Composition du comité scientifique


O5 – Plan national de lutte relatif à l’écureuil à ventre rouge (



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O5 – Plan national de lutte relatif à l’écureuil à ventre rouge (Callosciurus erythraeus) dans les Alpes-Maritimes : mise en place et premiers résultats

SESSION 2


SESSION 2

Ecureuil à ventre rouge, Callosciurus erythraeus, Sciuridé originaire d’Asie introduit à la fin des années 1960 par un particulier sur le Cap d’Antibes. Expansion de la population (1800 ha en 2010, environ 3000 ind., avec localement de fortes densités (8 ind./ha), avec comme conséquences :

- impact sur la biodiversité : compétition avec l’écureuil roux, écorçage d’arbres et arbustes….

- impact économique : rongement des câbles téléphoniques, des réseaux d’arrosage, des structures en bois des bâtiments et consommation des fruits.

Ces impacts (et surtout la consommation des fruits) sont à l’origine du contrôle de cette espèce par des particuliers, excédés par les dégâts causés => intervention par piégeage (pièges non sélectifs), par tir (risque de confusion avec l’écureuil roux, espèce protégée) et par empoisonnement (avec des conséquences potentielles sur un grand nombre d’espèces non cibles).

L’aire de répartition encore limitée de cette espèce dans les Alpes-Maritimes, son impact et l’intervention des particuliers par des méthodes non adaptées sont à l’origine du lancement d’un plan national de lutte par le Ministère en charge de l’écologie. Cet écureuil est également considéré comme invasif dans les différents pays où il a été introduit : Japon, Belgique, Hollande, Italie et Argentine. Déroulement du plan. Etape 1 : recherche (biologie, écologie, impact) et communication auprès du public (2010-2012). Etape 2 : Arrêté préfectoral du 30 mars 2012 autorisant la destruction de ces rongeurs (tir, piégeage) par un nombre limité d’intervenants (piégeurs agréés, lieutenants de louveterie, gardes-chasse particuliers), formation des intervenants (ONCFS, MNHN). Etape 3 : intervention sur le terrain, notamment en limite de son aire de répartition de l’espèce (=>limiter son expansion).

En mars 2014, environ 800 individus prélevés.



Chapuis J-L1, Pisanu B1, Gerriet O1,2

1Muséum national d’Histoire naturelle, Paris, France

2 Muséum d’Histoire naturelle, Nice, France


O6 – Contrôle des écureuils exotiques et acceptation par le public
De nombreuses espèces d’écureuils ont été très introduites à travers le monde, trois d’entre elles ayant le statut d’invasive : l’écureuil gris (Sciurus carolinensis), l’écureuil à ventre rouge (Callosciurus erythraeus) et l’écureuil de Corée (Tamias sibiricus). Les deux premières font l’objet de programmes de contrôle, contrairement au tamia, encore en vente dans les animaleries en Europe. En Grande-Bretagne et en Irlande, où la lutte contre l’écureuil gris a débuté dans les années 1980, les ruraux ne s’opposent pas à leur contrôle par tir, piégeage et empoisonnement alors que les citadins préféreraient des méthodes contraceptives. Toutefois, peu d’oppositions ont été observées dans ces pays où le public regrette la disparition de l’écureuil roux, leur espèce préférée. En Italie par contre, en relation avec un effort de communication peut-être insuffisant (et la présence encore d’écureuils roux), un programme de contrôle a été stoppé sous la pression d’une association de défense des animaux. Au Japon et en France, l’écureuil à ventre rouge est contrôlé, en Belgique et aux Pays-Bas, leur éradication a été effectuée ou est en cours. Dans ces pays, il n’y a pas eu de manifestation du public. Toutefois, aux Pays-Bas, l’action a été menée en procédant par capture, stérilisation, et placement des individus dans des centres pour animaux sauvages. En Argentine (absence d’écureuils natifs sur le site d’introduction), malgré un effort important de communication, son contrôle a été un échec, des individus piégés sur les zones de contrôle ayant été déplacés à plusieurs centaines de km. Pour T. sibiricus en France, une enquête réalisée en 2010 a révélé que son contrôle serait accepté par le public s’il menaçait l’écureuil roux ou en cas de rôle avéré dans l’accroissement du risque de contracter la maladie de Lyme. Pour ces espèces, l’adhésion du plus grand nombre à de telles actions est un gage de réussite, mais pas seulement, et tous les moyens doivent être mis en œuvre en ce sens.


SESSION 2


SESSION 2



Udo N 1,2, Atlan A1, Darrot C2

1Université de Rennes 1, UMR ECOBIO, France

2Université de Rennes 2, UMR ESO, France


O7 -L’histoire humaine et naturelle d’une invasion biologique : l’ajonc d’Europe à La Réunion

SESSION 2


SESSION 2

Les espèces invasives s’établissent souvent dans des socio-écosystèmes particuliers, où le rôle de l’Homme est central. Notre étude a pour objectif d’apporter un nouveau regard sur une plante invasive majeure, l'ajonc Ulex europaeus, en intégrant la dimension spatio-temporelle et le contexte social de chaque stade du processus d’invasion. Ulex europaeus est envahissante dans plus de 30 pays répartis sur tous les continents, et elle a un lien fort avec l’Homme car elle a été très valorisée dans sa zone d’origine, l'Europe, et a souvent été introduite volontairement. Le site choisi est l’île de La Réunion, dont les caractéristiques en font un laboratoire d’étude idéal : le milieu est circonscrit, la transformation des paysages par l’Homme est récente, les archives sont disponibles sur la quasi-intégralité de l’histoire de colonisation. Outre les données biologiques et écologiques de l’espèce, les matériaux collectés ont comporté l'analyse des documents bibliographiques du 19ème à aujourd’hui, et des éléments d’entretiens semi-directifs conduits auprès des habitants. Ces travaux ont mis en évidence le rôle de l’Homme conjointement aux facteurs biologiques et écologiques de la plante dans le processus d’invasion. Sur le plan théorique, cette étude nourrit la réflexion autour des rapports historiques, sociaux et symboliques, que les hommes entretiennent avec leur environnement. Elle permet de concevoir la présence d'une espèce invasive comme un véritable processus inscrit dans l’histoire des Hommes et les milieux, de mieux comprendre la dynamique écologique de l'ajonc et d'apporter de nouvelles explications à sa répartition actuelle.


Darrot C1, Atlan A2

1 UMR ESO, CNRS/Université de Rennes 2, France

2 UMR ECOBIO, CNRS/Université de Rennes 1, France


O8-– Usage et gestion d'une espèce invasive, que peut-on apprendre de la zone d'origine ? Le cas d'Ulex europaeus
L'ajonc d'Europe (Ulex europaeus), originaire de Bretagne, Ecosse, Galice est considéré comme l'une des "100 of the world's worst invasive species" par l'UICN dans les zones introduites. Au fil de plusieurs études, nous cherchons à parcourir les spécificités biologiques de la plante favorisant son caractère invasif dans les zones introduites et les facteurs sociaux qui contribuent à l’y appréhender comme invasive ou pas. Chercher si et pourquoi les savoir-faire de gestion de la zone d’origine n’ont pu être adaptés dans les zones colonisées invite d’abord à reparcourir les représentations et usages de la plante en zone d’origine, historiques comme contemporaines.


SESSION 5


SESSION 2

Nous présenterons une compilation de plusieurs enquêtes menées en Bretagne (zone d’origine) entre 2004 et 2011 : panorama des usages agricoles des ajoncs avant l’étape de modernisation des Trente Glorieuses, perte progressive de ces usages, et techniques contemporaines de contrôle. Aujourd’hui, malgré une perte totale des usages effectifs de la plante, ses vertus en demeurent connues : nos enquêtes témoignent d’un potentiel d’intérêt des agriculteurs pour recycler les qualités fourragères de l'ajonc, ou des partenaires institutionnels et industriels pour en faire une ressource commercialisable (combustible, fourrage), sous réserve d’une meilleure connaissance de ses performances. On observe également des essais et des marges de progression pour des innovations de gestion tentées par les partenaires locaux, dans les espaces naturels (PNR, CFPPA, Département, ADEME…) et dans les espaces agricoles (PNR, agriculteurs, chambre d’agriculture). Ces travaux suggèrent des innovations possibles, ainsi qu’une réflexion sur leurs limites, pour les zones envahies.



SESSION 2


SESSION 2

Chauvel B1,2, Martinez Q2

1Inra, UMR1347 Agroécologie, 17 rue Sully - BP 86510, 21065 Dijon, France

2Observatoire des ambroisies, 17 rue Sully - BP 86510, 21065 Dijon, France


O9 - L’observatoire des Ambroisies : quels rôles ? Quelles possibilites d’action ?
L’Observatoire des ambroisies a été créé en juin 2011 par le ministère chargé de la Santé en collaboration avec l’Inra. Il a principalement pour missions de constituer un centre national de références en matière d'ambroisie, de rechercher, de valoriser et de diffuser :

  • la connaissance sur l'ambroisie à feuilles d’armoise (ses effets sur la santé et les milieux),

  • les actions de prévention, de lutte, de formation et d'information menées sur l'ensemble du territoire national,

  • les données scientifiques et leurs applications.

L’Observatoire est en charge, en collaboration avec le Réseau National de Surveillance Aérobiologique d’un site internet (http://ambroisie.info/) sur lequel sont mis à disposition des renseignements sur le problème de santé publique (alerte pollinique) et des informations sur la plante : biologie, gestion, réglementation, documents photographiques …

L’Observatoire a produit un référentiel de formation qui constitue la base de la formation des ‘réfents communaux’ ambroisie (près de 1000 personnes en France, principalement en Rhône-Alpes).

L’Observatoire diffuse de nombreux documents sur la gestion de la plante pour alerter la population sur la présence de la plante : expositions pour grand public et public scolaire, fiches de reconnaissance, flyers spécialisés suivant les milieux … et une lettre d’information diffusée à plus de 400 personnes.

L’Observatoire participe au projet européen Cost-Smarter et s’est impliqué dans différents programmes nationaux.

Il reste à évaluer l’efficacité réele de l’action de cet Observatoire au niveau national. En effet il ne sera jamais qu’un appui aux acteurs locaux qui sont en charge sur le terrain de la gestion de la plante.



SESSION 2


SESSION 2

Lebouvier M1, Garnier A2

1 CNRS UMR Ecobio, Université de Rennes 1,Station Biologique, Paimpont, France

2 Réserve Naturelle Nationale des Terres Australes Françaises, Saint-Pierre, La Réunion


O10 – Phanerogames introduites dans les iles subantarctiques françaises : voies d’introduction, dispersion, mesures de gestion
L’évolution du nombre de phanérogames introduites dans les îles subantarctiques Crozet et Kerguelen (océan Indien sud) est bien documentée grâce aux récits d’explorateurs et d’expéditions scientifiques à partir du milieu du XIXè siècle, complétés par des suivis réguliers menés depuis les années 1980. L’introduction, volontaire ou involontaire, de ces espèces et leur implantation sont étroitement liées aux activités humaines (fret, enrichissement organique par épandage des eaux usées…). Depuis 2006 ces îles sont classées en réserve naturelle nationale et les introductions sont désormais interdites. Des observations menées entre 2010 et 2012 sur l’île de la Possession (archipel Crozet) révèlent néanmoins une augmentation sensible du nombre de phanérogames introduites, en comparaison avec les données publiées en 2001 qui faisaient état de 58 espèces appartenant à 16 familles. On dénombre ainsi une vingtaine de nouvelles espèces, jamais observées auparavant sur cette île. Une grande majorité des espèces introduites sont présentes uniquement dans le secteur de la base Alfred Faure mais le nombre d’espèces qui colonisent l’île en dehors de la base a également augmenté au cours de la dernière décennie. De neuf, ce nombre est passé à 16, avec une progression de la surface colonisée. Nos observations menées depuis plusieurs décennies avec le soutien de l’Institut Polaire Français (IPEV) et les études en cours en partenariat avec la réserve permettent d’orienter les mesures de gestion, avec en particulier un renforcement des mesures de biosécurité (fret, visiteurs, transferts intra île) et la mise en place de programmes d’éradication pour quelques espèces encore peu disséminées.


Clergeau P1, Vergnes A1

1Museum National d’Hisotire Naturelle, Paris


O11 – La prise en compre de l'importance du nourrissage des vertébrés invasifs comme facteur de gestion

SESSION 2


SESSION 2

Même si c’est bien la suppression des introductions qui reste le premier acte de gestion durable, il est de nombreux cas où les espèces invasives sont déjà bien présentes et/ou ne posent des problèmes que tardivement. Connaître les caractères principaux de réponse des vertébrés invasifs dans leurs nouveaux milieux c’est être capable d’orienter efficacement les actes de gestion et d’identifier les acteurs concernés. Parmi les clés de succès des vertébrés invasifs qui dépassent largement le succès des plantes (1%) et arrivent en Europe à 17% d’invasifs pour les oiseaux introduits et 50% pour les mammifères, plusieurs traits ont déjà été rapportés et démontrés. Les plus cités sont notamment les comportements d’adaptation (surtout alimentaire), les modifications morphologiques (modification des organes locomoteurs ou d’alimentation) et la grégarité (qui accèlére les nouvelles acquisitions).

Les comportements humains sont évidemment parmi les facteurs les plus facilitant, surtout vis-à-vis des « belles invasives ». L’examen des vertébrés qui ont le plus de succès dans leur installation montre l’importance de la mise à disposition de nourriture. Le nourrissage peut être direct (nourrissage à la main ou en mangeoire) ou indirect (ordures ménagères …). Nous examinerons plusieurs cas chez les mammifères et chez les oiseaux qui corroborent ce processus et montrent le rôle déterminant de cette alimentation facile dans le maintien de populations invasives. Des mesures de sensibilisation pourraient permettre une régulation des dynamiques de population de certaines espèces.

Colloque de lancement du GdR


‘INVASIONS BIOLOGIQUES’

Session ‘Caractérisation des Impacts Environnementaux’





Belaud A1,2,, Chauvel B2,3, Fried G3

1Anses, Laboratoire de la Santé des Végétaux, Unité entomologie et plantes invasives, CS 30016, F-34988 Montferrier-sur-Lez , Cedex France

2Inra, UMR1347 Agroécologie, 17 rue Sully - BP 86510, 21065 Dijon Cedex, France

3Observatoire des ambroisies, 17 rue Sully - BP 86510, 21065 Dijon Cedex, France



O1 - Invasion de l’ambroisie a epis lisses en France : un succès relatif et des impacts modérés ?

SESSION 3


SESSION 3

L’ambroisie à épis lisses (Ambrosia psilostachya DC.) est une Astéracée vivace originaire de l’Ouest du continent Nord-Américain dont la première mention sur le territoire français date de 1891 (F. Bruyas, part d’herbier). Inscrite sur la liste des espèces nuisibles de plusieurs pays (Canada, Russie, Australie), elle peut devenir une mauvaise herbe importante des cultures. Elle est décrite dans la littérature comme une espèce très compétitrice pouvant couvrir rapidement de grandes étendues et semble aussi être allergène pour l’Homme, à l’instar de l’ambroisie trifide (A. trifida L.) et de l’ambroisie à feuilles d’armoise (A. artemisiifolia L.). Décrite comme rare pour la France, l’ambroisie à épis lisses accuse une augmentation du nombre d’observations depuis les années 2000 pouvant signifier une phase d’extension. La probabilité d’impacts environnementaux, suspectés sur des pelouses sablonneuses, et sanitaires renforce le besoin de connaissances sur l’espèce pour le territoire français. Afin d’estimer son impact potentiel, l’écologie de l’espèce a été précisée à travers des relevés floristiques effectués sur un échantillon de stations représentatives. La flore accompagnatrice a été utilisée comme proxy pour connaître les conditions (biotiques et abiotiques) du succès de l’ambroisie. Les résultats indiquent qu’A. psilostachya est principalement inféodée aux habitats anthropisés avec, sauf exception (terrasse alluviale à Elytrigia spp.), des recouvrements restant généralement faibles (<25%). L’impact sur les communautés a été évalué plus précisément dans différents habitats sur le domaine du Petit Saint Jean à Saint Laurent d’Aigouze (Gard). Ce travail a permis d’identifier les habitats les plus à risques et d’orienter les moyens de surveillance. La relation entre l’abondance de l’espèce et la réponse de la communauté doit permettre d’identifier l’existence d’un éventuel seuil d’impact utile dans le cadre d’un outil d’aide à la décision de gestion.

Affre L1, Krebs E1, Aboucaya A2, Barcelo A2, Berville L1, Bigeard N2, Braschi J1, Brousset L1, De Méringo H1, Fourcy D3, Gillet P2, LeQuilliec P3, Limouzin Y2, Lorvelec O3, Médail F1, Meunier J-Y1, Pascal M1, Pascal M3, Passetti A1, Ponel P1, Rifflet2 F, Ruffino L1,4, Santelli C1, Vidal E1, Buisson E1

1Institut Méditerranéen de Biodiversité et d’Ecologie marine et continentale (IMBE), UMR CNRS IRD, Université d’ Avignon et des Pays de Vaucluse, Aix Marseille Université, France

2Parc National de Port Cros, Hyères, France

3INRA Rennes, France

4Section of Ecology, Department of Biology,University of Turku, FI-20014 Turku, Finland



O2 – Restauration écologique de la Réserve intégrale de l’île de Bagaud (Var, 83) : éradication de taxa invasifs, Rattus rattus et Carpobrotus sp.

SESSION 3


SESSION 3

L’île de Bagaud, située dans le Parc national de Port-Cros, abrite de nombreuses espèces patrimoniales. La biodiversité de cette île est menacée par la présence de plusieurs taxa invasifs, le Rat noir Rattus rattus et les Griffes de sorcière, Carpobrotus sp.. Afin d’améliorer l’état de conservation de l’île, le Parc a initié, en 2010, un programme de restauration écologique, dont l’objectif est d’éliminer ces taxa. Grâce à l’association de partenaires scientifiques, ce programme vise également à acquérir des données originales et appliquées sur la restauration écologique des systèmes insulaires méditerranéens envahis. En effet, les éradications sont associées à un suivi scientifique rigoureux, afin d’obtenir des données précises sur les effets de telles opérations sur la faune et la flore indigènes. La première phase du programme (2010-2011) a consisté en un suivi scientifique pré-éradication (état-zéro) sur un panel de taxons indigènes : flore, insectes, reptiles et oiseaux. Les éradications des taxa invasifs composent la seconde phase, qui s’est déroulée en 2011 et 2012. La troisième phase a débuté mi-2012 et se prolongera jusqu’en 2019. Elle comprend les suivis scientifiques post-éradications et les contrôles de ré-invasion des différents taxa. Les méthodes d’éradication et les premiers résultats (flore, insectes, reptiles et oiseaux), encourageants, seront présentés. Par exemple, les anciennes stations de Carpobrotus sp. sont recolonisées par les espèces indigènes (e.g. Lotus cytisoides). La population de Puffin yelkouan (Puffinus yelkouan) présente un meilleur succès de reproduction, dû à l’absence de prédation de Rattus rattus sur les œufs et les poussins.

Evangelista C1,2, Lecerf A3,4, Cucherousset J1,2

1CNRS, Université Paul Sabatier, ENFA, UMR 5174 EDB, Toulouse, France

2 Université Toulouse 3 Paul Sabatier, CNRS, UMR 5174 EDB, Toulouse, France

3UPS, INP, EcoLab, Université de Toulouse, Toulouse, France

4CNRS, EcoLab, Toulouse, France

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