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Génocide arménien: le cdH s'interroge sur le texte "abscons" de la majorité



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Génocide arménien: le cdH s'interroge sur le texte "abscons" de la majorité

La Libre.be

BELGA Publié le lundi 01 juin 2015 à 18h59

Le député Georges Dallemagne (cdH) s'interroge sur le texte de la majorité qui témoigne à ses yeux d'un manque singulier de courage politique à propos de la reconnaissance du génocide arménien. "Je ne comprends pas l'exercice auquel se livre la majorité. C'est une résolution qui n'est pas claire alors que le sujet impose d'être clair. On a besoin aujourd'hui d'un peu de courage politique et pas de langue de bois ou d'un texte abscons", a déclaré le député interrogé par l'Agence Belga.

Selon "Le Soir", le texte de la majorité -qui vise la "commémoration" du centenaire du génocide arménien- ne sera sans doute pas déposé avant les vacances parlementaires et ne viendrait donc en Commission qu'après la rentrée pour être voté à la fin de l'année ou au début de l'année prochaine. M. Dallemagne s'interroge sur la longueur de ce délai alors que, dit-il, le problème est clair et les historiens se sont exprimés clairement sur la question.

"Cette année est celle du centenaire du génocide. Ce serait choquant de voter un texte l'an prochain. Cela n'aurait aucun sens", regrette M. Dallemagne.

Le député cdH proposera d'amender le texte afin que le parlement et le gouvernement belges reconnaissent le génocide arménien.
http://www.lalibre.be/actu/politique-belge/genocide-armenien-le-cdh-s-interroge-sur-le-texte-abscons-de-la-majorite-556c8f8a3570e01013fcb74d

http://www.collectifvan.org/article.php?r=4&id=88970



Génocide arménien: le projet de résolution «manque de courage politique», selon le CDH

Le Soir.be

L.Co. avec Belga

Mis en ligne lundi 1 juin 2015, 22h03

Le texte proposé par la majorité ne satisfait ni Wouter De Vriendt (Groen), ni Georges Dallemagne (CDH).

Les écologistes et le CDH ont proposé lundi d’amender le texte soumis par la N-VA au nom de la majorité à propos du génocide arménien. La proposition de résolution ne demande en effet pas explicitement au gouvernement belge de reconnaître ce génocide.



« Texte abscons »

Le député Georges Dallemagne (CDH) s’interroge sur le texte de la majorité qui témoigne à ses yeux d’un manque singulier de courage politique à propos de la reconnaissance du génocide arménien. « Je ne comprends pas l’exercice auquel se livre la majorité. C’est une résolution qui n’est pas claire alors que le sujet impose d’être clair. On a besoin aujourd’hui d’un peu de courage politique et pas de langue de bois ou d’un texte abscons », a déclaré le député. Il s’interroge aussi sur le ‘timing’ du projet : « Cette année est celle du centenaire du génocide. Ce serait choquant de voter un texte l’an prochain. Cela n’aurait aucun sens », regrette M. Dallemagne.

Le député CDH proposera d’amender le texte afin que le parlement et le gouvernement belges reconnaissent le génocide arménien.

« Petits jeux politiques »

« Il faut arrêter les petits jeux politiques. Le génocide arménien doit être reconnu au plus vite par le gouvernement belge. Dans la résolution que le député N-VA Peter De Rover nous propose de cosigner, cette exigence est vague et ambiguë car elle permet plusieurs interprétations. C’est la raison pour laquelle nous avons proposé un amendement demandant au gouvernement de reconnaître clairement le génocide arménien », souligne le député Benoît Hellings (Ecolo).



« Grande gueule » et « petit bras »

« Il faut en finir avec la tactique du crocodile : ‘grande gueule’ quand il s’agit d’annoncer une résolution et ‘petit bras’ dès qu’il s’agit de donner du corps au contenu des textes législatifs », a-t-il ajouté tandis que son collègue Wouter De Vriendt (Groen) épingle « la énième résolution N-VA écrite par le cabinet Reynders et qui ne veut brusquer personne ».

Les Verts rappellent le précédent de la résolution sur la reconnaissance de l’Etat palestinien dont les conditions sont tellement strictes qu’elles rendent de facto très compliquée toute reconnaissance.

Le résumé du projet de résolution :

La résolution considère que « l’année 2015 marque le centième anniversaire du génocide arménien dans l’Empire ottoman » et fait référence à la résolution sénatoriale de 1998 reconnaissant que les événements qui se sont produits à cette époque doivent être « considérés » comme un génocide. Elle demande au gouvernement de « rendre hommage à la mémoire des victimes innocentes arméniennes », de « participer à la commémoration du centenaire du génocide arménien » (dont la cérémonie officielle a eu lieu le 24 avril en l’absence d’un membre du gouvernement belge), de « condamner tous les cas de crimes contre l’humanité et génocides, et de réprouver fermement toute tentative négationniste », de « rendre hommage à la mémoire des victimes innocentes de tous les génocides et crimes contre l’humanité », d’« encourager la Turquie à profiter de l’occasion (…) pour reconnaître le génocide arménien », etc.


http://www.lesoir.be/894714/article/actualite/belgique/politique/2015-06-01/genocide-armenien-projet-resolution-manque-courage-politique-selon-cdh

http://www.collectifvan.org/article.php?r=4&id=88983



Georges Dallemagne: "Certains élus ont un véritable conflit de loyauté"

RTBF


mardi 2 juin 2015 à 9h09

Le député fédéral cdH Georges Dallemagne était ce mardi L'Acteur de Matin Première. Au micro de Bertrand Henne, il est revenu sur l'exclusion de Mahinur Özdemir du parti humaniste et plus largement sur les problèmes que suscitent en Belgique la reconnaissance du génocide arménien. Pour lui, des élus belges sont "instrumentalisés", ni plus, ni moins, par la Turquie et se retrouvent dès lors face à un véritable "conflit de loyauté".

Mahinur Özdemir a été exclue du cdh pour avoir refusé de reconnaître le génocide arménien. Face à cette décision, l’élue bruxelloise a dénoncé une injustice et accusé son ancien président de parti d’être "coupé des réalités de Bruxelles" et le cdH de "virer à droite".

Une accusation que réfute Georges Dallemagne. Selon lui le parti centriste est loin de se droitiser. "Au contraire, on a des valeurs profondément humanistes, partagées à l’unanimité du bureau et nous rappelons que le génocide est un crime qui n’est pas n’importe quel crime. Et il est imprescriptible en droit international", rappelle le député fédéral.

Comment expliquer dès lors qu’une ex-représentante d’un parti qui se revendique de ces valeurs, se mette ans une position qui contraitn la formation démocrate-humaniste à l’exclure. Pour Georges Dallemagne, la réponse se trouve à l’étranger. "Mahinur Özdemir est sous une pression constante, forte, permanente, de la part du régime Erdogan", analyse celui qui est aussi conseiller communal à Woluwé-Saint-Pierre. Pour rappel, Recep Tayyip Erdogan, le chef d’Etat turc, a érigé son parti islamo-conservateur, l’AKP, en première force politique du pays depuis plus de dix ans. Il a d’ailleurs été élu triomphalement, dès le premier tour, lors des dernières élections présidentielles.
http://www.rtbf.be/info/belgique/detail_georges-dallemagne-certains-elus-ont-un-veritable-conflit-de-loyaute?id=8995902

http://www.collectifvan.org/article.php?r=4&id=89004



La Belgique face à ses valeurs, par Ara Toranian

NAM


Après l’Allemagne, dont le président a reconnu le 23 avril le génocide arménien tout en évoquant une possible complicité de son pays dans le crime, c’est aujourd’hui la Belgique qui se distingue par les prises de position courageuses de sa classe politique. En prononçant l’éviction de la députée bruxelloise Mahinur Özdemir qui refusait de reconnaître le génocide, le cdH ( centre démocrate humaniste) a arboré une posture morale qui lui fait honneur.

Contre une vision aussi étroite qu’erronée de ses prétendus intérêts électoraux dans un pays qui compte une forte communauté turque, ce parti a choisi de défendre ses valeurs, au nombre desquelles figurent le combat contre le racisme et ses déclinaisons négationnistes. Risque-t-il pour autant de payer au prix fort dans les urnes cette attitude éthique qui par ailleurs le grandit ? Rien n’est moins sûr. D’une part en raison du fait que nombre de Belges peuvent être sensibles à ce positionnement courageux. Ensuite parce que les pertes dans l’électorat d’origine turque ne sont pas si certaines que cela.

Rien ne permet en effet d’affirmer que cet ensemble d’environ 150 000 personnes compte autant négationnistes du génocide des Arméniens. Deux raisons à cela : la première est qu’une grande partie d’entre eux est Kurde ou Alévie, deux minorités qui ont plus ou moins maille à partir avec Ankara. Et la deuxième est qu’il serait plus que douteux d’établir une équation entre une origine et un vote. Quand bien même les autorités turques ne ménagent-elles pas leurs efforts pour enrôler leurs émigrés sous la bannière du nationalisme, nombre d’entre eux sont des opposants et nourrissent d’autres ambitions que d’endosser un génocide et de personnifier le négationnisme de leur Etat (en témoigne la ligne éditoriale d’info-Turk, l’un des sites internet turco-belges les plus importants).

Et si, par malheur, l’inverse était vrai, il relèverait alors de la responsabilité de l’ensemble des partis de cette monarchie constitutionnelle de lutter contre une telle situation qui n’a pas sa place dans les États de l’Union européenne, ainsi que l’indique l’article 1er de sa décision-cadre du 28 novembre 2008 contre le racisme et « la négation ou la banalisation grossière des crimes de génocide ».

C’est ce qu’a bien compris le cdH et que semble avoir pareillement intégré le PS du pays qui pourrait lui aussi être amené à prendre des sanctions contre l’un des siens : Monsieur Emir Kir, un député qui avait récemment refusé de s’associer à une minute de silence du Parlement belge en mémoire des victimes du génocide. Pourrait-il en aller autrement ? Le respect par ce dernier des consignes de son organisation sera observée à la loupe lors du vote de la Chambre belge sur une résolution de reconnaissance du génocide qui devrait arriver dans le courant de l’année.

Le moindre laxisme de la direction du PS dans cette affaire pourrait en tout cas ouvrir une redoutable brèche non seulement dans le socle de valeurs de ce parti, sa discipline, mais également pour la cohésion du système démocratique belge qui se verrait fragilisé si l’une de ses plus importantes composantes en venait à sacrifier ses principes fondateurs sur l’autel d’on ne sait quel clientélisme électoral, a fortiori ancré dans des logiques criminelles manipulées depuis l’extérieur.

Après les paroles du Pape, les très récentes reconnaissances du génocide par l’Autriche et le Luxembourg, la Belgique sera-t-elle le prochain État européen à choisir la voie de la vérité et de la justice dans ce dossier ? L’attitude respectable des principales forces de Belgique, d’autant plus appréciable qu’elle ne compte qu’un tout petit nombre d’Arméniens, montre qu’elle en prend le chemin.

Ce faisant, la Belgique se situerait dans le sillage du Parlement européen qui a réaffirmé avec force sa reconnaissance du génocide arménien le 15 avril dernier. On en espère pas moins d’un pays qui a donné à l’Europe sa capitale (Bruxelles) et son premier président (Herman Van Rompuy). Un insigne honneur qui lui confère des responsabilités et suscite aussi des attentes...

Ara Toranian

mardi 2 juin 2015,


Ara ©armenews.co

http://www.armenews.com/article.php3?id_article=112608

http://www.collectifvan.org/article.php?r=4&id=88997

Turquie

La fille d'Erdogan manifeste en soutien à Mahinur Özdemir

La Libre.be



CH.LY.
Publié le mardi 02 juin 2015 à 11h05

Une manifestation en soutien à Mahinur Özdemir (photo ci-dessus), rassemblant de 200 à 250 personnes, a eu lieu lundi devant le consulat belge d'Istanbul, indique ce matin le journal turc Sözcü relayé en Belgique par l'association Info-turk. Parmi les manifestants se trouvait la fille du président turc Sümeyye Erdogan, par ailleurs vice-présidente d'une association de femmes, le Kadem, lié au parti au pouvoir en Turquie l'AKP.

Les manifestants se sont indignés de la décision du CdH d'exclure leur députée, ont fait un parallèle entre le génocide arménien et les violences infligées au Congo par le colonisateur belge et se sont inquiétés de la montée de l'islamophobie en Belgie et en Europe.

“Nous déplorons cette décision”, a dit la fille d'Erdogan selon le journal. “Nous sommes pour la démocratie et pour Manihur Özdemir”. La fille du président a ensuite rencontré le consul général de Belgique à Istanbul, Henri Vantieghem. Cette rencontre est confirmée par les Affaires étrangères belges.

Lors de son mariage à Istanbul en 2009, l'ex-députée du CdH avait été soutenue par la hiérarchie de l'AKP. Erdogan lui-même, alors Premier ministre, des membres de sa famille, des élus de l'AKP et du MHP (nationaliste) avaient assisté à la fête de mariage.

Selon nos informations, la femme politique schaerbeekoise a décidé de prendre quelques jours de repos en Turquie.

http://www.lalibre.be/actu/belgique/la-fille-d-erdogan-manifeste-en-soutien-a-mahinur-ozdemir-556d70d935709a87ac67228e?utm_source=twitterfeed&utm_medium=twitter

http://www.collectifvan.org/article.php?r=4&id=89003



Dépêche de l'AA [ 31 Mai 2015 19:12 ] - Anadolu Agency

Le Collectif VAN vous propose un article de l'AA (Anadolu Agency) daté du 19 mai 2015. Les articles de ce site ne sont pas commentés de notre part. Ils peuvent contenir des propos négationnistes envers le génocide arménien ou d'autres informations à prendre sous toute réserve.

Anadolu Agency



Ankara préoccupée par l’exclusion d’une députée voilée d’un parti belge

31 Mai 2015 19:12

Ces mesures d’exclusion ne contribueront pas à résoudre les problèmes d'intégration en Europe, mais à les exacerber, affirme le porte-parole du ministère turc des AE

AA/Ankara/ Emel Öz Gözellik

Le porte-parole du ministère turc des Affaires étrangères, Tanju Bilgiç a affirmé, que son pays est préoccupé par l’exclusion de Mahinur Ozdemir, la première députée (d'origine turque) voilée en Europe et en Belgique, du parti du Centre Démocrate Humaniste (Belge), en raison de son refus de reconnaître les allégations arméniennes sur un «génocide» en Anatolie, en 1915, à la fin de l’ère Ottomane.

Bilgiç a exprimé lors d'une conférence de presse animée, dimanche, dans la capitale Ankara, sa estupéfactione à l’égard de cette décision «incompatible avec les valeurs démocratiques d’un parti politique, en Belgique, qui a des traditions démocratiques enracinées».

Le porte-parole du ministère des Affaires étrangères a considéré que l’exclusion d’un député élu «ne contribuera pas à l’intégration des 220 milles citoyens belges d’origine turque» dans la société belge.

Tanju Bilgiç a souligné que de «ces mesures d’exclusion provoquent la discorde dans la société, et ne contribueront pas à résoudre les problèmes d'intégration en Europe, mais à les exacerber». Le responsable turc a appelé toutes les institutions belges, en particulier le parti en question, à éviter les mesures provoquant la polarisation dans la société .

http://www.aa.com.tr/fr/turquie/520002--ankara-preoccupee-par-l-exclusion-d-une-deputee-voilee-d-un-parti-belge

http://www.collectifvan.org/article.php?r=4&id=88993



    1. CONFLIT DU HAUT-KARABAKH

  1. Un rapporteur anti-arménien de l’APCE obtient la citoyenneté turque

  2. NAM

    Un ancien député britannique qui a été chargé par l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe (APCE) l’année dernière de rédiger un rapport sur le conflit du Haut-Karabagh serait devenu un citoyen turc.

    Selon le quotidien Sabah basé à Istanbul le ministre turc des Affaires étrangères Mevlut Cavusoglu a personnellement remis une carte d’identité turque au député conservateur, Robert Walter, à l’ambassade de Turquie à Londres la semaine dernière.

    Robert Walter, qui est marié à une femme turque, a exprimé sa joie à la réception du document a rapporté le journal. Il a également publié une photographie de la cérémonie sur son site Internet.

    Walter a été nommé par la direction de l’APCE afin de lancer une mission d’établissement des faits dans la zone du conflit du Karabagh et de préparer le rapport intitulé « escalade de la violence dans le Haut-Karabagh et les autres territoires occupés de l’Azerbaïdjan.“

    Cette formulation a soulevé les protestations véhémentes des membres arméniens de l’assemblée de Strasbourg et du gouvernement à Erevan. Ils ont dit que cela prédéterminait les conclusions de robert Walter et allait à l’encontre des déclarations faites par les médiateurs des États-Unis, de la Russie et Français qui tentent de négocier un règlement du conflit au Karabagh.

    La partie arménienne a également accusé Robert Walter d’avoir des liens étroits avec le gouvernement de l’Azerbaïdjan, en disant que le parlementaire britannique a défendu à plusieurs reprises le lamentable bilan des droits humains de Bakou critiqué par les groupes de défense des droits.

    Robert Walter a dirigé une équipe de membres de l’APCE qui avait observé la dernière élection présidentielle de l’Azerbaïdjan a eu lieu en 2013. Contrairement à d’autres observateurs occidentaux qui ont dénoncé la fraude généralisée, la mission de l’APCE a conclu que le vote avait respecté les normes démocratiques.

    Robert Walter a visité Bakou en Mars et espère se rendre en Arménie et au Karabagh plus tard cette année.

    Toutefois, le chef de la délégation arménienne à l’APCE, Hermine Naghdalian a clairement déclaré en avril que si les fonctionnaires à Erevan peuvent accepter de recevoir le rapporteur ils n’allaient pas discuter du différend du Karabagh avec lui. Le gouvernement du Karabagh est allé plus loin, en disant que le législateur britannique n’est pas le bienvenue à Stepanakert.

    Robert Walter, 67 ans, n’a pas couru pour une réélection lors des récentes élections générales en Grande-Bretagne et son mandat parlementaire a officiellement pris fin le 7 mai On ne sait pas quand et si les dirigeants de l’APCE vont nommer un nouveau rapporteur pour le Karabagh.

    mardi 2 juin 2015,


    Stéphane ©armenews.com

http://www.armenews.com/article.php3?id_article=112613

http://www.collectifvan.org/article.php?r=4&id=88985



    1. ARMENIE

  1. Les négociations pour le nouvel accord avec l’UE

  2. NAM

    Le gouvernement arménien espère que son prochain accord avec l’Union européenne sera aussi proche que possible de l’accord d’association mis de côté, a déclaré vendredi le Premier vice-Ministre de l’économie, Garegin Melkonian.

    “Je dis “aussi proche que possible“ parce que nous le savons tous, nous avons pris certains engagements d’adhésion avec l’UEE qui font qu’il est impossible de faire revivre toutes les dispositions de l’accord d’association préalablement négocié“, a t-il précisé.

    Melkonian a déclaré que les fonctionnaires arméniens “passent maintenant au crible“ ce projet d’accord et “barrent“ les dispositions qui ne sont pas compatibles avec l’adhésion de l’Arménie à l’UEE. Celles-ci incluent principalement les clauses relatives au libre-échange.

    Melkonian était convaincu que de nombreuses autres dispositions économiques pouvaient être incorporés, concernant notamment la protection de la concurrence et les investissements, les services, la transparence du gouvernement, l’administration des douanes et le « mécanisme » commun pour l’arbitrage économique.

    “Nous avons décidé, en principe, que ces domaines feront partie du prochain accord“, a ajouté Melkonian.

    lundi 1er juin 2015,
    Claire ©armenews.com

    Reprinted with permission from RFE/RL Copyright(c)2007 Radio Free Europe / Radio Liberty, Inc.1201 Connecticut Ave, t N.W. Washington DC 200




http://www.armenews.com/article.php3?id_article=112563

http://www.collectifvan.org/article.php?r=4&id=88977



Les auditeurs de RCF en Arménie: un weekend entre Erevan et Etchmiadzin

RCF.fr

Thierry Lyonnet et la trentaine d'auditeurs de RCF sont bien arrivés à Erevan ce weekend. Leur circuit commence par le mémorial du génocide arménien.

Ce voyage en Arménie, aux sources de la foi chrétienne va durer une semaine. Accompagné par Thierry Lyonnet, rédacteur en chef Foi et Culture, ils vont découvrir un patrimoine architectural somptueux et vivre des temps de rencontre uniques.

Ecouter ICI.

https://rcf.fr/actualite/les-auditeurs-de-rcf-en-armenie-un-weekend-entre-erevan-et-etchmiadzin#.VWxA6346RMk.facebook

http://www.collectifvan.org/article.php?r=4&id=88962


    1. FRANCE/TURQUIE

Militantes kurdes tuées à Paris : les services secrets turcs impliqués ?

France Inter

Vendredi 29 Mai 2015

Le 9 janvier 2013, trois militantes Kurdes étaient abattues au centre d’information du Kurdistan, en plein Paris. Aujourd’hui, le juge a bouclé son enquête. Omer Güney, un Turc de 32 ans, est en détention provisoire. Une possible implication des services secrets Turques avait déjà été évoquée, mais de nouveaux éléments viennent accréditer cette thèse.

Premier élément : un enregistrement dont dispose la justice, dans lequel un homme qui serait Güney, explique à un agent des services secrets turcs comment il compte assassiner un autre militant kurde à Paris. La justice a fait une traduction écrite de cette bande. En voici un extrait :

- L'endroit le plus propice pour un assassinat, c'est les alentours de l'association.

- Quels sont les moyens de fuite ? Tu as vérifié ?

- Oui oui, j'ai vérifié.




Une dissidence au sein des services secrets ?

Le deuxième élément troublant est une confession faite par un ami allemand d’Omer Güney qui est récemment venu le voir en prison. Explications d'Antoine Comte, l'un des avocats des familles de victimes :

Cet ami a reconnu que quand Güney lui parlait de sa "mère" ('Dis à ma mère qu'elle ne sera pas gênée par cette affaire', par exemple), il s'agissait en fait des services secrets turcs.

Reste la question du mobile. Un processus de négociations venait de démarrer entre le pouvoir et les Kurdes. L’hypothèse d’une dissidence au sein des services secrets, qui aurait voulu torpiller ces discussions, reste la plus probable.

L’intégralité de cette enquête, avec de nombreux témoignages édifiants, est à écouter ce vendredi soir à 19h20 dans Secrets d’info sur France Inter.

Par Jacques Monin | 29 Mai 2015 à 07:00

http://www.franceinter.fr/depeche-militantes-kurdes-tuees-a-paris-les-services-secrets-turcs-impliques

http://www.collectifvan.org/article.php?r=4&id=88978



    1. BELGIQUE/TURQUIE

Le programme d’Europalia Turquie dévoilé

La Libre.be



GUY DUPLAT Publié le jeudi 28 mai 2015 à 17h35

Europalia a présenté jeudi 28 mai le programme de son festival biennal qui débutera le 6 octobre, durera quatre mois et évoquera la culture turque dans de nombreux lieux de Belgique. Europalia a annoncé aussi qu’en 2017, le festival suivant sera consacré à l’Indonésie.

Les liens entre la Turquie et la Belgique sont nombreux : grande destination touristique, minorité turque importante en Belgique, la Turquie connaît un développement économique spectaculaire avec la croissance la plus rapide d’Europe. Sur le plan culturel, Istanbul est devenue un haut lieu d’art actuel et Nuri Bilge Ceylan a reçu, en 2014, la Palme d’or à Cannes.

Certes, la Turquie est politiquement sensible avec les questions arménienne et kurde ainsi que la dérive autoritaire et culturellement réactionnaire du président Erdogan. Mais Europalia a démontré avec les festivals Chine et Russie qu’il ne parlait pas politique et se concentrait sur les seuls échanges culturels. Même si, ici, on a tenu compte des Arméniens mais on n’évoquera pas un détail "piquant" qui touche à la culture : la construction à Ankara, par Tayyip Erdogan d’un palais présidentiel mégalomane (200 000 m2, plusieurs fois Versailles, 1150 pièces, un coût de 300 à 490 millions d’euros). Un palais contesté sur les plans architectural, légal (la justice l’a déclaré illégal) et politique, construit par l’architecte belge Sefik Birkiye, avec comme entrepreneur le commissaire général d’Europalia côté turc.



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