Auteurs : Sempé & Goscinny
Traduction : Anaïd Donabédian et Chaghig Meguerditchian
142 pages / couverture souple / Format : 18,2 x 18,7 cm
Prix public : 15 euros
• 6 histoires en arménien occidental
présentées en regard du texte en français
EN 2015, LE PETIT NICOLAS REND HOMMAGE À LA COMMUNAUTÉ ARMÉNIENNE
Voici le célèbre chef-d’œuvre de Goscinny et Sempé, traduit en arménien occidental, langue de la communauté arménienne de France et de la diaspora.
Des milliers d’enfants ont accédé au plaisir de la lecture avec Le Petit Nicolas. Désormais, à l’école ou en famille, ils pourront découvrir les aventures du célèbre écolier en arménien occidental.
Cet ouvrage s’adresse à la fois aux élèves et aux professeurs d’arménien occidental ainsi qu’à tous ceux qui ont à cœur de faire vivre leur patrimoine linguistique.
Le Petit Nicolas de Goscinny et Sempé parle désormais l’arménien occidental et s’inscrit ainsi dans notre collection des «Langues de France».
Cette langue a en effet le même statut que les 75 langues régionales telles que le breton, le corse.
ou le picard, statut qu’elle partage aussi avec les langues de France dites non territoriales.
Vous pouvez commander dès à présent le livre – qui sera disponible dès le 4 mars 2015 – chez votre libraire habituel ou sur Amazon !
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Des milliers d'enfants ont accédé au plaisir de la lecture avec Le Petit Nicolas.
Désormais, à l'école ou en famille, ils pourront découvrir les aventures du célèbre écolier en arménien occidental.
Cet ouvrage s'adresse à la fois aux élèves et aux professeurs d'arménien occidental ainsi qu'à tous ceux qui ont à coeur de faire vivre leur patrimoine linguistique.
http://www.petitnicolas.com/le-petit-nicolas-bientot-disponible-en-armenien-occidental/
http://www.collectifvan.org/article.php?r=0&id=87344
Agenda - Vient de paraître : Micheline Aharonian Marcom "Trois pommes sont tombées du ciel"
Agenda - Vient de paraître : Micheline Aharonian Marcom "Trois pommes sont tombées du ciel" - Collectif VAN -www.collectifvan.org - Un roman mosaïque qui plonge le lecteur dans le secret des consciences et dans les multiples regards témoins du massacre des Arméniens. Dans l’Empire ottoman en guerre, un peuple disparaît. À Kharpert, au sommet d’une colline aride d’Anatolie, entre 1915 et 1917, au plus profond du génocide arménien, des destins se croisent. Anaguil, cachée par ses voisins turcs, tente de sauver les gestes et les paroles de son peuple. Sarkis, l’apprenti poète, amant de la beauté, perd doucement la raison, confiné dans le grenier de sa maison. Le roman est traduit par Georges Festa.
Roman : "Trois pommes sont tombées du ciel"
Auteur(s): Micheline Aharonian Marcom
Collection: Le métier à tisser
ISBN: 978-2-94-0406-99-9
Date de publication: 07.05.2015
Nombre de pages: 288
DESCRIPTION DE L'OUVRAGE
Un roman mosaïque qui plonge le lecteur dans le secret des consciences et dans les multiples regards témoins du massacre des Arméniens
Dans l’Empire ottoman en guerre, un peuple disparaît. À Kharpert, au sommet d’une colline aride d’Anatolie, entre 1915 et 1917, au plus profond du génocide arménien, des destins se croisent. Anaguil, cachée par ses voisins turcs, tente de sauver les gestes et les paroles de son peuple. Sarkis, l’apprenti poète, amant de la beauté, perd doucement la raison, confiné dans le grenier de sa maison. Maritsa, jeune musulmane, voudrait être un garçon. Loussine, la maîtresse du consul des États-Unis, espère l’exil. Et Rachel, qui les a tous connus, raconte sa mort, tout au fond du puits où elle s’est jetée. À travers la mosaïque de leurs récits s’élèvent la poussière des rues, les vapeurs des bains, les cris de stupeur d’une culture en train de mourir. Restent alors les souvenirs et les contes: «Et trois pommes sont tombées du ciel, une pour qui raconte, une pour qui écoute et une pour les oreilles indiscrètes.»
Traduit de l’anglais par Georges Festa.
http://www.metispresses.ch/shop/trois-pommes-sont-tombees-du-ciel/
http://www.collectifvan.org/article.php?r=4&id=88569
Agenda - Écritures de la Shoah : Parution du livre de Catherine Coquio
Agenda - Écritures de la Shoah : Parution du livre de Catherine Coquio - Collectif VAN - www.collectifvan.org – L’Arachnéen est heureux d'annoncer la parution du livre de Catherine Coquio, La Littérature en suspens. Écritures de la Shoah : le témoignage et les œuvres. En librairie à partir du 2 avril.
L’Arachnéen
La littérature en suspens.
Écritures de la Shoah : le témoignage et les œuvres
Catherine Coquio
Ce livre est consacré aux textes de ceux qui ont entrepris de témoigner des camps nazis et de la Shoah en faisant œuvre. Il réfléchit le statut incertain et le caractère tourmenté de ces œuvres qui témoignent d’une forme de «désappartenance» humaine, et cherche en elles les effets de cette scission : quelle tension produit le fait de témoigner d’une rupture anthropologique à l’intérieur du système de valeurs qu’est la «littérature» ? Ce qui a lieu alors n’est pas un adieu à la littérature, ni sa complète disqualification, mais sa crise et sa critique, implicite ou explicite, à la manière d’une mise en «suspens».
«Quand on écrit sur Auschwitz, il faut savoir que, du moins dans un certain sens, Auschwitz a mis la littérature en suspens», disait Imre Kertész en 2002 (L’Holocauste comme culture). On tente ici de comprendre ce «certain sens» et la manière dont il se démultiplie selon les histoires et les aires où ces œuvres ont été produites.
La Littérature en suspens distingue les «Théories et paradigmes» (I) et les «Œuvres» (II), en prenant un double parti : celui d’abord d’historiciser les discours critiques et paradigmes qui se sont développés à ce sujet, en différenciant ce qui s’est joué en Occident et en Europe orientale (URSS et Pologne), selon les expériences historiques, les expériences politiques et leurs horizons culturels d’inscription ; celui ensuite de s’immerger dans certaines œuvres où l’art se voit à la fois requis et rejeté, ou mobilisé et questionné : celles en particulier de trois déportés politiques (David Rousset, Charlotte Delbo, Jean Cayrol), puis d’écrivains juifs rescapés de l’extermination (Etty Hillesum, Piotr Rawicz, Jean Améry, Imre Kertész, Georges-Arthur Goldschmidt, Aharon Appelfeld). La question des rapports entre «témoignage» et «littérature» est ainsi reposée en considérant un corpus plus vaste et différencié que le canon d’où émergent les théories du pseudo «genre testimonial» jusqu’ici mobilisées ; au parti pris d’une philologie critique se joint une approche de type anthropologique attachée à préciser le rapport entre l’acte de témoigner et le jeu de la création, et à comprendre la place du serment et du rituel dans ces écritures sécularisées.
Ce livre montre que l’intégration du témoignage dans la «littérature» s’est faite sur un mode suspensif, schismatique et souvent ironique, dans tous les cas dans une forme de distance dont la signification réclame d’être davantage réfléchie, à l’heure où le supposé «passage de témoins» fait parler d’une «littérature de la troisième génération». Le legs précieux de cette littérature pensante ne doit pas se dissoudre dans notre culture de la mémoire. La conjugaison de l’acte de témoignage et du jeu de l’œuvre créatrice produit une ritualité spécifique, étrangère à toute sacralisation du témoignage en tant que tel. Le livre tente de comprendre le rapport spécifique au sacré qu’élabore cette littérature de la désappartenance, profane et iconoclaste, en se penchant sur les relations complexes inventées pas chaque auteur au monde de la littérature, et, à travers elle, sur les liens entre la terreur mythique associée au passé et l’intensité nécessaire d’une vie à venir.
http://www.editions-arachneen.fr/?p=3173
http://www.collectifvan.org/article.php?r=5&id=86510
Agenda - Génocide arménien: Le Conte de la dernière pensée d'Edgar Hilsenrath
Agenda - Génocide arménien: Le Conte de la dernière pensée d'Edgar Hilsenrath - Collectif VAN -www.collectifvan.org - Le Conte de la dernière pensée s’inspire de recherches sur le génocide de 1915 et la culture arménienne tout en révélant un imaginaire hors norme. Le Conte de la dernière pensée témoigne une nouvelle fois du génie d’Edgar Hilsenrath. L’auteur, survivant de la Shoah, y rend un hommage extraordinaire aux victimes du génocide arménien de 1915.
Avril 2015 - Centenaire du génocide arménien
* Un roman majeur d'Edgar Hilsenrath
* Venue de l'auteur à Paris en avril
Seul texte d'Edgar Hilsenrath à ne pas être directement d’essence autobiographique, Le Conte de la dernière pensée s’inspire de recherches sur le génocide de 1915 et la culture arménienne tout en révélant un imaginaire hors norme.
En 2006, Robert Kotcharian, le président de la République d’Arménie lui a remis le Prix national de littérature. La même année, Hilsenrath a été nommé Docteur honoris causa de l’Université d’État d’Erevan.
Le Conte de la dernière pensée
Edgar Hilsenrath
Traduction : Bernard Kreiss
Parution : 9 avril 2015
Roman | 560 pages | 24 euros
Le livre
Le vieux Thovma Khatisian n’est plus particulièrement séduisant. « Tu es affreux, Thovma Khatisian. Aucune femme ne s’éprendrait de toi, à part ta mère. Tes yeux sont chassieux et rivés au sol. De ta bouche entrouverte s’écoule de la salive puante. » Le pauvre bougre est même sur le point d’expirer. Et il se souvient dans une dernière pensée de sa vie tumultueuse. Né en 1915, durant le génocide arménien, il porte dans sa chair la mémoire d’un peuple décimé...
Le Conte de la dernière pensée témoigne une nouvelle fois du génie d’Edgar Hilsenrath. L’auteur, survivant de la Shoah, y rend un hommage extraordinaire aux victimes du génocide arménien de 1915. Le livre mêle avec virtuosité le tragique et la farce ; il rejoint ainsi par sa puissance les autres romans, désormais cultes, de l’auteur : Nuit, Le Nazi et le Barbier et Fuck America.
Le Conte de la dernière pensée a reçu en 1989 le prix Alfred Döblin.
EDGAR HILSENRATH EN FRANCE EN AVRIL
Né en Allemagne en 1926, Edgar Hilsenrath a connu les ghettos durant la guerre, avant de partir pour Israël, puis pour New York. Ses livres s’inspirent de cette expérience, le plus souvent sur un mode burlesque et satirique. Longtemps écarté par les éditeurs allemands, qui craignent les réactions à son approche très crue de la Shoah, il est d’abord publié aux États-Unis, où ses romans deviennent des best-sellers.
Edgar Hilsenrath sera en France en avril 2015
La bibliographie d'Edgar Hilsenrath est à consulter en cliquant ici.
http://issuu.com/letripode/docs/hilsenrath-publications
http://www.collectifvan.org/article.php?r=5&id=85161
Agenda - À paraître le 2 avril 2015 : Bande dessinée "Le Fantôme arménien"
Agenda - À paraître le 2 avril 2015 : Bande dessinée "Le Fantôme arménien" - Collectif VAN - www.collectifvan.org – Le Fantôme arménien, une bande dessinée documentaire de Laure Marchand, Guillaume Perrier et Thomas Azuélos, aux éditions Futuropolis. Sortie le 2 avril 2015.
Publié le 04 février 2015
"Le Fantôme arménien"
Cette bande dessinée documentaire suit le périple de C. Varoujan, un représentant de la diaspora arménienne, depuis Marseille jusqu'en Arménie, sur les traces de sa famille.
Avec sa femme Brigitte Balian, ils ont interrogé les descendants de rescapés du génocide de 1915, restés en Turquie. Ils racontent leur histoire et aspirent à la reconnaissance de leur identité.
CARACTÈRISTIQUES
Titre : Le Fantôme Arménien
Date de sortie : 02/04/2015
Auteur(s) :Thomas Azuélos, Laure Marchand, Guillaume Perrier
Traducteur(s) : Collectif
Éditeur : Futuropolis
Résumé
« Nous ne devons pas rester figés sur la mémoire. Les vivants sont plus importants que des pierres ou des livres. »
Ce livre propose un état des lieux. C’est l’histoire d’un réveil ou selon les mots de Christian Varoujan, le témoin central du livre, d’un véritable saut dans le réel. Un regard contemporain et authentique sur l’identité arménienne, 100 ans après le génocide.
Pour ce récit de bande dessinée documentaire, Laure Marchand, Guillaume Perrier et Thomas Azuélos ont suivi le voyage de Christian Varoujan Artin, depuis Marseille jusqu’en Turquie, sur les traces de sa famille. Varoujan, 54 ans, vit à Marseille où 10 % des citadins de la cité phocéenne ont des racines en Arménie. Militant, il s’occupe d’animer le centre Aram pour la reconnaissance du génocide et assure la préservation de la mémoire et de la culture de la diaspora arménienne, comme son père et son grand-père avant lui. Il décide de monter une exposition de portraits d’Arméniens en Turquie, pays des bourreaux de ses ancêtres. Avant 2014, Varojan n’avait jamais envisagé d’aller en Turquie, au risque de « piétiner les ossements de ses ancêtres ». Le voyage jusqu’à cet « Auschwitz à ciel ouvert » représentait donc un enjeu très fort pour lui et pour sa femme, Brigitte Balian, qui l’accompagnait. Mais ce n’était pas seulement un pèlerinage.
Varoujan et Brigitte ont également rencontré les descendants des Arméniens qui ont réchappé aux massacres et sont restés en Turquie en 1915. Car aujourd’hui ces Arméniens kurdes, turcs, alévis, musulmans, sortent de l’ombre, racontent leurs histoires et aspirent à retrouver une identité perdue. Le fantôme arménien révèle aussi l’embarras actuel des Turcs d’aujourd’hui, enfants des tortionnaires qui ont reçu en héritage une conscience atrophiée et qui ne « trouveront la paix et ne pourront construire une démocratie que s’ils font face à leur histoire. » Il aura fallu attendre le 23 avril 2014 pour que le Premier ministre turc Recep Tayyoip Erdogan présente les condoléances du pays aux « petits-fils des Arméniens tués en 1915 » lors des massacres qui ont coûté la vie à près d’un million d’Arméniens, sous l’empire ottoman. Un geste hautement symbolique pour Ankara, qui ne reconnait pas le génocide.
Pour obtenir plus de renseignements, veuillez visiter la page officielle du projet su Facebook :
https://www.facebook.com/lefantomearmenien?fref=nf
http://www.collectifvan.org/article.php?r=0&id=85490
Agenda - Bande dessinée/Varto : Arménie, 1915
Agenda - Bande dessinée/Varto : Arménie, 1915 - Collectif VAN - www.collectifvan.org - Le Collectif VAN vous annonce la sortie en librairie du roman graphique Varto de Gorune Aprikian et de Stéphane Torossian, publié par les éditions Steinkis. C'est le récit de deux enfants qui échappent aux massacres et qui prennent la route de l'exode. Leur échappée les conduit jusqu'à nos jours. Dessin et réflexion.
Publié le 27 avril 2015
Steinkis
Varto, par Gorune Aprikian et Stéphane Torossian. Steinkis, 128p., 20€.
Date de parution: 01/04/2015
– Pourquoi on est là ? Chez ces gens ?
– Je ne sais pas. Papa a dit de ne pas s’inquiéter…
– Évitons de parler en arménien ici, Varto.
Avril 1915. La Première Guerre mondiale fait rage.Un adolescent turc, Hassan, se voit confier par son père une périlleuse mission : accompagner en lieu sûr deux enfants arméniens, Maryam et Varto.
Auteur : Gorune Aprikian et Stephane Torossian
Gorune Aprikian est né en 1959, à Paris. Après avoir dirigé un grand groupe de presse de 1994 à 2005, il se consacre depuis à l’écriture et à la réalisation.
Stéphane Torossian est né à Beyrouth en 1974. Après avoir vécu en Jordanie, en Syrie et en Arménie, il s’installe en France en 1985. Il est aujourd’hui artiste peintre et illustrateur.
http://steinkis.com/varto-3-40.html
http://www.collectifvan.org/article.php?r=5&id=88055
Agenda - Hasan Cemal : "1915: Le génocide arménien" aux Éditions Les Prairies ordinaires
Agenda - Hasan Cemal : "1915: Le génocide arménien" aux Éditions Les Prairies ordinaires - Collectif VAN - www.collectifvan.org - Le livre 1915, Le génocide arménien de Hasan Cemal paru aux Editions Les Prairies ordinaires est un retour sur l’histoire du génocide arménien. Hasan Cemal, petit-fils du dernier ministre de la Marine et gouverneur de Syrie en 1916-1918, Djemal Pacha (1872-1922), considéré comme l’un des instigateurs du génocide. Il a choisi de raconter ici son expérience individuelle et familiale. Ce livre, qui a fait grand bruit en Turquie, retrace aussi le parcours d’un homme de gauche qui, d’Erevan aux États-Unis en passant par la France, dans la diaspora arménienne, désire tendre la main et rendre hommage à son ami Hrant Dink, le journaliste à l’origine de ce processus, qui fut assassiné en 2007. Un essai essentiel dans une démarche inaugurée il y a dix ans et qui entend prendre en compte la part arménienne du peuple de Turquie.
publié le 13 avril 2015
Les Prairies ordinaires
1915, Le génocide arménien
Hasan Cemal
288 pages, 23 €
ISBN 978-2-35096-106-4
Editions: Les Prairies ordinaires
traduit du turc par Pierre Pandelé
La déportation et le massacre des Arméniens en 1915, la question de leur reconnaissance et les débats relatifs à l’effondrement de l’Empire ottoman, cette période de la Première Guerre mondiale où les terres impériales ont subi des attaques conjointes de la part des Alliés et de la Russie tsariste n’ont cessé d’agiter la Turquie depuis sa fondation. En 2005, des versions antinomiques de l’Histoire se font face lorsqu’un groupe d’intellectuels turcs se prononce pour la reconnaissance du génocide.
Parmi eux, Hasan Cemal, petit-fils du dernier ministre de la Marine et gouverneur de Syrie en 1916-1918, Djemal Pacha (1872-1922), considéré comme l’un des instigateurs du génocide. Il a choisi de raconter ici son expérience individuelle et familiale. Ce livre, qui a fait grand bruit en Turquie, retrace aussi le parcours d’un homme de gauche qui, d’Erevan aux États-Unis en passant par la France, dans la diaspora arménienne, désire tendre la main et rendre hommage à son ami Hrant Dink, le journaliste à l’origine de ce processus, qui fut assassiné en 2007. Un essai essentiel dans une démarche inaugurée il y a dix ans et qui entend prendre en compte la part arménienne du peuple de Turquie.
TÉLÉCHARGER :
1915, Le génocide arménien - extraithttp://www.collectifvan.org/pdf/12-47-00-13-04-15.pdf
http://www.lesprairiesordinaires.com/1915-le-geacutenocide-armeacutenien.html
http://www.collectifvan.org/article.php?r=4&id=87415
Agenda - À paraître le 1er avril 2015 : "Le génocide arménien : de la mémoire outragée à la mémoire partagée"
Agenda - À paraître le 1er avril 2015 : "Le génocide arménien : de la mémoire outragée à la mémoire partagée" - Collectif VAN - www.collectifvan.org - Cent ans après le génocide arménien perpétré en avril 1915, Michel Marian fait revivre deux histoires singulières et passionnelles, celle des Arméniens et celle des Turcs. Il suit les Arméniens sur le chemin séculaire de leur quête de justice, exigeant la réintégration de leur malheur dans la mémoire universelle. Il retrace le travail difficile mais remarquable qu’une partie du peuple turc a entrepris depuis une décennie pour se réapproprier un passé tragique et coupable. Le livre sera en librairie le 2 avril 2015.
LE GÉNOCIDE ARMÉNIEN
De la mémoire outragée à la mémoire partagée
Auteur(s) : Michel Marian
Éditeur : Albin Michel
Reliure : Broché
Date de sortie : 01/04/2015
Collection : Bibliothèque Albin Michel
Rayon : Histoire / Histoire de l'Europe
Cent ans après le génocide arménien perpétré en avril 1915, Michel Marian fait revivre deux histoires singulières et passionnelles, celle des Arméniens et celle des Turcs. Il suit les Arméniens sur le chemin séculaire de leur quête de justice, exigeant la réintégration de leur malheur dans la mémoire universelle. Il retrace le travail difficile mais remarquable qu’une partie du peuple turc a entrepris depuis une décennie pour se réapproprier un passé tragique et coupable. Il dévoile les surprises, les personnalités, les hasards, les occasions trouvées ou manquées qui ont séparé ces histoires, avant de leur donner une chance de se rencontrer. Peut-on qualifier de génocide un événement antérieur à la création du mot ? Faut-il pénaliser sa négation ? Pourquoi les gouvernements turcs successifs persistent-ils à le refuser ? Faudrat-il attendre encore cent ans pour qu’advienne cette reconnaissance ou y a-t-il aujourd’hui une solution ?
Michel Marian n’esquive aucune difficulté, mais rend accessibles et vivants tous ces débats. Il propose des réponses et ouvre la perspective d’un avenir partagé, tel qu’on peut espérer qu’il se dessine à la fin de cette année de commémoration.
L’AUTEUR
Michel Marian, élève de L’ENS (Ulm) et de l’ENA, agrégé de philosophie est engagé dans la cause de la reconnaissance du génocide depuis trente ans. Il est depuis dix ans un des artisans du dialogue arméno-turc. Il a publié en 2009 avec Ahmet Insel un Dialogue sur le tabou arménien (éditions Liana Lévi), qui est encore une référence pour la forme originale et personnelle choisie.
http://www.albin-michel.fr/multimedia/Documents/espace_journalistes/communiques_de_presse/201504/MARIAN.pdf
http://www.collectifvan.org/article.php?r=5&id=86365
Agenda - Parution/"Jugement à Istanbul" de Taner Akçam et Vahakn Dadrian
Agenda - Parution/"Jugement à Istanbul" de Taner Akçam et Vahakn Dadrian - Collectif VAN - www.collectifvan.org - En 1915, à la faveur de la Première Guerre mondiale, débutait l’assassinat organisé du peuple arménien d’Anatolie. À la fin de la guerre, dans l’Empire ottoman – allié de l’Allemagne – vaincu et occupé, un procès est mené par des tribunaux militaires sur ordre du ihd, qui accuse le pouvoir Jeune-Turc d’avoir organisé intentionnellement ce massacre. Les représentants de ce pouvoir seront condamnés à mort in absentia. Et Mustafa Kemal entre en triomphateur à Istanbul début novembre 1922 tandis que l’État turc n’a jamais, depuis, reconnu sa responsabilité dans ce génocide. Ce livre – pièce capitale versée au dossier de ce que l’on désigne comme le génocide des Arméniens – relate ce procès des dirigeants Jeunes-Turcs tenu en 1919-1920, alors que la plupart d’entre eux avaient pris la fuite. Une page d’histoire minutieusement étudiée par deux chercheurs, l'un turc et l'autre arménien, Taner Akçam et Vahakn Dadrian, publiée aux Éditions de l'Aube à l'initiative de l'AFAJA, Association Française des Avocats et Juristes Arméniens, dans le cadre du Centenaire du génocide arménien.
Publié le 17 mars 2015
Les éditions de l'aube
Jugement à Istanbul
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