalyseur pour les marchés de périphérie. Il rend attractifs des sites qui restaient à la marge et qui prennent, avec le développement des nouveaux transports et des grands projets urbains, une couleur nouvelle. Il faut espérer que cela joue aussi en faveur d'une meilleure répartition de l'offre de logements, notamment du logement social, aujourd'hui très inégalement réparti sur le territoire francilien. Dans ce contexte, en tant qu'investisseur immobilier institutionnel, nous allons nous positionner pour acheter du foncier ou directement des logements dans ces territoires qui deviennent porteurs grâce à l'arrivée des nouvelles infrastructures de transport. Je pense en particulier au nord-est parisien, par exemple tout l'Arc de l'innovation qui va être radicalement transformé à l'arrivée du métro automatique.
Pouvez-vous rappeler le nombre de gares construites dans le cadre du GP ?

Soixante-huit nouvelles gares seront construites dans le cadre du Grand Paris Express. Cela représente environ 5000 logements à construire aux abords immédiats des gares c'est-à-dire dans un périmètre de 50 mètres, et l'on estime entre 250 000 et 400 000 le nombre de logements neufs qui seront construits dans un rayon de 800 mètres autour de ces gares à l'horizon 2040.
Quels investissements cela représentera ?

Pour le groupe SNI, à  l'horizon 2020, cela représentera déjà  5 milliards d'euros d'investissement pour construire 35 000 logements sociaux et intermédiaires.
Quelle sera la part de logements étudiants et pour jeunes travailleurs ? Et en quoi est-ce un enjeu ?

Avec 2 millions de jeunes (18-29 ans) et 600 000 étudiants, le Grand Paris est l'une des métropoles les plus jeunes d'Europe (devant Londres qui a 1,5 millions de jeunes) et la 3ème métropole la plus attractive du monde pour les étudiants.

Pourtant les jeunes ont du mal à se loger. A titre d'exemple, l'offre de logements en résidence étudiantes représente en moyenne 12 places pour 100 étudiants (moins de 8 places pour ce qui concerne l'offre sociale). C'est pourquoi nous avons créé, au sein du groupe SNI, une marque dédiée au développement et à la gestion de résidences étudiantes : STUDEFI.

Nous essayons par ailleurs de construire au maximum des foyers de jeunes travailleurs, comme par exemple à Bondy, de manière à accueillir les jeunes actifs qui n'arrivent pas à se loger.
Quels engagements avez-vous pris dans le cadre de la convention passée avec la Société du Grand Paris ?

Nous nous sommes engagés à reloger dans notre patrimoine toutes les personnes qui sont déplacées dans le cadre de la construction du Grand Paris Express. En contrepartie de quoi la Société du Grand Paris nous offre ce que l'on pourrait appeler un « droit de premier regard » sur les fonciers des sites de gares du Grand Paris.

Nous avons également passé d'autres partenariats, comme par exemple avec l'AP-HP pour exploiter les délaissés hospitaliers rendus disponibles dans le cadre de la restructuration de la carte hospitalière ou encore avec  la préfecture d'Ile-de-France pour disposer d'agréments et des subventions associées dans les plus brefs délais.
L'élection de 2017 et la perspective parfois évoquée d'une annulation du projet de Grand Paris vous inquiète-t-elle ?

Absolument pas. Le Grand Paris est un projet d'envergure nationale qui va marquer la première moitié du XXIème siècle. Voulu et impulsé par le Président Sarkozy, il a été pérennisé dès juin 2012 par le président de la République François Hollande et par son Premier ministre de l'époque Jean-Marc Ayrault, et encore approfondi par l'actuel Premier ministre Manuel Valls. Aujourd'hui, le Grand Paris est un projet politique qui fait l'objet d'un consensus républicain et qui dépassera donc les éventuelles alternances.

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Logements étudiant et les aides au logement


https://www.location-etudiant.fr/actualites/Logements-etudiant-et-les-aides-au-logement-344.php
Pour un étudiant aux ressources modestes, trouver un logement étudiant constitue un vrai casse-tête ! Heureusement, il existe différents dispositifs d’aides au logement pour financer son hébergement.

Des aides pour financer les loyers

La Caisse d’Allocations Familiales (CAF), organisme de service public, prévoit trois types d’aides au logement pour les étudiants. Il s’agit des Aides Personnalisées au Logement (APL), de l’Allocation de logement à caractère familial (ALF) et de l’Allocation de logement à caractère social (ALS). En fonction de vos charges et de vos ressources, vous pouvez en bénéficier en faisant une demande spécifique auprès de la CAF de votre département de résidence.

En principe, ces aides sont classées par ordre de priorité. Si vous êtes un locataire d’un logement conventionné, vous pouvez bénéficier de l’APL. Si vous ne remplissez pas ces premières conditions et qu’en plus, vous avez des enfants ou des personnes à charge, vous pouvez prétendre à l’ALF. Quant à l’ALS, elle est prévue pour ceux qui ne répondent ni aux critères donnant droit l’APL, ni ceux éligibles à l’ALF.

Attention, ces aides ne sont cumulables en aucun cas. Parmi les critères pris en compte pour les obtenir, on peut citer entre autres, pour le bénéficiaire, le lieu d’hébergement, l'âge,...les revenus fiscaux du foyer,...

Des aides ponctuelles au financement de la location

Pour investir un logement étudiant, il faut prévoir une caution et un dépôt de garantie. La caution a pour objectif de rassurer le bailleur quant au paiement du loyer tandis que le dépôt de garantie est utilisé en guise de sécurité complémentaire en cas de dégradations du logement.

Comme dispositifs, il y a l'avance et garantie Loca-pass octroyées par Action Logement aux étudiants boursiers et/ou salariés. La première prend la forme de prêt à taux zéro plafonné à 2 300 euros et la seconde, de caution gratuite pour régler ponctuellement loyer ou charge, en cas de défaillance.

D’autres aides plus généralistes existent pour les étudiants boursiers ou non et, sans garant : la Caution Locative étudiante (Clé) et le Fond de Solidarité pour le Logement. 

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