Troisième partie :
la territorialisation de la politique économique dans la métropole lyonnaise (1980-2005) 263
Section 1 : IMPERATIF ECONOMIQUE ET MONTEE EN PUISSANCE DES POUVOIRS PUBLICS LOCAUX DEPUIS 1980 267
I – Les mutations du cadre référentiel de la régulation économique 268
1- La compétitivité économique territoriale au centre des politiques urbaines 269
2- L’évolution du cadre législatif français (1982-2002) 271
Conclusion de chapitre 274
II – Le processus de réappropriation politique de l’impératif économique 274
1- Les freins à l’engagement économique communautaire dans les années 1980 275
Divergences idéologiques au sein de la classe politique lyonnaise 276
Autres facteurs limitatifs de l’engagement économique communautaire 278
La primauté des initiatives municipales en faveur de l’économie 280
La domination politique de la municipalité lyonnaise sur l’appareil communautaire 283
2- L’inscription de l’enjeu économique dans l’agenda politique communautaire 286
Entre rhétorique métropolitaine et consécration légale 286
L’économie au centre de la politique urbaine lyonnaise 289
Extension sectorielle du domaine de la lutte économique 293
Conclusion de Chapitre 296
III - Montée en puissance de la compétence économique dans l’organigramme communautaire 297
1- Une difficile saisine technique de la problématique économique dans les années 1980 298
2- Anticipation d’une compétence attendue (1989-1991) 299
3- Le temps de l’officialisation (1992-1998) 301
La parenthèse SODERLY 301
La Direction des Affaires Economiques et Internationales 303
4- La consécration des services économiques communautaires (depuis 1999) 304
Renforcement de la capacité d’action et tentatives territoriales de la DAEI 305
Instauration de la TPU et redéfinition de l’intérêt économique communautaire 307
Territorialisation de la politique économique communautaire… 310
… ou tentations hégémoniques de la part du Grand Lyon ? 313
Conclusion de chapitre 314
Conclusion de section 315
Section 2 : LA STRATEGIE COMME MODALITE DE REGULATION ECONOMIQUE TERRITORIALE 319
I - L’avènement de la méthode stratégique durant la décennie 1980 320
1- Qu’est-ce que la démarche stratégique ? 321
Un nouveau principe d’action économique pragmatique et flexible 321
Une méthode d’action publique adaptée à la contrainte concurrentielle 323
2- L’application de la méthode stratégique à la politique économique lyonnaise 326
L’urbanisme et l’aménagement au service du développement économique territorial 326
Entre urbanisme économique et stratégie de positionnement international 329
Sous-traitance et partenariat, solutions à la quête de pragmatisme économique 331
3- La planification stratégique, pivot du développement économique local 334
Une nouvelle culture partagée de l’action publique 335
Une vision stratégique de la planification urbaine portée par les acteurs économiques 338
L’AGURCO, vecteur de l’acculturation stratégique de la puissance publique locale 340
L’essence stratégique du projet de schéma directeur « Lyon 2010 » 343
Une déclinaison spatiale et multisectorielle des enjeux de développement économique 345
Conclusion de chapitre 348
II - L’intégration fonctionnelle des politiques urbaines 350
1- Projet urbain et globalisation de l’action publique au service du développement économique 351
La dimension économique du projet urbain 352
La mise en œuvre opérationnelle des projets urbains stratégiques 354
Les missions territoriales, vecteurs de transversalité et de proximité dans l’action publique 358
2- Difficultés de mise en cohérence développement urbain / développement économique 362
Vertus intégratives de l’aménagement des surfaces d’activités 362
Renouvellement urbain et développement économique 364
Le cloisonnement sectoriel de l’action économique communautaire 367
Un problème de compétences techniques en matière d’action économique ? 370
3- De l’animation territoriale au développement économique décentralisé 374
La réorganisation territorialisée de l’intervention économique 375
Avantages et limites du développement économique territorialisé 379
Conclusion de chapitre 382
Conclusion de section 383
Section 3 : CONFIGURATIONS ET LIMITES DE LA NOUVELLE GOUVERNANCE ECONOMIQUE LYONNAISE 385
I – Le repositionnement contraint des organismes à vocation économique 386
1- Le rôle pilote des acteurs économiques dans les années 1980 387
L’ADERLY au cœur de la conception stratégique de la politique économique territoriale 387
Accueil, promotion, internationalisation et rhétorique technopolitaine 390
Expertise économique et vision stratégique du développement économique local 393
2- La subordination des structures représentatives des intérêts économiques au Grand Lyon 396
Les structures patronales, acteurs incontournables du développement économique local… 396
… Soumis à la concurrence de nouveaux organismes de représentation des entreprises… 399
… et progressivement relégués au second plan par la DAEI du Grand Lyon 403
3- La gouvernance économique lyonnaise 407
Conclusion de chapitre 409
II – L’instauration de relations directes entre le Grand Lyon et les entreprises 411
1- Un nouveau rapport du politique aux entreprises 411
2- Du partenariat public/privé à l’intégration de l’intérêt des entreprises 413
Le recours aux entreprises privées dans l’aménagement urbain 414
Un cas d’école, la Cité Internationale 415
Une participation accrue des acteurs économiques à la planification urbaine 418
Les entreprises, cibles, partenaires et vecteurs directs du développement économique territorialisé 421
Du SDE au GLEE : l’avènement de l’intérêt des entreprises au cœur de la politique économique 425
3- Limites politiques de l’intégration de l’intérêt des entreprises par le Grand Lyon 430
Contradictions entre les objectifs spatiaux de l’action publique et le développement économique 431
Le développement économique territorialisé au risque de la représentation démocratique 435
Poursuite de l’intérêt général ou défense de l’intérêt des entreprises ? 440
Conclusion de chapitre 444
Conclusion de section 445
Conclusion de la 3ème Partie 449
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