366 «Les regards de Jésus».
Le premier jour commence par une méditation sur les regards de Jésus. Dieu le Père s'est approché de nous; cette rencontre devra transparaître dans toutes les proclamations de la journée. «Qui me voit, voit le Père». Regarder, c'est fixer volontairement les yeux. Dans le regard, il y a donc une intention qui, pour Jésus, est un projet d'amour.
367 Cette méditation ajoute, à la proclamation de l'amour de Dieu, la constatation que l'individu peut malheureusement refuser cet amour. C'est le risque inhérent au mystère de la grâce et de la liberté. Trois réactions différentes au regard de Jésus sont présentées, toutes trois tirées de scènes évangéliques: le jeune riche, enchaîné à son confort; Judas, victime de son idéologie; Pierre, aveuglé par sa suffisance. Le candidat est invité à définir son attitude devant le Christ qui le regarde, en se demandant comment il le voit maintenant.
368 C'est une méditation qui complète les deux premières et focalise la réponse aux proclamations qui se feront tout au long de la journée. Son objectif est donc d'illuminer ce jour par la personne de Jésus qui regarde, de trois façons différentes, selon la disponibilité de chacun face à Lui. Le regard de Jésus correspond au regard de chacun. L'important est de souligner la distance infinie entre l'attitude du Christ et celle de chacun de nous, même de ceux qui se qualifient comme «bons», à l'égal du fils aîné de la parabole.
Dostları ilə paylaş: |