Code de la faluche



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A Toulouse

Les étudiants portent à l’arrière de leur Faluche un ruban de velours (voir dans la continuité de chaque ruban supérieur), avec à son/leur extrémité une fourragère (ou ferret), sorte de tige de fer. L’origine de cette pratique est plutôt nébuleuse ; ce privilège leur a été soit accordé à la suite d’un congrès magnifiquement organisé, ou bien ce serait pour les repérer plus facilement car ils ont une réputation d’emmerdeurs.

Les pharmaciens portent deux rubans en velours vert de part et d’autre de la Faluche avec des ferrets à l’extrémité.

A Nantes

Il est d’usage de porter un pompon rouge au centre de la Faluche, qui représente les traditions portuaires de la ville. L’usage en a été étendu à toutes les villes portuaires, ainsi qu’à la signification : originaire d’une ville portuaire.



A Strasbourg et Perpignan

Les étudiants se distinguent par leur ruban circulaire avec des passants noirs en velours au nombre de 5 ou 7.

A Strasbourg seulement, les rubans sont en « V » à l’envers sur le velours noir.

Perpignan

Les étudiants perpignanais portent à l’arrière de leur faluche une paire de petites bigatanes, chaussures catalanes traditionnelles.




A Poitiers

Les Faluchards croisent les couleurs de la ville.



A Montpellier (cf. article XI du code)

Une tête de mort est placée après l’étoile argentée de chaque redoublement et une tête de mort sur fémurs croisés pour les échecs définitifs dans une filière.


Médecine Montpellier : Circulaire velours bordeaux.

Chirurgie dentaire Montpellier : Circulaire velours violet, 2 crevés violets et 2 bordeaux.

IUT Montpellier : Circulaire violet.

A Paris

L’écusson de ville est au centre dans certaines universités.


Les parisiens d’Assas

Selon leur code, la Faluche n’est pas divisée en trois parties comme la nôtre, mais en quatre ; les rubans supérieurs formant une croix sur la Faluche.


Rennes

Les étudiants en AES arborent un ruban rouge et or.


Tours
Les étudiants en géographie arborent un circulaire de satin violet et jaune, car l’UFR de géographie était rattaché à la faculté de science dans le passé.
Valence
Une lime avec 0 est l’équivalent du singe.

Les étudiants en BTS portent un circulaire rouge, blanc, rouge.


Grenoble
Les initiales sont brodées en blanc.

Les étudiants de prépa

De nos jours, les étudiants de prépa portent de plus en plus la Faluche, à part quelques irréductibles du lycée Stanislas à Paris. Ces derniers portent le calot, qu’ils ornent avec les mêmes insignes que les nôtres ; toutefois ces insignes ne correspondent pas à un code, mais aux surnoms qu’ils donnent à leurs profs.


Poitiers

Le circulaire porte le nombre d’années passées en fac, au centre l’année d’obtention du bac et le symbole d’école.


Marseille
Il y a deux rubans jaune et orange en V sur la faluche.
Les Gadz’arts

Etudiants de l’Ecole Nationale Supérieure des Arts et Métiers. Ils ont une tradition qui diffère beaucoup de la nôtre malgré quelques points communs et reste assez secrète. Le Gadz’arts se reconnaît à sa blouse grise appelée « biaude » (ou z’grise, prononcez zagrise) lorsqu’il est en 1ère ou 2ème année, et à sa z’blanche quand il est en P3. Ceux du centre de Cluny sont membres consultatifs de la FEL et viennent souvent faire la fête à Lyon ; ils sont très sympas mais ont des surnoms (buques) absolument imprononçables.



En Belgique

Les étudiants portent la penne dans les Facultés laïques, sorte de casquette à grande visière. Les étoiles sur le pourtour représentent les années étudiantes. N’ayant pas de code, les velours est garni de tout et n’importe quoi (on en a vu un collectionnant des cartes téléphoniques sur sa penne ! ).

Les étudiants des Facultés Catholiques portent la calotte, sorte de toque « à la Spirou », avec cursus, chameau, cochon...

En Espagne

Les étudiants portent la cape sur laquelle ils agrafent des insignes offerts par les étudiantes. Nos informateurs n’ont pas voulu nous révéler à quelle occasion ces insignes étaient offerts....

Il y a beaucoup d’autres particularités, mais c’est à chacun de les découvrir pendant sa vie Falucharde…

PROPOS DIVERS ET D’ETE
ou « Ce qui n’est pas dans le code »

Avant tout, il convient de préciser que le code de la Faluche n’est qu’un guide. Il faut donc savoir lire entre les lignes, pour pouvoir édifier une Faluche conforme à l’esprit du code. En respectant ce dernier, votre Faluche sera plus compréhensible pour les autres et pour vous-même. A coté du code, existent des comportements, us et coutumes relevant de la tradition orale. Qu’il s’agisse de particularités nationales, régionales ou de filières, en voici quelques unes.....




  1. Etre Faluchard, qu’est-ce que c’est ?

La Faluche est une représentation synthétique de l’étudiant qui la porte, nous l’avons déjà vu. Il ne s’agit donc pas de partir à la chasse aux insignes (cf. Art. 4), en exagérant son coté paillard, histoire d’épater les copains. Le meilleur conseil que l’on puisse vous donner et que vous pourrez donner aux autre est : restez vous-mêmes !


Etre faluchard, c’est être ouvert à autrui ; être fier(e) de soi, sans se préoccuper du regard des autre. C’est enfin savoir se faire respecter des néophytes et autres professeurs attardés, sans pour autant devenir grossier ou violent. En effet, notre coiffe n’a pas toujours une très bonne réputation, et vous rencontrerez sans doute plus d’abrutis bornés que de personnes émerveillées par votre « fabuleux béret fort sympathique ». Dans ces cas là, gardez votre calme, il n’est pas nécessaire de renforcer l’image que les gens se font de nous.
Pourtant, il nous est parfois donné d’expliquer qui nous sommes, ce que nous faisons et pour quelles raisons. Mais la plupart du temps nous ne nous défendons pas de l’image que l’on nous prête, pour une simple et bonne raison : nous n’avons pas envie de voir la Faluche portée par n’importe qui. D’après le code « la faluche est la coiffe traditionnelle de tous les étudiants de France ». La première remarque que l’on pourrait apporter, est que tout le monde peut la porter, mais que tout le monde ne le veut pas forcément. De plus, il existe effectivement un « tri » des impétrants avant leur baptême. Il ne s’agit en aucun cas d’élitisme, mais nous préférons privilégier la qualité à la quantité, et être à peu près sûrs que les valeurs que nous accordons aux traditions et à l’esprit faluchard restent intacts.
Car il faut savoir que si l’on peut recevoir une Faluche, on peut aussi se la faire retirer en cas de manquement grave aux traditions et à l’esprit faluchard. Il s’agit bien sûr de fautes vraiment importantes, mais n’oubliez jamais une chose : lorsque vous avez votre Faluche sur la tête, on ne peut que vous remarquer ; ne perdez donc jamais de vue que c’est la somme de nos comportements individuels qui contribue à forger l’image (bonne ou mauvaise) que les gens se font de la Faluche.
D’autre part, la Faluche est souvent perçue comme un « plus » corporatiste. En fait, l’esprit faluchard et l’esprit associatif présentent certaines similitudes : communiquer avec les étudiants, s’ouvrir à l’extérieur et aux extérieurs... De plus, les liens associatifs se trouvent renforcés quand on a la possibilité de faire la fête ensemble, en oubliant le labeur de la journée. N’oublions pas que la Faluche, c’est « faire la fête dans le respect des autres », c’est aussi faire la fête sans retenue (l’abus d’alcool est dangereux pour la santé, à consommer avec modération...) et avec son cœur. L’associatif c’est également se donner aux autres, donner de son temps et de son énergie. D’ailleurs la majeur partie des faluchards travaillent dans le milieu associatif.

2. A propos du GM et du GC

a- Le GM
En dépit de son titre ronflant, le GM doit surtout être considéré comme un « vieux sage ».

Il est le gardien des traditions régissant le port de la Faluche, et veille à la bonne application des principes de base de notre code. Il est également chargé de transmettre les coutumes qui ne figurent pas dans le code, et d’expliquer aux plus jeunes d’entre nous ce qu’est l’esprit faluchard.

Il est le seul à pouvoir décerner certains insignes et décide de l’obtention (ou non) d’une Faluche.
Le GM est en quelque sorte un « père » (ou une « mère ») qui doit parfois remettre ses enfants dans le droit chemin, qui doit être capable de répondre à toutes leurs questions concernant la Faluche et ses traditions, et qui doit parfois être responsable à leur place. Bref, il est chargé de montrer l’exemple.
D’autre part il organise chaque année les baptêmes avec le concours des anciens. Durant ces baptêmes il coordonne les jeux en veillant à ce qu’il n’y ait pas d’abus ; le baptême est et doit rester une intégration et non une humiliation, d’autant plus que le futur faluchard a consenti à passer cette « épreuve ».
Il y a en général un GM par discipline dans chaque ville. Pour devenir GM il faut d’abord être choisi par les autres faluchards de sa discipline, puis se faire introniser par le GM précédent. S’il n’y a pas ou plus de prédécesseur, un autre GM se chargera de l’intronisation (au moins trois dans certaines villes). Cette intronisation sera en gros, un baptême multiplié par cinq pour tous les tests. A Lyon, nous avons l’avantage de posséder des liens assez forts entre les différentes filières, c’est pourquoi avant d’introniser un nouveau GM, les autres donnent leur avis. La décision finale revient bien entendu au GM et aux faluchards de cette filière.
La symbolisation de la fonction de GM peut se révéler assez complexe. D’une façon générale, il porte une Croix du mérite émaillée de blanc, soutenue par un ruban aux couleurs de la discipline. Sur le ruban figure les lettres « GM », parfois les années d’exercice, ou l’insigne de la filière.

La Croix se porte en général du coté « officiel », sauf à Lyon où ils la portent du coté personnel et sauf en médecine où ils font un peu ce qu’ils veulent.

La particularité du GM Pharma Lyon est qu’il ne porte pas de Croix mais un Soleil (au frontal semble-t-il). Ce Soleil peut également être porté du coté personnel comme insigne de la « fonction », mais il est utilisé le plus souvent pour signifier un passage de Croix.
GM ayant passé sa Croix :
- Soleil complété des années d’exercice,

- la tête de mort sur fémur remplace l’emblème de discipline sur le ruban qui soutient la Croix,

- la Croix passe du coté officiel au coté personnel (sauf à Lyon).

A Strasbourg, il n’y a pas de GM mais un comité de T.V.A (Très Vénérables Anciens), qui assurent les mêmes fonctions


A Valence, tous les GM font partie de l’ordre du Bitard ; ils portent leur numéro de Bitard sur leur croix. Celle-ci ne se transmet pas, chaque nouveau GM achète une croix.
Parfois, des problèmes peuvent se poser dans une ville et il se peut que les Faluchards n’arrivent pas à statuer sur les décisions à prendre, notamment quand les GM sont en cause. Dans ce cas là, une instance nationale peut aider à trancher cette décision. Ainsi, l’A.G du 106 a mis en place un conseil d’anciens remplaçant le GM national (la nomination d’une seule personne aurait pu, a terme, engendrer des problèmes logistiques ou matériels). Ce « conseils des Grands Singes », se compose de Faluchards issus des quatre coins de la France et de filières diverses. Leur rôle est également d’animer l’A.G des anniversaires de Faluche.
Dans la Faluche il n’y a pas vraiment de hiérarchie au sens propre du terme, le GM n’est pas “supérieur” aux autres. Il est là pour aider et guider les faluchards de sa corpo. Il doit être respecté et non adulé.
b- Le GC (Grand Chambellan)
Il arrive, dans certaines disciplines, que le GM soit assisté d’un GC. A Lyon, il en existe moins que dans les autres villes, les GC étant chez nous considérés comme l’apanage du « bloc santé » (médecine, pharma, kiné...).

A l’origine, le rôle du GC était « d’apprendre » à être GM. Il aidait donc ce dernier pendant ses années d’exercice, puis naturellement prenait sa place quand celui-ci passait sa Croix.

Désormais le GC a plutôt un rôle d’assistant ; il aide le GM a organiser les baptêmes, a cordonner les jeux etc... Ce n’est donc pas forcément lui qui prend la Croix quand son GM la passe.

Le GC peut également, et depuis peu, être considéré comme un relais entre certaines filières. En effet, il peut arriver que les faluchards ne soit pas assez nombreux dans une discipline pour avoir un GM. Dans ce cas, on intronise un GC qui servira de relais et d’assistant au GM de la discipline la plus proche. C’est le cas à Lyon par exemple, où le GC Ecole du Sport relais le GM UFRAPS, ou à Grenoble, où les GC infirmière et sage femme relaient le GM médecine.

C’est aussi le cas à l’INSA de Rouen ;-)…
Le GC se distingue de différentes façons :
- Croix du mérite non émaillée, soutenue par un ruban aux couleurs de la discipline,

- demi-lune (à vérifier),



  • ruban aux couleurs de la discipline sans Croix, avec les lettres GC et l’emblème de filière ou lettres GC et Palmes croisées chêne et laurier.




  1. Le baptême

Pour devenir Faluché, il faut d’abord être motivé ; connaître un minimum la Faluche et ce qui l’entoure pour être sûr que cela correspond bien à son état d’esprit.

Il faut, à mon avis, aller au moins une fois à une soirée Falucharde dans un bar de préférence pour voir de quoi il retourne.

En effet, il ne sert à rien de se faire Falucher, si on ne croit pas en la Faluche et ses traditions, et si on doit les laisser prendre la poussière sur une étagère.

Sur ce point, Lyon est devenue l’une des villes les plus strictes : « pas motivé(e), pas baptisé(e) ». Ils préfèrent la qualité à la quantité, quand d’autres villes préfèrent extraire la qualité de la quantité produite ; chacun son truc....
Cette introduction fastidieuse, mais néanmoins nécessaire étant terminée, passons à l’essentiel.

Pour devenir Faluché(e), il faut « subir » un baptême. Il n’y a pas de règles strictes quant au contexte de celui-ci ; cela peut se passer au resto, pendant une soirée, dans un amphi, dans la rue, près d’une fontaine...


Lors de ce baptême, l’impétrant (c’est-à-dire celui ou celle qui aspire à être Faluché(e)), devra procéder à quatre tests :
- Vinum : comme on peut le supposer, consiste à prouver votre amour pour la dive bouteille,
- Codum : l’étudiant devra également connaître son code, sur lequel il sera interrogé,
- Cantum : démontre votre habileté à manier le bréviaire estudiantin,
- Sexum : ... paniquez pas, il vous suffira juste de cocher la bonne case,

sexe : M  F 


Au cours de la soirée, l’impétrant(e) sera aidé par son parrain et/ou sa marraine , qui auront eu le rôle préalable de lui faire découvrir la Faluche et ses traditions.
Tout ceci se terminera par l’accueil des impétrant(e)s dans notre grande famille, moment d’émotion pendant lequel les nouveaux Faluchés prêtent serment.

La Faluche sera ensuite baptisée à proprement parler (au pinard, au champagne, à la cire, au sable, à la limaille de fer, ...) et /ou dépucelée (en général on fait un petit trou dans la doublure avec une cigarette), selon les pratiques de chaque filière.

Bref, que des choses gentilles qui ne vous mèneront certainement pas à l’hôpital......(sauf pour certains cas désespérés… ).

A priori, la majeure partie des Faluchés gardent un très bon souvenir de leur baptême.

Et si ce n’était pas le cas, comment expliquer qu’ils reviennent régulièrement en Faluchage , où qu’ils portent leur Faluche dès qu’ils en on l’occasion ?



  1. Les relations externes (congrès, déplacements, anniversaires)

Le code de Paris (93/94), stipule que « lorsque deux étudiants de deux facultés différentes se rencontrent, ils doivent échanger leurs insignes de faculté ».

Tout d’abord, il ne s’agit pas d’une obligation, mais d’une possibilité ; d’autre part, on peut étendre la possibilité à Université, Association, Ville.....
Mais ces échanges entre Faluchards vont bien au delà de la « Bourse aux Pin’s ».

En effet, la Faluche pourrait se transcrire par « communiquer à la façon de Rabelais ».

Etre Faluché, c’est aussi rencontrer des gens de toutes les disciplines, de toutes les villes, voir d’autres pays.

Grâce à la Faluche, ces rencontres deviennent vraiment chaleureuses car il s’agit de rassemblement entre étudiants, dans une ambiance sans contraintes et bon vivant. Nous avons tous un point de départ commun : la Faluche et Rabelais (« Notre illustre prédécesseur »). On tient de lui, ou tout au moins de ses écrits, cet esprit festif et quelque peu paillard qui fait que nous aimons la vie sous tous ses angles (bien boire, bien manger, bien rire...).


Mais la Faluche c’est aussi, et surtout, une grande famille. Il se développe entre Faluchards (ou du moins certains par groupes d’affinités ou de proximité) un véritable esprit de fraternité et d’entraide. Souvent des liens se tissent entre des faluchards de villes avoisinantes,

(Lyon-Grenoble-St Etienne-Valence ou Paris-Lille etc...) et l’on hésite pas à prendre sa voiture pour aller passer la soirée chez des copains à 150km de là (invitation à des baptêmes, des intro...).


De plus, selon les appartenances nationales de vos associations, vous aurez peut-être l’occasion de vous déplacer dans la France entière pour des congrès, crit et autres manifestations, et il y en a très souvent. Vous y rencontrerez faluchards et non faluchards, et repartirez sans doute avec un pincement au cœur, car on se fait toujours plein de potes pendant les congrès.
Mais LE rassemblement à ne pas manquer, c’est l’anniversaire de Faluche qui se déroule depuis 1988, au mois de juin ou juillet. C’est un rassemblement d’environ 600/700 Faluchards de toute la France, sur les 13 000/15 000 à peu près, existants. Week-end exténuant de fête et de délires, cet anniversaire laisse des souvenirs inoubliables de rencontres en tous genres et souvent d’un instant. Il permet de consolider les liens déjà tissées entre certaines villes, ou de rencontrer des Faluchards un peu trop éloignés pour aller « passer une soirée chez eux ».
LES CONGRES DE LA FALUCHE …
1988 Le 100 à Reims

1989 Le 101 à Dijon

1990 Le 102 à Lille

1991 Le 103 à Clermont-Ferrand

1992 Le 104 à Poitiers

1993 Le 105 à Nancy

1994 Le 106 à Toulouse

1995 Le 107 à Paris

1996 Le 108 à Orléans

1997 Le 109 à Montpellier

1998 Le 110 à Reims

1999 Le 111 à Grenoble

2000 Le 112 à Lille

2001 Le 113 à Poitiers

2002 Le 114 à Paris

2003 Le 115 à Bordeaux

2004 Le 116 à Toulouse

2005 Le 117 à Lyon

2006 Le 118 à Amiens

2007  Le 119 à ???????

2008 Le 120 à Reims
2015 Le 127 à Rouen !!!!!!!!!!!!!

5. Et après ?

La question que vous vous posez sans doute tous, est : y a-t-il une vie après le diplôme ?

La réponse est OUI, bien évidemment. Après la vie étudiante il y a la vie professionnelle. On devient progressivement des « vieux cons », ou des « dinosaures », parfois figures emblématiques du passé des associations. On revient de temps en temps pour « voir les jeunes », et leur dire ironiquement « moi d’mon temps... »

Mais trêve de plaisanterie...


Lorsqu’on est plus étudiant, on procède en théorie à un « enterrement de Faluche ». Enterrement véritable autrefois, où l’ancien étudiant était le seul à savoir où il avait enfoui sa Faluche, enterrement symbolique désormais. C’est donc l’occasion de faire une grande fête entre amis, où les souvenirs de vie associative et Falucharde sont de rigueur.
Après cette cérémonie, l’ex-étudiant n’aura plus le droit de modifier sa Faluche en quoi que ce soit et devra demander l’autorisation d’un GM avant de la coiffer, lors d’événements exceptionnels.
Vue générale de la faluche :
Ruban circulaire : Aux couleurs de la discipline.
Rubans supérieurs et écussons : (dessin 1)
A : couleurs de la ville d’étude + écusson.

B : ruban d’élu étudiant, ruban(s) d’association (par exemple le BDE dont les couleurs sont blanc et bleu ciel, ou la FOIR : bleu ciel et jaune).

C : couleurs de la province natale + écusson.

D : couleurs de la ville natale + écusson.

Les écussons (en tissu) sont facilement récupérables dans les villes correspondantes.

Les Faluches ont une doublure, il est donc conseillé de la trouer à l’intérieur et pourquoi pas de mettre une fermeture éclair pour placer les pin’s directement sur le velours. Ainsi, la doublure protège la tête contre les douleurs que procurent les attaches de pin’s…


Parties du velours : (dessin 1)
1 : côté officiel :

  • associations, pin’s Faluchards…

  • établissements scolaires

  • clubs

2 : voyages, villes traversées (pour motifs étudiant), congrès...

3 : partie vierge que l’on remplie en général avec les pin’s de la partie C lorsqu’il n’y a plus de place, et ou l’on peut mettre les voyages personnels non étudiants

4 :  souvenirs personnel (c’est là qu’il ne faut pas mettre n’importe quoi …  ).

5 : côté personnel :  on y place tous les insignes figurant dans le code.

- - - - - - : devise en toutes lettres (brodées), du frontal à l’occipital.









  1. Surnom

  2. Initiales (Prénom / nom)

  3. Série du Bac

  4. Année du Bac

  5. Emblème de discipline, au centre

  6. Etoiles de cursus, le ruban bleu symbolise l’année pendant laquelle l’étudiant a été bizuté



dessin 1 dessin 2

Rouen, le 9 aout 2005

ce code est la deuxieme version unifié du code des faluchards rouennais

Il a été élaboré à l’aide du code de médecine des premières versions du code de l’INSA de Rouen du 5 janvier 1999, de trois codes de la région Lyonnaise récupérés sur Internet, du code de la F.E.T.T. de Toulouse (merci aux toulousains-lapins), du code de Montpellier (merci Nitrate), et du code à TOOF (merci TOOF !) et enfin de l’edition 2003 de ce code.

J’espère sincèrement que ce code sera utile pour les faluchards les impétrants (tes) et pour de nombreux autres étudiants !

« Je souhaite aussi de tout mon coeur, même si cela sera je le pense difficile, que lors de notre départ de l’INSA, d’autres poursuivront la belle aventure que nous avons commencée… »
« Faluchardement,
Sonic, GC INSA Rouen . »
oui Sonic , oui Titom(GM, ed 2003), oui Popeye ( GM, ed 2003), nous vous suivons , et continuerons je l’espere du mieux que nous pourrons a faire perdurer cette belle tradition de la faluche.



La F.O.I.R

Lutin Lubrique, GC droit

PROTOCOLE ADDITIONNEL




AU CODE DE LA FALUCHE NATIONAL

EN VIGUEUR A ROUEN



Ce protocole additionnel a pour but non pas de changer le code actuel utilisé à Rouen, mais de le compléter. A la fois avec les spécificités locales qui n’ont pas été incluses jusqu’ici dont celles de Rouen, qu’ils seraient bon de vérifier, et celles de Tours. Il y a aussi quelques lignes sur Dijon, qui méritent elles aussi d’être complétées (les faluchards de LSH à Rouen me semblent mieux à même que moi de le faire). Enfin quelques emblèmes et couleurs de disciplines qui, si j’en crois le code national utilisé à Tours ont été définis dans des congrès passés.

DECAPS (Droit, Rouen)

avec l’aide de




M.SPOCK (faluché en 1997 à Tours)

TITBABE (faluché en 2002 à Tours)

FLORENCE (LEA de Tours)

ALUNE (actuelle présidente de la rabelaisienne et secrétaire LEA à Tours)

ANTHONY (Géo à Tours)

Rouen

A Rouen, il existe un grand délateur assistant le GC et le GM dans leur officine. Celui ci est gardien du respect du rituel et des sanctions qu’il administre en cas d’agitation au fautif que le GM ou le GC lui désigne.

Les étudiants en médecine inversent le coté personnel et le coté officiel. Le cochon et le chameau se trouvent sur les rubans de ville et de région, tandis que l’emblème, lui, se trouve sur le velours de la faluche et non sur le circulaire.

Les ingénieurs se sont eux trompés dans l’agencement des couleurs sur leur circulaire. Leur satin de bleu roi et de noir mêlés, devait voir le noir placé au centre du circulaire au milieu du bleu, sur une mince bande. A Rouen, les ingénieurs portent un circulaire coupé en deux ayant le noir en dessous et le bleu au dessus.

En droit, les étudiants appartenant à une association portent les couleurs de celle ci en les faisant partir du frontal au milieu et non du milieu à l’occipital. Souvent, on retrouve même des rubans d’association partant du frontal pour finir à l’occipital.

Tours

Le circulaire des étudiants en géographie est jaune et violet, car à Tours, la géographie était couplée avec les sciences avant d’être associée aux droits et aux économistes.

Par contre en histoire l’emblème est le casque de Périclès (classique), ou alors le « profil d’Athéna ». Enfin toujours en histoire, de l’art cette fois ci, le casque de Périclès est associé à une palette.

Certains IUT sont en violet et blanc. Enfin le circulaire en histoire de l’art est jaune et bleu.

La faluche des tourangeaux est à circulaire souple sauf pour les LEA et les IUT, car leurs faluches sont commandées à Nantes (donc circulaire rigide).

En médecine, la rumeur court que la faluche des carabins reste de velours, car ils ne cousent rien dessus. Par contre il est confirmé qu’il existe un grand délateur et un grand sulfateur à Tours en médecine.

Le GM de sciences est par tradition un grelotteur, s’il ne l’est pas à son intronisation, il est grelotté au plus vite après.

Dijon

Il semblerait selon des sources tourangelles que les étudiants géographes de Dijon aient aussi un circulaire Jaune et Violet.




Tableau des emblèmes associés discipline



Au 112 à Lille en 2000 agroalimentaire fourchette et épis de blé croisés
Au 113 à Poitiers en 2001 Cinéma palette et pinceau

Filières sport (STAPS) coq




Tableau des couleurs associées aux disciplines



Au 113 à Poitiers en 2001 Cinéma Satin bleu clair
Au 114 à Paris en 2002 agronomie Satin vert foncé



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