14ème rencontre régionale 11-12 octobre 2010 au Relais du Bois Perché à Aspet
La 14ème rencontre qui marque les 10 ans du réseau régional a réuni 32 électroniciens de Midi-Pyrénées et 4 invités. Elle a été organisée sur une journée et demie, les 11 et 12 octobre 2010 au Relais du Bois Perché situé à Aspet.
Lundi 11 Octobre 2010 :
Ouverture des rencontres : par Armelle Barelli (DR14) et Alexandre Teste (DR14)
Madame Armelle Barelli déléguée régionale de la DR14 ouvre cette 14ème rencontre en présentant les grands enjeux du CNRS et le CNRS dans notre région :
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Les grands enjeux du CNRS :
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Appels à projets LABEX (Laboratoires d’Excellence) pour renforcer l’excellence scientifique et le positionnement à l’international des laboratoires français
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Appels à projets EQUIPEX (Equipements d’Excellence) pour doter la France d'équipements scientifiques de qualité qui pourront bénéficier à l'ensemble des domaines de recherche
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Le CNRS dans notre région :
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6 sites géographiques
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Baisse de subvention de l’Etat dans les laboratoires, tendance des prochaines années. En conséquence le budget des laboratoires est construit de plus en plus sur les ressources propres (projets ANR, contrats Européens, Pôles de compétitivité, …)
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65 unités de recherche, 13 groupements de recherche, 1818 agents, 5 contrats quadriennaux avec les établissements partenaires : Universités Toulouse I, II, III, INP et INSA
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Une équipe à la délégation de 106 personnes
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Les effectifs des laboratoires (02/2010) :
CNRS : 2300 agents (827 chercheurs, 798 ITA, 431CDD, 144 boursiers docteurs ingénieurs, 66 post-doctorants, 34 ANR)
UNIVERSITE : 5499 agents (2067 enseignants-chercheurs, 774 IATOS, 2658 personnels temporaires)
On remarque un rapport disproportionné entre les 2 instances concernant le rapport ITA/chercheurs.
On remarque aussi le nombre croissant des personnels temporaires au niveau des 2 instances.
Alexandre Teste, de la Formation Permanente de la DR14, nous présente les actions menées :
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En 2009, formation de 2255 personnes, dont 40% non CNRS, qui représente 79051 heures de formation
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Le budget dédié aux réseaux hors ANGD est de 50 K€ dont 10K€ en moyenne pour les électroniciens
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En 2010, un budget de 16 670 € a été attribué au réseau des électroniciens soit 4,5% du plan régional de formation (356 000 euros)
En 2011, l’université augmentera son action de formation commune en participant financièrement, ce qui est une bonne nouvelle.
La présentation d’A.Barelli et A.Teste est accessible sur le lien suivant :
http://electroniciens.dr14.cnrs.fr/IMG/pdf/A_Barelli_-_Electronicien_oct2010.pdf
Historique du réseau : par Lahcen Farhi (LGC) et Christian Lemaire (LAAS)
C’est à la suite des premières rencontres électronique de Bonas en 1999 que l’idée de création d’un réseau régional a commencé à germer. Elle s’est concrétisée l’année suivante, grâce à un groupe de personnes qui a mis en place une structure régionale pour rassembler les électroniciens de la recherche. L’objectif du réseau est de promouvoir les échanges et les partages de connaissances, des compétences et des savoir-faire entre les agents isolés ou non dans le domaine de l’électronique, ceci dans l’intérêt de tous… agents et laboratoires. C’est ainsi que l’an 2000, a vu naître le réseau des électroniciens de Midi-Pyrénées… notre réseau régional.
Le comité de pilotage qui anime le réseau est constitué de 15 électroniciens (11 CNRS et 4 Universitaires). Le réseau rassemble 105 électroniciens dont 95% sur Toulouse. Parmi les actions menées par le réseau régional :
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rencontres régionales (12 thèmes techniques et 5 thèmes généraux), 32 participants en moyenne par rencontre et 70% des électroniciens qui ont participé au moins une fois, 5 séminaires techniques, 25 formations (160 participants), Création d’un site web et d’une liste de diffusion, Tableau de synthèse du savoir faire des électroniciens de la DR14 accessible sur le site web.
Pour mener ces actions, le réseau s’appuie sur le soutien logistique et financier de la formation permanente de la DR14 (budget moyen par an de l’ordre de 10 K€).
La présentation de C.Lemaire et L .Farhi est accessible sur le lien suivant :
http://electroniciens.dr14.cnrs.fr/IMG/pdf/C_Lemaire_-_Historique_RR_Aspet_Octobre_2010.pdf
Débat sur l’évolution du métier d’électronicien : par Jean-Félix Alquier (IMFT) et Michel Dupieux (LATT)
Le débat s’est articulé autour de 3 questions essentielles dans l’évolution de notre métier :
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Quelle est votre perception de l’évolution technique de votre métier ?
2) Comment vous êtes vous adaptés à ces changements ?
3) Quel doit être selon vous le rôle du réseau régional dans cette évolution ?
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Quelle est votre perception de l’évolution technique de votre métier ?
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Electronicien seul dans son labo : Privilégie son temps à la conception et beaucoup de sous-traitance pour l’application finale
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Electronicien seul dans son labo : On est parfois amené à réaliser des projets électroniques à la "Papa" avec d’anciennes technologies (tubes électroniques, …) pour des manips exotiques
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Utilisation de Kits et conception de cartes interfaces pour arriver au projet final
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L’électronique est de plus en plus informatisée, frontière électronicien / informaticien
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On demande à l’électronicien de s’adapter aux thématiques de recherche de son laboratoire
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Difficulté de discuter avec les chercheurs et de pouvoir leur dire si besoin est, que ce qu’il demande est impossible à faire et ceci sans être pris pour une "bille"
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Demande énorme de réactivité et de créativité de la part des chercheurs, leur faire comprendre qu’il faut du temps pour monter un projet
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On est pris entre 2 "mâchoires", sur les projets il faut être de plus en plus réactif, les projets sont de plus en plus complexes ce qui demande à se former. Difficulté à utiliser plusieurs outils en parallèle. Evolution forte des techniques, donc attention aux pertes de compétences. En conséquence si les chercheurs ne te trouvent pas assez efficace, ils t’enlèvent des projets intéressants
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Le signal est échantillonné de plus en plus tôt, puis traitement numérique du signal qui demande des compétences en calcul et en programmation
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Difficulté de trouver une formation adapté aux besoins immédiats et qui sera mis en place avant que notre besoin n’en soit plus un
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Comment vous êtes vous adaptés à ces changements ?
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Pour 3 intervenants : formation et autoformation
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Attention à l’autoformation, dépensière en temps et parfois inefficace, qui ne peut pas se substituer à une formation ou une action de tutorat.
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Corréler autoformation, tutorat et 3ème question du débat sur le rôle du réseau régional
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La formation est une démarche individuelle
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Crédibilité de l’électronicien dans son laboratoire : est-ce qu’il y a les compétences requises dans le laboratoire
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Sollicitation de l’agent pour des tâches autres que l’électronique, ex : dépannage informatique, charges administratives, …
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Mise en garde contre les boites toutes faites proposées par exemple par National Instruments (carte + Labview) risque : perte de compétence du métier d’électronicien
Financièrement parlant cela devient plus dur par le prix des logiciels et leur maintenance
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Quel doit être selon vous le rôle du réseau régional dans cette évolution ?
Faute de temps la question a été très peu abordée, mais le rôle du réseau régional doit être un plus dans l’évolution du métier d’électronicien :
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Actions de formation spécifiques au métier d’électronicien,
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Accès ponctuel à des ressources matérielles,
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Actions de tutorat formalisées,
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Actions d’entraide ponctuelle non formalisées (Tel, e-mail, …),
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Consultation de la fiche de savoir faire des électroniciens et mise à jour régulière de cette fiche
L’introduction au débat par JF.Alquier et M.Dupieux est accessible sur le lien suivant :
http://electroniciens.dr14.cnrs.fr/IMG/pdf/Table_ronde_evolution_du_metiers_d_electronicien_au_CNRS_3.pdf
Le partage d’expérience :
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Les Photodétecteurs par Jean-Louis Druilhe (ECOLAB)
L’exposé consiste à comparer les photomultiplicateurs (PMTs) aux photodiodes à avalanche (APDs) en mode normal et en mode Geiger. Les PMTs, utilisés depuis de très nombreuses années pour la détection de la fluorescence, sont peu à peu remplacés par de nouveaux détecteurs de type APDs. Les PMTs sont reconnus pour avoir une grande plage d'amplification des photons mais sont des tubes à vide volumineux qui nécessitent un environnement électrique et électronique contraignant pour leur mise en œuvre. Les APDs présentent l’avantage d’un conditionnement restreint mais ont un gain faible et sont sensibles aux paramètres d'environnement, particulièrement la température. Les APDs en mode Geiger deviennent des détecteurs numériques de comptage de photon unique. La comparaison s'appuie sur des exemples de mise en œuvre de ces différents types de détecteurs sur la plateforme de spectroscopie de l'IPBS.
La présentation de JL.Druilhe est accessible sur le lien suivant :
http://electroniciens.dr14.cnrs.fr/IMG/pdf/jl_druilhe_-_ASPET_11oct_2010.pdf
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Application des caméras CCD/CMOS à la métrologie en mécanique des fluides par Sébastien Cazin (IMFT)
La recherche expérimentale en mécanique des fluides est une discipline qui a très souvent recours à l’imagerie, déclinée sous diverses formes, pour caractériser quantitativement ou même simplement qualitativement les écoulements. Les techniques de mesure telles que la Vélocimétrie par Imagerie de Particules (PIV), la fluorescence Induite par Plan Laser (PLIF), l’ombroscopie ou la thermographie infrarouge permettent d’extraire, de manière non intrusive, des grandeurs physiques telles que la vitesse, la concentration d’espèces, la forme, taille,… d’objets (bulles, gouttes,…), ou des champs de température dans les écoulements. Nous verrons notamment que les progrès importants réalisés ces dernières années dans le développement des caméras numériques ont impacté de manière sensible les potentiels de ces techniques de mesure.
Séance posters :
Faute de temps, la séance posters est l’oubliée de notre rencontre. En effet, l’apéritif a été servi rapidement et nous ne disposions pas d’endroit adéquat pour exposer nos posters. Malgré tout, les posters ont le mérite d’exister et représentent une vitrine des réalisations techniques dans les laboratoires.
Les 8 posters sont accessibles sur le lien suivant, puis Séance posters :
http://electroniciens.dr14.cnrs.fr/spip.php?article236
La journée du lundi s’est terminée par un sympathique apéritif au champagne offert par la Délégation Régionale suivi d’un repas convivial.
Mardi 12 Octobre 2010 :
Ateliers : "De la conception à la réalisation"
La chaine CAO par Stéphane Martin (LAPLACE)
Cet atelier CAO présente brièvement la phase amont de conception de nombreux projets en électronique dans l'environnement de la suite logicielle OrCad Cadence :
- simulation analogique et numérique sous Capture PSPICE
- schématique avec notamment la fonction CIS pour la gestion des composants
- passerelle de Capture vers PCB Editor
- du PCB vers la carte finale
La présentation de S.Martin est accessible sur le lien suivant :
http://electroniciens.dr14.cnrs.fr/IMG/pdf/S_MArtin_-_CAO_Aspet.pdf
Techniques de câblage CMS par Gilles Brillat (UFR-PCA), Patrick Marcoul (LAAS) et Lionel Pettiti (CEMES)
Cet atelier a permis aux participants de montrer l’évolution de nos méthodes de conception et réalisation. En introduction, les intervenants ont présenté les différents appareils et techniques. Ensuite, nous nous sommes rendus dans une autre salle où étaient installés 3 stands complémentaires : Station de soudage sans plomb, rangement spécifique des composants et cartes, hotte d’aspiration de fumée, four de refusion. Chacun a pu s’initier à ce type de techniques avec le matériel adéquat. Nous saluons le volontariat des intervenants pour le déménagement de leur matériel.
La présentation de G.Brillat, P.Marcoul et L.Pettiti est accessible sur le lien suivant :
http://electroniciens.dr14.cnrs.fr/IMG/pdf/atelier_CMS_-_brasure_CMS2.pdf
Séminaire sur les techniques et la méthodologie de routage complexe, type BGA par Daniel Médale (LAAS) et Jérôme Manhès (LAAS)
Cet exposé décrit les étapes nécessaires à la conception et au routage d’un circuit imprimé intégrant un ou plusieurs composants de surface à haute densité en technologie BGA (Ball Grid Array). Pour cela s’appuie sur une carte conçue et routée au laboratoire dans le cadre du projet « Antenne sonore : localisation de sources sonores en robotique mobile » présenté lors d’une rencontre précédente. Dans un premier temps, on évoque les contraintes des utilisateurs et de la société en charge de la fabrication du circuit imprimé, puis on présente les solutions retenues. Dans un deuxième temps, on décrit les différentes étapes du routage, jusqu’à l’assemblage et au test de tels composants.
La présentation de D.Médale et J .Manhès est accessible sur le lien suivant :
http://electroniciens.dr14.cnrs.fr/IMG/pdf/manhes-_Presentation_Techno_BGA.pdf
Le partage d’expérience :
Oscillateur HF en HT par Thierry Ravel (IRSAMC)
Initialement non prévu, Thierry nous a proposé de présenter brièvement une de ses réalisations, qui a le mérite d’utiliser un montage à tubes électroniques !
La présentation de T.Ravel est accessible sur le lien suivant :
http://electroniciens.dr14.cnrs.fr/IMG/pdf/oscillateur-moretto.pdf
Table ronde « Tutorat » : Ses moyens, ses limites par Arnauld Biganzoli (INSERM), Lahcen Farhi (LGC) et Stéphane Martin (LAPLACE)
Arnauld a animé le débat sur le tutorat en rappelant son utilité pour l’ensemble de notre communauté d’électroniciens. Le réseau existe depuis 10 ans et le bilan du tutorat reste mitigé. Il nous fait part d’une volonté du comité de pilotage de faire un inventaire de ce qui existe aujourd’hui et d’analyser les contraintes de son développement pour l’améliorer ou pour le reconstruire.
Une analyse partagée par tous consiste à faire bénéficier l’électronicien isolé des différentes expertises possibles en l’accompagnant dans ses développements électroniques.
Pour la délégation régionale, les actions de tutorat sont assimilées à des actions de formation et il existe une convention officielle. La discussion a débuté en identifiant le ressenti de chacun par rapport à la définition du tutorat.
Qu’est ce le tutorat ou quelle perception en avez-vous ?
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Un partage des savoir-faire avec l’ensemble des électroniciens.
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Le tutorat n’est pas considéré comme une formation.
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Il y a tutorat quand il est pratiqué en dehors du laboratoire ce qui implique que l’aide apportée au collègue voisin n’est pas considérée comme un acte de tutorat.
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Le tutorat est considéré comme une demande d’un membre de notre réseau auprès d’un expert identifié pour résoudre un problème technique particulier. Ce principe le différencie nettement d’une formation qui a pour objectif de transmettre un éventail large de connaissances à un public hétérogène.
Quelles sont les limites immédiates ?
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La première limite partagée par l’ensemble des intervenants est le temps passé auprès du collègue qui demande un tutorat. Le risque est une durée de tutorat qui pourrait devenir visible pour nos directeurs respectifs sans que ceux-ci en aient au préalable été informés et que la bonne action du tuteur se retourne contre lui.
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La disponibilité du tuteur et en particulier si c’est un électronicien isolé.
Quelle forme faut-il retenir ou améliorer ?
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Si le tutorat devient une action longue et répétitive, il faut qu’il soit transformé en action de formation officielle.
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Sur le site web, il pourrait être mentionné les actions de tutorat qui ont été entreprises avec différentes rubriques affichées.
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Préciser que le tutorat est dans l’intérêt des laboratoires.
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Faciliter des initiatives libres et spontanées avant de formaliser sans pénaliser l’activité des laboratoires.
Des réponses ont été partiellement apportées par William Benharbone et Christian Lemaire lors de la séance plénière. On remarque que le tutorat en Midi Pyrénées est informel car le réseau est actif, chacun se connait. Par conséquent, l’agent ne ressent pas le besoin de formaliser (avantages de la proximité). Quand l’action de tutorat se prolonge au-delà d’une demi-journée, il faut envisager de valoriser l’action du tuteur. Si les actions de tutorat pénalisent le potentiel horaire du tuteur dans ses missions, il faudrait aboutir à une reconnaissance rétroactive du tutorat pour faciliter au préalable son déroulement et inventorier un effet mémoire pour sa valorisation en tant que tel. Une formalisation excessive auprès de nos directeurs respectifs peut générer des réticences. L’idéal serait une acceptation par les 2 directeurs de laboratoire de mutualiser ponctuellement, leurs ressources humaines par une convention. La MRCT, présente par Gérard Lelièvre, légitime ces initiatives et finance les missions.
La présentation d’A.Biganzoli, S.Martin, L.Farhi et C.Jarnot est accessible sur le lien suivant :
http://electroniciens.dr14.cnrs.fr/IMG/pdf/Le_Tutorat.pdf
Actions du Comité de Pilotage National du réseau des électroniciens par William Benharbone (CPN)
Présentation des différents "supports de communication" mis à disposition "par et pour " le réseau des électroniciens, à savoir le "site internet", les "listes de diffusions régionales et nationale", la "documenthèque" (contraction de documents et bibliothèque) et dernièrement le "Forum" qui permettrait de libérer la liste de diffusion pour former, un point de réponse à des questions (résolues ou non), lieu de partage pour que chaque nouvel entrant au sein du réseau des électroniciens trouve réponses ou méthodologies.
Pour rappel, le réseau national à pour vocation de rassembler et briser l’isolement de l’électronicien dans son laboratoire, qu’il appartienne à un réseau régional actif, activé mais latent ou en sommeil. La création d’un réseau passe par le regroupement volontaire de quelques électroniciens ou instrumentalistes prêts à animer leur région avec l’appui des tutelles : Formation Permanente (SFIP), Ressources Humaines (RH), Mission Ressources et Compétences Technologiques (MRCT).
La présentation de W.Benharbone est accessible sur le lien suivant :
http://electroniciens.dr14.cnrs.fr/IMG/pdf/W_Benharbone-RDE_Presentation_DR14_small.pdf
Clôture des rencontres par Gérard Lelièvre (MRCT)
La clôture de ces rencontres effectuée par la MRCT donnera à chacun une vue d’ensemble sur les différents réseaux, l’interdisciplinarité, leur interaction et le positionnement de la Mission Ressources et Compétences Technologiques au sein du CNRS avec les dynamiques qu’elle à impulsé dans les réseaux, notamment lors des JIR2010. "Journées Inter Réseaux" auquel malheureusement le réseau des Electroniciens n’à dû sa représentativité que par la réactivité de M. Gérard LELIEVRE à faire venir un volontaire désigné localement (par connaissance). Le réseau n’ayant pu avoir de représentants officiels a ces JIR2010.
Le manque d’actions entreprises nationalement impute fortement le budget du réseau des électroniciens national qui ne cesse de diminuer année après année, une restructuration du Comité de pilotage National devrait être une priorité des réseaux régionaux et national en collaboration avec les instances de tutelles (MRCT, SFIP, OdM).
G.Lelièvre espère fortement que la MRCT apparaisse clairement dans l’organigramme du CNRS. Cette reconnaissance serait une avancée importante pour la MRCT, pour l’ensemble des réseaux de métiers et aussi pour les agents qui s’investissent dans l’animation et la vie de ces réseaux.
La présentation de G.Lelièvre est accessible sur le lien suivant :
http://electroniciens.dr14.cnrs.fr/IMG/pdf/G_Lelievre-MRCT__HP_111010_v2.pdf
La 14ème rencontre est clôturée. Merci à tous pour votre participation aux 10 ans du réseau régional et rendez-vous pour la 15ème rencontre régionale.
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