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KARABAKH


Aucun accord lors de pourparlers sur le Haut-Karabakh

Les dirigeants azerbaïdjanais et arméniens ne sont pas parvenus à un accord lors de discussions organisées en Russie sur le statut de l’enclave disputée du Haut-Karabakh, rapportent des chaînes de télévision locales.

Le président azerbaïdjanais Ilham Aliyev et son homologue arménien Robert Kotcharian, un ancien dirigeant du Haut-Karabakh, se sont rencontrés samedi lors d’un sommet de la Communauté des États indépendants, à Saint-Pétersbourg, où ils ont abordé la question de l’avenir de cette région.

« Une discussion sérieuse a eu lieu à Saint-Pétersbourg, mais aucun accord n’a été trouvé », a rapporté la télévision publique arménienne, citant le chef de la diplomatie, Vardan Oskanian.

Le Haut-Karabakh, région de l’Azerbaïdjan majoritairement peuplée d’Arméniens de souche, a fait sécession à la fin des années 1980, provoquant une guerre entre les séparatistes et l’État azerbaïdjanais entre 1992 et 1994.

Le conflit a fait plus de 35 000 morts. Depuis la guerre, l’enclave et les territoires qui l’environnent sont contrôlés par une armée séparatiste soutenue par des volontaires arméniens. Le ministre azerbaïdjanais des Affaires étrangères, Elmar Mamediarov, a déclaré d’après la télévision azerbaïdjanaise : « Il y a des désaccords sur certains points-clés. »

Selon les chaînes de télévision, les entretiens ont duré environ trois heures. « Les négociations vont se poursuivre », a déclaré Bernard Fassier, un médiateur de l’Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe (OSCE), cité par les médias régionaux.

http://www.lorient-lejour.com.lb/page.aspx?page=article&id=344150

MONDE RUSSE



Presse russe: revue du 09 juin
Revue de la presse russe du 9 juin
14:34 | 09/ 06/ 2007

MOSCOU, RIA Novosti

Vedomosti

La Marine russe couve un nouveau porte-avions

La Marine russe doit se doter à l'avenir d'un nouveau porte-avions. Telle est la conclusion à laquelle sont parvenus les dirigeants de la Marine, des chantiers navals et des instituts de recherche militaires réunis à Saint-Pétersbourg.

Le nouveau porte-avions ne sera certes pas construit demain, mais c'est le basculement rapide des priorités de la Marine russe qui suscite l'intérêt. Il y a encore un an, en mai 2006, le commandant en chef de la Marine, Vladimir Massorine, avait déclaré que la priorité serait donnée aux sous-marins nucléaires lanceurs d'engins (SNLE) et aux petits navires lanceurs d'engins et d'artillerie. Quant aux gros navires de surface, l'amiral n'avait pas promis de nouvelles commandes, soulignant la nécessité de moderniser les bâtiments déjà en service. Les nouveaux sous-marins nucléaires sont nécessaires pour maintenir la parité nucléaire stratégique avec les Etats-Unis, alors que les petits navires sont capables de réagir avec diligence aux défis réels d'aujourd'hui, notamment aux attaques terroristes et à l'agression de la part de régimes imprévisibles.

Les porte-avions sont le privilège de rares élus. Seuls les Etats-Unis, avec douze unités, misent sur ce genre de navires. La Grande-Bretagne en compte trois, l'Inde un et demi (l'ancien Admiral Gorchkov de fabrication russe n'est toujours pas en service), et la France un seul. Officiellement, la Russie ne possède pas de porte-avions. Mais le croiseur porte-aéronefs lourd Admiral Kouznetsov est capable d'accueillir sur son pont des avions SU-33. Le terme même de "croiseur porte-aéronefs" aurait été inventé à l'époque soviétique pour éviter que les navires de cette classe tombent sous le coup de la Convention de Montreux signée en 1936 qui interdit aux porte-avions de passer par les détroits du Bosphore et des Dardanelles.

Le souci de construire un deuxième navire porte-aéronefs (mis en service en 1993, l'Admiral Kouznetsov ne sera pas remplacé dans un proche avenir) témoigne d'un possible revirement de la doctrine navale de Moscou. Un porte-avions est un levier trop important pour s'en servir en vue de faire pression sur des voisins récalcitrants. En revanche, il peut manifester la présence militaire d'un pays jusque dans les coins les plus reculés de la planète et participer aux opérations de maintien de la paix de l'ONU.

Dans le contexte d'une confrontation politique accrue avec l'Occident, toute initiative visant à renforcer la puissance de l'armée russe pourrait être couronnée de succès. De surcroît, la Russie mise sur les technologies innovantes dont l'évolution, selon elle, passe par une percée des industries d'armement. Or, un nouveau porte-avions sera forcément le fruit du travail de centaines de chercheurs, de milliers d'ingénieurs et de dizaines de milliers d'ouvriers.

Novye izvestia

Les alcools haut de gamme très loin de concurrencer la vodka en Russie

De récentes études du marché russe de l'alcool ont montré que la part des boissons alcoolisées haut de gamme y reste, comme par le passé, insignifiante, à 2% environ, selon les estimations les plus optimistes. Celle de la vodka traditionnelle est de 95%.

En règle générale, en Russie, on range dans la catégorie des alcools haut de gamme les boissons alcoolisées de qualité supérieure qui coûtent de 1.000 roubles (environ 30 euros) à 850.000 roubles (près de 25.000 euros).

Les producteurs reconnus de vins de grande qualité ou de whisky ne considèrent pas encore la Russie comme un marché prometteur. La culture de la consommation d'alcool haut de gamme n'y est pas encore développée.

Néanmoins, la demande de boissons très chères s'accroît en Russie. D'après les données de l'Association nationale des producteurs d'alcool, en 2006, le volume du marché russe de l'alcool haut de gamme a constitué 630 millions de dollars, soit un quart de plus qu'en 2005. Les spécialistes l'expliquent par l'accroissement du pouvoir d'achat des Russes, ainsi que par leur initiation aux bonnes traditions de consommation d'alcool au cours de voyages touristiques à l'étranger. Comme l'a fait savoir au quotidien Novye izvestia Dmitri Strelkov, analyste du marché, "pour l'instant, en Russie, on préfère la vodka, mais la culture de la consommation de boissons plus exotiques se développe peu à peu". "Après l'interdiction des vins moldaves et géorgiens, les consommateurs accordent de plus en plus d'attention aux boissons européennes", a-t-il relevé.

"Il est assez difficile de trouver dans notre supermarché ordinaire des boissons chères goûtées au cours de voyages à l'étranger, a déclaré Leonid Popovitch, vice-président de l'Union des vignerons et des viticulteurs de Russie, commentant la situation. On les vend, pour l'essentiel, dans les boutiques et les restaurants". Selon lui, tenir un magasin de vins de qualité demande des dépenses considérables: il faut bien conserver les produits, en respectant les règles, la température nécessaire, tout cela coûte cher. Cela dit, les bénéfices réalisés dans ce segment sont assez élevés. "Le fait est que les vins haut de gamme coûtent en Russie 3 à 5 fois plus cher qu'aux Etats-Unis et en Europe. La formation des prix sur ce marché dépend entièrement des vendeurs", a fait savoir M. Popovitch. Par exemple, un vin qui coûte en Europe 100 dollars peut être vendu en Russie à 300-500 dollars.

Kommersant

Automobile: Ford dépassé par Chevrolet en termes de ventes en Russie

Le géant automobile américain Ford a perdu son leadership sur le marché russe des marques étrangères. Selon l'Association of European Businesses (AEB), c'est la marque Chevrolet qui tient le premier rang en termes de ventes en Russie entre janvier et mai 2007. Les experts du secteur n'excluent pas que ce changement de leader puisse s'expliquer par de simples variations des ventes chez Ford, mais constatent que le groupe américain a perdu la première place après avoir relevé le prix de ses voitures.

Au total, 580.400 voitures de marques étrangères ont été vendues en Russie au cours des cinq premiers mois de 2007, soit une progression de 74% par rapport à la même période de 2006. En termes de valeur, le chiffre d'affaires de ce marché a atteint 14,5 milliards de dollars, indique le directeur marketing de Severstal-Avto, Valeri Tarakanov, qui part dans ses estimations du prix moyen des nouvelles voitures étrangères fixé à 25.000 dollars.

Entre janvier et mai 2007, Chevrolet a vendu 70.000 voitures, reléguant Ford à la deuxième position avec 1.500 unités de moins. Ford se dit "content" de ses ventes, qui correspondraient entièrement à ses prévisions. En effet, selon l'AEB, le modèle Ford Focus est la voiture la mieux vendue en Russie (38.100 unités en janvier-mai). D'autres modèles peu coûteux, les Renault Logan et Chevrolet Lanos, suivent avec un grand décalage (24.500 et 21.500 unités respectivement).

Ford a pour la première fois remporté la palme des ventes russes en 2006 en dépassant le coréen Hyundai. La marque Chevrolet qui occupait alors la deuxième marche du podium accusait un retard de 4.500 voitures sur Ford.

Les experts sont divisés dans leurs analyses au sujet de ce changement de leadership dans les ventes de marques étrangères en Russie. "On ne sait pas pour l'instant s'il s'agit d'une tendance à la perte du leadership Ford ou de variations saisonnières des ventes de Ford dues aux livraisons de voitures en Russie, explique le copropriétaire de la société de distribution Genser, Igor Ponomarev. Mais c'est au premier trimestre que Ford a relevé de 500 dollars en moyenne le prix de ses voitures." Le gérant d'AG Capital, Alexandre Aguibalov, partage cet avis, mais ajoute que, dans le contexte incertain d'aujourd'hui, il miserait sur Chevrolet. "Le succès de Chevrolet s'explique essentiellement par la présence de deux grandes filières de production sur le territoire de la CEI: celle du tout-terrain Chevrolet Niva lancée par la coentreprise GM-AvtoVAZ et celle de la berline bas de gamme Lanos à Zaporojié, en Ukraine, explique M. Aguibalov. Si la Russie lance l'assemblage de la Lanos (projet qui pourrait être lancé dans la région de Nijni Novgorod), tout porte à croire que Chevrolet sera le leader absolu du marché."

La troisième marche du podium est occupée par Toyota, avec 59.300 voitures vendues.

Ces articles sont tirés de la presse et n'ont rien à voir avec la rédaction de RIA Novosti.
http://fr.rian.ru/analysis/20070609/66972002.html



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