C nrs umr5600 environnement



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C

NRS UMR5600


ENVIRONNEMENTVILLESOCIÉTÉ
18, rue Chevreul — 69362 Lyon Cedex 7

Tél : 04 78 78 75 44 – Fax : 04 78 78 71 85 – http://umr5600.univ-lyon3.fr




Compte-rendu




CONSEIL DE LABORATOIRE



lundi 4 juin 2012

9h – 17h

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Présents :

Marie Augendre, Emmanuelle Boulineau, Elisabeth Chesneau, Thierry Coanus, Samuel Depraz, Catherine Guillot, Anne-Laure Gras, Yanni Gunnell, Anne Honegger, Christine Jacqueminet, Saïda Kermadi, Pierre-Olivier Mazagol, , Christelle Morel-Journel, Céline Patouillard, Hervé Piégay, Pauline Texier, Jean-Yves Toussaint, Marie-Laure Trémélo, Justine Ultsch, Sophie Vareilles, Lise Vaudor, Vincent Veschambre, Vincent Wawrzyniak.



Excusés :

Sébastien Ah-Leung, Jean-François Berger, Olivier Brette, Jean-Baptiste Delaugerre, Hugo Delile, François Duchêne, Nicolas Escach, , Hélène Guetat, Y, Lydie Kowet, Norbert Landon, Isabelle Lefort, Emmanuel Martinais, Luc Merchez, Bertrand Morandi, Eric Verdeil,.



Invités

Sandy Artero, Patrick Gilbert, Thomas Tailpied.



Invités ENMSE :

Jacques Bourgois, Patrick Burlat, Christian Brodhag, Essaid Bilal, Christophe Pijolat, Jean-Luc Bouchardon, Jacques Moutte, Olivier Faure, Sandrine Berger-Douce, D. Garcia, A Badea, F Dujardin, J Villot, F Jaujard




Ecole Nationale Supérieure des Mines de Saint-Etienne

158, cours Fauriel — Saint-Etienne




  • Ouverture de la séance du Conseil de laboratoire
    Philippe Jamet, Directeur de l’Ecole nationale des Mines de Saint-Etienne accueille les participants au conseil de laboratoire et ouvre la séance.




  • Présentation de l’EMSE
    Intervention de Didier Bernache, Directeur adjoint chargé de la Recherche (EMSE). Il présente l’Ecole, le réseau des Ecoles des Mines, l’institut Carnot national M.IN.E.S., ARMINES, structure de droit privé (assistance juridique, brevets, recrutement de personnels), les Centres de formation et de recherche (voir présentation powerpoint).




  • Présentation de la future nouvelle composante de l’UMR 5600
    Didier Graillot présente « Géoscience-Environnement », Patrice Burlat présente « Performance industrielle et environnementale » et Christian Brodhag présente « Performance, Innovation, Changement en entreprise » les trois axes de recherche de la prochaine composante de l’UMR 5600. (voir présentation powerpoint, voir également le projet d’accord de partenariat)
    Didier Graillot détaille les collaborations existantes suite à la rencontre avec les équipes de notre UMR.

    Le projet d’accord de partenariat est présenté, avec les projets de collaboration possible avec l’UMR, en particulier leur insertion dans le projet scientifique du laboratoire. Le souhait sinon l’intention de l’Ecole des Mines est de faire en sorte que l’intégration de l’Equipe GPE puisse se faire à mi-parcours, suivant en cela celui des autres unités de recherche de l’EMSE dans la même situation. Les tutelles actuelles de l’UMR ainsi que l’Institut Ecologie Environnement doivent être interrogés sur ce point. Il serait même possible que l’intégration se fasse rétroactivement, au 1er janvier 2011 (date du début du quadriennal).




  • Présentation des travaux d’un doctorant EMSE
    Jordan Ré-Bahuaud présente ses travaux de thèse : « Approche hydrogéologique et géochimique pour la connaissance du fonctionnement des aquifères superficiels ».




  • Présentation des travaux de Pauline Texier
    Pauline Texier présente ses travaux (voir powerpoint).


- Déjeuner -





  • Débat demandé par les doctorants sur la durée des thèses

Suite à une enquête réalisée par leurs représentants auprès des doctorants de l’UMR, il ressort que la question de la durée des thèses pose problème. Une durée supérieure à 3 ans est courante et s’explique généralement par les modalités de financement. Rares sont ceux en effet qui disposent d’une allocation leur permettant de consacrer tout leur temps à leurs recherches, la plupart des financements supposent une activité en parallèle (CIFRE, enseignement, activités annexes). Au-delà, le balisage du sujet, plus ou moins fondamental, les exigences variables selon les disciplines, le projet d’après-thèse (académique ou non, avec injonctions spécifiques telles que des tâches administratives) sont autant de facteurs qui expliquent également des durées constatées entre quatre et cinq ans.

L’UMR a-t-elle une politique claire ? Comment mettre en place un suivi qualitatif ? Une idée pourrait être qu’un comité de thèse statue et démine la question de l’inscription en 4e année. L’UMR peut-elle généraliser un tel système ?

Pour l’ED 483, l’inscription est de droit en 4e année, à discuter en 5e année et pour la 6e année quasi exceptionnelle.

Un débat s’ensuit :



  • JY Toussaint évoque la possibilité d’élargir le système des comités de thèses à l’ensemble des doctorants de l’UMR, en veillant à les ouvrir à l’extérieur de l’UMR pour en limiter la consanguinité. Pour ce qui est de la règle des trois ans, il faut tenir compte des contraintes et se préserver des œillères : cette règle a pour conséquence par exemple de priver les enseignants du secondaire de la possibilité de faire une thèse ce qui est préjudiciable à l’amélioration de la qualité globale de l’enseignement secondaire.

  • Yanni Gunnell cite un entrefilet paru dans Nature où il est montré que les thèses européennes en 3 ans ne sont pas tout à fait au niveau. Il faudrait faire remonter vers l’AERES tous ces dysfonctionnements pour faire évoluer les critères.

  • Le taux d’abandon des thèses en SHS serait de l’ordre de 60% ce qui est énorme. (source : chiffres du Ministère parus en 2002) :




  • Philippe Jamet rappelle les critères de la structuration des études universitaires et ses conséquences : LMD = 3 // 5 // 8, ce qui constitue l’un des critère de performance des établissement…

  • Cette fixation sur une durée de 3 ans est d’autant plus bizarre que l’on a aujourd’hui les moyens de financer des durées plus longues sur contrat.

  • une durée des thèses plus courtes en sciences dures peut aussi s’expliquer par le rôle des collectifs de recherche, beaucoup plus importants qu’en SHS où la tradition du travail isolé est davantage répandue. Philippe Jamet s’étonne que l’on puisse envisager de faire une thèse en électron libre : une thèse c’est une formation à la recherche, ce qui rend le compagnonnage quasi obligatoire.

  • Il faut savoir laisser un peu de liberté dans le choix des sujets : la découverte se fait parfois aux marges, les sujets « libres » ont aussi leur utilité.

  • Il faut que l’UMR se donne les moyens de connaître la situation actuelle exacte des doctorants, faute de quoi la remontée d’une motion perdra en crédibilité.

  • La position de l’ED est délicate : un moins bon taux de réussite par rapport aux autres ED (une durée moyenne largement supérieure à celle des sciences dures) conduit à une baisse de l’enveloppe des bourses.

  • A l’heure actuelle, l’ED n’est pas en mesure de produire une liste complète des doctorants inscrits à l’UMR 5600. La visibilité des inscriptions en 2e et 3e année est difficile : elle ne donne pas lieu à une validation du dossier par la direction du laboratoire. On ne revoit les dossiers qu’à partir de l’inscription en 4e année, ce qui est un peu tard s’il y a des problèmes graves.

  • Il est proposé que les représentants doctorants préparent la rédaction d’une motion. Elle sera ensuite transmise à l’Ecole doctorale, aux conseils scientifiques des établissements, au PRES ainsi qu’aux autres écoles doctorales de l’Université de Lyon.



  • Colloque transversal UMR 5600 EVS

L’INEE organise son colloque de prospective les 24-25-26 octobre à Aix. Y participer serait une bonne chose de façon à anticiper le futur projet de l’UMR. Il est prévu d’organiser un colloque transversal de l’UMR en 2013.

IL s’inscrira dans la logique du séminaire 2009 qui a permis de faire émerger les grandes lignes du projet scientifique actuel.

Il faut des volontaires pour organiser et animer les débats : la direction de l'UMR ne souhaite pas s'en saisir a priori, d'autant que la question de la future direction sera (aussi) en jeu.

On prévoit de l’organiser pour le début 2013 (janvier/février).




  • Audit des finances de l’UMR par la délégation CNRS.

Le CNRS a effectué au mois d’avril une mission d’audit des finances de l’UMR. Dans un contexte de très forte montée de l’activité, l’évaluation est excellente à quelques détails près. Bravo à la gestionnaire.

Reste à être toujours vigilant sur quelques soucis récurrents :



  • les missions pour lesquelles on ne peut obtenir une validation du jour au lendemain (signature du directeur)

  • les bons de livraison : à ne pas jeter avec l’emballage mais à transmettre à Sandy pour l’établissement du « service fait ».




  • Projet d’hébergement de la plateforme PALGENE

Jean-Yves Toussaint évoque la réunion qui doit se tenir à la délégation du CNRS autour de la plate-forme « Palgène » (Paléogénomique). Elle est actuellement gérée au sein de l’institut des Sciences Biologiques (INSB) au CNRS, mais financée par l’INEE qui souhaite la voir supportée par un labo lui appartenant.

Le CNRS a demandé si EVS pouvait l'héberger.

Cette plateforme maîtrise et développe des outils très performants, très novateurs pour qui s'intéresse à la traçabilité historique au long cours. Héberger cette plateforme dans une logique de complément à OMEAA serait très pertinent. On peut également envisager des liens possibles avec ArchéOrient, comme pour OMEAA. Du côté d’IMU, la proximité d’une telle plateforme ne serait pas inutile non plus.

Le côté "auberge espagnole" est un travers à éviter, mais cet hébergement, bien géré, peut se révéler intéressant, d’où un avis très favorable, en l’état, pour Jean-Yves Toussaint, en attendant la réunion qui se tiendra le 11 juin.





  • Rappel de principe pour le libellé des signatures d’articles scientifiques

Pour conclure, l’intégration de l’équipe « SEPIT » nouvelle configuration est acquise. Il est d’ores et déjà possible de le mentionner dans la signature des articles scientifiques, la composante GPE « Géosciences, Processus, Environnement » peut faire usage du logo de l’UMR dans ses documents de communication.

Rappel du protocole de rédaction des signatures pour les productions scientifiques :


Nom1, P1. (1,2)

  1. Université de Lyon, CNRS

  2. Etablissement, EVS, F69XXX, France

Exemple :

Graillot, D. (1,2), Arnould, P. (1,3)


  1. Université de Lyon, CNRS

  2. Ecole nationale des Mines de Saint-Etienne, EVS, F42023, France

  3. Ecole normale supérieure de Lyon, EVS, F69342, France

L’ordre du jour étant épuisé, la séance est levée.





Université Jean Moulin Lyon 3 Université Lumière Lyon 2 Université Jean Monnet ENS de Lyon ENTPE INSA

18, rue Chevreul 5, avenue Mendès-France 6, rue Basse de Rives 15, parvis René Descartes rue Maurice Audin Bâtiment E. Freyssinet

69362 Lyon Cedex 07 CP 11 42023 St-Étienne Cedex BP 7000 69518 Vaulx en Velin 8, rue des Sports

69676 Bron Cedex 69342 Lyon Cedex 07 Cedex 69621 Villeurbanne



Cedex

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