I cliché e i modi di vivere: comportamenti
La perception des cliches dans les pays concernés
Les habitants des pays concernés par des stéréotypes ont toujours conscience de ces images qui circulent sur eux et sur leur patrie. Dans la plupart des cas, ils les perçoivent avec une certaine distance, bien que parfois ils réagissent de manières diverses. En fait, ce sont eux qui connaissent la réalité et leurs modes de vivre. Par contre, ceux qui les créent ont le plus souvent un seul point d’appui et ceux qui s’en servent n’ont aucune vision. À la base les stéréotypes se trouvent donc la méconnaissance de la culture cible.
Que peut-on penser des Français quand on constate qu’ils sont toujours en grève ou en vacances ? Il faut donc rire de l’inconscience de ceux qui diffusent ces propos. Parce que les Français travaillent aussi comme les autres. Et de la même façon, les Italiens ne passent pas tout leur temps à draguer des filles ou à regarder des matches de foot et les Espagnols qu’à assister aux corridas, ou à des fêtes.
En plus, les habitants des pays concernés sont aussi capables de retrouver dans l’histoire les origines des ces images. Par exemple, les Polonais sont considérés en France comme des buveurs de vodka. Et cette vision est due aux hommes qui y sont allés pour travailler dans les mines du nord, après la première guerre mondiale. Ils ont énormément bu durant cette période, mais comme tous les autres qui exercaient le même travail, car c’est la spécificité de ce métier difficile.
Pourtant, il n’est pas facile d’influencer ces visions une fois reçues. Il nous reste à espérer qu’un jour, elles seront changées ou transformées grâce à un voyage effectué ou à une connaissance faite d’un habitant provenant de pays concerné par des stéréotypes négatifs.
On dit que les espagnols... On dit que les roumains... On dit que les mexicains... Que les colombiens... Les français... On dit qu’ils ont des habitudes étranges... Ou en tout cas différentes !
Les clichés représentent souvent un mode de vie marquant. Par mode de vie, on peut aussi entendre la représentation que l'on peut avoir d'un "peuple" ou d'une culture.
El estilo de vida también varía gracias a las condiciones climáticas de la cuidad que habitamos. Lo que si es cierto es que ademas del cliché que representa vivir en una zona o otra, hay influencias muy importantes a la hora de hablar de lo que puede influenciar el estilo de vida y la personalidad de los habitantes de una ciudad.
Consider ca nu putem defini modul de viata dupa un cliseu. Aceste clisee doar ne imprima o idee despre modul de viata al cuiva insa nu cred ca un om inteligent se va ghida in gandirea sa despre un popor dupa un cliseu.Si cred ca daca ne am dori am reusi intr-o mica masura sa distrugem anumite clisee existente despre noi sau alte popoare.
Le cliché est souvent la cause de malentendu ou méprise. Les clichés sur un mode de vie sont surtout les caractéristiques uniques ou typiques de cette mode de vie qui peuvent nous diriger à construire notre propre "modo di vedere il mondo".
Demandons-nous les exemples positifs et négatifs de clichés que nous pouvons avoir ; les clichés propres à notre pays ; l’évolution de ces stéréotypes... Mais souvenons-nous : per capire un paese, usi e costumi e per imparare la lingua ci si deve andare...
Les réalités sociales changent pendant que les stéréotypes restent portés sur elles.
Les stéréotypes ne restent pas forcément figés, ils peuvent évoluer. Analyser cela constitue un phénomène complexe, car les relations entre les différentes groupes sociaux qui sont surtout responsables pour la création et le maintien des clichés sont très compliqués. Donc il faut aussi essayer de considérer les trois facteurs majeurs en même temps dont l’évaluation des clichés dépend : le temps, l’espace et la société.
La question du stéréotype social est liée à celle de l’identité: l’autre est perçue à la fois comme ce qui est exclu du groupe et comme ce qui le menace de dissolution. Cet aspect apparaît dans le comportement de la collectivité à l’égard des minorités ethniques; plus généralement, en tant que source de discrimination et de conservatisme, il explique tous les «stéréotypes de déviance» qui frappent ceux qui transgressent ou enfreignent la norme sociale.
C’est alors autour d’un concept psychosociologique de rôle que se rejoignent les caractères individuel et social du stéréotype. Ce dernier peut être compris comme une façon pour les individus d’un groupe d’assigner à l’autre un modèle de conduite différent de celui qu’ils partagent et, par-là, de trouver une garantie de leur propre statut et de l’adhérence à leur propre société.
En se focalisant sur l’aspect de temps, il faut dire que : Istoria ne demonstreaza ca orice s ar intampla cliseele raman...e ca si o amprenta..fiecare popor cu cliseele sale...fiecare si a lasat amprenta vizibila sau invizibila dorita sau nedorita in timp...indiferent de perioada mereu vor exista clisee.
Il est évident que les clichés restent très ancrés bien que le temps passe. Le fait que les Espagnols sont réputés pour leur fierté et leur orgueil a déjà été représenté dans les BD d’Astérix qui montre un cliché qui est désormais connu de tous: »Les Espagnols m’ont un peu reproché, avec raison, d’avoir représenté leur peuple sous la seule forme du guerrier basané, fier et brun, bref plutôt de type gitan, alors que ce pays est beaucoup plus riche en types de personnages [...] Mais je suis parti à fond sur ce cliché de l’Espagnol qui ne fiche pas grand-chose avec la femme derrière qui travaille aux champs. »
Pour conclure, il faut constater que le cliché change très peu quand le temps passe, mais il vaudrait mieux se poser la question si les stéréotypes ne devraient pas évoluer au plus vite grâce au développement de l’échange interculturel, les médias, de la politique et de l’économie internationale.
Conclusion
Au fil des années, certains clichés sont devenus récurrents tels que :
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Les français sont grévistes et ronchons.
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Les portugais dansent tous sur de la musique folklorique.
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L’Espagne c’est la corrida, le flamenco et le foot.
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Les italiens sont machos et aiment les pizzas.
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Les roumains sont souvent associés au « Roms » (gens du voyage).
Ces clichés sont restés dans les mœurs, les pensées et ont traversé les années et les pays, quelques clichés se sont évaporés mais beaucoup sont restés ancrés dans l’esprit de la plupart d’entre nous. Nous avons tous des clichés en tête sur tel ou tel pays mais lorsqu’il s’agit de notre propre pays, un sentiment d’injustice et de révolte apparaît car nous ne sommes pas toujours d’accord avec ces clichés, notre patriotisme et notre nationalisme enfoui au plus profond de nous-même refaisant parfois surface. C’est pour cela que nous nous cachons derrière d’autres clichés, en visant d’autres pays, d’autres cultures, d’autres peuples afin de nous protéger nous-même en contre-attaquant avant que l’on nous attaque sur nos « petites manies ». Les clichés sont avant tout une forme de se moquer avec beaucoup d’humour des coutumes des pays voisins qui sont différentes des nôtres, qui ne nous sont pas familières. Nous avons tous cette réaction lorsque nous allons dans un pays étranger et que nous voyons certaines choses que nous ne verrions pas dans d’autres pays. (La corrida en Espagne, le fado au Portugal, manger des grenouilles en France, parler avec les mains en Italie …)
Les clichés sont donc certes parfois blessants et humiliants, mais dans le fond, il n’en reste pas moins à la base taquins et bon enfant. Il faut donc savoir les prendre avec beaucoup d’humour et s’y habituer car, quoiqu’il arrive, même si les années passent, les clichés persistent et persisteront toujours nous apportant ainsi un sourire de temps à autre ou bien nous piqueront parfois dans notre orgueil, nous poussant à vouloir défendre notre pays et nos valeurs au maximum.
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