Au diable vauvert



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à 20 ans

FEVRIER 2010

Claudine Plas, Boris Vian à 20 ans, document

Louis-Paul Astraud, Gustave Flaubert à 20 ans, document

Jean-Pascal Mahieu, Marcel Proust à 20 ans, document
SEPTEMBRE 2010

Louis-Paul Astraud, Jean Genet à 20 ans, document

Marie Céline Lachaud, Colette à 20 ans, document

JANVIER 2011

Luce Michel, Ernest Hemingway à 20 ans, document

Marie-Christine Jeanniot, Marguerite Duras à 20 ans, document

MAI 2011

Claude Mazauric, Jean-Jacques Rousseau à 20 ans, document

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Anne VAUDOYER

27 rue Ledru Rollin

94200 Ivry sur Seine

06 63 04 00 62



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Au diable vauvert
Collection «à 20 ans»

dirigée par Louis-Paul Astraud
La vie, la personnalité et l’œuvre d’un grand écrivain

à la lumière de ses vingt ans :

une collection de référence pour les 10 ans du Diable !
Hommage à la jeunesse et à notre patrimoine littéraire, une collection qui donne à découvrir

un écrivain sous un angle inédit, celui de sa jeunesse et de l’époque qui l’a vu se former.

Chaque livre éclaire la personnalité en train de se construire,

l’environnement familial et la formation intellectuelle

dans le passage de l’adolescence à la vie adulte.



PRÉSENTOIR

À 20 ANS

6 titres livré vide

ISBN 978-2-84626-255-2



VAU 2369

Les écrivains qui ont marqué leur temps avaient-ils conscience, à 20 ans, de leur talent et de leur ambition, ou n’étaient-ils que des adolescents ordinaires ?

C’est la réponse que se propose de donner la collection « à 20 ans », des portraits d’écrivains majeurs de la littérature lorsque ceux-ci étaient âgés d’environ vingt ans, à cet âge crucial où leur caractère a achevé de se former.

Par un jeu d’allers et retours entre la personnalité des futurs grands écrivains, les moments clés de leur enfance, les particularités de leur époque et leur œuvre à venir, le lecteur en découvre une facette émouvante et un éclairage inédit sur les grands thèmes qui nourriront leur œuvre.

Sont abordés les relations familiales, amicales et amoureuses des futurs écrivains aux alentours de leurs vingt ans, leur style de vie, leur formation intellectuelle, leurs opinions et leurs projets d’avenir, ainsi que l’ambiance de leur époque.

On découvre alors que, pour que ces jeunes gens deviennent plus tard de grands classiques, il fallait d'abord qu’ils soient des originaux. Ces portraits sont aussi les récits de leurs combats et de leur rupture, souvent aventureuse, avec leur milieu et leur temps.

L’idée de cette collection est venue d’un constat simple : on connait assez bien la maturité des auteurs, et plus encore leurs œuvres, alors qu’on ignore souvent comment ils sont devenus ceux qu’ils sont devenus. Leur jeunesse n’est traitée qu’à travers la genèse de leur écriture ou qu’au commencement de longues biographies. Des ouvrages trop fréquemment réservés aux spécialistes.

L’ambition de cette collection est donc de venir combler ce manque auprès du plus grand nombre et de donner l’envie de littérature aux élèves des collèges et lycées.
Ces portraits « à 20 ans » sont rédigés sous forme de récit vivant mais avec une grande rigueur sur les faits,

afin de répondre aux attentes du plus grand nombre de lecteurs possibles :



Le lecteur grand public trouvera instructif et divertissant de se plonger dans les années de jeunesse d’un auteur qu’il apprécie et de découvrir comment celles-ci ont imprégné le reste de sa vie et toute son œuvre.

Le jeune lecteur, lycéen ou étudiant, trouvera dans ces portraits un intérêt pédagogique, et se projettera dans la vie de l’auteur au même âge que lui, démarche ludique et encourageante.

Le lecteur plus averti, fin connaisseur de l’artiste dont il aura choisi de lire le portrait, trouvera quant à lui un intérêt particulier dans l’effet loupe opéré sur la vie de son auteur et les moments clés qui ont présidé à la formation de son caractère.



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Parution le 4 février 2010

Claudine Plas
Boris Vian à 20 ans
 J’avais vingt ans en 1940 


La jeunesse occupée d’un éternel jeune homme





Document

224 pages – 12 €

ISBN 978-2-84626-208-8



VAU 1942

Diffusion CDE-SODIS



Reprenant un leitmotiv de Boris Vian, le livre raconte à la manière d’un récit, le jeune homme que Boris était à 20 ans, avec au cœur du livre la question fondamentale de l'engagement.


De l’exode en juin 40 quand Boris, élève ingénieur quitte à bicyclette l’école Centrale repliée à Angoulême pour tenter de retrouver ses parents, en passant par les surprises- parties de Ville d’Avray, les souvenirs d’enfance, les copains, l’ambiance potache,sa santé fragile, ses premiers émois sentimentaux, la rencontre avec Michelle Léglise (sa première femme) et le Major (son meilleur ami), son mariage, son premier job d’ingénieur, sa passion pour le jazz et les premiers écrits… jusqu’à l’assassinat de son père à la Libération, suivi par la signature de son 1er roman Vercoquin et le Plancton chez Gallimard et par l’écriture de L’Ecume des jours, ce livre découvre une facette de Boris Vian sans doute moins connue, mais qui contient en germe le célèbre auteur, ingénieur, musicien et pataphysicien…. Il décrypte l’enfance et la jeunesse de Boris : son milieu familial, sa formation intellectuelle et artistique, sa vie affective et amoureuse, les zazous et le jazz, le rôle des intellectuels pendant la guerre, et, surtout, ceux qui l’ont marqué. Il éclaire sa personnalité, la naissance de ses multiples talents et la genèse des œuvres qui le rendront célèbre.
Boris Vian est à sa manière représentatif d’une grande partie de sa génération. Non engagé, issu d’un milieu pacifiste et apolitique, le jeune garçon n’a ni les réflexes d’un militant, ni conscience politique. Pour lui la guerre est une aberration qui lui vole sa jeunesse. Se sachant condamné à brève échéance par une maladie de cœur, il rejette la morbidité de son époque et semble ignorer les drames qui se jouent autour de lui, refusant d’y prendre part. L’esquisse d’autres portraits permet de croiser les destins d’autres jeunes de son âge et de comprendre en quoi Boris est à la fois différent et très proche. Cette génération qui a eu 20 ans en 40 ne ressemble à aucune autre : à la libération, elle croit aux lendemains qui chantent, a soif d’innovation dans tous les domaines, (modes de vie, politique, musique, progrès technique, littérature…), que Vian défrichera en visionnaire précurseur et critique à travers ses livres et chansons.
Née en 1957, diplômée de l’Institut d’Etudes Politiques de Paris, Claudine Plas est éditrice de musique (chansons et musiques actuelles) et productrice de spectacles, avec sa société Plas & Partners Productions.



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Parution le 4 février 2010

Louis-Paul Astraud
Gustave Flaubert à 20 ans
Un vieux garçon


Le portrait d’un jeune homme déchiré entre ses deux natures :

jovial, bon-vivant et séduisant, mais aussi tourmenté,

obsédé par la mort, et perpétuel insatisfait.






Document

168 pages – 12 €

ISBN 978-2-84626-226-2



VAU 2138

Diffusion CDE-SODIS




Gustave Flaubert à 20 ans ne ressemble pas du tout à l’image que l’on se fait de lui aujourd’hui. Loin d’être un jeune homme isolé qui écrit avec peine, il est un fougueux adolescent qui veut vivre des aventures et écrit avec une facilité déconcertante. Presque trop.
A l’âge du baccalauréat, Gustave Flaubert vit ce que l’on pourrait appeler une sérieuse crise d’adolescence. Sous l’influence de son meilleur ami de cinq ans son aîné, le gentil collégien s’est mué en un lycéen qui boit, fume et à évoque à tout bout de champ ses virées au bordel. Son père, le médecin le plus en vue de Rouen, pourrait lui pardonner ces incartades si Gustave ne trouvait pas le moyen de se faire renvoyer du lycée pour indiscipline six mois à peine avant le bachot. Il lui promet de réussir l’examen en candidat libre. Pari tenu ! Son père le récompense par un voyage en Corse. Sur le chemin du retour, il se laisse séduire par une femme qui a quinze de plus que lui. Son initiation lui laisse un goût amer, elle vient rabaisser la belle image qu’il se faisait de l’amour, en particulier de celui qu’il ressent pour la belle Elsa Schlesinger. C’est que, durant toute sa jeunesse et malgré ses fanfaronnades, Flaubert est un romantique qui vit passionnément. La vie n’est jamais à la hauteur de ses aspirations. Il se réfugie dans l’écriture qui est alors un exutoire pour ses angoisses existentielles. Obligé par son père de suivre des études de Droit, il en est libéré par une mystérieuse maladie nerveuse. A la mort de son père, alors qu’il est âgé de 24 ans, plus rien ne s’oppose à ce qu’il se consacre à sa vocation littéraire et réconcilie en elle son goût pour l’extravagance et son profond désespoir.
La rencontre avec Marie Arnoux (l’héroïne de L’Education sentimentale), la description des plaisirs amoureux de Madame Bovary de même que son suicide, l’attrait pour l’Orient de Salammbô, ou encore la fascination pour la tentation de Saint Antoine, en un mot l’ensemble de l’œuvre littéraire de Flaubert, tout cela était déjà en germe dès sa jeunesse. Il fallut seulement du temps, une quinzaine d’années de travail quotidien, pour qu’il parvienne à domestiquer son écriture et donner naissance à ses chefs d’œuvre. Il fit ainsi mentir tardivement sa réputation, notamment dans sa famille, d’habitué à l’échec par paresse et à laquelle lui-même avait fini par croire par pessimisme. Il fit preuve pour cela d’une volonté qui confine à l’obstination.

Lire Gustave Flaubert à 20 ans, c’est découvrir la genèse des grandes œuvres de l’auteur mais c’est surtout découvrir que réconcilier les deux Flaubert qui cohabitaient en lui, l’amuseur plein de joie de vivre et l’angoissé pessimiste convaincu de l’inanité de l’existence, fut le grand défi de sa jeunesse. De ce premier succès dépendait tous les autres.


Né en 1979, après un cursus universitaire qui le conduit en hypokhâgne, khâgne, Licence d’Histoire, Sciences Po Paris, puis en DEA de Sociologie, il publie un essai sociologique sur les jeunes prêtres. Journaliste multimedia depuis 2004, il dirige la collection « à 20 ans ».


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Parution le 4 février 2010

Jean-Pascal Mahieu
Marcel Proust à 20 ans
Le temps de la recherche


Le combat du jeune Marcel pour pénétrer les salons les plus mondains

contre son père qui veut lui imposer une carrière :

il ne vivra que par et pour la littérature.




Document

168 pages – 12 €

ISBN 978-2-84626-227-9



VAU 2141

Diffusion CDE-SODIS






À 20 ans, on le voit chez Madame Arman de Cavaillet, chez Mme Strauss, chez Madame Lemaire ; il y croise Anatole France, Dumas fils, Maurice Barrès, les Daudet mais aussi les grands noms de l’aristocratie : la comtesse de Chevigné, le comte de Montesquiou, le comte de Turenne ou encore la princesse Mathilde. Dans les comptes-rendus mondains que donnent les journaux, son nom est de plus en souvent cité.
Mais comment diable a fait le jeune Marcel Proust pour s’introduire dès ses vingt ans dans les salons les plus mondains de Paris ? Il part pourtant avec de sérieux handicaps pour mener une vie mondaine. Son père est le fils d’un épicier de village. Sa mère appartient à une famille juive. A une époque et dans un milieu qui entretiennent le culte de la naissance, et à quelques années à peine de l’affaire Dreyfus, il s’agit là de deux péchés originels qui semblent irréparables. Et puis Marcel est victime d’une santé fragile. Comment ne pas passer pour un fâcheux quand on porte en permanence même en été une écharpe et un épais manteau ? Mais il y a pire : un goût si prononcé pour les garçons qu’il ne cherche pas dans sa jeunesse à le cacher et qu’il en parle souvent avec ses parents. L’heure n’est pas encore à l’acception amusée de l’homosexualité.
On croit que le jeune Proust manque de volonté, qu’il se laisse vivre. Erreur. Il en fallait au contraire beaucoup pour vaincre ses handicaps, et plus encore pour s’opposer à son père qui veut lui imposer un travail. Pour lui échapper, la technique de Marcel est le repli stratégique : le premier d’entre eux est son engagement inattendu dans l’armée. Une manière de gagner une année, une décision difficile à prendre pour cet asthmatique qui n’a jamais quitté sa mère plus d’une semaine ; il sera avant-dernier au classement de son régiment. A son retour, il se lance à corps perdu dans les études : les Folies Bergères, l’Alcazar, l’Odéon… Il est nommé bibliothécaire dans une bibliothèque où il ne mets jamais les pieds : il a gagné, ses parents le laissent tranquille, il peut enfin se consacrer uniquement à sa vocation littéraire.
Des salons à l’écriture 

On a parfois l’impression que Marcel Proust a passé une jeunesse dorée de dilettante et que soudainement, une fois la trentaine passée, il fut comme touché par la grâce littéraire qu’il lui permit d’écrire son chef d’œuvre : La Recherche du Temps perdu. Ce portrait de Marcel Proust à 20 ans permet de mesurer au contraire la continuité qui existe entre le jeune Marcel fasciné par les salons et le Proust de la maturité qui les dissèque avec ironie. Les femmes et les hommes du monde qu’il a rencontrés durant sa jeunesse Belle Epoque étaient déjà des personnalités, il en fera ses personnages.


Né en 1959, Jean-Pascal Mahieu a été avocat pendant vingt ans puis chef d’entreprise. Il se consacre aujourd’hui au conseil aux entreprises familiales.





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Parution 16 septembre 2010
Louis Paul Astraud
Jean Genet à 20 ans
Une jeunesse perdue

Fugueur, mendiant, voleur, prostitué, déserteur… La jeunesse de Jean Genet est une longue dérive de maisons de correction en prisons.

Les autres avaient cru pouvoir décider de sa vie,

il ira à l’envers de toutes les règles pour accomplir librement son destin.





Document

168 pages – 12 €

ISBN 978-2-84626-252-1



VAU 2327

Diffusion CDE-SODIS






A 20 ans, Jean Genet est caporal dans l’armée de terre. Plus tard, soucieux de sa légende, il fera croire qu’il n’a été militaire que quelques jours. Faux. Son engagement représente presque sept ans de sa vie, de 18 à 25 ans. Il voyage (Syrie, Maroc) mais surtout il lit, il acquiert la formidable culture qui permettra son œuvre dix ans après. Sans éducation depuis des années, il a beaucoup de retard à rattraper.


En effet, abandonné à six mois, Jean est un enfant de l’Assistance publique, placé dans une famille d’accueil dans le Morvan. Il aime apprendre et est reçu premier au certificat d’études. L’Assistance publique n’envisage pourtant pas de faire de lui autre chose qu’un ouvrier. A 13 ans, elle lui propose d’apprendre à fabriquer des livres ; lui voulait déjà en écrire. Jean commet sa première fugue. Il disparaît deux mois. On soupçonne une affaire de mœurs, avec un homme. Un député s’en mêle. A son retour, il est placé chez un chanteur, il le vole. On le place en internement psychiatrique, il s’échappe. Il est envoyé trois mois en prison. On l’envoie dans une verrerie, il quitte la ville. Cette fois la justice ordonne son maintien en liberté surveillée dans la maison de redressement de Mettray. Il en fera le paradis perdu de sa jeunesse. Faux encore. La vérité est qu’il cherche par tous les moyens à s’en échapper. Pour cela il s’engage dans l’armée. Il quittait une prison pour une autre. Son désir de liberté absolue ne pouvait souffrir que la désertion comme échappatoire, c’est chose faite à 25 ans ; il n’est plus de retour possible.
Des sources inédites.

Fondé sur une lecture inédite des archives de l’Assistance publique, croisée avec l’œuvre d’inspiration autobiographique de Jean Genet, ce portait vient éclairer de vastes zones d’ombre sur l’écrivain, sa formation intellectuelle et ses aventures de jeunesse. Faisant en permanence la part des choses entre le mythe et la réalité, mettant en relation les événements marquants de son adolescence avec ses premières œuvres (Notre-Dame-des-Fleurs, Miracle de la rose, Journal du voleur, et même Pompes funèbres), il permet de comprendre comment un enfant abandonné, élevé dans un petit village reculé de campagne, est devenu l’un des écrivains majeurs du xxe siècle.



Le livre est publié pour le centenaire de sa naissance.
Né en 1979, après un cursus universitaire qui le conduit en hypokhâgne, khâgne, Licence d’Histoire, Sciences Po Paris, puis en DEA de Sociologie, Louis-Paul Astraud publie un essai sociologique sur les jeunes prêtres. Journaliste multimedia depuis 2004, il dirige la collection « à 20 ans ».





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Parution 16 septembre 2010
Marie-Céline Lachaud
Colette à 20 ans
Une apprentie pas sage


Ou comment une petite provinciale entre par effraction en littérature

à l’orée du xxe siècle.



Document

168 pages – 12 €

ISBN 978-2-84626-253-8



VAU 2330

Diffusion CDE-SODIS







Rien ne prédestinait Gabrielle Colette à devenir écrivain. Ses parents, Jules et Sidonie Colette, des notables de provinces, avaient pour elle d’autres desseins : lui faire faire un beau mariage. Mais les revers de fortune, dus aux inconséquences de son père, contrarièrent ce destin. A 18 ans, elle se retrouve sans dot, exilée loin de la maison où elle a grandi, dans un village étranger, à accompagner son frère Achille dans ses tournées de médecin de campagne.

La chance voudra que Henry Gauthier Villars, surnommé Willy, un critique littéraire parisien en vogue, bambochard et de 15 ans son aîné, la rencontre à Chatillon, où elle habite, pour que sa vie bascule.


Elle a 20 ans, un visage mutin, un regard effronté, et elle est follement amoureuse. Willy l’épouse et l’emmène à Paris. S’il lui ouvre la porte du monde des arts et des salons parisiens, il la néglige et la trompe. Pour dompter sa jalousie et aussi par défi, elle s’enrôle dans les ateliers d’écriture de Willy, qui signe sous son nom des livres légers rédigés à la chaîne par des nègres. Ainsi naît Claudine à l’école, d’après les souvenirs d’enfance de Colette, qui sort en 1900 et devient aussitôt un succès sans précédent. Dans ce récit truffé de patois, de scènes salaces et d’odes païennes à la nature, Colette, avec une cruauté insouciante et l'aide de Willy, règle ses comptes - sans se dévoiler puisque c’est lui qui signe - avec le village de son enfance qui a humilié sa famille.

Elle se lasse bientôt de ce cache-cache littéraire qui fait d’elle le nègre à succès de Claudine à Paris, Claudine en ménage et autres et n’aura de cesse que de se dégager de l’emprise de Willy pour construire une œuvre, la sienne. Elle racontera son enfance idyllique dans La Maison de Claudine, La Retraite sentimentale, sa mère adorée dans Sido, puis le vilain Willy dans Mes apprentissages. Mais est-il vrai qu'elle été enfermée par Willy pour écrire? A-t-elle été aussi adorée par sa mère qu’elle le dit ?


En relisant les œuvres de l’écrivain et en les mettant en relation avec sa vie et ses différentes correspondances, apparaît en creux une Gabrielle jalouse de l’amour de sa mère pour son frère Achille, « l’ainé sans rivaux », et un Willy sensible et amoureux de sa « gamine ».

La jalousie amoureuse que Colette a éprouvée pendant toute sa vie n’est pas sans liens avec cette enfance dévorée par un amour idéalisé pour sa mère et qui a donné naissance à des œuvres parmi les plus sensuelles et poétiques du xxe siècle.




Née en 1947, Grand Prix de l’Académie Charles Cros, Marie Céline Lachaud est auteur de théâtre, de théâtre musical, et interprète. Ses œuvres sont jouées en Europe, aux USA et au Canada.







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Parution 13 janvier 2011
Luce Michel
Ernest Hemingway à 20 ans
Un homme blessé


À 20 ans, les nouvelles d’Ernest sont refusées partout. Jeune homme épris d’action, il quitte les États-Unis pour le front de la Grande Guerre. Il y fait les expériences décisives de la mort et de l’amour. À son retour, plus rien ne sera jamais comme avant. Sauf la nécessité d’écrire.



Document

168 pages – 12 €

ISBN 978-2-84626-287-3



VAU 2574

Diffusion CDE-SODIS



La première guerre mondiale : le temps de la désillusion

1917. Ernest Hemingway, journaliste d’à peine 18 ans, rêve d’engagement. Il veut participer à la guerre qui ravage l’Europe. Il la connaît par les récits de son grand-père. Il s’agissait alors de la guerre de Sécession. Pour lui, agir ainsi c’est affirmer ses idéaux de bravoure et de virilité. À Oak Park, la banlieue chic de Chicago où Ernest a grandi - son père est médecin, sa mère donne des cours de chant -, ces mots ont un sens profond. Il découvre le front l’année suivante comme auxiliaire de la Croix-Rouge. Il est grièvement blessé et passe huit mois dans un hôpital milanais. Fou amoureux de son infirmière, il transposera leur histoire et la blessure qu’elle lui laisse dans A Very Short Story et L’Adieu aux armes.

Son retour est une nouvelle souffrance : le décalage entre « l’arrière » et le front le frappe de plein fouet. Et surtout, il n’est pas un héros. Soldier’s home, nouvelle parue dans In Our Time, se fera l’écho de ces difficultés.

La vie reprend pourtant son cours, difficilement. D’autant que les rapports entre Ernest et sa mère, Grace, se dégradent. Il lui en veut, la rend responsable du mal-être de son père. Et puis ses parents le pressent de choisir une carrière. Il recule, rechigne. Il sera écrivain. En attendant, il pêche, s’amuse, profite pleinement de l’été avec sa bande d’amis. Mais Grace ne lâche pas prise. Pour elle, l’amour d’une mère pour son fils est comme un prêt bancaire. Ses parents souhaitent maintenant être remboursés de leur investissement. Ernest n’est pas prêt à régler sa dette ? Elle lui ferme sa porte.



Chicago, Paris, le temps de la formation

Il part pour Chicago au début des années 1920, celles du jazz, de la prohibition, des règlements de compte. Un nouveau monde. Cet hiver-là, Ernest rencontre Sherwood Anderson, qui lui conseille d’aller à Paris, et tombe amoureux de Hadley Richardson, sa première femme. Un an après, ils emménagent à Paris. Il est le correspondant du Toronto Star et voyage, interviewant Mussolini et Clemenceau, couvrant la guerre turco-grecque. Il fait la connaissance de Fitzgerald, de Dos Passos, découvre l’Espagne et les corridas. C’est surtout, à 26 ans, la publication de son premier recueil : In Our Time. La formation est finie. L’homme blessé réussit à trouver dans l’écriture un moyen de panser ses plaies, de réécrire l’histoire comme elle aurait peut-être dû se produire. Il y aura d’autres guerres, d’autres femmes, d’autres lieux, mais tous les thèmes chers à l’auteur sont inscrits dans ce premier volume de nouvelles : la rupture, la perte, le mariage comme emprisonnement, la paternité comme gêne et la mort, omniprésente.
Luce Michel est journaliste et traductrice. Elle a publié une enquête sur les femmes de détenus et des romans policiers. Elle vit actuellement à Miami, aux États-Unis.




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Parution 13 janvier 2011
Marie-Christine Jeanniot
Marguerite Duras à 20 ans
L’amante


Pour Duras, avoir 20 ans, c’est quitter sa mère, l’Indochine, son frère Paul et son amant chinois. C’est retrouver Paris, où elle a passé la première partie de son baccalauréat. Commencent alors les années les moins connues de sa vie,

celles de ses études et de son amour immodéré pour les hommes.

Celles durant lesquelles elle va asseoir son indépendance et sa carrière d’écrivain.



Document

168 pages – 12 €

ISBN 978-2-84626-286-6



VAU 2587

Diffusion CDE-SODIS


« Ce n’est pas qu’il faut arriver à quelque chose, c’est qu’il faut sortir de là où on est ! » (L’Amant)

A 20 ans, en 1934, Marguerite Donnadieu sait qu’elle ne veut pas retourner d’où elle vient : l’Indochine. Pour elle, l’avenir est en métropole. Douée pour les études, mal-aimée par une mère veuve dépassée par une vie difficile et deux fils rétifs, c’est Marguerite, la petite dernière qui, débarquée à Paris, commence à réussir ce que ses parents ont raté en Indochine : conquérir respectabilité, sécurité et fortune. C’est elle, l’émancipée, inscrite à l’université, qui va paradoxalement restaurer l’honneur familial en s’installant dans la bonne société parisienne. Elle fréquente des gens de droite, mène joyeuse vie. À son arrivée à Paris, la jolie jeune fille échange-t-elle ses faveurs contre un peu d’aisance matérielle ? Elle aime les hommes, intelligents de préférence. Très vite, elle fera les rencontres décisives de sa jeunesse : Jean Lagrolet, son premier compagnon, puis Robert Antelme, qui deviendra son mari.


Écrire, veut-elle.

Paradoxalement, la jeune fille, qui remplit ses carnets d’écriture intimes auxquels elle accorde la plus haute importance, n’engage pas d’études littéraires mais économiques et juridiques. Aux révisions, elle préfère les week-ends avec sa bande d’amis, à Trouville, déjà. Licenciée en droit, elle trouve un emploi au ministère des Colonies. Cette petite ambitieuse ne déplaît pas au nouveau ministre George Mandel qui, en 1939, lui commande un ouvrage destiné à vanter les vertus des colonies, réserves de soldats. Le livre, cosigné, est publié chez Gallimard. Il lui ouvrira les portes de l’illustre maison. À moins de trente ans, comme elle en rêvait, elle voit son nom sur une couverture. Mais Marguerite sait qu’elle vaut plus que cela. C’est sur des coins de table qu’elle griffonne l’ébauche de son premier roman, Les Impudents : il plonge dans sa vie personnelle, ses élans, ses peurs, ses amours ; et est situé dans la région natale de son père, les collines de Duras : patronyme qu’elle choisira pour enraciner en France l’écrivaine qu’elle a juré de devenir. La guerre va lui ouvrir les yeux sur ses propres valeurs. En 1944, elle s’engage politiquement et commence à laisser ressurgir son passé indochinois. Entre amour, passion et solitude travailleuse, Marguerite dessine son style. Elle a compris que c’est sur le terreau de son histoire familiale que va éclore son génie.


Marie-Christine Jeanniot est historienne de formation et journaliste. Spécialiste des questions éducatives, elle a travaillé à Bayard Presse, à l’hebdomadaire La Vie et pour la revue Enseignement Catholique Actualités. Elle a écrit l’histoire de Marie-Danielle Pierrelée, (Seuil, janvier 2000): L'insurgée. Histoire d'un proviseur qui veut réconcilier l’école et les élèves.




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Au diable vauvert

Parution 29 avril 2011
Claude Mazauric

Jean-Jacques Rousseau à 20 ans

Un impétueux désir de liberté
À la veille des commémorations officielles du tricentenaire de la naissance de Rousseau

dès juin 2011 à Genève, en Savoie, à Lyon, Paris et partout en Europe,

le récit de sa jeunesse aventureuse au siècle des lumières :

le roman de formation d’un homme dont la pensée rayonne toujours sur le monde.




Document

168 pages – 12 €

ISBN 978-2-84626-298-9

VAU 2705



Babeuf Ed. sociales

77.000 ex
Histoire de la France contemporaine

35.000 ex
Vive la révolution

Ed. sociales

23.000 ex


Comment devient-on l’un des plus grands philosophes du Siècle des Lumières, l’un de ceux qui ont rendu possible la Révolution française, un précurseur du romantisme et de la démocratie ? On s’attend à ce que Rousseau ait reçu l’éducation nécessaire à l’élaboration de sa prodigieuse culture et de ses réflexions. Pas du tout ! Durant son adolescence, Rousseau s’est formé à travers une aventure intellectuelle, vagabonde et multiple.

Né en 1712 à Genève, il est élevé de façon désordonnée par un père fantasque, né d’horlogers genevois, qui, contraint de fuir Genève, y abandonne son fils de 12 ans à un oncle, puis à un pasteur. Jean-Jacques fait la découverte de la nature, du latin, de la religion et connaît là ses premiers émois. Mais à peine âgé de 14 ans, il lui faut apprendre un métier. Apprenti chez un graveur sévère, il préfèrera s’enfuir et tenter sa chance sur les routes de la Savoie voisine. Seul, sans argent, sans ami, sans appui, que peut-il devenir ?

Il abjure sa religion réformée et se convertit à la religion catholique romaine. Il y gagnera l’aide et la protection de Mme de Warrens, de quinze ans son aînée, qu’il appellera "Maman" et sera son amante. Auprès d’elle, il va parfaire son éducation par les lectures, la musique, la discussion, l’apprentissage des savoirs. Deviendra-t-il prêtre, maître de musique, précepteur, diplomate, écrivain ? Il s’essayera à ces différentes carrières mais ne poursuit qu’un but : s’instruire de tout, apprendre toujours, y compris dans les sciences et la philosophie, pour mieux connaître les autres, pour mieux se connaître lui-même.
« L’œuvre de Rousseau est de celles qui ont contribué à modifier le cours de l’Histoire. « Nous avons tous en nous quelque chose de Jean-Jacques Rousseau » : l’amour de la liberté qui est le choix de notre indépendance personnelle dans la vie sociale, la passion de l’égalité et de l’équité, la volonté de comprendre ce qui nous meut.

Mon livre est un récit coloré, curieux de tout, délibérément enjoué. Il raconte comment Jean-Jacques est devenu Rousseau, le philosophe et l’écrivain le plus célèbre et le plus influent du Siècle des Lumières. J’y accompagne le jeune homme tout au long d’un parcours à la fois sentimental, musical, philosophique et scientifique, de Genève à Lyon et Paris, en passant par Annecy, Turin, Chambéry, la Suisse et la France de l’est. C’est à travers ces errances, que le « Citoyen de Genève », comme il s’auto désignait, est devenu le penseur universel et critique de la démocratie. J’ai mis à profit ma longue fréquentation de l’œuvre de Rousseau et ma connaissance du XVIIIe siècle et de la Révolution française, pour suivre de près un itinéraire initiatique de trente années, plein de rebondissements, de sensations vives, de découvertes. En l’écrivant, j’ai pensé à tous les jeunes qui auront à lire du Rousseau mais aussi à tous ceux qui veulent simplement découvrir comment, dans l’ancienne Europe, on pouvait sortir d’un milieu d’horlogers protestants dans une ville moyenne des bords d’un lac subalpin, pour en arriver à subjuguer une grande partie de l’opinion dans le principal Etat de l’époque, le Royaume de France, et de ce fait, orienter par ses idées le destin de nombreuses nations.

Mon ouvrage n’a pas d’autre fin que de plaire en instruisant. » C. Mazauric

Né en 1932 à Thonon-les-Bains, Claude Mazauric est un historien spécialiste du XVIIIe siècle. Il est notamment l’auteur de nombreux ouvrages parmi lesquels: Babeuf et la conspiration pour l'égalité, Éditions sociales, 1962 ; Babeuf. Ecrits, Le Temps des Cerises, 2009 (4ème édition), Sur la Révolution française, Éditions sociales, rééd.1988, Jacobinisme et révolution, rééd.1988 ; plus récemment L'histoire de la Révolution française et la pensée marxiste, PUF, 2009, et une biographie d’Albert Soboul en 2004 (Ed. d’Albret).



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