Appel a projet

METEO

MicrogEnérateur ThermoElectrique à base d’Oxydes

• 
  Coordinateur de Projet
  

Eric MILLON

Groupe de Recherches sur l'Energétique des Milieux Ionisés (GREMI - Université Orléans - CNRS)

• 
  Durée / Coût
  

2 ans - subvention Région : 200 k€ (coût total prévu : 374 k€)

• 
  Partenaires académiques
  

Groupe de Recherche en Matériaux, Microélectronique, Acoustique et Nanotechnologies (GREMAN – Université François Rabelais de Tours – CNRS – CEA - INSA Centre-Val de Loire)

• 
  Partenaires non académiques
  

ST Microelectronics –Tours (37)

La finalité de ce projet est de développer un prototype (véhicule test) de micro-générateur thermoélectrique basé sur des couches minces de nouveaux matériaux en adéquation avec les normes environnementales. Ce nouveau type de micro-générateur n'est pas aujourd'hui commercialement disponible, car les composants thermoélectriques actuels font appel à une famille de composés contenant des éléments toxiques (tellure, plomb, bismuth). Or, le marché des systèmes basés sur la récupération d'énergie est en pleine expansion, avec justement l'utilisation de composants thermoélectriques. Ces composants devraient donc trouver une place de choix dans de nombreuses applications telles que l'électronique nomade, les capteurs autonomes et, en particulier, les systèmes d'alimentation des micro-batteries. Ce projet a l'ambition de mener au transfert direct de technologie pour la production de masse de composants thermoélectriques de nouvelle génération.

Santé – Biologie – Chimie du Vivant




Autres


MICROPULM

Nouveau modèle animal pour évaluer le devenir pulmonaire des biomédicaments inhalés

• 
  Coordinateur de Projet
  

Nathalie HEUZÉ-VOURC’H

Centre D’Etude des Pathologies Respiratoires (CEPR - Université François Rabelais de Tours – INSERM)

• 
  Durée / Coût
  

3 ans – subvention Région 200 k€ (coût total du projet : 332 k€)

• 
  Partenaires académiques
  

PST Animalerie (PST – Université François Rabelais de Tours)

• 
  Partenaires non académiques
  

Cynbiose (69)

Les pathologies respiratoires aigües (infections) et chroniques (fibrose, asthme…) représentent un enjeu de santé publique compte tenu de leur incidence, de leur mortalité et de l'absence de médicaments efficaces pour les traiter. Les biomédicaments, notamment les anticorps thérapeutiques, occupent aujourd'hui une place majeure dans l'arsenal thérapeutique des maladies inflammatoires, auto-immunes et des cancers. En santé respiratoire, plusieurs biomédicaments ont déjà une autorisation de mise sur le marché et de nombreux autres sont en phase  de développement clinique. Généralement, les biomédicaments sont administrés par voie systémique. Mais pour cibler le poumon,  cette voie d'administration n'est pas optimale, car ces macromolécules (>30 KDa) ne diffusent pas passivement au travers des barrières biologiques et sont retrouvés en faible quantité dans le poumon après une injection intraveineuse. Une voie d'administration alternative serait l'inhalation. Elle permet d'administrer directement dans le poumon des biomédicaments à visée respiratoire, sous la forme d'un aérosol.  Les travaux réalisés ces dernières années montrent que les biomédicaments aérosolisés sont efficaces et passent peu dans la circulation systémique, limitant l'exposition au reste de l'organisme. Cependant, leur devenir au sein du tissu pulmonaire après inhalation reste méconnu. Le projet vise donc à établir une nouvelle méthodologie pour permettre d'étudier le comportement des biomédicaments inhalés après leur dépôt pulmonaire. 

Santé – Biologie – Chimie du Vivant


MIR-TANGo

MicorARNs ciblés pour normaliser l'angiogenèse tumorale et améliorer les traitements anticancer

• 
  Coordinateur de Projet
  

Catherine GRILLON

Centre de Biophysique Moléculaire (CBM - CNRS)

• 
  Durée / Coût
  

3 ans – subvention Région : 200 k€ (coût total prévu : 251 k€)

• 
  Partenaires académiques
  

Département de Biotechnologie Médicale (Université de Jagellonne – Cracovie)

• 
  Partenaires non académiques
  

Conseil Régional du Centre-Val de Loire, DGSEPT-DCI.

Centre Hospitalier Régional d’Orléans (45)
Les traitements du cancer sont efficaces mais se heurtent à plusieurs barrières dues à une vascularisation tumorale anormale : ils sont mal délivrés au sein des tumeurs; ils induisent des phénomènes de résistance des cellules cancéreuses qui aboutissent à des récidives souvent plus agressives ; une immunosuppression est induite par la tumeur car les cellules immunitaires ne sont pas recrutées. C'est pourquoi la stratégie de rendre les vaisseaux tumoraux normaux et fonctionnels est un défi qui devrait révolutionner l'approche thérapeutique du cancer. Cette normalisation peut être obtenue par divers nouveaux médicaments mais uniquement de façon transitoire ce qui compromet l'effet des traitements. Le but de ce projet est de développer une stratégie de stabilisation de l'angiogenèse tumorale en agissant sur les paramètres du microenvironnement de la tumeur. Notre travail, en coopération avec le Département de Biotechnologies de l'Université Jagellonne de Cracovie, a déjà permis de mettre au point une méthode permettant de normaliser les vaisseaux en agissant sur la tension d'oxygène intratumorale. Il est fondamental ensuite de stabiliser cette normalisation et le but de ce projet est d'utiliser des microARNs, petites molécules régulatrices de l'expression des gènes, qui pourront être véhiculés par des cellules endothéliales immatures, lesquelles sont recrutées naturellement et spécifiquement au niveau des tumeurs. Ce projet commun inter-régional franco-polonais, dont la valeur scientifique a été reconnue par le LIA CNRS (MIR-TANGo), permettra une profonde amélioration des stratégies anticancéreuses.


Santé – Biologie – Chimie du Vivant


Oxyferti

Antioxydants extraits de plantes de la Region Ligerienne dans le contrôle de la fertilité des volailles

• 
  Coordinateur de Projet
  

Pascal FROMENT

Physiologie de la Reproduction et des Comportements (PRC - INRA Centre Val de Loire – Université François Rabelais de Tours - CNRS)

• 
  Durée / Coût
  

3 ans – subvention Région : 200 k€ (coût total prévu 735 k€)

• 
  Partenaires académiques
  

Unité de Recherches Avicoles (URA – INRA Centre Val de Loire)

Pôle d’Expérimentation Avicole de Tours (PEAT – INRA Centre Val de Loire)

Unité Expérimentale de Physiologie Animale de l’Orfrasière (UEPAO - INRA Centre Val de Loire)

• 
  Partenaires non académiques
  

GreenPharma (45)

Agrobio (45)

Caringa (45)

ITAVI (37)

En région Centre-Val de Loire, les productions de volailles de chair sont principalement positionnées sur les segments de grande qualité (labels, fermiers) qui sont les mieux à même d'intégrer des matières premières produites localement. Les performances de reproduction des parentaux sont encore trop souvent négligées conduisant à des sous-productions de poussins de qualité. Les complexes anti-oxydants tels que la vitamine E incorporés à l'alimentation ont un rôle bénéfique dans la fertilité et le développement embryonnaire du poulet. Dans ce contexte, l'objectif de notre projet est double : 1) - déterminer de nouveaux indicateurs de performance de fertilité et de caractères associés (engraissement, croissance) à l'aide d'outils d'imagerie médicale permettant un meilleur suivi du développement des gonades, de la production des gamètes et finalement de la fertilité et 2) d'identifier  les effets de molécules d'origine végétale à activité anti-oxydante et anti-inflammatoire qui pourront être ajoutées à l'alimentation. Ces travaux permettront de limiter les pertes en accouvage et de favoriser une meilleure qualité du poussin en s'appuyant sur des ressources produites en région Centre- Val de Loire. Menés à la fois en station expérimentale et en élevage, ils faciliteront également le repérage des animaux à risque d'infertilité, la prévention des problèmes de bien-être liés par exemple au rationnement, et permettront d'adapter rapidement la conduite d'élevage pour conserver un bon niveau de production.

Energie et Matériaux


POLHUCs

Dispositif ultrasonore de caractérisation de polymère pour l'hydrogène

• 
  Coordinateur de Projet
  

Jérôme FORTINEAU

Groupe de Recherche en Matériaux, Microélectronique, Acoustique et Nanotechnologies (GREMAN - Université François Rabelais de Tours – CNRS – CEA - INSA Centre-Val de Loire)

• 
  Durée / Coût
  

3 ans - subvention Région : 200 k€ (coût total prévu : 378 k€)

• 
  Partenaires académiques
  

Laboratoire de Mécanique et Rhéologie (LMR - Université François Rabelais de Tours – INSA Centre-Val de Loire)

Commissariat à l’énergie atomique et aux énergies alternatives (CEA Le Ripault)

• 
  Partenaires non académiques
  

Rheawave (37)

La fabrication de pièces en matériaux polymères, en particulier pour le stockage d'hydrogène, répond à des cahiers des charges de plus en plus complexes. Une optimisation des procédés de fabrication est nécessaire. A travers ce projet, il est proposé le développement d'un outil de caractérisation ultrasonore du matériau polymère pendant le procédé de fabrication. Cet outil permettra de caractériser, de manière non destructive et in situ, les propriétés mécaniques, physico-chimiques et géométriques. La viscosité et l'épaisseur du polymère pourront être mesurées. Ainsi, un meilleur contrôle des procédés de fabrication permettra, d'une part, d'améliorer les propriétés des matériaux formés et, d'autre part, d'optimiser les procédés industriels pour diminuer significativement l'énergie consommée durant la formation des pièces. Le développement d'un démonstrateur sur une rotomouleuse prototype sera effectué. Il permettra de tester, pour un même procédé de fabrication, différentes compositions innovantes de matériaux polymères pour les réservoirs de stockage, notamment en expérimentant des cahiers des charges expérimentaux plus sévères, en termes de pression d'hydrogène par exemple. L'outil ainsi développé pourra, de plus, être adapté à l'ensemble des procédés thermoplastiques existants.

Géosciences – Environnement - Espace

Santé – Biologie – Chimie du Vivant


PROTECTODO

Biologie de la conservation des Odonates dans un climat changeant

• 
  Coordinateur de Projet
  

Sylvain PINCEBOURDE

Institut de Recherche sur la Biologie de l’Insecte (IRBI – CNRS – Université François Rabelais de Tours)

• 
  Durée / Coût
  

3 ans – subvention Région : 206 k€ (coût total prévu : 459 k€)

• 
  Partenaires académiques
  

Cités, Territoires, Environnement, Sociétés (CITERES - Université François Rabelais de Tours – CNRS)

• 
  Partenaires non académiques
  

Association Naturaliste d’Etude et de Protection des Ecosystèmes CAUDALIS (37)

Château d’Azay-le-Rideau (37)

Château de Villandry (37)

Conseil Départemental d’Indre-et-Loire (Domaine de Candé) (37)

Centre-Sciences (45)

La région Centre-Val de Loire abrite l'une des plus importantes diversité en espèces de libellules en France. Les libellules ont un rôle primordial dans les écosystèmes aquatiques, où la larve se développe, et terrestres, où l'adulte évolue, faisant de la conservation de cette biodiversité un enjeu primordial. La région Centre-Val de Loire possède également un patrimoine culturel très riche. Le projet PROTECTODO établira un pont entre les patrimoines naturels et culturels en traitant les domaines des châteaux de la Loire comme lieux privilégiés de conservation des libellules. Ce projet, à vocation de gestion conservatoire, s'appuiera sur un savoir fondamental en éco-physiologie des libellules afin de répondre à l'enjeu environnemental du maintien de la biodiversité dans les espaces à la fois naturels et anthropisés. Les conditions permettant le maintien d'une espèce clé menacée d'extinction dans les milieux naturels seront analysées. Des expérimentations en laboratoire seront primordiales pour comprendre l'absence de cette espèce dans certaines zones a priori favorables. Enfin, seront étudiées comment de simples aménagements dans les domaines des châteaux pourraient recréer ces conditions favorables. Le projet ambitionne également d'analyser l'évolution de ces conditions de vie en fonction des changements climatiques.


Sciences Humaines et Sociales


ReViSMartin

Renaissance virtuelle de la collégiale Saint-Martin de Tours

• 
  Coordinateur de Projet
  

David FIALA

Centre d'Etudes Supérieures de la Renaissance (CESR - Université François Rabelais de Tours - CNRS)

• 
  Durée / Coût
  

2 ans - subvention Région : 210 k€ (coût total prévu : 287 k€)

• 
  Partenaires académiques
  

Cités, Territoires, Environnement et Sociétés (CITERES - Université François Rabelais de Tours – CNRS)

Institut Pluridisciplinaire de Recherche en Ingénierie des Systèmes, Mécanique et Energétique (PRISME - Université d’Orléans – INSA Centre-Val de Loire)

Archéologie, Terre, Histoire et Sociétés (ARTeHIS - CNRS - Université de Bourgogne)

• 
  Partenaires non académiques
  

Musée Saint Martin (37)

En vue de la célébration, en 2016, du 1700e anniversaire de la naissance de saint Martin et en liaison avec un programme de restauration et de réaménagement du Musée Saint- Martin, de nouveaux outils numériques au fort potentiel muséographique seront proposés par le CESR de Tours, s'appuyant sur une collaboration scientifique avec le musée et l'expérience de reconstitution sonore et visuelle d'édifices religieux déjà acquise. Il s'agit de développer une maquette 3D de la collégiale Saint-Martin avec intégration d'une bande son spatialisée donnant à entendre un chef d'oeuvre de la musique polyphonique composé par Jean Ockeghem, principal musicien des rois de France et plus haut dignitaire de la collégiale à la fin du XVe siècle. Cette maquette 3D sera déclinée en deux applications : un film d'environ 7 minutes (avec animation des personnages), permettant d'apprécier la vie liturgique et musicale de la basilique à son apogée et une application interactive permettant à l'utilisateur, doté d'un casque et de lunettes 3D, d'entrer dans l'espace virtuel et acoustique de la basilique pour se promener en libre visiteur. D'autres outils numériques, développés pour tablettes, permettront l'approfondissement du contenu historique et musical. Ce projet participe à la dynamique Intelligence des Patrimoines et s'inscrit dans le domaine potentiel de spécialisation "TIC et services pour le tourisme patrimonial" identifié par la Stratégie Régionale de l'Innovation.


Autres

Santé – Biologie – Chimie du Vivant

RNAPur

Un outil innovant pour la purification d'ARNm thérapeutiques bioproduits

• 
  Coordinateur de Projet
  

Daniel MARC

Infectiologie et Santé Publique (ISP – INRA - Université François Rabelais de Tours)

• 
  Durée / Coût
  

2 ans – subvention Région : 145 k€ (coût total prévu : 361 k€)

• 
  Partenaires académiques
  

Centre de Biophysique Moléculaire (CBM – CNRS)

• 
  Partenaires non académiques
  

Polytheragène (91)

Les molécules d'ARN thérapeutiques constituent une nouvelle classe très prometteuse de biomédicaments. Ils ont un potentiel en thérapie (molécules anti-cancéreuses) ainsi qu'en vaccinologie (rapidité de préparation du vaccin de la grippe saisonnnière). Cependant, la production à grande échelle des ARN d'intérêt thérapeutique représente encore un challenge tant au niveau de leur synthèse que de leur purification avec des standards de formulations médicamenteuses. La bioproduction d'ARNm dans les cellules est actuellement le procédé le plus prometteur pour produire de grandes quantités d'ARNm compétents pour la traduction en protéines dans les cellules humaines après leur administration chez les patients. Il faut disposer d'une méthodologie simple, fiable et économiquement avantageuse pour purifier en très peu d'étapes les ARNm bioproduits. L'objectif de ce projet vise à mettre au point un procédé innovant de purification sélective d'un ARNm cible à partir du lysat de la cellule productrice. Ce procédé repose sur l'utilisation d'un couple [protéine-séquence d'ARN cible] interagissant avec une très forte affinité et dont le laboratoire porteur du projet a bien caractérisé les propriétés et les modalités d'utilisation. La mise au point de ce procédé se fera en étroite collaboration avec l'équipe (CBM) menant le projet « cellule-usine à ARN » de l'ARD2020 Biomédicaments. Le but est d'exploiter le système pour purifier les ARNm. Le système, actuellement libre de droit, pourra être breveté et proposé comme nouveau service à haute valeur ajoutée par la société Polythéragène qui envisage de s'installer en région Centre-Val de Loire.

Géosciences – Environnement - Espace


RUTPOrléans

Transfert des micropolluants par le RUTP de l'agglomération orléanaise vers le milieu naturel

• 
  Coordinateur de Projet
  

Mikael MOTELICA-HEINO

Institut des Sciences de la Terre d’Orléans (ISTO –CNRS - Université d’Orléans - BRGM)

• 
  Durée / Coût
  

3 ans – subvention Région : 193 k€ (coût total prévu : 577 k€)

• 
  Partenaires académiques
  

Laboratoire GéoHydrosystèmes Continentaux (GéHCO - Université François Rabelais de Tours)

Centre d’Etudes pour le Développement des Territoires et l’Environnement (CEDETE - Université d’Orléans)

Cellule R&D d’Expertise et de Transfert en Traçages Appliqués à l’Hydrogéologie et à l’Environnement (CETRAHE – Université d’Orléans)

• 
  Partenaires non académiques
  

Communauté d’Agglomération Orléans Val de Loire (45)

Le ruissellement en milieu urbain peut transporter vers les hydrosystèmes une partie des éléments polluants accumulés par temps sec et issus des diverses activités humaines. A la suite d'évènements climatiques tels que des orages ou de fortes pluies, le ruissellement urbain est particulièrement abondant et la répétition de ce phénomène peut altérer le milieu naturel récepteur (par exemple, apport de matières en suspension (MES) et micropolluants, apports terrigènes). Le réseau d'eau pluviale de l'agglomération orléanaise qui achemine les RUPTP (Rejets Urbains Par Temps de Pluie) jusqu'à la Loire peut donc être une source potentielle d'apports urbains vers l'écosystème ligérien. Les objectifs de ce projet sont de caractériser les polluants d'origine urbaine et les phases organo-minérales qui les transportent, d'évaluer la variabilité de leurs flux solides et leur biodisponibilité. Pour cela, un suivi des eaux de ruissellement sera effectué sur des sites préalablement instrumentés. Les mécanismes géochimiques d'interaction entre fractions aqueuse et particulaire ainsi que les flux de matières seront modélisés en laboratoire. Ce projet apportera aux collectivités locales, d'une part, des éléments sur l'influence du ruissellement urbain pour faire face aux enjeux environnementaux de gestion des eaux et, d'autre part, des connaissances scientifiques nécessaires au traitement efficace des eaux de ruissellement. 


Autres


SABECH

Santé et bien être chez la chevrette

• 
  Coordinateur de Projet
  

Fréderic BOUVIER

Unité Expérimentale de Bourges - la Sapinière (INRA)

• 
  Durée / Coût
  

3 ans – subvention Région : 199 k€ (coût total du projet 529 k€)

• 
  Partenaires académiques
  

Physiologie de la Reproduction et des Comportements (PRC– INRA – Université François Rabelais de Tours – CNRS)

Unité de recherche sur les Herbivores (URH - INRA)

• 
  Partenaires non académiques
  

ANSES NIORT (79)

ANSES PLOUFRAGAN (22)

Laiterie H.Triballat (12)

Syndicat AOC Crottin de Chavignol (18)

Chambre d'Agriculture du Cher (18)

CRIEL Centre (45)

Bio-centre (45)

L'optimisation de la conduite des troupeaux et la maîtrise de la robustesse des chèvres représentent un enjeu majeur pour la filière caprine tant d'un point de vue économique que sociétal. Dans ce contexte, la gestion du bien-être et de la santé des chevrettes de renouvellement dès leur plus jeune âge peut être un levier d'action pour assurer une plus grande longévité des chèvres en production et permettre ainsi de réduire le taux de réforme généralement élevé. Le projet SABECH vise 1) à élargir à la Région Centre-Val de Loire une enquête épidémiologique longitudinale déjà engagée en Poitou-Charentes et Auvergne afin d'identifier les principaux facteurs associés à la dégradation de la santé et du bien-être des chevrettes, et 2) à réaliser une étude en ferme expérimentale pour améliorer les conditions d'élevage des chevrettes, en cherchant notamment à évaluer l'impact de conditions d'élevage dégradées vs enrichies des chevrettes sur leur bien-être, leur santé, leur développement sexuel et leurs performances à l'âge adulte. Le projet SABECH s'appuiera sur un dispositif mis en œuvre par l'Inra et l'Anses impliquant plusieurs bassins d'élevage caprin et ayant l'appui de la filière en régions. Ce projet fournira des pistes pour développer des pratiques innovantes et assurer une maîtrise des maladies et des coûts de production en renforçant notamment les stratégies d'auto-renouvellement. 


Energie et Matériaux