MS & Euromed M.Sc.,
ça veut dire Expert.
Choisir la professionalisation Euromed
Management, c’est choisir l’expertise
sectorielle,celle qui ne se limitera pas à la
théorie mais vous rendra performant dans
la réalisation de votre carrière.
Illustration
:Thierry
Rasine
MS (Mastères Spécialisés)
– International Sport & Event Management
– Management des Entreprises de Santé
– Management Maritime International
Admission : Bac + 5, Bac + 4 avec 3 ans d’expérience professionnelle,
Bac + 4 (sous conditions), dossier de candidature, entretien et test TAGE MAGE.
EUROMED M.Sc.
– Entertainment & Media Management
(Sport Professionnel & Marketing Sportif, Entreprises de Médias,
Communication Evénementielle, Marché & Industries du Divertissement,
Marketing Services & Communication Opérationnelle)
– Immobilier & Politiques Urbaines
(Construction & Aménagement, Habitat & Urbanisme)
– Management Financier & Organisationnel
(Direction Financière & Ingénierie Financière, Audit Financier, Gestion Patrimoniale,
Contrôle de Gestion, Audit d’Organisations, Finance ex-situ (e-learning))
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Admission : Parcours en 1 an Bac + 4, Parcours en 2 ans Bac + 3,
dossier de candidature, entretien et test TAGE MAGE.
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http://programmesmsc.euromed-management.com
CHAMBRE DE COMMERCE ET
D’INDUSTRIE MARSEILLE PROVENCE
04-09 Ann Master 150x210Q:Mise en page 1 2/04/09 14:39 Page 1
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f o r M AT i o n
• • •
3
e
cycle : des compétences toujours attendues
Un master spécialisé s’envi-
sage entre 5 000 et 7 000 €,
un MBA
(2)
peut dépasser
40 000 €, le coût étant sou-
vent « en fonction de la noto-
riété. Un executive MBA
d’HEC peut atteindre 50
000 € avec la même finalité
qu’un autre à 30 000 € mais
sans le label HEC ». Alors
« parce qu’un 3
e
cycle est un
réel investissement, il vaut
mieux sélectionner le bon
produit et réaliser un peu de
benchmarking en regardant
les références des anciens
élèves, les programmes, les
qualités et qualifications des
intervenants. » À connaître
aussi : le réseau de contacts
des entreprises, « et surtout
lesquelles. Si elles se sont
engagées comme partenai-
res, c’est qu’elles en ont étu-
dié l’enseignement de près ».
Enfin, il ne faut pas élu-
der la solution université,
moins onéreuse – excep-
tion faite des MBA – et de
plus en plus appréciée sur
le marché du travail.
Les universités
aussi ont la cote
Certains 3
e
cycles univer-
sitaires affichent une cote
qui n’a rien à envier aux
grandes écoles qui, en plus,
n’arrivent plus à fournir
la quantité de diplômés
nécessaire aux besoins des
recruteurs. Et, «certains se
demandent pourquoi s’offrir
la Rolls des jeunes diplômés
quand ils peuvent en trouver
un plus pragmatique, moins
exigeant et moins cher? Il
y a des opportunités pour
ceux qui ne visent pas le top
du 3
e
cycle», révèle Jean-
Claude Merlane. De plus,
la réforme LMD
(3)
a ouvert
aux universitaires les portes
de l’international et les can-
didats issus de fac séduisent
désormais «dans les RH et
le secteur public marchand.
L’immobilier ou le BTP s’y
intéressent aussi». Les filiè-
res juridique ou finance
tiennent toujours la dragée
haute, et celles spécialisées
en aéronautique, espace et
systèmes embarqués sont
très appréciées, comme les
masters professionnels en
banque et assurance ou les
masters de recherche dans
l’informatique. Seul secteur
encore réticent, «l’industrie,
où l’université pâtit encore
de son image de recherche,
même si elle s’est ouverte sur
l’entreprise». Reste que fac
ou grandes écoles, «il ne
faut pas oublier qu’une fois
embauché, l’effet diplôme
dure deux ans. Ce sont le
savoir-être, le travail en
équipe et la faculté à évoluer
dans des milieux multicultu-
rel qui font la différence dans
l’entreprise». Finalement, le
3
e
cycle est un passeport de
carrière… encore tamponné
d’un visa pour l’emploi.
(1) Jean-Claude Merlane est aussi
directeur du programme manage-
ment consulting MBA groupe ESC
Toulouse et administrateur national
de Syntec-Conseil en management.
(2) MBA: Master Business of Admi-
nistration.
(3) LMD: licence-master-doctorat.
La réforme
LMD a ouvert,
aux universités,
les portes de
l’international.