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Ressources et moyens Ressources humaines- compétences



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Ressources et moyens

  1. Ressources humaines- compétences

    1. Liste des personnels


  • Personnels, tous statuts compris, présents au 1/1/14, avec leur(s) compétence(s) dominante(s) (discipline scientifique et champ thématique).

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      1. Évolution des compétences


  • Repérage des compétences à renouveler ou à réorienter en fonction des départs prévisibles de personnels permanents Par redéploiements/recrutements, accueils, formation, HDR,... sous hypothèse de moyens globalement constants.

  • Identifier les compétences disciplinaires prioritaires à mobiliser, en interne et en externe ; accueils de haut niveau "attractifs"

Proposition Etienne Leblois : Maths appli

L'AERES a identifié les domaines suivants où le TR manque de compétences :



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    1. Organisation


  • Noter en particulier comment est prise en compte la dimension inter-équipes et, s'il y a lieu, des éléments spécifiques de gouvernance

L’objectif de l'organisation en TR est de promouvoir la dimension nationale d'Irstea, en encourageant une collaboration entre équipes aussi poussée que possible. Sans cette dimension nationale, Irstea n'aura d'autre avenir qu'une fusion (à l'échelle régionale) avec les établissements d'enseignement supérieur.

Pour atteindre cet objectif, le TR ARCEAU souhaite s'appuyer sur une définition précise des prérogatives de chacun :



  • Responsables d'équipe : les équipes constituent la maille élémentaire de l'organisation en TR. L'animation scientifique au jour le jour est du ressort du responsable d'équipe, qui met en œuvre le projet du TR.

  • Chercheurs titulaires d'une HDR : les chercheurs titulaires d'une HDR assurent le suivi scientifique des thèses au sein du TR. Ils participent à toutes les discussions, aux délibérations et au vote concernant les allocations doctorales.

  • Animateurs d'ateliers : les animateurs d’ateliers, nommés par le DAS, animent et organisent pratiquement les séminaires en lien avec le DAS.

  • DAS : le DAS favorise le partage de l’information scientifique et technique au sein du TR en lien avec les responsables d’équipe et animateurs d'ateliers. Avec les animateurs d'ateliers, il organise le programme scientifique des réunions d'animation. Il organise, en outre, une réunion annuelle pour l'évaluation des sujets de thèse. Il interagit avec les chefs d'UR, donne l'avis du TR à la demande du directeur de département et représente le TR au sein d’Irstea et à l'extérieur.

La structure de concertation principale est le Conseil Scientifique du TR (CSTR) : constitué des responsables d'équipe et des titulaires de HDR. Il se réunit sur convocation du DAS pour évaluer les demandes de bourse de thèses soumises à l'établissement.




  1. Terrains de recherche et politique qualité

    1. Équipements scientifiques et terrains d'expérimentation


  • Tous les équipements seront décrits. Identifier les plates-formes ayant vocation à servir de support aux partenariats avec les acteurs du secteur économique

Le TR dispose de différents moyens expérimentaux pour ses activités de recherche : des sites de terrain et des laboratoires (voir fiches descriptives en Annexe). Une partie des sites de terrain revêt un caractère pérenne, d’autres sont exploités sur une durée déterminée en lien avec un ou des projets spécifiques. La programmation 2014-2018 couvrira essentiellement les sites pérennes (les sites liés à des projets étant par nature une question d’opportunité). On distinguera les nouveaux laboratoires d’Irstea à Villeurbanne et les sites de long terme.


  • Nouveaux équipements scientifiques

L’installation sur le site de Villeurbanne a permis aux équipes lyonnaises de créer de nouveaux équipements scientifiques, pemettant d’approfondir les recherches menées en hydrodynamique fluviale et autour de la caractérisation des propriétés du sol et des sédiments :

  • Hall hydraulique - ce hall représente un outil sans égal à ce jour en France (canaux inclinables, alimentation en sédiments en continu) pour aborder l’étude fine du transfert de sédiments et l'écoulement en milieu urbain, et développer des paramétrisations de modèles analytiques et semi-empiriques, calage et validation de modèles. Les financements extérieurs reçus suggèrent une exploitation ouverte de cet équipement, ce qui peut être assuré dans le cadre de recherches en collaboration ;

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  • Laboratoire SEDSOL - ce laboratoire a pour objectif l'analyse des propriétés physiques des sédiments et du sol. Il rendra possible la suite complète d'analyses physiques des sédiments fins, en particulier pour la caractérisation des distributions granulométriques ainsi que l’analyse des propriétés hydrodynamiques d’échantillons de sol.

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  • Des observatoires de long-terme pour comprendre les changements globaux

Depuis des décennies, les hydrologues et les hydrauliciens d’Irstea se sont appuyés sur des observatoires de long terme. L'accent mis pour la période à venir sur les questions de changement global et de non stationnarités justifie pleinement ce choix, il y a donc lieu de poursuivre l'action d'observation de long terme, en priorité sur les observatoires suivants :

  • L'observatoire Oracle (construit sur la base du bassin versant de recherche de l'Orgeval) suivi depuis 1962, est représentatif des grands bassins sédimentaires anthropisés. Site expérimental de la FIRE (Fédération de recherche en environnement en Ile de France), service d’observation de l'OSU8 Ecce Terra, il a été intégré au réseau de bassins versants français labélisé SOERE9 par ALLENVI est reconnu équipement d’excellence à travers le projet CRITEX par l’ANR depuis 2011. Pour la période 2014-2018, l’observatoire devrait être valorisé par l’ensemble des équipes du TR ARCEAU.

  • Le bassin versant de recherche du Réal Collobrier, suivi depuis 1967, est représentatif de l'hydrologie en zone méditerranéenne et il sera intégré avec d'autres petits bassins versants au projet Equipex Radar pour l'amélioration de la connaissance des champs de pluie.

  • Le site du bassin de l’Yzeron (OTHU, SOERE URBIS) est suivi depuis 1999. Son instrumentation sera renforcée pour mieux comprendre les processus associés aux zones urbanisées et aux réseaux artificiels, et on travaillera à y attirer d’autres équipes (dans le domaine de la géochimie en particulier). Nous chercherons aussi à inscrire ce bassin versant dans un réseau mondial de bassins liés au programme EcoHydrology du PHI (UNESCO).




  • Des sites variés liés à des projets

En parallèle, nous continuerons des suivis de bassins versants instrumentés dans le cadre de la ZABR. Nous poursuivrons les suivis de bassins versants agricoles équipés pour la mesure de la dynamique de flux de polluants en milieu agricole (bassin versant Ardières-Morcille), ou des flux de MES dans les cours d’eau (site Arc-Isère), le lien avec leurs effets sur les écosystèmes aquatiques, et progressivement la prise en compte d’aspects socio-économiques (évolution de pratiques agricoles notamment).

Dans le cadre des projets en cours portant sur l'évaluation des zones tampons humides pour réduire les transferts de la pollution diffuse dans les versants agricoles, les équipements des sites de Rampillon, Aulnoy et Bray seront maintenus. Le site de Rampillon est pilote pour la mise en place d'un plan de mesures associant réduction des intrants (plan ECOPHYTO 2018) et aménagements tampons.




  • Une présence sur des sites gérés par nos partenaires

Rappelons pour mémoire notre implication dans des observatoires gérés par d'autres partenaires : OHM-CV (notamment dans le cadre du projet FloodScale); l'Observatoire des Sédiments du Rhône qui élargit le champ des activités menées dans le cadre de la ZABR.


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